L'Employée De Maison (5)

Le lendemain matin, je suivis mon petit rituel : petit déjeuner rapide, douche et je m’habille. Une seconde tasse de café et je suis prêt. Je monte embrasser Caroline avant de partir à mon bureau en lui précisant que je rentre manger à midi.
Dans la matinée je reçois un appel de Caroline qui me dit qu’elle sort avec Valérie et me propose de les retrouver à notre petit resto habituel où le patron nous réserve toujours la même table tranquille. Je lui donne mon accord et reprends mon travail. J’arrive au resto avant midi et peu de temps après, je vois entrer Caroline et Valérie avec des sacs provenant de je ne sais quels magasins. Valérie marche derrière Caroline en portant les sacs. Ma Chérie m’embrasse et d’un ton sec, elle dit à Valérie de s’asseoir et qu’elle sera punie cet après-midi. Je lui demande pourquoi et Caroline me répond que c’est entre elle et Valérie !
Nous déjeunons tranquillement et pouvons prendre notre temps, mon premier rendez-vous n’étant qu’à 15 heures. Durant tout l’après-midi, je cherche, sans trouver bien sûr, ce qui a pu provoquer l’ire de Caroline. A 18 h, j’ai épuisé le planning de ma journée et rentre à la maison.
Je trouve Caroline installée sur le canapé en train de feuilleter un catalogue que je connais bien puisque c’est celui d’une e-boutique sur internet ou j’acheté les jouets et tenues de Caroline. Mais point de Valérie à l’horizon. Après gratifié Ma Belle d’un long baiser, je lui demande ou est Valérie. Elle me répond qu’elle est dans sa chambre et qu’elle médite jusqu'à 19 heures. Comme d’habitude, je monte me changer pour être plus à mon aise. Ma curiosité l’emportant, je monte à l’étage de Valérie et frappe à la porte de sa chambre. N’obtenant pas de réponse, j’ouvre et je trouve Valérie entièrement nue au milieu de sa chambre avec un masque occultant sur les yeux et un gode de bonne taille planté et bloqué dans sa fente.
Je redescends et propose a Caroline un apéritif qu’elle accepte et nous trinquons.

Vers 18 h 55, Caroline se levé et je la vois emprunter l’escalier. Quelques instants plus tard, toutes les deux arrivent, Caroline poussant Valérie devant elle.
- Maintenant tu vas expliquer à ton Maitre la raison de ta punition. Et à genoux devant lui pour t’expliquer.
- Mais est-ce si grave que cela Caroline ?
- Oui Mademoiselle n’a pas voulu m’obéir ce matin quand nous faisions les boutiques. Nous étions dans une boutique de lingerie et elle n’a pas voulu se déshabiller devant moi pour essayer le corset que j’avais trouvé pour elle. J’ai donc acheté cette parure et nous sommes allés te retrouver. Ce n’est que cet après-midi que je sus enfin la vérité : Elle ne voulait pas se dévêtir car la vendeuse et la patronne la regardaient puisque j’avais laissé le rideau ouvert. A elle maintenant de se débrouiller avec toi et de se faire pardonner.
Valérie gardait la tête baissée, à genoux devant nous. Pour finir de nous mettre mal à l’aise, elle ne trouve rien de mieux que de se mettre à pleurer. Se déplaçant toujours à genoux elle alla devant Caroline et lui demanda pardon entre deux sanglots.
- Bon, pour cette fois je te pardonne Valérie. Maintenant, autant te prévenir tout de suite, c’est toi qui as allumé le feu samedi soir et maintenant tu vas devoir assumer !
- Oui, Maitresse, je suis prête à tout pour vous faire plaisir à tous deux. Je serai obéissante, je vous le promets.
- Donc, je te pose une dernière fois la question : acceptes tu que Didier et moi soyons les seuls à décider de ta vie désormais ? Toi tu ne devras en aucun cas refuser !
- Oui, je ferai tout ce que vous me direz de faire.
Sur cette dernière phrase, elle plongea en avant en embrassant les pieds de Caroline qui, je le savais adorais cette caresse. Délicatement Valérie entreprit de lécher les pieds en ponctuant son geste d’une multitude de merci. Caroline me demanda d’aller chercher le gode ceinture dans notre chambre. Je commençais à penser que je savais où elle voulait en venir.

Je redescendis avec le gode qui était d’une taille supérieure à mon sexe et elle s’en harnacha. Elle fit mettre Valérie debout et lui dit que pour prouver ce qu’elle venait de dire, elle devait accepter une double pénétration. Caroline le fit m’enjamber dos à moi et prit mon sexe en main pour l’aligner sur son petit œillet. Elle regardait Valérie, qui complètement écartelée devant moi commençait à descendre sur mon pieu en gémissant et avec un rictus qui indiquait clairement que l’introduction n’était pas sans douleur. En effet, Caroline voulait, je suppose, lui donner une ultime leçon et n’avait donc lubrifié ni son trou, ni mon sceptre. Comme la pénétration n’allait pas assez vite, Caroline vicieusement, appuya de tout son poids sur ses épaules. D’une longue poussée vers le bas, elle empala Valérie entièrement distendue sur mon sexe. Elle demanda à Valérie de bien se cambrer en arrière afin que son sexe et son anus soient visibles et attrapant le numérique sur la table du salon, elle prit plusieurs photos, soit normales, soit en gros plan.
Mais Valérie savait très bien ce qui l’attendait maintenant. Caroline vient s’agenouiller face à nous en tenant son gode en main. Et en prenant son élan, elle s’engouffra en Valérie d’une traite et le corps de celle-ci se recouvrit instantanément d’une fine couche de sueur. Caroline et moi, après avoir coordonnés nos mouvements, avons bourrés Valérie sans nous retenir. Celle-ci maintenant ne gémissait plus mais criait en nous abreuvant de mots crus :
- Oui bande salauds, bourrez moi, défoncez moi ! Oh oui c’est trop bon je sens que je vais jouir ! Vas-y Didier, éclates moi le cul et toi Caroline rentre bien à fond et tritures moi les seins, j’adore ça ! Oh ce que vous aime tous les deux !!!
Je sentais Valérie vibrer de plus en plus et pour ma part, je sentais bien que je n’allais pas tenir très longtemps dans ce petit trou du cul serré à souhait. Dans un hurlement continu, Valérie partit dans son orgasme et moi, ma bite, serrée à bloc par ses muscles, expulsa plusieurs jets de foutre.
Valérie retomba sur ma poitrine, couverte de sueur. Caroline sortit du vagin dégoulinant et enleva le gode ceinture. Aussitôt Valérie plongea entre les cuisses de Caroline et entreprit un ballet très érotique de sa langue, tantôt léchant et mordillant son clitoris, tantôt introduisant sa langue dans la fente bien mouillée. Caroline tout en se faisant brouter le minou, se jeta sur mon vit et entreprit sa toilette.
Caroline gémissait de plus en plus et Valérie lui enfourna 2 doigts dans la chatte tout en lui léchant encore et toujours son bouton. Le traitement s’avéra rapidement efficace puisque je vis Caroline refermer ses cuisses autour de la tête de Valérie et partir a son tout dans un orgasme fulgurant.
Caroline, embrassant la jeune fille lui dit des mots doux a l’oreille et Valérie hochait la tête. Puis à haute voix, elle dit à Valérie qu’elle était pardonnée à condition qu’elle accepte de ne plus refaire cela.
Nous demandons à Valérie d’aller chercher à boire pour nous remettre de tout ça ! Moi mon éternel whisky, Ma Belle, un grand verre de coca et pour Valérie ce fut du Perrier. Une fois nos verres terminés, nous allâmes nous coucher dans nos chambres respectives. J’ai voulu faire un dernier câlin à Caroline, mais elle demanda grâce.
Le lendemain, lorsque le réveil sonna, j’étais allonge nu sur mon lit et seul ! Pas besoin de demander ou était Caroline. Sans faire de bruit, je montais à l’étage de Valérie et comme je le prévoyais, je les trouvais serrées l’une contre l’autre, dormant comme des anges. Il me fallut pourtant les réveiller tout en douceur pour que Caroline et moi nous rendions a notre bureau. Valérie se leva en trombe et pendant que nous nous douchions, Caroline et moi (sagement cette fois), partit préparer le petit déjeuner. Une fois vêtus, nous sommes arrivés en bas et le petit déjeuner était servi sur la table de la salle avec un Valérie nue et souriante qui s’apprêtait à répondre à nos besoins (alimentaires cette fois).
Une fois prêt à partir, Caroline précisa à Valérie que nous rentrerions déjeuné ver 12 h 30.
La suite bientôt …

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