Profs De Math
Cette nouvelle enseignante minquiète avec son air revêche, son habillement hors mode et surtout son air qui nous semble hautain. Avec mes collègues nous sommes inquiets pour lannée. Dans lenseignement nous ne choisissons pas nos collègues. Comme moi elle enseigne les maths, à des collégiens qui sen fichent totalement.
Nous sommes un jour emmenées à bavarder ensemble. Elle me semble moins désagréable que je le pensais. Au fil de lannée scolaires nous nous rapprochons au point de devenir amies. Elle est linverse de ce que nous croyions en début dannée.
Elle est de mon âge : 30 ans, blonde, alors que je suis brune, plutôt maigre alors que je suis un peu forte. Jai pu voir son logement, un petit deux pièces bien tenu. Je lai invité chez moi un soir pour prendre lapéritif. Cest un samedi soir. Mon intention est de lemmener dans une boite pour samuser ensemble. Je lui avais demandé de shabiller bien comme il faut.
Quand elle arrive je la vois sous un autre jour : lenseignante est loin, jai en face de moi une très jolie fille peu maquillée, vêtue plutôt court, avec un polo collant. Elle sest transformée en pin up ou presque. Je lui vois la moitié des cuisses et par transparence sa poitrine. Mon logement nest constitué que dune seule pièce accolée à une cuisine, juste à coté de mon minuscule bureau où jai de la peine à minstaller. Normalement je men contente, mais voilà le problème, si elle est bien habillée je porte sur moi un infâme peignoir, il faut que je me fasse belle.
Je la fais sassoir sur le seul fauteuil de mon logement. Je lui colle une revue dans les mains pour quelle patiente.
Je prend ce quil faut pour mhabiller. Je ne veux pas déparer avec ma collègue, moi aussi je vais mhabiller court vêtue. Cest à cet instant que je me rend compte que sous le peignoir je suis totalement nue. Une autre personne peut me voir à poil. Au fond je ne risque rien, cest une autre femme. Je quitte la seule vêture que je porte.
- Tu es drôlement bien fichue.
- Pas si bien que ça, merci.
- Cest vrai et je my connais en corps féminin.
- Ah bon, pourquoi ?
- Tu ne comprendrais pas. Il faut être initiée pour le comprendre.
Si elle me parle par énigme, il est certain que je ne comprendrai rien. Pourtant je suis troublée, elle me détaille de haut en bas. Jallais me retourner pour mhabiller quand elle me dit :
- Si tu veux je peux tinitier.
Je suis curieuse, elle ne me dit rien sinon quelle pourrai me mettre au courant.
- Bien sur avec plaisir.
Elle se lève, sapproche de moi (cest vite fait de venir du fauteuil à mon lit). Sans rien dire, elle pose sa bouche sur la mienne. Sa langue essaye dentrer à la recherche de la mienne. Elle menlace en me serrant fort contre elle. Jessaie de résister quand mes lèvres mabandonnent en souvrant, sa langue en profite pour venir caresser la mienne. Je trouve son baiser agréable sans plus. Lennui est quelle passe une main dans le dos pour aller caresser mes fesses.
- Déshabille moi, me demande t elle.
- Je ne vais pas faire ça.
- Si parce que jen ai envie et que je tinitie.
- Je nai pas envie.
- Cest trop tard : obéis moi.
Comme une lâche je commence par enlever son polo et fini par la jupe. Elle ne porte aucun sous vêtement.
Je ne manque pas de lexaminer : les femmes regardent toujours les autres pour critiquer. Javoue que je nai rien à dire sur son physique. Elle est parfaite.
Elle membrasse à nouveau sur la bouche et se colle encore à moi. Cette fois jai ses seins contre les miens. Je sens une douce chaleur venir autour de moi, surtout que sa main sur mes fesses va se loger dans la raie.
Jai compris depuis un bout de temps quelle cherche à me faire lamour. Je ne suis en rien une lesbienne, et pourtant je me laisse conquérir. Maintenant jai sa langue dans la bouche, ses seins contre ma poitrine, pour finir un doigt dans lanus.
Sans rien dire, elle me pousse sur le lit. Je ne résiste pas. Je préfère quelle me caresse couchée. Elle vient sur moi, comme un homme. Jécarte les jambes comme si une bite était prête à me pénétrer. Jaime tant les bites dans ma chatte. Elle nen a pas. Pourtant, je ne sais exactement comment elle fait, elle arrive à me caresser le clitoris avec son bas ventre. Jai même limpression que cest son propre bouton qui frotte sur le mien. Je ne résiste pas longtemps: elle veut me faire jouir, quelle ne se gêne surtout pas, dautant plus quelle me fait sursauter dans un orgasme inattendu.
Je sens ses lèvres sur mon cou, juste avant quelles les descende sur mes seins. Elle prend mes mamelons dans la bouche, les lèche avant de les sucer. Son autre main sur mon autre sein me fait autant de bien que sa bouche.
Elle oublie ma poitrine pour descendre sa bouche sur mon ventre: elle entre sa langue dans mon nombril qui pour loccasion de transforme en volcan. Elle continue sa désescalade pour aboutir sur mon pubis. Je ne suis pas rasée, elle ne le remarque même pas ou alors elle sen fiche. Elle fait le petit bon qui lemmène sur mon bouton. Je savais quelle allait me faire quelque chose. Son quelque chose sest tout simplement un cunnilingus: je me fais sucer par une femme et je trouve quelle le fait bien en sarrêtant souvent pour le mordiller. Je serre les dents pour ne pas jouir encore. Je voudrai quelle me fasse jouir longuement. Je ne peux plus tenir: je prends sa tête entre mes mains pour quelle ne parte pas et enfin, malgré ma volonté de faire durer cet instant que je trouve magique, jai toute ma chatte prises dans des spasmes involontaires: je jouis.
Elle se relève pour venir membrasser.
- Maintenant à toi de me donner du plaisir.
- Je ne sais pas si je pourrai.
- Pourquoi tu as peur de le sucer.
Je nose pas lui avouer que cest justement ce que je crains.
- Branles moi avec tes mains, et après tu sucera tes doigts; tu verra, nos gouts sont presque les même.
Après tout je peux le faire. Je commence quand même par un « repérage » manuel. Je fouille toute sa fente à la recherche de différences entre nous. Je nen sens aucune. Je marrête sue son clito, plus grand que le mien. Pour moi cest une bonne chance de la faire jouir. Je me penche un peu pour être confortable. Je caresses lintérieur des cuisses et enfin je vais sur son bouton. Je le caresse dabord avec une certaine maladresse pour arriver finalement à la faire jouir. Jai mis longtemps. Elle me demande de lui donner une baiser: nos langues se battent encore une fois. Je nai plus besoin de conseil, je fais comme elle, sauf que je pose ma bouche sur un téton: je le suce, le sens durcir sous ma langue: je le mordille un peu avant daller sans fioriture sur son sexe que je regarde avant de poser ma bouche sur lui. Elle est trempée, elle ne pourrai pas dire quelle nest pas excitée. Je darde ma langue, juste le bout pour la gouter: elle a raison sa mouille vaut la mienne. Je la lèche de haut en bas, je recommence plusieurs fois. Je me fixe enfin dans son vagin qui me semble des plus étroits. Mon jugement de femme doit être faussé. Le mien doit être comme le sien. Quand jentre ma langue il sélargit. Je fais aller et venir mon organe dans son ventre. Elle gémit de plus en plus fort. Elle pousse même un petit cri quand je sens les spasme de jouissance dans son con.
Elle me demande de venir les jambes écartées sur elle. Nous entamons une position que jaime faire avec les hommes: un 69. Là, je nai pas de bite à prendre dans la bouche.
Nous nous léchons longuement, sans nous arrêter même en jouissant.
Nous nous endormons dans cette position. Elle se réveille en pleine nuit. Sa tête est toujours entre mes jambes. Elle na quà sortir sa langue pour me réveiller, cest-ce quelle fait.
Cest un doux réveil quand une langue féminine vous sort dun rêve érotique. Je ne réalise que quelques minutes plus tard que moi aussi je peux rendre la caresse.
- Jai un gode, tu veux ten servir ?
- Pourquoi pas, si tu le manies.
Je sors mon engin, je pose quand même la question de savoir où elle veux que je le lui mette: des deux cotés
Elle se met sur le dos, bien calée, ouvre ses cuisses me donne toute sa fente où je vais déposer un baiser et je pose mon gode sur sa grotte.
- Mets moi la doucement pour que je sente bien quand ça entre.
Je me reprends, jallais lui entre tout ce sexe en plastique dun seul coup. Jentre donc en elle doucement. Je me sens lâme masculine en la baisant ainsi. Je regarde attentivement la pénétration: ça mexcite encore plus. Je suis obligé de me branler de la main gauche. Je vais et viens dans son ventre, elle gémit encore avant de crier quand je la fait jouir.
Je ne cesse pas, je sors le gode bien mouillé pour le mettre dans son cul dans lequel jentre très doucement: elle na pas lhabitude de se faire mettre souvent sans doute. Je suis prise parce que je lui fait: elle me regarde:
- Tu es une franche salope de menculer après tout ce quon a fait cette nuit.
- Tu es une trainée de mavoir sucée, tu mas faite jouir longtemps.
Je peux voir son anus se refermer pour souvrir à nouveau autour du godemiché quand elle jouit. Je suis fière de moi, sodomiser une femme.
Elle a fini de jouir au moins pour aujourdhui. Quand elle se rhabille je lui mets la main au panier. Je ne veux pas la laisser partir sans garder une trace de sa cyprine. Jhumecte un mouchoir que je met sous loreiller, jaurai ainsi son intimité à coté de ma tête, en attendant la prochaine fois que jespère proche. Les hommes ? Je verrai plus tard, en attendant jai mieux, jai un professeur de math. On ne peux espérer mieux si on veut réviser les tables de multiplication ou les équations à plusieurs inconnues.
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