Après L'Accrochage
Normalement je suis sage, normalement. Hier jai cédé à une tentation, je ne le regrette pas du tout. Cétait trop bon. Je ne recommencerai, pas souvent. Je ne dis pas que de temps en temps, je ne me laisserai pas encore aller...
Comme tous les jeudi je vais faire le gros de mes courses au supermarché. Je pars tôt pour revenir tôt, je naime pas cette ambiance dusine à vendre. Au retour jai un léger accrochage avec une voiture conduite par une femme. Elle na pas ses papiers pour remplir le constat. Je lui laisse mon adresse pour quelle puisse venir laprès midi pour remplir les papiers. Jai pris toutes les précautions au cas où elle ferait faux bon.
Jai de la chance, vers 15 heures, elle toque à la porte. Je lentends à peine, étant dans le jardin. Nous ressortons pour voir encore les dégâts ! Pour elle ce nest pas grave, alors que pour moi, jai une aile complètement défoncée. Revenues chez moi, nous remplissons soigneusement limprimé pour lassurance. Cet incident est clos. Je peux la regarder enfin simplement, la colère ma quitté.
Elle me fait part de ses regrets et de lengueulade que son copain va lui passer. Je lui conseille de minimiser laffaire, elle ne la pas fait exprès. Pour la rassurer je lui offre un café, café à ma façon : haut chaude avec du soluble. Si elle aime tant mieux. Je vais faire chauffer leau, quand je reviens elle sest assise sur un fauteuil, sa robe est remontée presque à mi cuisses. Ce doit être involontaire. Pourtant quand je lui donne la tasse, elle sarrange pour que le bas de sa robe monte encore plus haut : elle a de belle jambes. La surprise vient quand moi aussi je massois presque en face delle, je peux voir quelle ne porte pas de dessous.
Être presque nue marrive quand je désire que mon mari me fasse lamour. Je ne peux rien lui dire. Elle a suivi mon regard et elle sait maintenant que jai vu son bijou. Petit à petit elle monte encore sa robe. Cette fois, sans que je sois en face delle je pourrai tout voir.
Je me fais du cinéma : elle va te proposer de coucher avec elle, elle va vouloir baiser avec mon mari (qui ne demanderai pas mieux certainement). Heureusement que nous commençons à bavarder daccidents. Elle me raconte quelle nest pas une bonne conductrice alors que pour autre chose, elle sait fort bien se débrouiller, surtout avec son ami, elle en rougit un peu. Je comprends quelle est une bonne baiseuse. Comme je me défends pas mal dans cette discipline, je lui demande ce quelle aime. Je pensais quelle allait me dire les façons de faire lamour. Cest-ce quelle fait, avec force détails : comme elle aime sucer, être sucée, comment elle aime se faire mettre, devant, derrière, comment elle branle et comment elle aime être branlée, comment elle baise assez souvent avec une copine, que cest agréable
.
Elle rentre dans de tels détails que je commence à mouiller.
Elle aussi doit mouiller, je le vois sur son sexe ouvert.
Elle me demande si ça ne ma dérange pas quelle se masturbe, elle en a trop envie. Elle nattend pas ma réponse, elle repose son dos sur le dossier du fauteuil, ouvre ses jambes pour y mettre sa main. Elle se caresse le clitoris. Cest la première fois que je vois une fille se donner du plaisir, elle ne fait pas semblant, elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière, gémit doit jouir en cours pour reprendre aussitôt après.
Je ne peux pas tenir, à mon tour jenlève mon string et pour être totalement à laise, comme je fais à chaque fois que je me masturbe je me déshabille. Elle me détaille longuement :
- Tu es excitante toute nue.
- Et toi qui te masturbe, tu les aussi.
- Moi cest pas pareil, jen avait besoin.
- Cest toi qui ma excitée.
Elle se lève pour mimiter et nue, elle recommence une autre masturbation.
- Suce moi.
- Je nai jamais fait une telle saloperie !
- Quand ton mari te suce, tu trouves que cest une saloperie ?
- Cest pas pareil.
- Tu le suces et tu avales son sperme ?
- Bien sur.
- Ma cyprine est moins forte que le jus de ton mec, goute moi.
Je suis e de sortir un peu ma langue pour la poser sur le bouton. Je connais le gout de ma cyprine quand je me lèche les doigts en me branlant. Je suis étonnée de sentir pratiquement le même gout dans sa chatte. Jy suis, je continue. Jarrive à passer presque toute ma langue sur son clitoris. Je la passe tellement bien que je la fais jouir. Jen suis la première étonnée.
Elle saccroupie devant moi, me fait ouvrir encore plus les cuisses, passe sa tête et me lèche le clitoris quun façon différente de mon mari. Je ne sais pas pourquoi je pose mes cuisses sur ses épaules, elle déplace à peine sa langue pour venir dans ma vulve. Elle semble chercher un endroit particulier. En attendant de le trouver, elle passe la langue dans tous les recoins de ma vulve. Elle arrive enfin à trouver ce quelle cherchait, elle allait trop loin. Maintenant quelle lèche simplement le point G je me laisse faire avec plaisir. Je ne sais combien de fois je jouis. Cette garce arrive à pose un doigts sur un de mes endroits sensible : mon anus, elle le caresse en faisant le tour. Elle fait comme mon mari, seulement voilà, cest une femme qui me le fait, je me laisse aller selon ses volontés à jouir encore. Elle entre son doigt dans le cul au moment pile de mon orgasme, elle laccentue ainsi.
Elle sort sa langue de mon con pour la poser sur mon anus, elle ne force pratiquement pas en la rentrant. Par contre elle me fait un bien fou. (je sais que je vais demander à mon mari de le faire). Ce nest pas à proprement parlé une sodomie.
Elle na presque pas jouit :
- A toi de me faire jouir comme je te lai fait.
- Je ne sais pas sucer comme toi, tu es ma première femme.
- Jespère que je ne serai pas ta dernière.
- Je suis mariée.
- Et alors, tu nes pas obligée de lui en parler !
Elle sassoit sur le fauteuil, ouvre en grand ses cuisses. Je vois toute sa fente pleine de cyprine, elle doit réellement avoir envie de jouir avec moi. Je me lance dans son vagin où, à son inverse je trouve rapidement son point sensible. Il me semble que cest un peu plus rugueux que le reste, ma langue ne sort pas de son con. Je la sens jouir quand autour de ma langue les spasmes de lorgasme arrivent. Je fais comme elle, je vais caresser son anus. Jen fais le tour mais je ny tiens plus, il faut que jentre mon doigt dans son cul, je le fait aller et venir. Il me semble quelle jouit sans cesse. En levant les yeux je vois quelle se caresse les seins.
Jai mon nez entièrement dans son sexe : jhume son odeur qui mexcite encore plus que se cyprine. Je me sens aussi salope quelle.
Quand elle me demande darrêter cest pour que nous nous mettions en 69. Je nai rien contre le fait davoir ma langue sur son sexe, au contraire. Il me semble même que ma langue est plus efficace que la sienne. Je la fais jouir plus quelle ne me le fait.
Nous nous mettons presque assises jambes mêlées, sexe à sexe. Nos clitoris se touchent presque pendant quils nous donnent ce nouveau plaisir. Je ne voudrai pas arrêter de baiser ainsi avec elle.
Le temps passant elle shabille et part pour ne plus revenir, elle me laisse son numéro de portable. Nous pourrons baiser quand je le voudrai.
Quand mon mari entre, je suis toujours nue, assise sur le fauteuil. Il se demande ce qui se passe. Je ne veux rien lui cacher : je lui raconte mon aventure féminine. Je le vois bander. Il me baisera tout à lheure.
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