Histoire Vraie
Je me présente : Daniel, 65 ans, 1m68, 75kgs.
Je vais, sans fioriture vous narrer mon attirance pour Andrée, ma belle-mère âgée de 86 ans.
Cela fait des années que je fantasme sur elle et que je nose rien entreprendre à part des bisous très proches de la commissure de ses lèvres quand je lui dis bonjour ou au-revoir.
Si jusquà présent je nai rien tenté, ce nest pas une question de morale car pour ma part rien nest répréhensible sexuellement parlant à partir du moment où les deux (ou 3 ou 4 ou
) partenaires sont consentants et même si ces partenaires ont des liens familiaux. Vous devez vous dire quêtre attiré par une vieille femme de 86 ans est plus quétonnant et je serais daccord avec vous concernant la grande majorité des femmes de cet âge mais cest parce que vous ne la connaissez pas. Pour son âge et même comparé à certaines femmes de 20 ans ses cadettes, elle a un physique à damner un saint alors pensez donc, moi qui ne suis pas un saint ! je vais essayer de vous la décrire : petite, environ 1m48. Mince, 39 kgs. Cheveux blancs très courts. De petits seins non fripés et fermes ornés de ravissants tétons et fines aréoles. Des fesses rondes et lisses. Un pubis pratiquement imberbe. Seuls les cuisses et les bras trahissent son âge. Vous devez vous dire, que nous raconte-t-il ? comment peut-il connaitre ces détails anatomiques ? et bien je dois vous avouer quà plusieurs reprises jai pu dissimuler dans la salle de bain une petite caméra espion qui ma livré tout ces secrets. Par contre je nai pas encore eu la chance de voir sa petite chatte. A-t-elle les lèvres pendantes ? je ne lespère pas
cela nirait pas avec le reste de son corps et je ne le crois pas car les multiples conversations que jai pu avoir avec elle sur la sexualité mont appris que son gynéco était obligé dutiliser les spéculums réservés habituellement aux jeunes filles pour réaliser sur elle les examens. Et oui ! régulièrement joriente nos conversations sur le sexe, espérant naïvement que ma belle-mère laisse échapper que les caresses lui manquent mais jusquà présent elle ne cesse de répéter que son mari était gourmand mais quelle, ne faisait quaccepter de remplir son devoir conjugal sans aucun plaisir ce qui vous lavouerez naugure rien de bon pour mon projet.
Pourquoi écrire maintenant sur cette relation platonique ? et bien parce que depuis une semaine elle a pris un tour nouveau.
Cela a débuté lundi à 9h00 par un coup de fil affolé dAndrée. Nous étions le 4 janvier et sa chaudière était en panne donc plus deau chaude ni de chauffage et dehors un froid de canard.
- Calme-toi Andrée. Je saute dans la voiture et jarrive.
Jexplique rapidement la situation à ma femme, sa fille, et saute dans la voiture.
Pris au dépourvu, javoue que je pars sans aucune arrière pensée et vingt minutes plus tard je suis devant la chaudière récalcitrante. Deux robinets en mauvaise position me sautent aux yeux et 10 minutes plus tard la chaudière redémarre. Certes je nai pas compris comment ces robinets avaient pu se retrouver ainsi positionnés mais là nest pas notre propos. Pendant ces 10 minutes, Andrée ne me lâchait pas dun mètre voire moins et peu à peu, dans mon cerveau le dépannage passait au second plan. Jétais seul avec ma belle-mère, cette femme qui me faisait rêver depuis si longtemps, cette femme qui se collait à moi et espérait tant de mon intervention, une femme qui bientôt allait mêtre reconnaissante
le dépannage terminé en effet, Andrée se confondit en remerciements, ne sachant, me disait-elle, comment me remercier, elle était si « retournée ».
- Un bisou ?
- Oh oui tu las bien mérité
Et la voilà qui sapproche de moi pour me poser un bisou sur la joue.
- Je pensais à un autre bisou. Lui dis-je en me penchant vers elle et lui volant un baiser sur ses lèvres.
Étonnée mais sans aucune animosité Andrée me laisse faire et rit de la situation.
- Oh oh ! Daniel ! sur la bouche ! si on nous voyait ! avec mon gendre
Je la regarde souriant et ne tente pas de recommencer ou aller plus loin. Je ne sens pas tout à fait le moment venu. Je reste encore un peu pour surveiller la chaudière et décide à regret de retourner chez moi.
Là, jimagine beaucoup dentre vous frustrés, déçus que je nai pas poussé mon avantage mais noubliez pas quAndrée na jamais ressenti de plaisir avec le sexe et que je suis son gendre.
Mais continuons
Je suis rentré chez moi depuis 30 minutes quand le téléphone sonne. Cest Andrée qui rappelle car la chaudière présente à nouveau la même panne et ma belle-mère se trouve dans limpossibilité de purger les radiateurs comme je lui ai indiqué.
- Il est midi. Je casse une petite croute rapide et je reviens.
- Oh Daniel excuse-moi ! heureusement que tu es là.
Alors que javale rapidement mon steak frites, mon cerveau est en ébullition et je me vois déjà enlaçant ma belle-mère, lui roulant une pelle magistrale tandis que mes mains lui agrippent les fesses par-dessus le fin tissu de son pantalon.
Je suis ramené sur terre par ma femme qui me propose un dessert que je décline tant jai hâte de me retrouver seul avec Andrée.
- Tu prendras bien un café ! elle nest pas aux pièces tout de même !
- Ok pour un café.
Ce café à peine bu, je mhabille, monte dans la voiture et file pour rejoindre celle qui occupe mes pensées.
Arrivé chez ma belle-mère je constate en effet que la chaudière sest à nouveau mise en sécurité pour une pression deau trop importante et avouons quil ny a pas que dans la chaudière que la pression monte. Ma queue est bien à létroit dans mon pantalon et nattend quune invitation pour se libérer.
- Oh Daniel ! tu sais je ne suis plus bonne à rien ! impossible de purger les radiateurs comme tu me las montré tout à lheure.
- Tu es vraiment en panne. Je croyais que tu voulais me proposer le café des pauvres quand tu as rappelé !
- Oh Daniel ! hi hi
Pour ceux qui ne connaissent pas lexpression, prendre le café des pauvre signifie que lon fait lamour après le repas. Ça coûte moins cher quun café et cest tout aussi agréable
Après mêtre aperçu des erreurs commises par Andrée, erreurs qui conduisirent à cette nouvelle panne, je menhardis et prenant Andrée par la taille je lattire contre moi pour le deuxième baiser sur les lèvres de la journée.
- Oui, tu las bien mérité. Oh si on nous voyait !
- On penserait que tu as bien de la chance davoir un gendre aussi affectueux.
- Hi hi, tu es bête
Je la serre toujours contre moi. Comme un con jhésite encore à allez plus loin. Un silence de quelques secondes sétablie.
- Daniel ?
- Oui ?
- Tu crois que cest réparé ?
- Non. Cest provisoire. Je pense quil faut changer le vase dexpansion. On devrait appeler tout de suite ton chauffagiste.
- Oui, jai son numéro
Une chance, celui-ci est encore à sa boutique et peut passer de suite.
En lattendant, jaxe la conversation sur mes relations avec ma femme ou plutôt le manque de relations.
- Oui, pour ça malheureusement elle tient de moi. Pourtant son père, lui, était demandeur.
- Et tu acceptais ?
- Oui. Oh pas vraiment de gaité de cur car je ne ressentais rien mais il mavait prévenu : tu acceptes ou il faudra bien que je te force !
- Il ne faisait pas de préliminaires ?
- Oh si
Andrée est pensive.
- Des caresses, des baisers
- Oh pour ça il nétait pas avare mais je ne ressentais rien ! jen ai parlé à mon médecin mais à lépoque il nexistait pas de pilules pour la libido ou il nen connaissait peut-être pas
- Et vous faisiez souvent lamour ?
- Matin, midi et soir ! hi hi
le médecin mavait dit : « vous savez madame B
, vous navez peut-être tout simplement pas le bon partenaire ». je ne vais tout de même pas en changer lui répondis-je en riant
- Oui, cest lui que tu aimais.
- Exactement.
- Mais maintenant ? au moins les caresses, elle ne te manquent pas ?
- Non. Oh tu sais quand on na pas de plaisir
- Mais
- Oh je crois que cest sa camionnette ! oui
Zut ! coupé juste au bon moment !!!
Le chauffagiste intervient, émet le même diagnostique que moi. Il aura la pièce demain.
La magie est brisée. Je nose pas reprendre la conversation là où nous lavions arrêtée.
Je reste encore une dizaine de minutes et mapprête à quitter Andrée.
- Jamais deux sans trois. Lui dis-je
Et je lenlace à nouveau pour un dernier baiser que je fais durer plus longtemps. Andrée veut dire quelque chose que je ne comprends pas et ce faisant je sens ses dents contre mes lèvres.
Cest là que jaurais dû poursuivre mais comme un con jai pris congé delle avec une trique de compétition inutile.
Pendant tout le retour je ne peux mempêcher de me demander si Andrée me tient rigueur de ces trois baisers, surtout le dernier mais un quart dheure après mon retour à la maison je suis rassuré car cest ma belle-mère qui rappelle pour me gronder de ne pas lui avoir dit que jétais bien rentré. Ouf ! elle ne men veut pas.
Mais comme je vous lai dit je crains toujours que de tels agissements viennent à loreille de la famille aussi sachant que ma femme doit dès le lendemain rendre visite à sa mère, une petite inquiétude sourd en moi : Andrée saura-t-elle garder pour elle les baisers de son gendre ?
La nuit passe, la visite de ma femme chez sa mère approche, il est midi. Elles sont ensemble
17h00, mon épouse rentre à la maison et téléphone aussitôt pour rassurer sa mère.
- Maman veut te parler. Me dit-elle souriante.
Jatt le téléphone.
- Bonsoir Andrée
- Oui, bonsoir Daniel. Je voulais te dire que ton foie gras était excellent. Je me suis régalée
- Tant mieux Andrée. Tout va bien ?
- Oui oui. La chaudière ronronne comme une neuve.
- Parfait !
- À bientôt Daniel.
Hummm
ce à bientôt sonne comme un espoir, presque une invitation. Mais comment faire pour rendre visite à Andrée sans que sa fille ne se doute de rien ? si cela vient de moi, ma femme sétonnera que je veuille lui rendre visite. Il faudrait quAndrée ai envie de moi et prétexte une réparation quelconque pour me faire venir chez elle et quenfin je puisse lui faire lamour.
Tien ? ma femme lui téléphone justement
que peuvent-elles se dire ?... ma femme me rejoint.
- Tu as un bisou de ta belle-mère. Me dit-elle en sapprochant pour membrasser.
Non, Andrée ne men veut pas du tout. Elle naurait pas dit à sa fille de me faire un bisou de sa part
il faut absolument que je marrange pour lui rendre visite sans ma femme.
Chers lecteurs, si vous avez des suggestions constructives, si cette confession vous a plu, nhésitez pas à men faire part.
Jespère pouvoir continuer cette confession avec des scènes beaucoup moins soft ce qui signifierait quenfin ma belle-mère est devenue ma maîtresse
Hummm, je bande rien que de penser à Andrée
à bientôt peut-être.
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