L'Hôtel, La Seconde : Laurence Et Dernière

La fin de la nuit a été un feu d’artifice. Josiane s’est déchaînée. Elle a fini en me suçant la bite sans arrêt, jusqu’à m’en faire mal, vers la fin, surtout qu’en guise de petite gentillesse, elle me mordillait le gland. Je ne jouissais plus. Elle avait beau se mettre le sexe au dessus de ma tête pour que je vois bien sa dernière masturbation et son orgasme, elle ne me faisait plus rien.
C’était dommage pour elle, elle était jolie, sexy. Le seul défaut devenait sa gourmandise de la baise : elle pouvait aimer mon sperme, mes couilles ne pouvaient en fabriquer autant que ce qu’elle aurait voulu. Elle me quitte le matin, sans s’habiller puisqu’elle réside dans le même hôtel. Je la regarde partir dans le couloir, son dos et ses fesses remuent sans arrêt. Je l’aurai bien baisée encore si j’avais pu.
Le soir, sans qu’il soit possible pour moi de choisir, c’est la plus jeune des filles, Laurence, qui m’a été attribuée : 21 ans, brune, un peu mince à mon gout avec pourtant de jolis seins. Depuis le matin j’ai réussi à fabriquer assez de semence pour pouvoir jouir faire jouir cette jeune fille, femme ?
Je traine en route en regardant un peu la télé, elle vient près de moi, me regarde et se frotte à moi comme une chatte en chaleur ce qu‘elle devient. Comme je ne réagis pas assez vite à son gout, elle pose sa main sur ma bite. Les autres femmes sont là, à coté de nous et bien sur nous regardent sans arrêt.
J’essaie de rester impassible. Comment résister à l’appel de cette fille, je bande doucement. Pour être sure que je sois en forme, elle n’hésite pas à sortir ma queue du pantalon. Josiane qui connait déjà ma bite me regarde avec des yeux envieux. Pour elle je doit être le prince de la baise.
Laurence, commence à me caresser le bite à sa façon, elle ne me branle pas à proprement parler, sa main est bien sur ma pine, elle la fait aller et venir, sans arriver jusqu’à faire descendre d’un seul centimètre mon prépuce.

N’empêche qu’elle m’excite drôlement.
Je ne peux plus tenir, je l’invite à venir dans ma chambre, nous y serons bien pour baiser. Pas question, elle ne veux faire l’amour qu’en présence des autres pour bien montrer qu’elle est une fille dévergondée, puisque certaines semblaient en douter.
Elle se lève, enlève la seule parure qu’elle porte : un petite robe légère, son corps est parfait, ses seins neufs encore, sont aussi durs que de la roche, me semble-t-il. Elle porte une petite fourrure au bas ventre. Ses jambes longues sont surmontées de hanches large. Bref elle est le prototype de fille que j’aimerai me taper souvent !
Il me tarde de connaitre ses autres qualités en façon de baiser. Elle me fait lever, se charge de me déshabiller et s’accroupit devant ma queue. Elle me reprend en main et me branle normalement cette fois. Elle a une virtuosité rare dans la masturbation masculine. J’espère que pour le reste elle sera aussi savante.
La seule chose que me gêne est la présence des autres. Pourtant je n’ai pas de soucis à me faire, elles aussi sont nues. Si Josiane se masturbe sur sa chaise, les autres se caressent entre elles : j’en vois deux qui s’embrassent sur la bouche et une des deux a déjà une main entre les cuisses de l’autre.
Il faut que je me fasse une raison, je dois bien baiser devant toutes.
Laurence commence à bien m’exciter, je lui caresse les seins. C’est comme si j’avais appuyé sur le bouton déclenchant une bombe. Elle ne lâche pas ma bite, elle la met dans sa bouche où sa langue lèche de plus en plus vite et fort le gland. Je me cabre en dégustant cette fellation. Je pensais hier avoir trouvé la reine de la pipe, j’ai maintenant l’impératrice. Je peux l’arrêter avant de jouir. Je l’installe ses jambes bien ouvertes ma tête entre elles. Plus je monte et plus je sens son odeur féminine, agréablement excitante. Je sens que ma bite a des à coups de bas en haut dus à l’excitation et l’envie de la farcir. Ses jambes écartées me donnent accès à toute sa boite à jouir.
Je peux atteindre rapidement son bouton. Je n’ai aucun obstacle pour arriver sur mon but du moment. Je passe un grand coup de langue et le prends comme j’aime : si je suce, arrive un instant où je ne la touche plus, alors que dans ma bouche j’ai continuellement son point faible toujours enserré. Le bout de ma langue suffit pour lui donner du plaisir. Ses mains tiennent ma tête comme si l’allais partir sans la faire jouir. Je profite de ma position pour entre deux doigts dans son con. Son berlingot réagit comme prévu, elle l’avance pour que j’entre tous les doigts, ce que je fais : elle ne gémit pas, elle hurle quand elle jouit.
Elle fait tant de bruit que les autres filles qui sont toutes occupées entre elles arrêtent ce qu’elles font pour nous regarder. Je sors ma tête pour venir la baiser. Avant elle me demande de lui donner encore ma queue dans sa bouche. Elle tient absolument à ce que je décharge dans sa bouche. Moi j’ai décidé autre chose. Je la renverse pour me coucher sur elle. J’entre dans son temple de bénédiction sans son aide. Mais elle, avec mon aide recommence à gémir, je suis au fond de son con, là bas, tout au fond, contre le col de la matrice. Qu’elle est agréable à baiser cette jeunette. Qu’elle jouit beaucoup. Je la sens autour de ma pine quand ses spasmes se produisent. Je n’arrête pas, je continu.
Je n’ai pas jouis et je sors de son ventre. Pour lui donner satisfaction, je lui donne ma bite et elle se jette dessus pour me prendre dans la bouche. Ma queue est pleine de sa cyprine qu’elle lèche bien avant de commencer sa fellation. Elle prend le gland dans la bouche et pose une main sur ma queue, juste au dessus du pubis. Sa main accompagnera sa bouche et sa langue.
Je peux maintenant me laisser sucer tranquillement. J’ai même le temps de regarder du coté des autres.
C’est une véritable orgie entre femmes. Si certaines sont sages, en faisant seulement des 69, les autres se baisent avec des doubles godes ou même en caressant les clitoris avec celui d’une autre.

Elle m’excitent tant que je jouis dans la bouche de Laurence. Je ne sors pas de sa bouche et elle en profite pour nettoyer complètement ma bite.
Je suis flagada ! Il me suffit de regarder les autres filles, avec Laurence à mes coté qui prend encore ma queue pour que je bande encore.
Cette fois je ne vais pas aller à l’endroit normal : je veux son cul. Elle ne me contredit pas, elle se met en levrette. Deux filles qui baisaient viennent à son secours pour lui mouiller, plus qu’il ne faut son anus. Elles restent près de nous. Je n’ai même pas à chercher le cul de Laurence, une des deux filles prend ma bite. Elle pose ma queue sur l’anus et je n’ai qu’à faire le principal, enculer Laurence qui ouvre à fond son cul. Je m’aperçois que je ne suis pas le premier à y être passé. Elle recommence à gémir. Une des filles qui nous regarde faire, embrasse Laurence sur la bouche, ainsi on ne l’entend plus. Elle grogne quand elle jouit. Je ne tarde pas moi non plus, je ne suis pas un surhomme !
Je lui donne tout ce que j’avais en réserve. Quand je sors de ce cul, ma bite entre sans que je ne demande rien dans la bouche d’une des assistante : elle me nettoie bien la pine.
Je reste un instant immobile. J’ai envie de pisser. Je demande où son les toilettes les plus proches : Laurence ouvre sa bouche et me dit qu’elles sont là, dans sa bouche. Je lâche mon urine comme elle le demande. Elle l’avale au fur et à mesure. Les deux autres en veulent aussi. Je tourne mon jet, d’elles même elles prennent ma pisse dans leur bouches ouvertes pour ensuite s’embrasser. Je peux arriver à en mettre quelques goutes sur le coin d’une des filles qui s’en sert pour se mouiller la cramouille.

Le lendemain je trouve un autre hôtel dans lequel je ne serais pas le seul homme. Je pourrai aller tirer un coup quand je voudrai à l’hôtel d’où je sors.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!