Collection Échangisme. Ma Fille Me Dévergonde. Saison Ii (5/6)

De retour de chez Éliane, Odile m’annonce une bonne nouvelle.
Les contrats signés couvrent les deux prochains mois de l’agence de voyage et il est loin d’être terminé.
Je sais ce qu’Éliane veuille me voir entreprendre.
Je profite du calme pour tenter de concrétiser ce que je sais être un défi.

• C’est calme, vient boire un café !
Dis-moi, l’emmerdeur, c’est enfin décidé !
• Oui, pour huit jours au cap d’Agde, en cinq minutes, c’était fait.
Il m’a demandé où je souhaitais aller.
Je lui ai parlé du cap et que j’y allais la semaine prochaine du 18 au 25, il a voulu un appartement persuadé que j’allais aller le retrouver.
À moins que vous me donniez des vacances pour que j’aille m’éclater comme l’été dernier, je l’ai fait, il va pouvoir attendre Longtemps.
• Et s’il revient se plaindre d’avoir été grugé.
• Je lui dirais que ma grand-mère est décédée avec mes yeux remplis de larmes.
Je l’ai déjà fait mourir deux fois avec des copines que je voulais me débarrasser.
• Des copines, aimes-tu les femmes ?
• Aucun homme dans ma vie, j’aime les femmes, mais certaines sont collantes alors que je les aime toutes.
• Pourrais-tu m’aimer ?
• Vous, vous êtes ma patronne, c’est autre chose.

Je fais mouvement pour me rapprocher d’elle.

• Et si je te prenais dans mes bras et que je t’embrassais !
• Aucun problème, si c’est vous qui m’attaquez, je sais comment me défendre.
Ou pas.

Impossible de draguer plus vite pour suivre l’obligation que m’a faite Éliane de lever mon employé.
J’ignorais que j’avais un pouvoir de séduction aussi fort.
Je vais pour la prendre dans mes bras, faisant fie qu’elle ait l’âge de ma fille.
Pas de chance, quand la sonnette de la porte de l’agence se fait entendre.
Un client ouvre nous empêchant de démarrer une relation que je désire intime voulant faire voir à mon amie que dans ma nouvelle vie rien d’impossible.


Dans l’après-midi les clients succèdent aux clients et à part quelques regards complices, il m’est possible de la coincer dans la salle à café.

• Bonsoir, patronne à demain passez une bonne nuit, je penserais à vous.

Je relève ma tête du plan qu’une cliente m’a demandé de trouver pour six personnes dans les pays des gens aux yeux bridés.
Son sourire me montre une ouverture.
À bien y regarder, ce défi risque d’être plus facile à relever que penser.
Ai-je affaire à une bisexuelle ?
Il va falloir que je tente de réduire la distance, entre responsable et employée.

• Appelle moi Solange, même si c’est un prénom ringard.
• J’aime bien, Odile, c’est d’un banal.
• Demain midi, es-tu libre ?
• Oui, je ferai la fermeture si vous avez une course à faire.
• Non, je vais voir une amie et j’aimerais que nous y allions ensemble.
• Si elle est d’accord ok, je viendrais.

L’agence fermée, je me dirige vers le métro satisfait de ma journée aussi bien sur le plan financier que sur le plan sexuel.
J’ai une fois de plus cédé à mes envies mais que c’était bon et que j’espère recommencer demain.
Je sens qu’avec Odile, Éliane m’aidera à lui faire franchir le pas.
Qu’une décision est difficile à prendre, comme le fléau d’une balance.
Si vous mettez un gramme de plus ou de poids dans les plateaux, les portes de la vie peuvent en être bouleversées.
Pour moi si je mets ce gramme à droite, je continue à tomber dans le libertinage et de l’autre, je retrouve ma vie presque de none.

Dans le métro je regrette qu’aucune bite vienne se coller à moi.
Je deviens de plus en plus pervers.
Mais bon c’est ce qu’a voulu ma fille alors pourquoi refuser ce qui est bon au risque de tout perdre avec Yves.
Mon Dieu que ce gramme prend de l’importance.

Comme chaque soir je prends ma douche avant l’arrivée d’Yves.
Je me surprends à préparer à manger nue comme mon amie.

Mais un reste de pudeur me fait préparer un peignoir à quelques mètres de moi.
À l'heure qu'il est Julie doit avoir trouvé une queue à satisfaire, car elle serait déjà là.
Quelle façon grivoise de penser !
Là encore il y a peu, de telles pensées concernant ma fille seraient loin de m’être venue à l’esprit.
C’est Yves qui arrive le premier et qui vient m’embrasser.
Je viens de me recouvrir quand il passe sa main en dessous de la ceinture atteignant ma chatte.
Là encore, un mot connue depuis que je suis jeune, mais que ma bouche rechignait à prononcer.
Je sens immédiatement que je mouille.
Au cours de ma transformation, je suis plus attentive à ses réactions.
Il est rare que nos rapports commencent dans la cuisine.
Voulant savoir s’il va constater que mon vagin a été pénétré par de plus grosse bite que la sienne, je me recule jusqu’à la table où je pose mes fesses.
Je lui défais la ceinture de son pantalon tout en continuant à l’embrasser fougueusement.
J’ai peu l’habitude, je manque de tout foirer en ayant du mal à la défaire.
Ouf, c’est lui qui m’aide.

• Baise-moi, met moi là bien profond, j’ai rêvé que tu me prenais depuis que je suis rentrée.
• Que t’arrive-t-il ?
C’est la première fois que je te vois nue sous ton peignoir à la maison.
Tu as enfin décidé de devenir une femelle qui s’assume ou c’est la crise de la quarantaine !

J’ai envie que le gramme dont je parlais m’ait fait remettre mon peignoir alors qu’a l’origine, c’est à poil que je voulais le recevoir.
Le moment où il me pénètre est le moment de vérité dans mon tourment actuel.
Ouf ! Cette verge noire, trois fois plus grosse que la sienne, me prenant dans le jardin des plaisirs m’a laissé intact.
Je suis bête, je me souviens avoir eu la même peur lors de mon dépucelage.
Dans mon esprit, ce jardin aura été la seule fois où je serais allée tromper celui qui me fait l’amour divinement depuis plus de vingt minutes.

Que de savoir ou mettre de nouveau ce petit gramme est dur.
Surtout qu’il me fait atteindre l’orgasme deux fois.

Pourtant, je suis plutôt une femme à prendre mon pied une fois puis attendre qu’Yves s’épanche dans mes parties intimes.
Ce soir je suis déchaînée et plus je jouis plus il faut que je jouisse.
J’ai bien joui amplifiant le conflit en mon moi intérieur.
Et si mon homme avait décidé de faire de moi une chienne lubrique.
Pour l’instant, je veux profiter de ce regain d’amour.
Avant qu’il ait le temps de trop cogiter, je me sépare pour mieux m’agenouiller et lui sucer la verge nettoyant toutes nos sécrétions.

C’est maintenant certain ma fille en m’emmenant pour mes quarante années en ce club libertin a fait de moi une folle de son cul en redemandant encore et encore.
Je suis comme ces personnes qui, sentant leur mort arriver et devant passer la balance du ciel ou de l’enfer, vers quels abimes, vais-je plonger.

Quand Yves éclate dans ma bouche, c’est avec délice que j’avale la semence qui par le passé m’a offert ma fille, qui aura su me révéler.
Au fil du temps, j’ai failli oublier que cela existait.
C’est en restant nue et nous regardant dans les yeux avec un regain d’amour, que nous dînons.

Il semble satisfait d’avoir baisé sur la table de la cuisine et moi de constaté que mon corps est toujours le même.
Je peux baiser avec de grosses bites sans pour autant en sortir difforme.

• Tu as l’air en forme après avoir fait le lave-vaisselle, veux-tu que nous recommencions et que je te fasse découvrir la sodomie ?
Si tu acceptes, je veux toujours ton accord.
• Pourquoi me demander, comme tu l’as dit, j’ai pris conscience que j’ai quarante ans et qu’il faut que tu t’occupes de moi encore plus que dans notre jeunesse ?
C’est vrai, en regardant notre fille au restaurant l’autre soir, j’ai pris conscience que la vie était courte mon chéri.


Un instant, j’ai peur d’en avoir trop dit et qu’il va avoir des soupçons de ma tromperie.
Pourquoi minimiser les choses, de mes tromperies ?

C’est ainsi qu’il me tire littéralement par la main toujours nus tous les deux jusqu’à notre lit où je me mets en position de levrette.
J’ai un moment de peur, même si Yves en me léchant la raie des fesses me prépare au sacrifice suprême faisant de moi la reine des salopes de quarante ans...

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