Camille
Quand j'ai rencontré Camille, elle n'avait que 20 ans. Elle rentrait à peine en 3ème année de fac. C'était une fille simple, sans fioritures, pas de tenues sexy. Je dirais même plutôt l'inverse. Inévitablement c'était une fille timide qui se cherchait un peu encore à cette époque. Une fois j'ai pu l'apercevoir avec un super corset noir à lacet alors qu'elle était encore avec son ex. Il est vrai qu'à ce moment là j'ai tout de suite craqué et j'ai très vite compris qu'elle était influençable.
Après quelques approches, j'ai pu la soutirer à son ex, sans grande difficulté puisque il s'agissait d'un ami d'un d'un ami, et je savais de source sûre qui l'a trompait. Lui même l'ayant reconnu, et me l'ayant avoué lors d'une soirée.
Je n'avais donc eu aucun scrupule. Et il n'a pas été triste très longtemps. Cependant, son amour propre étant tout de même égratigné, il m'envoya un texto le soir de notre premier rendez vous. M'annonçant ainsi : « Bon courage pour ce soir... c'est une très mauvaise suceuse ». Un petit smilee en prime, j'ai répondu « ne t'inquiète pas je lui apprendrais. Elle commence l'entrainement dès ce soir ». N'ayant pas eu de retour de sa part, j'en ai déduis qu'il venait une fois de plus de prendre un coup à son ego.
Cependant, quelques heures plus tard, je me suis rendu compte qu'il avait dit vrai. De nos jours, la pipe est devenue un passage presque obligé. Et c'est tant mieux me direz vous. Je préfère d'ailleurs me faire sucer pendant une longue demi-heure, voir plus, que de tirer un coup.
Ainsi après la soirée traditionnelle d'un couple qui débute, cinéma restaurant etc, nous nous retrouvons chez elle, du moins chez sa mère, qui était ce samedi soir absente.
Et au moment des préliminaires, la catastrophe. Ses lèvres se posent sur mon gland, font de légers, très légers mouvements de bas en haut, sans convictions, pendant que sa main faisait tout le travail. Une vraie débutante. Personne ne lui avait donc appris ?? Je sentais qu'elle n'était pas à l'aise.
Le reste fut en revanche démentiel. Comment vous dire? Une vraie « cow girl ». Les amateurs de sites pour adultes comprendront à coups sûr de quoi je parle. Une technique de « ride » très maitrisée. J'étais abasourdis. Elle savait le faire comme aucune de mes aventures passées.
En revanche il fallait lui apprendre absolument à sucer. Je commençais à avoir l'habitude. J'ai pour ainsi dire appris à sucer à toutes mes ex.
Revenons-en à Camille. Je vous propose de découvrir la méthode que j'ai utilisée pour faire d'elle ce qui s'avèrera par la suite, la meilleure suceuse que j'ai connu. Essayez avec votre copine, vous verrez... Succès garanti.
I)La DÉCOMPLEXER.
Comme je vous le disais, Camille est une fille timide et qui au départ était très influençable, dans le sens où elle souhaite faire plaisir. Je me suis donc servi de ce trait de caractère. Trois étapes ont été nécessaires.
Alors que nous faisions un pique nique près d'un lac, après avoir bu un peu, je lui ai demandé de me sucer « un peu ». Au départ elle était hésitante, vraiment pas enjouée à cette idée. Il est vrai que même si l'endroit était discret, on n'était pas à l'abris de croiser des promeneurs. Pourtant elle s'exécuta. A ce moment là. Je la laissais faire. Donc, bon c'était pas très excitant, mais tout de même agréable. L'important à ce stade c'est de caresser les cheveux, les bras, un peu ses joues, afin d'éviter les grands moments de solitude de la fille pendant que le mec à les bras croisés derrière la tête. Je sentais que cela la rassurait. Ce fut une grande étape. J'ai compris qu'il fallait qu'elle prenne confiance en elle avant de lui apprendre les techniques « de base ». Bien que cela fut douloureux pour la prostate, je lui ai demandé d'arrêter afin que l'on rentre et que l'on finisse ce que l'on avait commencé dans un cadre plus intime.
La deuxième étape fut lors d'un repas dans sa famille. Nous nous éclipsons pour aller fumer notre cigarette dehors. Nous rigolons, nous discutons, puis je lui demande sous le ton de la plaisanterie « tu voudrais pas me donner une avant goût du dessert » . La ce fut pire que pour le pique nique, puisque toute sa famille était à moins de 20 mètres. « Allez, rapidement, deux trois mouvements et on rentre, ni vu ni connu ». Elle eu un sourire gênée, mais cette idée l'excitait quand même un peu. Très rapidement, elle défait mon jean, le baisse légèrement avec le caleçon et commence à me sucer puis même pas 20 secondes après me rhabille. Elle était devenue toute rouge quand nous avions fini nos cigarettes et qu'il fallait rentrer. Elle était souriante. Un mélange entre l'excitation, la gêne et la satisfaction d'avoir réaliser, pour elle, quelque chose de fou et de peu raisonnable.
Je continuais de temps en temps à lui demander une pipe dans des endroits insolites. Et elle y prenait goût.
La troisième étape fut de la filmer. Elle était un peu récalcitrante mais y consentie. C'était adorable de la voir, rigolant de trac, rouge, gênée, fuyant du regard le plus possible l'objectif.
Après deux, trois films elle était à l'aise.
Et au final, elle était enfin décomplexée face à la fellation. Elle prenait plaisir à me faire plaisir. Restait maintenant à lui apprendre comment faire. Et croyez moi, ce fut plus simple que de la décoincer.
II)Lui faire comprendre les enjeux.
Il fallait lui faire comprendre qu'une bonne pipe n'est pas une masturbation avec les lèvres posées sur la pointe du sexe. J'ai donc du lui apprendre à se débarrasser de cette emprise de la main.
Une fois, alors que nous étions dans le lit, elle à quatre pattes entre mes jambes pour me sucer, des caresses sur le visage, je suis passé à des caresses sur les bras, puis j'ai agrippé et tenu ses mains comme si nous marchions dans la rue.
Le prémisse de la révolution « fellationnique » apparaissait dans sa tête.
III)L'entrainer :
Pour Camille, il s'agissait de la partie la plus délicate. Car il fallait lui faire comprendre que son plaisir était de me sucer plus que de me faire l'amour. Mais forte de sa prestation concluante passée, ce ne fut pas si difficile. Ayant compris que mon péché mignon était de me faire sucer, elle ne lésinait pas sur les efforts.
Son premier exercice, sans qu'elle ne sache que s'en fusse un, a été de ne se servir que de sa langue. De bas en haut, des couilles jusqu'au gland, les petits coups de bite vifs sur sa langue etc.
Le deuxième exercice - jeu était de me sucer sans les mains. Uniquement sans les mains. D'elle même, elle assimila le premier exercice à celui-ci.
Ses mouvements devenaient de plus en plus fluide. Sa langue de plus en plus experte. Sa nuque de plus en plus musclée apte aux mouvements répétés. Parfois même elle improvisait des combinaisons.
Le troisième exercice fut le plus difficile. Il s'agissait de la mettre à quatre pattes. J'enfonçais ma bite dans sa bouche, lui prenais la tête et faisais moi même avancer ou reculer ma queue. J'ai ainsi pu travailler la profondeur. C'est à ce stade que le lui ai appris à regarder son « interlocuteur ». D'abords en l'obligeant à regarder l'objectif d'une caméra (moins impersonnel) puis à me regarder dans les yeux.
En moins d'un an Camille était devenue une suceuse hors pair. Un véritable aspirateur. Une fois décomplexée, elle n'eut aucune difficulté à assimiler les techniques voir à essayer de les perfectionner ou d'en inventer afin de me faire plaisir. Il manquait toute fois une chose à mon bonheur...
IV)L'endurance:
Nous avons tous déjà plus ou moins entendu cette phrase : « j'ai mal à la mâchoire! » Ce qu'il faut savoir, c'est que c'est une question d'entrainement mais également de technique. En ce qui concerne Camille, puisque très tôt lancée l'initiation, elle a eu le loisir de se muscler la dite mâchoire. Les différentes phases d'une pipe que je lui a appris lui permettaient de se reposer sans rien n'enlever à mon plaisir. Cependant, j'aime que l'on me suce plus d'une demi-heure. Et lui faire accepter cette idée n'a pas été facile. Il a fallu que je trouve, que je suscite l'intérêt d'une telle manuvre. La première est d'ors et déjà simple. Cela fait travailler ma propre endurance. Ce qui ne pouvait que la satisfaire. Un autre intérêt un peu plus belliqueux, a été de lui faire croire, je dis bien faire croire, que cela pouvait détourner mon attention d'une série ou d'un film que j'avais très envie de voir et pas elle. Dès lors j'ai eu le droit à mes longues pipes, elle, pensant qu'elle attirait toute mon attention alors qu'elle ne faisait que rajouter un coté agréable à la situation.
C'est après presque un an de relation que j'ai pu profiter véritablement du fruit de SES efforts. Si aux yeux de la plus grande majorité elle était cette petite étudiante timide et mal fagotée, je peux vous dire que dans l'intimité c'était devenue une vraie cochonne. Il lui est arrivé de téléphoner à des copines afin que celles ci lui prennent les cours car elle préférait passer des journées de jambes en l'air avec moi. Elle était au sommet. Au point culminant. Cette étape dans un couple, ou le sexe est l'attraction principale capable de souder des liens forts. J'ai eu plus de pipes que je n'en espérais. Et souvent sans que je ne demande rien. Elle y avait pris goût et était devenue bien plus experte qu'une professionnelle que l'on croise au coin de certaines rues.
J'avais crée une machine à sucer sans relâche à partir d'une fille timide qui agit dans la vie comme si rien dans son existence ne sortait de l'ordinaire.
V)L'influence:
Nous étions donc à ce stade de la relation où Camille ne se rebellait pas. Où tout ce que je lui demandais ou disait captait 100% de son attention. Puisqu'amoureuse, j'en faisais n'importe quoi. Très rapidement, nous avons débuté ce qu'elle n'aurait jamais imaginer faire un an plus tôt. Je crois même que c'était inconcevable pour elle et pourtant... Une fois que nous étions en boîte, un peu éméchés, dansants l'un contre l'autre, je lui proposa de faire une partie à trois, du moins de me sucer, et de sucer un autre gars. En ce qui me concerne, elle avait donc l'habitude que je lui demande dans des endroits insolites, mais un autre...Au départ outrée, je jouais de mon influence, lui faisant croire que j'étais déçu, etc. Aussi, ne voulant pas me décevoir ni me « faire du mal » elle y consenti. On devait ramener un ami (Ben.) chez lui. Dans la voiture elle était gênée et peu bavarde car elle savait que j'allais lui demander de le sucer. Peut-être se demandait-elle comment elle avait pu en arriver là?! Une fois arrivés, notre ami nous proposa le traditionnel dernier verre qui, vu l'heure, devait être un café. Nous étions tous dans l 'état dans lequel on est quand on sort de boîte même sans avoir bu énormément.
Alors que nous étions plus ou moins avachis dans le canapé je dis « et ben mon poto c'est pas encore ce soir que tu vas pouvoir sonner le gong » (il était célibataire). Camille compris au quart de tour qu'elle n'allait pas tarder à devoir réaliser l'impensable. Elle commença à rougir; je voyais son regard un peu effrayé et paniqué. Il était visible que son pouls s'accélérait. Je continuais d'un aplomb incroyable sans même le laisser répondre « si tu veux, il y a toujours Camille! » Gros silence; étonnement de Ben, « enfin si tu es d'accord ma chérie ». Je la regarde droit dans le yeux comme pour lui dire « allé, c'est maintenant ou jamais, s'il te plait, ne me déçois pas ». Elle répond après un toussotement, d'une voix fébrile tremblante et timide « oui ». L'autre n'en revenait pas.
Comme je voulais éviter les silences, les questions qui auraient pu tout faire capoter, je dis à Camille d'enlever son haut. Ce qu'elle fit un peu au ralenti. Ben lui dit « tu es sûre? »; Elle « oui oui, c'est bon » toujours avec cette petite voix et le regard fuyant. Je me lève pour sélectionner une playlist sur le site très connu de musique en ligne, et demande à Camille de commencer à le sucer.Tout deux étaient effarés. Cependant, une fois qu'elle était à genoux entre ses jambes, et que ses petits seins frottaient contre son jean, l'excitation pris le pas. Il ouvre sa braguette, Camille saisie sa queue, et s'exécute. Avant que la musique ne débute, j'entendais les petits sons issus du frottement des lèvres et du va et vient. Ben commence à gémir et prononce un fébrile « Oh la vache ». La scène était irréaliste. Elle devait l'être encore plus pour Cam. Je m'assois sur un fauteuil et regarde la scène. J'était très excité de voir ma chérie pomper un autre. Lui fermait les yeux et appréciait la gâterie. Je dis à Ben qu'il peut lui tenir la tête, ce qu'il fait sans se faire prier. « Je ne me suis jamais fait sucer comme ça ». Là Camille fait glisser sa langue du gland jusqu'au bas de ses couilles puis remonte de la même façon comme je lui ai appris. « Oh la vache » reprend t-il. Je prie Camille d'aller plus vite et d'y mettre un peu plus de coeur. Ses vas et viens s'accélèrent au point que sa petite queue de cheval se défait lentement. Ben l'att par les cheveux et je précise à Camille qu'il est mal poli de ne pas regarder son partenaire. Elle était gênée. Ses yeux regardaient Ben alors que celui-ci avait la tête collée au dossier du canapé. Je me régalais.
Je me lève, m'approche de l'actrice, la relève, et sans qu'elle ne lâche sa bite je lui enlève ses talons et son pantalon. Une fois en string, je la replace à genoux, me remet dans le siège et admire à nouveau le spectacle. Elle avait une nouvelle queue de cheval grâce à la main de Ben qui tenait ses cheveux.
Je demande « tu aimes ça ma chérie? »;
« Oui » répond elle la bouche pleine.
Ben ajoute « ben ça se voit qu'elle aime ça; oh la vache ».
J'agrippe Camille par les hanches, la relève et coupe tout. Ben frustré. Elle perdue. Je défais mon pantalon, envoies Ben chercher sa capote, et amène Camille sur ma queue pour qu'elle me suce.
Ben revient. Je m'assois sur le même siège. Ben met la capote, retire le string de Camille et commence à la baiser. Elle me regarde d'un air de dire « Pourquoi? ».
Nous amenons Camille sur le lit. Ben sur le dos, elle enfourche sa queue. Je la regarde faire. J'aimerai participer, mais la voir se faire démonter par un autre m'excite trop. Cette fois, c'est moi qui timidement m'approche d'eux. Je place ma bite au niveau de son cul. C'est la première fois que je vais la sodomiser et c'est le première fois qu'elle va se faire sodomiser. Je ne résiste pas. J'enfonce ma queue dans son anus. Elle crie sauvagement de douleur et nous la baisons ainsi pendant au moins dix minutes. Elle ne dit rien. Geins un peu mais se laisse faire. Nous agrippons ses fesses, ses hanches, ses seins, glissons nos mains sur son visage, attrapons ses cheveux, la traitons de tous les noms, la masturbons...
Ben éjacule le premier. Je force Camille à rester sur lui le temps que je finisse. Je me retire et amène sa tête sur la bite de Ben. Elle retire son préservatif rempli à ras bord et recommence à le sucer.
Le lendemain, dimanche, vers midi, Camille ouvre les yeux. Nous étions dans son lit, chez sa mère. Elle avait encore les marques de la nuit passée. Elle sur le ventre, je me place au dessus d'elle et avec la gaule matinale, la pénètre. Je lui glisse à l'oreille « Avoue que ça t'a plu hier ». Elle ne savait pas quoi dire. Je lui démonte l'entre jambes pendant qu'elle contient ses cris pour ne pas éveiller les soupçons de sa mère. Une fois fini (deux trois minutes), elle se lève tant bien que mal. Boite un peu, enfile son pyjama, et sors de la chambre. J'entends au loin la conversation.
-« Ca c'est bien passé hier ? »
-Elle: « oui oui »; « on n'a pas fais trop de bruit en rentrant ? »
-Sa mère : « je ne vous ai pas entendu; Ça va? »
-Camille : « je suis un peu fatiguée ».
-« Vous vous êtes bien amusés? »
- « c'était sympa ».
Camille revient dans la chambre et me fait part de sa honte. Je lui rétorque qu'elle a été formidable. Et jouant de mon influence, la prends dans mes bras et lui dis le « sacré saint » « je t'aime ». Nous avons passé une après midi romantique en flânant dans un parc non loin de chez elle. Nous marchions et sourions comme si nous avions perdu notre pucelage la veille. Moment d'insouciance de courte durée. Camille est très rapidement devenue une attraction demandée. « Grâce » à Ben, ou à cause, c'est selon, nous recevions des dizaines de texto, et je ne sais combien de mail.
Une moment d'inattention de sa part, je décide de mon propre chef de répondre à l'un d'eux du portable de Camille précisant: « je ne suis libre que le weekend (samedi soir après mon boulot); appelle moi samedi matin et je me ferai un joie de rendre ta soirée attrayante ».
La suite est une autre histoire.
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