Baisage Intégral
Nous avons fait connaissance par hasard dans la rue. Nous regardions un étalagiste qui voulait vendre sa camelote et la vantait comme un beau diable. Jallais partir quand je suis entré dans cette jolie personne. Je ne la tamponnais pas nimporte où. Je me trouvais contre des pare-chocs extraordinaires de fermeté. Je voulais lui demander pardon quand elle me faisait des politesses, cétait de sa faute, uniquement due à sa maladresse. Jétais étonné, je le fus encore plus quand, au milieu du petit monde autour du vendeur elle collait ses lèvres sur les miennes. Surpris je ne réagissais pas à sa langue dans ma bouche : elle me collait un patin du feu de Dieu. Pour finir, elle se collait contre moi, ses bras autour de mon cou, comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Elle murmurait ensuite dans mon oreille :
- Tu me plais, jai envie de toi, viens allons baiser. Je sens ta queue qui bande contre mon ventre. Moi aussi je suis excitée, je mouille beaucoup, ça me coule entre les jambes. Baise moi vite
Que pouvais-je faire avec une excitée du bulbe rachidien et de du cul. Lenvie de baiser ça passe , comme lappétit en consommant. Cest-ce que nous avons fait de notre rencontre au coucher du soleil, pour reprendre toute la nuit, avec heureusement pour moi des temps de repos.
Mais quelle hargne quel désir elle avait au fond de son cul !
Nous étions à deux pas de chez moi, heureusement. Jai à peine eu le temps de la faire entrer quelle était déjà en tenu de travail : nue comme au jour se sa naissance, avec sans doute des atouts plus attrayants. Jadmirai ses seins, pas pour leur grosseur mais pour leur aréoles, sensibles à ma langue, autour de ses mamelons bien développés eux aussi. Je regardais avec beaucoup lintérêt son bas ventre doù sortait un peu une petite partie de son clitoris.
Elle revenait à lassaut : à nouveau sa langue non plus dans la bouche, mais sur mes lèvres. Elle a commencé par me lécher les lèvres pour finir entre mes fesses.
Mais le véritable combat sexuel a commencé quand elle sest attaqué à ma bite. Elle a commencé par descendre mon prépuce lentement, très lentement, elle la fait descendre le plus bas possible en forçant sur mes couilles. Elle la remonté très rapidement pour recommencer les même gestes. Jen ai sursauté. Je ne pouvais rien dire : sa bouche clôturait la mienne. Je men souviens encore, quand elle avait la main et donc ma pine en bas, en tirant, elle entrait sa langue encore plus dans ma bouche.
Jai pu enfin arriver à mettre ma main sur sa moule. Jai aussitôt pris entre deux doigts le clitoris qui enflait comme ma bite. Je lai branlé un tout petit moment quand je sentais les crispations de jouissance. Je crois que cest-ce qui la calmée un peu. Je lai renversé sur un vieux tapis, jai écarté ses jambes. Je me suis couché à ses pieds, ma tête sur son con. Je pouvais enfin sentir son odeur de femme et voir tous les replis de son sexe. Je nhésitais pas du tout quand jai pris son clitoris dans ma bouche, comme une pine. Je pouvais bien le lécher ainsi. Le reste néchappait pas à mes mains. Je commençais gentiment par lui entrer presque tous les doigts de la main droite dans son abime de plaisir et deux autres de la main gauche dans son cul. Je la sentais jouir presque sans arrêt, je pensais ce nétait pas possible quun fille jouisse autant et si rapproché. Je savais bien que souvent plus les femmes baisent et jouissent, plus elles jouissent vite les prochaines fois, mais pas à ce point.
Elle aurait voulu ma bite dans la bouche pour gouter mon sperme. Après tout cest elle qui mavait fait des avances, pas moi. Donc javais le droit de faire delle ce que je voulais. Et ce que je voulais cétait la lui mettre là où je voulais : dans son joli coquillage. Cest là que je la lui ai mise, cest là quelle a jouit sans sarrêter ou presque.
Je voulais garder son coté pile pour plus tard, comme dessert. En guise de dessert, cétait devenu le plat de principal. Je ne mattendais pas à une telle pénétration. Jentrais dans un cul que je venais de branler un instant avant. Je lavais trouvé normal. Ma queue était dun autre avis, elle entrait aussi facilement que dans son sac à foutre. Je ne trouvais une différence quen ayant passé lanus. Elle était plus serrée après quavant. Jallais et venais en elle : jétais accompagné par ses mouvements qui faisaient que jallais presque aussi vite dans son arrière train que dans son con. Je sentais mes poils du pubis venir sécraser contre ses fesses.
La première fois que jai jouis cétait toujours dans son anus. Elle a pu my maintenir en serrant très fortement son anus pour mempêcher de sortir jusquà ce que la dernière goutte de sperme sorte de mon méat.
Je ne sais plus combien de fois nous avons baisé. Je me souviens par contre que nous avons baisé debout, couchés, sur le coté, moi dessus, moi dessous, en 69, surtout, je ne sais pas pourquoi, quand je venais de la sodomiser. Jai joui dans ses mains, sa bouche, son cul, sa chatte, ses seins. Et même une fois avec ses pieds.
Jen suis sorti totalement exténué. Par contre maintenant quelle sait où jhabite elle ma promis de revenir tirer un coup les fins de semaine. Je la comprends bien parait-il !
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