Agnès Une Parenthèse Dans Ma Vie Épisode 1
AGNES : une parenthèse dans ma vie.
JOURNAL DE VACANCES Semaine 1
Lorsque Cédric ma fait part de son désir de publier le récit de nos vacances au départ je nai pas voulu et puis je me suis dit pourquoi pas mais à conditions que je puisse moi aussi écrire tout ou partie. Il a était enfin de compte décidé que nous ferions la première partie à quatre mains et moi la suivante, vous comprendrez pourquoi en la lisant.
Préambule :
Je mappelle Agnès, jai 59 ans et Malgré mon âge, je ne fais pas parait il ? Jai un corps mince et ferme, dont je prends soins en faisant pas mal de gym, 1,65 m, 53 kilos. Visage doux et harmonieux. Des cheveux blonds sont coupés courts pour les vacances. Des yeux azur, un petit nez arrondi surmonte une bouche, aux lèvres sensuelles. Jai une petite poitrine mais réceptive. Mes fesses sont rondes et fermes mises en valeur par ma cambrure naturelle. Mon mari Cédric 61 ans 1,87 m pour 100 kilos, cheveux courts encore bien de ma personne.
Etant maintenant en retraite, nous pouvons prendre des vacances quand nous voulons. Nous avons hésités entre Juin et Septembre choisissant Septembre certes les jours sont plus courts mais il est généralement beau et la mer encore chaude.
Ensemble depuis 40 ans, nous avons eu jusquà présent une vie sexuelle bien remplie. Dans lintimité dune chambre, je ne suis pas bloquée, je sais mouvrir aux désirs de mon partenaire. Je nai pas de dégoût particulier Mais, avec le temps, le désir sémousse comme dans tout couple. Une fois pendant que jétais en activité jai une relation adultère avec un autre homme. Je lai avoué à mon mari. Il ma fait lui raconter en détails. Il ma compris. Plus tard il a évoqué son fantasme, faire du triolisme. Etant jalouse, jai avouée que je ne supporterai pas de le voir avec une autre femme.
Il ma parlé de me partager avec dautres hommes. Sans refuser jessayais de repousser sa proposition, sachant quaprès ce que je lui avais avoué je nétais pas à laise.
Un soir après avoir fait lamour, il me redemanda si jaimerais réaliser un trio, je lui ais répondu de manière évasive, et quune fois son fantasme réalisé, il en perdrait tout le charme et le mystère.
Il me laissa réfléchir plusieurs jours, et revint à la charge. Jacceptais, mais à une condition. Il devrait proposer lhomme et organiser cela lui-même.
Cette nuit-là, nous fîmes lamour avec plus dintensité que dhabitude
Jétais donc partante pour une partie à trois et, nous sommes passés à laction.
Il a passer une annonce et pris un certain nombre de contact avec des partenaires,
Deux de ces contacts se sont terminés par des rapports sexuels, un passable et un fabuleux. Et là les choses se sont un peu gâtées. La première fois quil ma vu de ses propres yeux faire lamour avec un homme, et prendre autant de plaisir, il a eu énorme choc émotionnel et a mit fin à cette soirée.
Il sest excusé de son comportement. Plusieurs mois après il ma demandé si nous pouvions recommencer. Nous navons pas recommencé.
Mais, tout cela a changé
Laissez-nous vous raconter laventure qui mest arrivée lors de nos dernières vacances.
Samedi 28 Août
Nous avons loué une maison pour deux semaines en Vendée. Mais étant partis très tard, nous arrivons vers 20 heures. A larrivée nous rencontrons le propriétaire qui nous fait visiter une RDC grande pièce a vivre avec cuisine, WC et débarras plus placard. A létage chambre en mezzanine et salle de bains. Il nous donne quelques instructions. Nous lui demandons si il y a un hôtel pas trop loin. Il nous en indique un. Heureusement il reste de la place.
Dimanche 29 Août
Nous nous levons tard, et allons à la maison le temps de tout installer cest déjà le soir.
Lundi 30 Août
Nous prenons nos marques, ou se trouve les commerçants et que faut il voir dans la région.
Mardi 31 Août
Visite de La Rochelle qui est à 45 minutes de chez nous, la vieille ville est jolie nous y restons jusquau soir.
Mercredi 1er Septembre
Temps splendide nous allons à loffice de tourisme et prenons des dépliants des communes proches. En nous promenant sur le bord de mer nous découvrons la plage, la casino, la promenade qui longe la dune. Midi nous en parlant à des touristes ils nous indique un petit resto sympa. Il y a celui du Casino avec vue sur mer mais cest plus chic. Etant en tenue de plage nous décidons daller à celui indiqué. En sortant un panneau attire mon attention il indique Plage Naturiste je me renseigne sur le chemin à prendre, Agnès préfère aller a la grand plage et me dit daller en observateur voir la plage naturiste de la pointe. Rendez-vous à 18 h. au parking en face du casino.
Jeudi 2 Septembre
Je la décide à maccompagner lui indiquant que la plage est immense et que chaque personne est éloignée de son proche voisin. Elle accepte en précisant quelle gardera son slip. Adepte du naturisme jai découvert le plaisir dêtre nus Jai même envisagé cette situation pour dévoiler les charmes de madame, elle ne fait que du monokini, rarement du naturiste. 25 minutes de trajet, nous arrivons, nous choisissons un endroit protégé des regards. Nous en trouvons un à la lisière de la page et de la dune.
Nous installons nos serviettes, je me mets nu. Agnès garde son slip. La température chauffant nous allons nous baigner, de retour sur nos serviettes, son slip étant mouillé elle le retire et se prélasse.
Vendredi 3 Septembre
Après une matinée calme consacrée au ménage, aux courses, au repas de midi. 14 h. nous partons à la plage je lui demande si nous retournons a celle dhier, elle est daccord nayant pas vu dimportun.
Les naturistes nattachent aucune importance à la vue de leurs voisins. Pourtant la vue dune jolie femme nue ne peut laisser indifférents certains hommes.
14 h 30, après cinq bonnes de minutes de marche dans le sable nous arrivons sur la plage, nous allons du côté naturiste, lendroit choisi la veille est occupé, nous en trouvons un autre un peu plus loin, il est plus ouvert sur la plage mais aujourdhui il y a moins de monde. Serviette installée, Agnès, se débarrasse de sa robe de plage, de son soutien-gorge, surprise elle retire son slip rassuré par la veille elle sallonge sur le dos, jambes serrées, légèrement fléchies.
Je fais de même à ses cotés. Au bout dune demi heure je vois sapprocher un homme assez grand, dallure sportive, bronzage intégral qui passe très doucement devant nous, il reluque du côté de mon épouse, puis sen va. Quelques minutes après même manège mais dans lautre sens, le temps passe et revoilà notre promeneur, nu, ses affaires à la main, il sallonge sur la plage pas très loin de nous, lemplacement choisi lui permet de mater Agnès, nous devons lintéresser
.
Agnès ne saperçoit de rien, les yeux fermés, elle écarte et a ferme ses jambes.
Je décide alors daller faire un tour sur la plage et de me baigner, jen fais part à mon épouse, elle se relève un peu puis se retourne sur le ventre. Avant de partir jinstalle notre petit parasol de plage, cela me fera un repère pour le retour.
Je me lève et parts en longeant le cordon de dune puis joblique vers la plage et revient sur mes pas, je me mets dans laxe de notre admirateur qui assis à maintenant une vue imprenable sur les fesses dAgnès elle semble toujours ne sêtre aperçue de rien.
Je retourne vers la mer, leau froide a pour effet de calmer mon début dérection, marchant dans leau je méloigne de notre point de farniente pendant une quinzaine de minutes puis rebrousse chemin curieux de voir ce qui a pu se passer en mon absence. Je cherche notre parasol, je laperçois, ouvert côté plage, abritant des regards. Tournant la tête d admirateur. Intrigué je monte sur la dune, mavance encore et quelle ne fut pas ma surprise de le découvrir près dAgnès, lui accroupit elle assise en tailleur sur sa serviette ils sont face à face, en grande conversation.
- Cédric : je te présente Michel.
Il se lève, me salue, me demande si sa présence ne me dérange pas. Il est à peu près notre âge, brun, bel homme, un corps bronzé sans musculature excessive et comme le visage tout en finesse, il inspire la sympathie. Il ne peut cacher une belle érection qui me fait sourire, je massois à leurs cotés, et faisons connaissance.
Agnès boit ses paroles. Elle ne semble pas insensible à cet homme sympathique et charmant, dont elle vient de faire la connaissance. Il nous apprend quil est marié, grand père, est en Vendée en stage aux Herbiers, il travaille dans le nautisme pour une entreprise sur Agde. Il se laisse aller et nous fait avec beaucoup dhumour quelques confidences concernant sa vie personnelle et sentimentale. , Je vois que le courant passe bien entre eux. Il est sous le charme de cette jolie femme souriante. Jobserve discrètement mon épouse, elle le dévore des yeux, entre ouvre sa bouche et passe sa langue sur ses lèvres.
Il sest aperçu de leffet quil produit sur elle. Il senhardit et mavoue :
- Si je peux me permettre, sans être impoli ou déplacé, je ferais volontiers la cour à votre épouse. Puis, se tournant vers elle, il ajoute :
- Vous êtes particulièrement belle, attirante, sensuelle et désirable, jadorerais être votre amant !
Agnès rougissant : Mon cher, aucune femme ne peut reprocher à un garçon dêtre sensible à ses charmes.
Jaime la franchise de cet homme, son assurance.
Il se lève je ne peut mempêcher de dire en souriant
- effectivement cela se voit
- Je ferai mieux daller me baigner.
Agnès décide de laccompagner, elle se lève remet son slip, les pointes de ses petits seins sont toutes érigées, ses yeux brillent, et part avec lui vers la mer je suis de plus en plus surpris. Quelques minutes après elle revient écarlate.
- Tu ne sais pas ce quil ma demandé ?
- Non
- Il m'a donné rendez vous ce soir
..et
jai dit oui.
Ce qui m'a étonné c'est avec quelle facilité elle a dit oui !
- Mais tu est folle, rendez vous ou ça ?
- Près du Casino à la table dorientation, cest de la folie ça va de te faire mal mais jai envie dy aller. Tu navais quà pas me rentrer dans la tête des idées pareilles. Cest toi qui a voulu que des hommes me fassent lamour devant toi ?
- Cétait il y a longtemps et tu na jamais voulu recommencer, Tu as envie de coucher avec lui ?
- Exactement !
- Tu nes pas sérieuse ?
- Si, parfaitement !
Songeur, je ne réponds pas de suite, mes souvenirs de trio refont surface, je veux savoir ce que je ressentirai en la voyant faire cette fois.
- je vous ai vu entrain de vous parler, tu le frôlais, et quand tu tes levé tes seins et tes yeux ton trahis, tu ne pouvait cacher lattirance que tu as pour lui.
- Jétais toute mouillée, cest pour ça que je suis allée me baigner.
- Tu me laisseras y aller ?
- de toute façon quoi que je dise ça ne changera rien, tu as lair déterminée ?
- mais tu pourrais essayer
- ça changera quelque chose ?
Elle hausse les épaules, ne répond pas et enchaîne sur un tout autre sujet. Je propose donc que ce soir nous dînions au restaurant du Casino et après cest elle qui décidera.
Michel sest couché sur sa serviette il nous regarde parler en souriant, sûr de lui. Le temps passe, nous décidons de repartir. Nous voyant partir il se lève et nous lance :
- A ce soir
Elle ne se retourne pas.
Une fois à la maison, elle passe beaucoup de temps à se préparer, ne trouvant pas ce quelle veut, changeant plusieurs fois de tenue. Enfin elle est prête, parfumée, maquillée avec application, elle porte une robe légère en coton blanc son décolleté laisse apparaître le haut de ses seins, elle lui va si bien avec un. Elle est fermée par une fermeture éclair sur toute la longueur de son dos. Je la trouve très sexy ce soir, elle veut plaire.
Lorsque nous rentrons au restaurant du Casino, elle à une hésitation puis me regardant droit dans les yeux. La question est directe. Elle me demande
- Est-ce que lon va plus loin, est ce que tu veux ?
Je la regarde quelques instants, et je lui réponds
- Va jusquau bout, si tu veux. Si tu le désires ?
- je le désire, depuis le début jen ai envie.
Elle me prend par la main et mentraîne vers la salle du restaurant. Les dés sont jetés. Nous avons une table près de la baie vitrée avec vue sur la mer. Notre dîner ce passe agréablement le peu dalcool quelle boit lui enlève ses inhibitions, j'obtiens des sourires en lui rappelant son aventure de laprès midi. Soudain Agnès se crispe. Il est là, il passe devant la baie vitrée, elle baisse la tête, me regarde interrogative. Je lui fais un grand sourire qui a pour effet de la détendre.
Il nous a vu.
Agnès tourne alors la tête vers la baie il nous fait signe de la main. Pas le temps d'en dire plus Michel rentre dans le restaurant il vient nous saluer. Je lui propose de prendre le dessert avec nous, il accepte, et sassoit en bout de table à côté delle. Ses deux là se dévorent à nouveau des yeux un flash érotique est passé entre eux, leurs mains une nouvelle fois se frôlent. Michel me regarde, interrogateur, je lui réponds en hochant la tête, en souriant Il descend une main sous la nappe. Agnès a un petit mouvement de surprise, mais se détend aussitôt. Dessert et café sont pris rapidement.
Elle désire se rendre aux toilettes, prend son sac, se lève, pendant ce temps je règle laddition, nous lattendons en sobservant en silence, il me fixe avec un air de défi comme pour me dire tu vois elle va bientôt être à moi. Elle est longue. A son retour je manifeste moi aussi lenvie daller aux WC. Je me lève et me dirige vers les toilettes. Elles se trouvent au fond du restaurant, arrivé à la porte je me retourne ils se sont levés, il lui prend la main, lentraîne, mon cur bat la chamade ou je stop tout ou je laisse faire, Agnès me cherche du regard, cherche une aide, je rentre aux toilettes et ressort aussitôt trop tard ils partent.
De retour des toilettes il ne reste que sur la table désertée que son pull et son sac.
Je demande au serveur quelle direction ils ont pris il mindique la plage. Le cur à 100 à lheure je sors du restaurant, la promenade du remblai est bien éclairée je les aperçois ils tournent vers la plage. Je reste parmi les promeneurs et les observent de loin.
Ils se tiennent tendrement par la main, ils sarrêtent se parlent, repartent, il glisse sa main droite à hauteur de ses fesses et dun geste ample, les pelotent franchement.
Mon cur sest mis à battre à tout rompre dans ma poitrine, dautant plus que dans le même temps ma femme se tourne vers lui et se jette littéralement dans ses bras. Leurs lèvres se sont soudain unies dans un long baiser sensuel.
Il la prend par le cou et marchent sur lallée, arrivés au bout ils tournent sur la gauche, vers la cabine de voile, lendroit est moins fréquenté. Je passe par la dune. Mallonge à labri dun bouquet de genet.
Maintenant ils sont assis ils regardent la mer tout en parlant. Agnès se dirige tranquillement vers la mer et attend, le clair de lune me permet de voir sa silhouette bientôt rejointe par Michel qui sest débarrassé de ses affaires, Il est nu. S'apprêtent-ils à prendre un bain de minuit ? Agnès au bord de leau remonte sa robe il est derrière elle, il sen saisit elle lève les bras, la fait passer par-dessus sa tête il la jette sur le sable, ils rentrent dans l'eau arrivée au niveau du ventre elle fait demi tour et sort de leau suivie par Michel. Il la serre contre lui, masse ses épaules, ramasse sa robe et le restant des affaires. Il lui passe sa veste sur ses épaules. Main dans la main ils se dirigent vers le cordon de dunes juste dans ma direction, des picotements menvahissent partout. Ils sont à cinq mètres de moi, je n'ose plus respirer. Agnès nue s'assoie entre ses jambes sappuie contre lui. Elle est enlacée par un presque inconnu qui la réchauffe. Jouvre son sac ses sous vêtements sont à lintérieur. Je comprends pourquoi elle était aussi longue. Je nentends pas tout ce quils disent les mots sont par instant couvert par le bruit des vagues.
Il entoure les épaules de mon épouse. Elle grelotte relève la tête la tourne et lui tend ses lèvres, il sen saisit. Michel pose un main sur un sein lautre s'active sur son ventre. Agnès se lève, se met face à lui, pose ses mains sur ses seins puis les descend vers ses cuisses les écartent, ses doigts se posent sur sa chatte la caresse, et rentrent à lintérieur, ils sactivent. Il ne reste pas insensible au spectacle qui lui est offert, il veut participer, il sapproche delle, a genoux, elle sécarte davantage il passe sa tête, sa bouche se colle a sa rivière des parfums. Agnès lui prend la tête, le guide. Les sensations procurées par son amant sont si fortes quelle tombe a genoux. Il la prend dans ses bras et restent sans bouger, puis ils sallongent lun contre lautre.
Michel se met sur le dos le sexe bandant, il lui demande de venir sur lui.
-Tu as des préservatifs.
-Oui dans ma poche de veste, prend le.
Agnès a genoux hésite. Elle déballe le préservatif et lenfile sur la queue bien raide, elle a quelques difficultés ce qui les fait rire. Prenant appuis des deux mains sur sa poitrine, elle lenjambe se met en contact avec sa queue se fait aller et venir dessus une de ses mains écartent ses lèvres intimes et les pose sur le bout de son sexe et descend doucement jusqu'à reposer sur son ventre. Elle reste empalée sur lui le temps de shabi. Il lui donne de petits coups. Elle se met a bouger lentement son bassin davant en arrière ses fesses montent et descendent elle accélère. Il prend le contrôle des opérations la saisissant par les hanches il la calle sur son ventre et lui donne de violents coups de reins pour aller au plus profond de ses chairs. Ses seins sagitent devant son visage, il sen saisi, les malaxent. Elle ouvre la bouche un long gémissement sen échappe elle cherche lair, il se redresse, sagrippe a elle, leurs mouvements sont de plus en plus rapides, un cri animal séchappe de sa bouche au moment ou il explose en elle. Le calme revenu, elle dépose un bisou sur ses lèvres, se lève met sa robe et retourne vers le Casino il se rhabille rapidement et court derrière elle il la ratt, la discussion est animée
Je me hâte vers le parking du Casino et sur la grande allée me mêle aux personnes qui reviennent de la plage. Regagne notre voiture jette dedans son sac et son pull, mappuie contre la carrosserie et attend.
Elle arrive peu de temps après moi.
- Mais ou étais tu ? cela fait deux heures que je te cherche je suis fou dinquiétude
- Jétais avec Michel nous nous sommes promenés sur la plage
- tu te moques de moi
- Ce nest pas la peine de hurler, il ne sest rien passé, te voilà jaloux maintenant ? Cest un peu tard, tu mas laissée libre. Allez vient on rentre jai froid.
Rageusement je claque la portière
- Tu veux savoir ce qui cest passé, tu ne cries plus sinon je me tais.
- Oui je veux savoir mais oseras tu tout me dire.
Elle me raconta pendant le trajet sa promenade mais sa version est différente.
Tout dabord il me faut te dire que javais repérer Michel avec son physique dhomme a femmes qui me correspondais tout a fait. Lorsquil était passé devant nous a deux reprises tu ne tes pas rendu compte mais nous avons échangé un grand sourire. Dès quil sest installé en contre bas de nous et que tu es parti je me suis redressée, javais besoin de me prouver que je plaisais. Je lai regardée fixement et enfin je lui décrochais mon plus beau sourire et comme de juste il sest levé et venu près de moi et a ce moment là javais deux solutions, la première je jouais les femmes vertueuses un peu offensées la seconde je lécoutais et jessayais de savoir ce quil cherchait, un vrai gentleman à lesprit fin, cultivé, ouvert. Il a était tout a fait clair dès le début me faisant comprendre quil était libertin, bien que marié et que dans les relations amoureuses ce qui lintéressait cétait la volupté, la sensualité, et le respect de lautre. Je décidais donc de voir comment les choses évolueraient, et comment tu réagirais. La tu mas étonnée par ta nonchalance.
Ce soir évidement que javais envie de mamuser, je métais maquillée et habillée pour la circonstance. Pendant le dessert il me manger des yeux. Jattendais de ta part une réaction pour me sortir de là. Mais tu restais sourd et aveugle à mes appels muets, je ne sais si tu tes rendu compte de lattrait qui y avait entre nous.
Il était évident que javais envie de Michel, était ce parce que son physique me troublait ou alors était ce ta docilité qui mexcitait le plus ?
Moi je navais rien a perdre. Si au début cest lui qui me draguait maintenant cétait moi. Nos gestes se font plus érotiques, nous menons un combat et nous savons quil y aura deux vainqueurs et un vaincu toi. Ça mexcite de le draguer sous tes yeux, laguicher en souriant, en le provoquant, en lexcitant. Je suis dans mon rôle de femme facile. Je ne me suis pas trompée, voyant ta passivité il a posée une main sur ma cuisse elle a remontée jusqu'à la jonction de mes jambes. Je les écartées autant que je pouvais. Il accentue sa pression sur mon entrejambes, passe sous lélastique il me caresse et entre un doigt dans mon sexe. Je le laisse faire. A partir de ce moment je sais quil va ce passer des choses avec lui.
Quand je suis revenue des toilettes et que tu as dit que tu y allais, je ten ai voulu, que tu me laisses seule avec un homme rencontré si peu de temps avant, une sorte de colère contre toi naquit en moi, je me suis dit il nous laisse seuls, il nous donne son accord, tant pis pour lui il arrivera a partir de maintenant ce qui doit arriver.
Quand il ma prise par la main et ma dit vient, jai regardée dans ta direction mais je nai vu que ton dos. Je me suis alors laissée guider. Jétais prête pour lui.
Arrivés, un blanc sinstalla et notre conversation elle reprit une fois couchée.
- tu continues
Bon, quand nous sommes sortis du restaurant, nous avons marchés vers la plage. En marchant il me caresse les fesses, me les pelote, insinue un doigt entre, ça me plait de sentir sa main. Cest là quil membrasse pour la première fois. Je réponds à son baiser, je mabandonne dans ses bras.
Nous sommes repartis vers la plage, sa main me caressant franchement les fesses. Nous avons tournés a gauche vers le club de voile, nous nous sommes arrêtés et assis et parlé.
Je me suis levée et dirigée vers la mer je regarde le clair de lune qui se reflète dans leau et jattends, il me rejoint, se colle à moi, je sens son sexe érigé contre moi. Il fait descendre ma fermeture éclair, me demande de me déshabiller. Je lève les bras il fait passer ma robe au dessus de ma tête et il la jette sur le sable. Je suis nue dessous.
- Quoi tu étais nue dessous ?
- Oui si je suis restée longtemps aux toilettes cest pour ça.
Je reprends nous rentrons dans leau, pas longtemps et ressortons rapidement, je frissonne. Il ramasse nos affaires passe sa veste sur mes épaules.
Arrivés près des bateaux, je massoie entre ses jambes dos contre son torse. Il me parle doucement langoureusement, puis me demande à voir ma chatte. Je veux mexhiber devant lui, je suis une femelle qui veux exciter son mâle, je me lève lui fait face, mes mains se posent sur mes seins les caressent, descendent vers mes cuisses, les écartent, remontent vers mon sexe, le masse, louvre, je rentre sans problème un puis deux doigts à lintérieur tellement il est humide. Je me creuse pour les faire rentrer, je me prépare pour lui, pour quil me prenne.
Il est comme hypnotisé devant ma nudité. Il savance a genoux passe sa tête entre mes jambes. Je me cale bien les pieds dans le sable. Il demande que je mouvre plus, je le fais. Il colle sa bouche à mon sexe, me lèche lentement sur toute la longueur plusieurs fois, il a enfoncé sa langue et ma sucée, cétait divin. Jai posé mes mains sur sa tête et lai guidé dans ses mouvements le laissant faire ou le retenant, aussi en la poussant pour quil senfonce plus. Il me prend à pleine bouche, cest tellement bon que je tremble, mes jambes flageolent, je tombe sur le sable ivre du plaisir quil ma donné. Il ma prise dans ses bras, doucement, je me suis blottie sans bouger contre lui, nous nous sommes allongés et embrassés. A ce moment je crois que jétais amoureuse de lui.
Je lui ai fait des bisous partout et suis lentement descendue vers son ventre que jai embrassé, mes mains se sont posées sur son sexe, il est pas trop long mais gros. Je nai jamais attacher beaucoup dimportance aux dimensions, mais se serait mentir si dans ce contexte là une différente avec la tienne mexcite.
Ma bouche remplace mes mains, je le prends entre mes lèvres le bout, je le caresse. Il bande, grossit encore plus, mes lèvres se sont ouvertes et je le fais entrer complètement dans ma bouche distendue, je ne suis pas habituée a ce calibre. Alors je me suis mise a le sucer, doucement puis plus vite, sur toute le longueur. Ma bouche cest habituée à son sexe. Il sarrête se lève. Je me suis mise à genoux devant lui, il senfonce entre mes lèvres, il me baise la bouche en me maintenant la tête contre lui. Jai mes mains sur ses fesses, je le sent se crisper il a joui dans ma bouche.
Voila cest comme ça que je me suis donnée à lui.
Un ange passe puis :
- Ca ta drôlement excité de savoir quun autre ma embrassée, caressée, sucée. Elle passe ma mains entre ses jambes elle est toute mouillée, elle mattire contre elle en elle, ce soir pas besoin de sensilube.
Samedi 4 Septembre
Nous avons tous les deux le sommeil agité, mais pour des raisons différentes, jétais à la fois heureux quelle est bien voulu refaire ce dont je rêvais depuis longtemps, surtout que je navais rien prémédité cest elle toute seule qui la décidé, une question me taraudait pourquoi aujourdhui ? Pourquoi ne pas mavoir dit quils avaient fait lamour ensembles ?
Elle arrive au petit déjeuner:
- Tu as eue du mal à dormir
? Lui demandais-je.
- Oui
Un peu
- Pourquoi
? Quest-ce qui te tracasse ? Cest votre aventure dhier ?
- Non
Commence-t-elle. Enfin oui
Un peu, pourquoi tu nous a laissé hier nous comportait comme nous lavons fait ?
- Pour voir jusquou tu irais, tu ne mas pas tout dit
- Non
. Mais
Je ne peux rien te cacher
- Que cherches-tu à me cacher
? Lui demandais-je tendrement.
- Oh rien de grave Cest moi Hésite-t-elle. Mais je ne veux pas que tu le prennes mal.
Je décide alors de laider :
- Il te plaît
?
- Oui, cest vrai Hésite-t-elle encore. Mais ça nest pas que ça Jai senti avec lui quelque chose que je nais pas senti avec les autres
- De sexuel ? de plus en plus intrigué.
- Oui Sexuel. Je veux aller plus loin. Avec lui et toi
- Tu veux que nous le fassions tous les trois.
Oui
- javais envisagé cette situation en te voyant agir avec lui, tu mas étonné, je croyais que pour toi cétait une histoire classée.
- je dois te dire aussi quil ma fait promettre que nous retournerions à la plage
- Et alors
- Jai dit OUI, il faut que tu saches quil a voulu hier soir que je fasse lamour avec lui, je nai pas voulu car il navait pas de protection. Je lui ai indiqué que je coucherai avec lui si tu es daccord, si tu es là, je ne veux pas faire ça dans ton dos. Il ny voit pas dinconvénient.
- Tu es décidé pour ce soir ?
- Tu veux bien, tu es certain ? il va me baiser devant toi. La dernière fois me voyant trop complice tu nas trop apprécié a la fin.
- Oui
! la gorge nouée par lémotion.
- Tu nous laisseras, tu le laisseras faire avec moi ce dont il a envie.
- Oui mais dit moi la vérité vous avez fait lamour hier soir vous ne vous êtes pas contentés de ce que tu mas raconté.
Elle ne répond pas et part se doucher.
Plus la matinée avance plus elle est nerveuse. Midi elle mange peu, regarde sa montre continuellement, toute conversation est éludée. Elle est certainement troublée par les évènements quelle a accepté, provoqué ?
Elle me demande souvent
- quand partons nous
Et quand je lui demande pourquoi tu es pressée
Elle se contente de hausser les épaules
-Tu as envie de lui ?
agressive,
- OH Oui jai envie.
13 heures 30 les affaires prêtes, nous sortons de la maison et tombons sur le propriétaire
- Vous partez ? Pouvez vous restez un peu jai mis la maison en vente et jai deux visites, une à 13 h 45 et lautre à 14 h 15, et comme il y a vos affaires je vous demande dattendre quelles soient terminées afin quil ny ait pas de problèmes.
Nous restons Agnès bout intérieurement. Les visites se déroulent sans incidents, 14 h 45 nous sommes libres de partir.
Arrivés sur la plage nous cherchons un emplacement il y a du monde, nous en trouvons un mais éloigné des précédents. Nous nous installons. Je ne lai que rarement vu se déshabiller aussi vite, elle est fébrile, elle se lève fréquemment et regarde autour de nous, personne ?
Enfin vers 16 h. elle laperçoit, et fait de grands signes, il sapproche, elle lembrasse, il me serre la main, et sassoit dautorité contre elle sur la même serviette.
Nous discutons, elle lui caresse, le dos, les jambes, les cuisses, je ne serai pas là cest certain quelle le masturberai voir plus. Il me regarde inquiet, dun signe je le rassure. Alors il senhardi pose une main sur son épaule, va jusqu'à son cou quil effleure puis descend au creux de ses seins, soulignant dun doigt la base dun sein puis descend encore il passe le long de sa cuisse et sarrête, me regarde à nouveau, me voyant souriant sa main palpe la cuisse dAgnès, remonte et sinsère entre ses cuisses fermées, il écarte ses doigts mais sans résultat alors il retire sa main. Se lève, il bande, son sexe est dressé, il est effectivement un peu plus long que le mien surtout plus large. Il linterroge du regard, elle se lève aussi et contrairement aux jours précédents ne met pas son slip. Ils partent vers la mer, se sachant libres il ne peut sempêcher en marchant de lui palper les fesses, passant un doigt entre les deux globes, sinsinuant entre, elle ne fait rien pour larrêter. Arrivés ils se jettent dans leau, elle sagrippe à lui, ils tournent sur eux même, sembrassent. Je les regarde gorge et ventre noués.
De retour ils se sèchent mutuellement et sallongent. Agnès entre nous deux, nous parlons de choses et dautres éludant le sujet qui nous brûle les lèvres.
Pourtant cest elle qui dune voix sensuelle, murmura.
- Ce soir, je me sens dhumeur dessayer un truc à trois, pas vous ?
Ce fut comme un coup de fouet « Quest-ce qui lui prend » me dis-je
Je suis incapable de dire un mot pour toute réponse je lui souris, caresse sa joue.
- Michel, je crois que Cédric aimerait beaucoup nous voir faire lamour.
- Chéri tu es toujours daccord ?
Michel est aussi surpris que moi, elle le regarde et :
- Michel tu veux.
- Oh Oui avec grand plaisir.
Fébriles, nous rassemblons nos affaires. Agnès sort dun petit sac un ravissant ensemble slip soutien gorge blanc en tulle brodé et passe sa robe, elle demande à Michel de la boutonner, il met le minimum de boutons.
Après 5 minutes de marche et un petit quart dheure de voiture et nous sommes à la maison. Michel suit. A peine arrivé il dit.
- Cest superbe un couple comme vous,
Jai une formidable envie de lui faire lamour.
Agnès a de la chance davoir un mari comme vous.
- Nous ne sommes pas un couple dhabitué, cest très très rare que jaccepte ça. Pourquoi cette fois, je ne sais pas, dès que je tai vu j'étais comme électrisée. Mon cur s'est mis à battre fort dans ma poitrine. Tu mas juste fait un compliment et j'ai complètement craquée. Je me suis mise à redevenir féminine, convoitée.
Jai eue aussitôt envie de faire lamour avec toi. Et je sais Cédric heureux que nous le fassions tous les trois.
- Ce soir il ne faut pas considérer Agnès comme mon épouse, mais seulement comme une femme libre.
Je les invite a sasseoir sur le canapé et propose Champagne, jus de fruits, je dispose un plateau avec verres, coupes et aussi fruits gâteaux, de quoi prendre des forces quils acceptent, je mets un CD de soul musique pour lambiance Nous buvons en silence, apprécions ce moment chargé dattente et dérotisme. Nous savons tous les trois que tout va bientôt basculer il sait Agnès consentante prête à soffrir et a prendre du plaisir. Il attend.
Lentement, sans brusquerie, je prends la main de Michel et la pose sur elle. Je mécarte dAgnès, je les laisse maintenant, je ne serai quun spectateur, acteur peut-être. La main de Michel ouvre un à un les boutons de sa robe, commençant par le haut il écarte les pans du vêtement, qui tombe, dévoilant sa peau, ses seins aux bouts érigés sont visible sous le voile transparent, son ventre frissonne, ses cuisses halées se serrent. Elle est, immobile, attentive, les yeux brillants, bouche entrouverte, respiration haletante.
Elle est devenue lobjet de nos convoitises, nous, nous voulons que son plaisir.
Sa peau douce, délicate réclame la caresse. Il lui caresse doucement le cou tout en lui parlant, et passe la main derrière sa tête et lattire vers lui, il lembrasse. Elle lui rend son baiser qui dure longtemps, quand elle rouvre ses yeux sont brillants de désir. Elle na quune pensée sabandonner, se laisser faire, le laisser la caresser et lembrasser la prendre comme il veut, elle sait que je les laisserai faire sans intervenir La délicatesse dont il fait preuve me fait penser que cest effectivement le bon partenaire.
Elle se cambre, gémit doucement quand sa main caresse son pubis à peine protégé par la fine couche de dentelle. Il insinue un doigt sous la culotte et entame un imperceptible mouvement rotatif, de caresse sur son clitoris.
Jinvite Michel du regard à continuer.
- Cédric aide la à retirer son soutien gorge et son slip pendant que je me déshabille me demande Michel.
Le souffle court, javance, elle me défie du regard, se décolle du canapé se tourne je dégrafe son soutien-gorge et fait passer les bretelles puis mes mains descendent vers ses jambes serrées, dune légère pression je lincite à les ouvrir. Elle écarte ses jambes je passe mes mains prend de chaque côté son string et le tire délicatement, Agnès soulève ses fesses, elle était maintenant nue devant nous. Je fais courir mes mains sur son corps.
Elle mécarte delle, se tourne légèrement, glisse une main le long de son ventre et du bout du doigt, écarte ses lèvres de sa chatte épilée, cest dun érotisme fou, dune indécence totale.
Elle cherche mes yeux, je lincite à faire plus.
Il se penche sur elle lune de ses mains glisse sur son sein. Sa peau est douce. Le temps se fige lespace dune seconde. Sa bouche avide remplace sa main et passe dun sein à lautre embrassant, tétant avec ardeur ses bouts dressés. Une main glisse sur la cuisse dAgnès. La réponse est immédiate elle avance ses fesses au bord du canapé et ouvre en grand ses jambes. Son souffle saccélère, un imperceptible gémissement séchappe de ses lèvres entrouvertes. Sa main arrive au bord de son sexe.
- Tu es toute mouillée.
Elle est parcourue dun long frémissement, Michel abandonne son sein, saccroupit à ses genoux elle souvre plus.
Pour la première Michel voit en gros plan son sexe épilé sur lequel il ne reste plus quun petit triangle de poils courts. Elle remue ses fesses et lance son bassin au devant de sa bouche, il dépose un baiser remonte un peu et met sa bouche sur le haut de son sexe, maintenant sa langue lui fouille délicieusement lintérieur de son sexe, il lui mordille, aspire ses lèvres alternant avec les va et vient de sa langue, Agnès sécarte sans retenue bouge son ventre pour être au maximum en contact avec cette bouche qui lui procure tant de plaisir. Il enfonce un doigt dans son sexe brûlant et trempé et doucement le fait aller et venir. Agnès commence à se tortiller, le suppliant, jentends les clapotis que fait son doigt en sactivant dans le sexe détrempé.
Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, Michel se sert de ses doigts comme dun sexe, allant et venant à lintérieur de son puits damour. Ses soupirs sont devenus des cris, elle remue son bassin, le précipite vers sa main.
Ses contractions, ses cris sont de plus en plus aigus, lorgasme est imminent son corps sarque, ses muscles intimes se serrent autour des doigts de Michel, une plainte séchappe de sa bouche Michel continue pour lamener à la jouissance ce qui ne tarde pas, un cri rauque fuse de sa bouche, son corps est secoué de tremblements, elle écarte la tête de Michel. Elle se détend, retombe lourdement. Avec une grande douceur il continue à lui caresser le sexe
Pendant deux ou trois minutes, elle reste ainsi allongée. Sa respiration se fait plus calme, elle se redresse, dirige un bras vers lentrejambe de son partenaire. Sa main se pose sur sa cuisse puis ses doigts se font plus hardis, ils glissent vers le sexe tendu lagrippe et doucement le branle. Jai sous les yeux le sexe de Michel qui grossit. Elle approche sa bouche de son sexe et pose ses lèvres aspire son gland et la moitié de son sexe. Ses joues sont déformées par sa caresse, à genoux devant lui, ses seins se balancent doucement au rythme de ses mouvements. Elle lui prodigue une fellation comme jamais elle ne ma fait, ses couilles gonflent, Elle a sortie sa langue, la fait courir le long de cette veine descend jusquaux testicules. Une à une, elle les prend en bouche, les fait tourner sur sa langue, les aspirent avec délicatesse, elle le fait jouir avec sa bouche, Michel retire son sexe de sa bouche, elle le regarde implorante, il le remet et lui baise la bouche avec force. Tout en lui pinçant ses tétons. Son regard brille comme jamais et ses tétons sont cramoisis. Jimagine létat de son sexe. Elle le repousse.
-Je suis trempée, Jai vraiment envie que tu me baises, Là, tout de suite je veux te sentir en moi, fais-moi lamour, prends moi, fais moi jouir !
Leurs visages se tournèrent vers moi
- allons dans la chambre
Je passe le premier suivi dAgnès et de Michel qui doit apprécier la vue. Arrivé près du lit Agnès sallonge. Je me recule. Mes doigts tremblent, mon cur bat à tout rompre.
Elle lui tend la main, il sallonge près delle, lui relève ses bras, écarte ses jambes. Agnès soffre a nous, elle sexhibe devant nous pour notre plaisir.
- Cédric quel effet cela te fait de la voir comme ça ?
Après un silence
- Elle est très belle mais je dois avouer que ça me cause un trouble, à la voir de cette manière, exhibée, offerte, et de te voir la caresser, lembrasser et bientôt..
Michel sait quil peut disposer dAgnès. Il se lève, enfile un préservatif et revient près dAgnès. Il la prend par les hanches et linvite à sagenouiller sur lui. Docile, elle se laisse guider.
Me voyant debout hypnotisé par la scène elle me fixe un moment qui me parait une éternité, dans ses yeux il y a de la provocation.
J'entend un cri suivi d'un long râle, Agnès sest assise sur lui sempale sur son amant, ne bouge plus, leurs deux sexe font connaissance, sapprivoisent elle commence un mouvement lascif de la croupe, la bouche ouverte les yeux mis clos, chaque mouvement du bassin est ponctué par un gémissement. Il l'agrippe des deux mains, lui tient fermement le bassin il accompagne son mouvement, mais il en veut plus, accélère, Agnès gémit sa respiration est de plus en plus forte, elle se mord le poigné pour ses cris. Elle tombe sur lui. Il reste planté en elle caressant ses cheveux, la laissant reprendre son souffle. Elle rouvre les yeux lui sourit et elle lembrasse amoureusement.
Michel remue. Il la fait se lever et mettre à quatre pattes, il se positionne derrière elle, lui écarte les fesses, frotte son sexe davant en arrière entre les lèvres trempées en résistant au désir de le faire rentrer tout de suite. Agnès gémit et donne des coups de reins pour le faire venir en elle, il positionne son gland juste à lentrée la saisit par ses hanches et lattire avec force contre lui, il senfonce brutalement en elle. Elle pousse un cri de surprise, mais sefforce de lattirer le plus loin possible en creusant ses reins et en écartant au maximum ses jambes. Je vois le sexe de Michel se retirer lentement puis senfoncer a nouveau jusquau fond lui arrachant a chaque fois des râles de bonheur il continue ses va et vient puissants. Agnès met sa tête sur loreiller, la vue de ses fesses rondes le stimule davantage, il la besogne longuement. Elle ne peut garder le silence et commence a laisser échapper des gémissements signe du plaisir qui monte en elle. Il ralenti se retire delle.
Ils senlacent, roulent sur eux-mêmes. Agnès profite quil se trouve sur elle pour le stopper, et lui saisissant les fesses elle sarque boute jusquau moment ou les deux sexes sont en contact. Michel dun petit mouvement de bassin enfonce son sexe qui prend toute sa place dans le sien. Elle soupire, ses va et vient commencent lent puis saccélérèrent, les vagues de plaisirs arrivent rapidement il continu plus fort et plus vite, ses couilles battent contre ses fesses un orgasme arrive, contractant sa chatte sur sa queue qui narrête pas il continue dautres orgasmes arrivent de plus en plus fort, il lui met ses jambes sur ses épaules et lui demande si elle veut encore en guise de réponse elle lattire et senfonce leurs ventres se touchent. Il ressort doucement mais sans se retirer et senfonce à nouveau, il répète ce mouvement plusieurs fois puis remonte jusquà lentrée de sa chatte il fait de petits mouvements circulaires puis brusquement il lenvahie pleinement. Elle se laisse aller. Michel la pilonne avec force senfonçant au maximum, la tête dAgnès se balance de gauche à droite une longue plainte diffuse sortait de sa bouche, ses mains accrochent ses hanches, son ventre se projette contre le sien. Il sent monter son plaisir en lui. Agnès se déchaîne sous lui, ses jambes formèrent un étau autour des fesses de Michel.
- dune voix que je ne lui connaissait pas elle
- Oh oui, oui,
.. Maintenant
Il la pénètre le plus profondément et le plus rapidement quil peut. Agnès ne résiste plus, elle crie son plaisir Michel emporté lui aussi par le plaisir se déverse en elle.
Ils restent lun dans lautre un long moment. Leurs corps brillent de leurs sueurs mélangées. La tension retombe il se séparent. Elle regarde son amant langoureusement, heureuse, comblée.
- Avec toi cest fabuleux, comment aurai-je pu passer à côté de si bonnes choses. Cédric ne me fait pas jouir comme toi, lui la première fois cest rapide la deuxième cest mieux mais rien à voir avec toi.
- Cest lattrait de la nouveauté contre lhabitude, tu tes lâchée complètement, tu avais tout à découvrir de moi comme moi de toi, tu as ressentie dautres choses. Cédric te connaît trop te respecte trop cest lamour en copains. Dans mon couple au bout de tant dannées cest pareil. Si mon épouse voulait faire avec un autre ce que tu as fait et quelle sabandonne comme tu la fait avec moi elle dirait certainement les mêmes mots.
Je remercie du regard Michel.
Elle se lève va vers la salle de bains Michel la suit jentends des rires et je regarde la porte étant restée ouverte, ils sont sous la douche se frottent lun lautre ils font couler leau partout sur leurs corps. Agnès se penche sur son sexe, veut lui redonner vigueur. Ses mains massent ses testicules, sa bouche le gobe, laspire, le suce, le branle, petit à petit il prend de belles proportions, contente delle, elle lui demande :
- on continue
Michel la saisit par la taille la soulève elle noue ses jambes autour de sa taille il la fait descendre sur son sexe a nouveau dressé elle saccroche a son cou, colle sa bouche sur la sienne et la chevauchée reprend. Toujours enlacés ils sortent de la salle de bains et retournent sur le lit il sassoit au bord, elle toujours accroché à lui se met a monter et descendre. Sa queue entre et sort avec vigueur. IL lui donne de grands coups qui la font gémir. Le plaisir lirradie complètement la fait se creuser pour quil senfonce toujours plus en elle. Michel joue avec elle comme il le veut. Son corps est soulevé par ses coups de boutoirs, ses petits seins ballottent, dansent devant son visage.
- Oh Ouiiiiiiii Ouiiiiiiii cest bon jadore ta queue fait moi jouir encore une fois prend moi comme tu veux, baise moi.
Elle empoigne ses fesses les écartent largement pour que sa queue puisse aller loin rentrer et sortir et de plus en plus vite et quelle lui touche le fond.
Ils sont tous les deux au bord de lexplosion quand Michel se déverse en elle.
- Ah Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiii
Après la fureur de leur abandon mutuel ils sécroulent elle lembrasse encore. La chambre est saturée dodeur de cyprine, de sperme, de sueur.
Enfin ils prennent conscience de ma présence.
- Agnès : Mon chéri, laisse nous passer la nuit ensemble.
Michel me regarde dun air embarrassé, comme pour sexcuser.
Mes doigts tremblent, mon cur bat, et je sens mon sexe irradié dondes de chaleur je ne sais quoi répondre, alors je fais ce quelle me demande.
Le sommeil narrive pas, trop de choses se bousculent en moi. La mezzanine donne sur lendroit ou est le canapé. Je les entends, le calme vient le sommeil aussi
. Cette soirée fut difficile mais a qui la faute, cest moi qui lai encouragé à le faire la première fois, elle mavait prévenu et encore aujourdhui
..
Dimanche 5 Septembre
Je me lève, regarde lheure 9 h 30 tout est calme, je me lève monte à la salle de bains je les regarde, ils dorment collés lun contre lautre.
Je reste longtemps sous la douche, jai un peu la gueule de bois ce matin et pourtant je nai rien bu.
Je passe un peignoir et descends prendre un petit déjeuner afin de me remettre les idées en place.
10 h 30 Est-ce lodeur du pain grillé, mais tout à coup des pas se font entendre dans lescalier.
Jai découvert ce matin là une nouvelle Agnès, plus coquine, plus sensuelle, elle vient vers moi nue elle sassoie sur mes genoux et membrasse goulûment.
- Merci encore merci
Voyant que je fais la moue, elle prend mon sexe dans sa main et le masturbe, le trouvant assez raide, ses doigts écartent son sexe, guide le mien il rentre facilement, lintérieur est chaud, large, on dirait que quel quun est déjà passé par là il y a peu ?
- baise moi fort, venge toi, reprend ton bien.
Je me mets a lui donner de violents coups de reins elle mencourage .
- oui encore baise moi ça ne fait rien si tu viens vite jai envie de toi.
- Sa queue est bonne, endurante elle ma bien fait superbement jouir cest un super amant mais cest la tienne que jaime, cest toi que jaime.
- Allez vient maintenant remplie moi.
Toute la tension accumulée ces deniers jours sévacue au moment où jéjacule en elle. Elle me tend sa bouche.
Après cet intermède elle déjeune et court à la salle de bains.
Michel descend lavé et habillé.
-tu ne men veux pas pour cette soirée et nuit nous tavons oublié cest pas sympa de ma part, mais jai cru que tu voulais être seulement voyeur cest le cas demande til ?
- Non jaurais volontiers participé mais jai vite compris que jétais de trop, et je nai pas voulu casser lambiance je lai fait une fois ça ma servi de leçon.
- Si nous passons dautres soirées je suis partant pour faire un vrai trio. Tu sais, elle le désire aussi, elle sen veut un peu.
Agnès revient habillé. Je vais mhabiller à mon tour, quand je redescends, nous parlons tous les trois, une question mangoisse je la pose
- quand vous étiez sous la douche et que vous avez refait lamour, cétait sans préservatif ?
- Oui et les autres fois aussi, la dernière était ce matin, nous tavons entendus te lever, tapprocher, tu nous as vu lun contre lautre, nous étions lun dans lautre. Agnès et tu le sais aime sentir léjaculation, ça lui procure plus de plaisir. Mais ne vous inquiétez pas jai fait un test HIV dernièrement il était négatif.
Nous changeons de sujet et évoquons la semaine prochaine. Ils ont envisagé certaines choses, Agnès doit me lexpliquer. Michel part, il est invité à déjeuner le midi. Ils sembrassent une dernière fois, il me serre la main.
-Alors quel est ce programme ?
- voila, comme il travaille et loge à 80 kms dici, le programme de la semaine est chargé, il ne pourra revenir à la plage que vendredi prochain son stage se termine ce jour là mais il ne sait pas si ce sera le midi ou le soir. Si tu le veux encore nous pourrons passer le vendredi après midi, la soirée, et le samedi nous devons repartir mais pourquoi ne pas reprendre une chambre et ne rentrer que le Dimanche, personne nous attend. Lui sarrangera avec sa famille pour reculer dune journée son départ ? Alors quen penses tu ?
- laisse moi un peu de temps.
Le midi nous mangeons surtout elle de bon appétit, laprès midi nous allons à la plage. Et nous en repartons vers 18 heures.
Son téléphone sonne, cest lui elle lui parle et minterroge du regard, est ce que je peux dire non je ne le crois pas alors je fais un signe de tête pour accord.
Telle une midinette elle senfuie dans la cour pour poursuivre avec lui cette conversation.
Le soir nous nous couchons tôt elle se fait très câline
Fin de la semaine 1
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