Anne À L'Hôtel

C’est mon jour de chance. Mes voisins ont une fille qui doit faire un stage dans une boite de Strasbourg. En bavardant avec ces gens là, ils m’en parlent. Elle doit être sur place le surlendemain matin. Rejoindre Strasbourg depuis Montpellier est assez difficile en train. Je leur propose de la conduire en voiture puisque je dois aller en Allemagne pour mon job. Le soir même elle vient me chercher pour l’aider à mettre dans ma voiture ses affaires pour les 6 mois. Nous partons se soir, je tiens à prendre de l’avance pour ne pas être bloqué par un incident routier. Ses parents pour me remercier m’invite à diner chez eux. Pour moi c’est impeccable, je n’aurai pas à me préoccuper de vaisselle. La question des parents est normale :
- Est-ce que vous allez rouler toute le nuit ?
- Pas du tout, je m’arrête avant 23 heures. Je n’ai pas envie de finir dans le décor, fatigué par la route.
- Vous allez dormir où ?
- A Lyon, dans un Novotel où j’ai retenu deux chambres.
Ils sont tranquillisés. Moi aussi de les savoir tranquilles. Une qui semble en être ravie est la fille Anne.
Nous partons sur l’autoroute vers Lyon où nous nous arrêtons un peu avant à l’hôtel. Les chambres réservées sont prêtes. Nous prenons nos bagages léger pour la nuit. Nos chambre sont voisines, elle choisit celle qu’elle veut, de toute façon elles se ressemblent toutes.
Je prépare ma nuit : je sors mes affaires de toilettes, me met nu pour aller prendre une douche quand quelqu’un frappe à la porte, je m’enroule dans la serviette de bain pour aller ouvrir. C’est Anne qui a un problème. Elle n’arrive pas à baisser le store. Je lui montre chez moi comment ça fonctionne. Elle repart pour revenir moins de 10 minutes plus tard. Ca na marche toujours pas.
Me voilà traversant le couloir enroulé toujours dans la serviette. Je vais prendre ce sacré store qui en effet ne marche pas. Elle a une idée, chez elle, comme chez moi il y a un genre de canapé-lit.

Elle se propose de venir passer la nuit dans ma chambre.
Au fond ça ne me dérange pas, mais là, avec cette voisine que normalement je dois protéger, je risque de dér, sinon moi, elle.
Finalement elle arrive dans ma chambre avec ses affaires de toilettes, sa valise et sa chemise de nuit, ou présumée telle. Je peux enfin finir ma douche. J’ai oublié simplement un détail, j’ai laissé sur le lit mon seul vêtement pour la nuit : mon slip. J’entrouvre la porte pour demander à Anne de me le passer par la porte de la salle d’eau. Elle écoute la télévision assez fortement, il faut que je cri un peu et je lui ai fait peur. Elle vient porter mon slip, l’examine sous toutes ses coutures comme une rareté.
- Et vous arrivez à tout y mettre ?
- Tout mettre quoi ?
- Votre sexe et ses…….enfin vos couilles.
- Bien sur.
- Je ne suis pas vierge et je n’ai jamais vu de couilles dans un slip.
Elle y tient. Je me demande exactement ce qu’elle mijote. Elle n’a jamais vu de couille dans un slip, c’est fait pour ça cet engin.
Enfin j’ai mon vêtement en main, je commence à le passer quand elle ouvre la porte pour me voir, je suis pratiquement nu, en tout cas, elle peut examiner ma pine à loisir. Car c’est simplement ce qu’elle voulait, voir ma bite. C’est plus que voir ma bite, elle a envie de baiser, je pense, puisqu’elle entre dans la salle d’eau, ouvre à nouveau la douche. Elle enlève ce qu’elle porte, pas grand-chose, juste un tout petit string et un t-shirt très court sous une robe sage. Elle va prendre le jet, s’assoit sur le bidet et dirige le jet sur son sexe. Elle me regarde en face, je commence à bander, outre le jet sur son entrée de la vallée de délices, je vois deux seins relativement petits, bien dressés qui me semblent bien durs. Je la vois fermer le yeux quand elle annonce fière d’elle :
- Je vais jouir. Regardez moi jouir.
- C’est-ce que je fais !
- Donnes moi ta bite dans la bouche.
- Pas maintenant.

- J’en ai envie, j’aime le sperme.
- Tout à l’heure.
Je la laisse seule à sa branlette qu’elle fini rapidement. Quand elle sort de la salle d’eau elle me trouve assis sur le lit, le mien, j’ai la queue bien droite. Elle m’a donné une gaule d’enfer. Elle vient tout près de moi pour la prendre dans la bouche. Je ne l’attendais pas sur ce plan. J’ai envie qu’elle me suce, mais plus tard, pour me faire rebander quand je l’aurai baisée. Je la fais tomber sur le lit, elle se retrouve sur le ventre avec mes mains sur ses fesses. Qu’elle douceur que ce cul. Je descends une main que je pose entre ses cuisses. Je caresse en montant jusqu’à son paradis caché, je passe vite sur son anus pour entre deux doigts dans sa chatte. Je la calme ainsi surtout que je ne reste pas immobile. Je ne lui veux que du bien, je ne l’ai pas cherchée, elle est venue seule s’enferrer et mon hameçon va s’occuper de son cul et de son con. En attendant je trouve son petit bouton. Je vais le crever pour en faire sortir son venin. Je la tourne sur le dos, je suis à ses cotés. Il me semble qu’elle fait la moue, je la lui fais passer en posant mes lèvres sur les siennes. Non d’un chien qu’elle embrasse bien : nos langues s’entendent pour se caresser ou se battre dans nos bouches. Elle me tient par le cou quand elle sort sa bouche de la mienne :
- Baise moi.
Sacré Anne, 25 ans et déjà rouée comme une femme mariée depuis longtemps quand elle trompe son mari.
- Pas de suite. Tu sais comment on fait avant que je te la mette.
- Non.
- Comment ça, tu ne sais pas ? Qui donc te baise sans te caresser avant?
- Mon copain, on ne veux pas perdre de temps.
- Et tu arrives à jouir comme ça ?
- Bien sur, c’est bon.
Je ne l’écoute pas, je passe ma main entre ses jambes pour retrouver son bouton que je caresse jusqu’à ce qu’elle se crispe pour jouir. Je la baise avec deux doigts que je fais aller et venir. Elle jouit encore. Je veux vérifier par moi-même si elle est vierge du cul.
J’entre lentement un puis deux doigts. Elle écarte d’avantage ses cuisses pour me faciliter le travail et je l’entends dire des oui, encore.
Elle a pris ma bite dans sa main et commence une bonne masturbation. Elle a bien retenu les leçon de son initiateur. Elle fait descendre mon prépuce lentement, très lentement pour le faire remonter aussi lentement. Je comprends qu’elle ne me branle pas normalement, elle me maintient en érection.
Cette fois elle y a droit. Je caresse et embrasse ses seins en remontant vers elle. Nos bouches sont à nouveau collées. Ma queue est prête à entrer dans sa caverne. Pourtant elle prend ma bite dans une main, fait passer le gland dans toute sa fente avant de la poser juste à l’entrée de son con. Je n’ai qu’à entrer sans frapper. Je trouve un trou totalement mouillé. J’entre totalement, jusqu’à ce que mes couilles la touchent.
Je ne sais qui lui a appris cette chose, quand je suis au fond de son ventre, elle passe une main sur mes fesses, me caresse la raie et va se ficher dans mon cul. C’est pour moi une première. C’est aussi un bon moyen pour me donner encore plus de plaisir. Elle synchronise les mouvements de son doigt avec ceux de la baise. Je la sens jouir plusieurs fois autour de ma pine. En serrant les dents j’arrive à ne pas jouir.
Je la tourne sur le ventre, me couche sur elle passe ma queue entre ses fesses et sans tarder j’entre dans son fondement. Elle commence par dire non, elle a mal…….. Pour finir par jouir.
Je sors de son corps sans avoir joui. Je suis fier de moi.
Elle se retourne complètement, prend ma bite dans la bouche et me donne toute sa chatte à lécher. Pourquoi, diable les femmes aiment sucer une bite qui sorts juste de leur cul ? Elle sait bien ce qu’est un 69 : sa langue et ses lèvres savent me sucer mieux que bien. Je sens qu’elle jouit sous ma langue, alors je me laisse aller dans sa bouche. Elle garde le sperme sur la langue, s’en passe sur les lèvres avant d’en poser sur une main pour en mettre sur ses seins.
Le sperme est parait-il bon pour la tenue de la poitrine!!.
Nous nous réveillons le lendemain quand une serveuse porte le petit déjeuner, nous sommes encore en 69. Anne n’est pas dérangée d’être vue dans cette position, au contraire, elle recommence à me sucer, me fait bander dans sa bouche et comme la bonne nous regarde elle l’invite à venir avec nous pour tirer un coup vite fait. Je me doute du refus de la jeune femme qui a du en entendre d’autre.
Je suis réellement surpris quand cette brave fille vient vers Marie, lève le bas de sa robe sous laquelle elle est nue et qui donne son intimité à lécher. Sans se démonter Marie sort sa langue, la lèche et veux me faire partager la cyprine qu’elle a provoquée. Je préfère autre chose, qu’elle continue à la lécher, je passe derrière la fille et la fait se baisser un peu pour l’avoir à portée de son cul. Je la sodomise d’un seul coup. Elle ne se plein même pas. Je donne de grands coups de reins, elle doit bien aimer se faire mettre par le cul, elle aide mes mouvements. Elle jouit fort bien sous la langue et ma bite.
Nous partons enfin du lieu de nos étreintes. Nous ne sommes qu’à quelques kilomètres de Strasbourg quand elle voit un petit bosquet, elle me demande de nous y arrêter pour satisfaire un besoin urgent. Son besoin est ma bite qu’elle sort de mon pantalon pour bien la sucer et récupérer le sperme. Dès qu’elle m’a fait jouir, je me lève pour ouvrir sa portière, lui faire écarter les cuisses pour lui branler la chatte.
Elle m’a fait promettre de la baiser encore quand elle reviendra.
Plusieurs mois passent, je reçoit souvent des mails avec une photo : la sienne nue, les jambes ouvertes une main sur le sexe, texte des mails types :
Je vais bien, je me branle souvent, je penses à toi et de temps en temps je me paie un mec. J’ai essayé les filles, comme avec la serveuse mais ça ne marche pas comme avec toi, tu es le seul à savoir me faire bien jouir. Je suis ta salope. N’oublie pas que je reviens, garde du sperme en abondance pour moi pour me la mettre bien profond.

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