Odile, Ma Belle Mère
Mon père après son veuvage a décidé dépouser une fille bien plus jeune que lui. Javais tout juste 20 ans à lépoque et mon avis ne comptait pas. Epouser une fille de 25 ans sa cadette, quand on a 45 ans, cest dangereux. Les 20 ans décarts devaient se sentir au lit.
Après tout, cétait son affaire, sil voulait finir cocu, ça ne me regardait pas. Quand jai vu pour la première fois celle qui allait devenir ma belle mère, jai eu comme un pressentiment. Je la trouvais belle, sexy, tout ce quon veut. Elle avait un très grave défaut, elle menlevait mon père, même sils restaient habiter ici.
Pour la nuit de noce, ils sont partis en Italie. Je restais à la maison sous la garde bienveillante de la femme de ménage. En plein mois de Juillet, je navais pas grand-chose à faire qualler me baigner dans notre piscine. Je passais mes après midi à nager, à lire, à me bronzer au soleil du sud. Joubliais le principal : je me caressais. Quelles bons orgasmes jai pu avoir dans cette piscine, jenlevais mon string, caressais mon sexe avec délicatesse et après avoir joui, je restais toujours sans string, jaime nager nue. La femme de ménage devait avoir des doutes sérieux sur moi, elle regardait souvent la piscine. Elle ne pouvait rien voir car je me branlais dans leau.
Une quinzaine de jours après mon père et sa femme revenaient tout heureux. Mon père reprenait son travail davocat dès le retour, alors que sa femme restait à la maison. Odile, puisquil sagit delle tenait à ce que nous devenions amies. Au fond, la seule chose que je lui reprochais était davoir épousé papa.
Elle maccompagnait maintenant à la baignade. Jétais ennuyée de ne pas pouvoir me branler à cause de sa présence. A la place nous bavardions : elle me racontait sa vie antérieure, ses ex, ses déceptions sentimentales.
Un jour elle me disait que mon père était un parfait baiseur. Drôle de confession à faire à sa fille. Plus tard elle me demandait si jétais toujours vierge, ce que je nétais pas depuis longtemps.
Sans plus rien me demander Odile enlevait son maillot une pièce pour apparaitre dans une nudité parfaite. Je la regardait en me disant que finalement mon père avait de la veine de se farcir une telle beauté. Je limitais sans tarder. Elle me regardait également pour me dire que jétait sacrément bien faite et quelle était plus moche que moi. Le lendemain, elle sort de leau, sassoit sur la margelle, écarte les jambes. Elle reste ainsi jusquau moment où je peut voir toute sa chatte. Elle me regarde dans les yeux : il me manque quelque chose.
Je crois savoir ce quil lui manque. Elle pose deux doigts sur son clitoris et se masturbe en me regardant toujours. Odile est en train de mexciter. Je reste dans leau et commence moi aussi à me caresser. Elle ne peut pas voir ma main, par contre les mouvements de mon bras sont visibles.
- Tu te donnes beaucoup de plaisir ?
- Oui, beaucoup, et toi ?
- Bien sur, en le faisant devant toi, comme ça, sans me cacher, cest plus excitant. Montres moi comment tu fais.
Comme une sotte, je me mets dans sa position, juste en face à moins de 6 mètres. Je regarde sa main et la mienne fait les même mouvements en cadence, cest comme si nous nous branlions. Linévitable se produit : nous jouissons.
Elle vient à mes cotés, sassoit, pose sa main sur une jambes et caresse lintérieur de la cuisse. Je la regarde un peu interloquée. Elle pose sa bouche sur la mienne. Je ne sais comment cest ma langue qui franchit le seuil de nos lèvres.
Je peux dire quà partir de ce moment ma vie a basculée. Quand sa main est arrivée sur ma chatte, je dégoulinais de cyprine. Il me tardait quelle me caresse. Elle est arrivée très lentement vers mon sexe. Je sentais ses doigts venir caresser mon clitoris. Jusquà présent , mise à part moi et deux copains, personne navait masturbé cet endroit.
Odile mavait donné un plaisir différent. A mon tour den faire autant. Je branlais son clitoris en ajoutant mon pouce dans son puits. Je la voyais elle aussi prendre son pied. Nos bouches toujours réunies, nous ne cessions de nous caresser. Elle me lâchait pour plonger. Je pensais que notre relations étaient terminée au moins pour le moment. Je me trompais de beaucoup, depuis le début elle mapprenait les rudiment du plaisir entre filles.
Elle revenait vers moi, passait sa tête entre mes jambes. Jécartais bien mes cuisses pour quelle puisse me lécher. Je navais jamais fait lamour avec une autre, je savais quand même comment font deux femmes ensemble. Jattendais donc sa langue, je ne savais pas encore où exactement. Je fermais les yeux dans lattente qui finalement était courte, je sentais enfin quelque chose me lécher non pas le vestibule, mais lanus. Ainsi elle commençait mon apprentissage par un léchage de mon cul. Pour moi cet endroit était réservé aux bites pas aux langues de filles. Je ne sais pas comment elle a fait mais je me suis retrouvée avec au moins la moitié de sa langue loin dans mon postérieur. Javançais mes fesses au bord pour que ce soit plus commode pour elle. Je sentais son organe aller et venir en moi. De temps en temps je serais lanus pour mieux la sentir.
Elle sort sa langue simplement pour me conseiller de me branler le clitoris pendant quelle me donne ce délicieux plaisir dans le cul. Elle a mille fois raison : la masturbation ajoutée à la sodomie sont deux choses qui vont bien ensemble. Je sens des secousses plus fortes que les premières.
Je voulais lui rendre ce quelle mavait donné. Odile refuse que je lui fasse quoique ce soit, nous verrons ça demain.
Pendant le repas du soir, nous échangeons des regards complices. Mon père remarque notre manège, Odile répond que nous sommes devenues vraies amies.
Nous nous couchons en biais sur le lit, nous nous arrangeons pour que nos bouches suivent le parcours du plaisir. Après un longe baisé, elle se tourne les pieds à la tête. Nous pouvons ainsi nous embrasser les seins, le ventre les fourrures et enfin le val profond entre nos jambes. Elle sest mise sous moi, sa langue commence son travail, elle traduit ses désirs en plaisirs. Je la suce aussi, même si au début jai eu comme un rejet de son sexe mouillé. Pourtant quelle bonne odeur, quelle gout délicat. Je dois en avoir sur tout le visage. Je men fout : jai de sa cyprine sur la figure, une décoration gagnée devant les interdits.
Je lui ai sucé le clitoris, entré ma langue au tréfonds de son sexe, sa chatte doit encore se souvenir de ma langue.
Odile ma sucé partout dans ma fente. Je ne pense pas quelle ait oublié un recoin, même bien caché.
Nous entendons la voiture de la femme de ménage, nous descendons nues pour le bain et là encore nous nous taquinons constamment.
Les jeux finissent toujours pareils : par des embrassades ou des baises.
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