A La Découverte Des Hommes
Je suis marié, la quarantaine, plutôt bel homme charmant et un peu timide. Un soir, je roulais seul sur une route du Vercors, loin de toute habitation quand soudain une épaisse bouffée de vapeur s'échappa du moteur... la panne! Je suspectais la pompe à eau ou une durite et je décidais de poursuivre ma route à faible allure. J'arrivais péniblement dans un bourg, où personne ne semblait vivre...une rue déserte, pas une âme. Je stoppais devant un hangar qui avait dû être un garage il y a bien des années.
Je sortis de ma voiture, et soudain un homme dans la soixantaine apparut sur le perron de la bâtisse et me demanda si j'avais besoin d'aide .Il était garagiste à la retraite.
Je lui expliquai la situation, et après un rapide examen du moteur il diagnostiqua un endommagement de la pompe qu'il sera nécessaire de la remplacer. Mais ce soir il est impossible de se procurer la pièce, compte tenu de l'heure tardive.
Il n'y avait aucun hôtel dans les environs et l'homme me proposa très gentiment de m' héberger jusqu'au lendemain, ce que j'acceptais avec joie.
Nous entrâmes dans sa demeure, il m'expliqua que sa femme l'avais quitté il y a des années et qu'il vivait seul. Enfin, presque seul car il louait une chambre à un ouvrier agricole dont la femme était restée au pays et à qui il envoyait une grande partie de ses maigres économies. Une femme du village venait faire le ménage et préparer les repas.
Ce soir nous aurons une bonne choucroute! Me dit il jovialement et de la bière...
Il me présenta l'ouvrier agricole, et nous nous mîmes tous les trois à table, moi à côté du garagiste, l'ouvrier en face de nous. Nous bûmes quelques bières qui échauffèrent les esprits, la choucroute étant servie, la bonne s'éclipsa et nous gratifia d'un grand bonsoir.
L'homme plaisantais, racontais des histoires grivoises qui faisaient rire l'ouvrier. Il faisait des comparaisons entre la taille des saucisses et celle de son sexe ou de celui l'ouvrier.
Il s'était beaucoup approché de moi sur la banquette et me touchait souvent le genoux. Je ne réagissais pas car l'ambiance était chaude et je commençais à aimer ces attouchements furtifs. J'appréciais qu'un homme porte son attention sur moi. J'étais quand même un peu gêné, les joues en feu, car l'ouvrier observait le manège et avait aperçu la main que l'homme maintenant frottait sur mes cuisses tout en les écartant. Je le laissais faire, subjugué par le plaisir et par la chaleur qui m'envahissaient.
Je baissais les yeux et je m'aperçus que l'homme avait sorti son sexe bien raide de son pantalon car je voyais une grosse bosse déformer la nappe et s'agiter. Je pensais que l'homme devait se caresser, se branler délicatement. L'ouvrier lui aussi s'en était aperçu. Il était tout rouge et souriait.
L'homme découvrit son sexe l'espace d'un instant, un sexe assez long, veineux et large. Il était terminé par un gros gland bien lisse, violacé avec un méat bien ouvert. Il le cacha aussitôt sous la nappe et passa sa main derrière mes fesses que j'avais larges et bien rondes. J'ai adoré la caresses de cet homme qui m'avait montré son désir. Il rentra sa main dans mon pantalon et insinua ses doigts dans ma raie que j'ai très profonde. Je laissais échapper un soupir de contentement.
Tu aimes que je te caresse, tu aimes faire la salope, tu as vu ma bite? me dit-il.
J'adorais ce qu'il me faisait, être livré à ses attouchements de vieux pervers en manque et l'ouvrier qui avait assisté à cette scène me fixais avec ses yeux noir en me souriant. Il avait lui aussi sorti sa bite et se masturbait en me regardant. De temps en temps il faisait dépasser son gros gland pointu au dessus de la table.
Puis l'homme proposa de goûter à sa liqueur de prune, nous en bûmes plusieurs ce qui acheva de nous griser, de faire disparaitre nos tabous. Maintenant l'homme avait baissé mon pantalon et avait introduit ses doigts dans mon anus, qu'il dilatait pour mon plus grand plaisir.
Suces-moi me dit -t-il avec un ton autoritaire..j'en meurt d'envie
Il releva sa grosse bite, appuya sur ma nuque, poussa son gland contre mes lèvres et pénétra dans ma bouche sans ménagement... je me sentais femelle , prise par un male... il pistonnait ma bouche bien profondément, et parfois quand il se retirait, je tétais son gros gland lisse, le léchais comme une glace. Il soupirait de plaisir. Je malaxais ses grosses couilles velues, bien pleines.
Tu suces très bien ma salope, il y a bien longtemps que je n'ai pas été sucé comme ça. Viens dans mon lit... enfile une nuisette et une culotte noire de ma femme, tiens enfile, fais toi belle.... Il était super excité, je me préparais et le rejoignis dans le lit.... Tout excité, l'ouvrier nous avait suivi. Il se coucha sur le bord du grand lit, sans avoir au préalable glissé sa bite raide dans ma bouche pour que je le tête aussi... il gémissait de plaisir.
J'étais couché le dos contre le ventre de l'homme. Il caressait mes belles fesses, les ouvraient avec ses doigts. Il pris de la crème au creux de ses doigts et m'enduisit copieusement ma raie et le fond de mon anus qu'il avait déjà bien dilaté. Il me saisit fermement les hanches, j'ai bien écarté mes fesses, puis j'ai senti son gros gland appuyer sur ma rondelle ouverte, rentrer en glissant dans la crème...hummmm... quel délice. Le membre raide s'enfonça profondément et l'homme se mit à me pistonner fort, très fort. Je poussais des soupirs de jouissance ce qui l'encourageaient. Il me serrait les hanches, me défonçait à grands coups.
Je sentis sa bite se raidir encore, agitée de soubresauts et cracher des jets de sperme chaud qui me firent crier de bonheur. J'étais devenue femelle, sa femelle.
Hummm, que c'était bon, tu es une bonne salope...tu en veux de la bite!! Viens, vas y régale toi dans son cul!! dit il à l'ouvrier.
L'homme sortit sa bite de mon cul, le sperme chaud s'écoulait abondamment, j'adorais cette odeur forte.
Je tournais mon cul vers l'ouvrier, il me saisit brusquement par les hanches, je m'écartais bien les fesses et il me pénétra d'un coup en glissant bien dans le sperme de l'homme. Il me pistonna profondément, en donnant de grands coups qui m'arrachèrent des soupirs. L'homme me pinça les seins, les bouts et me fit crier. La longue bite de l'ouvrier frappa mon intestin. Sa bite se crispa, il me tint, me défonça. Je sentis sa bite frétiller et cracher des jets de sperme puissants, bien abondant et épais. Il resta quelques minutes planté dans mon cul, respirant fort dans mon dos, sur ma nuque. Il se retira et je pris un immense plaisir à nettoyer son sexe gluant et odorant.
Ces deux males m'avaient complètement transformé, je rêvais de recommencer, de me faire prendre, de chercher d'autres males.
Demain des copains viennent à la maison pour fêter un anniversaire, tu aimerais rester avec nous quelque temps...on s'occupera bien de toi tu sais....
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