Mémoires D'Un P'Tit Brésilien...

Depuis quelques temps je suis enfermé dans le noir, dans un tiroir de commode à coté d’autres slips très ordinaires, je ne sers plus et pourtant j’étais la petite culotte fétiche de ma maitresse.
Je me présente : petit slip brésilien, bleu et blanc, garnit de petites fleurs, une petite dentelle sur tous mes cotés faisait mon charme et ma fraicheur, oui, bien sûr mes élastiques se sont relâchés, mais à qui la faute ? Combien d’hommes ont tirés dessus ! pourtant mon tissu est de bonne qualité.
Dés qu’elle est entrée dans le magasin de lingerie où j’étais exposée sur un mannequin elle est tombée sous mon charme, je me suis vite retrouvé dans la cabine d’essayage, il faut dire que je mettais bien son p’tit cul en valeur, je dégageais bien ses aines et ses hanches, le mari qui est venus voir voulait entrer pour me toucher !
- Houa, tu es plus qu’à poil avec çà !
- Bas les pattes ! Sort d’ici !
Plusieurs fois elle a passé ses mains sur sa vulve que j’épousais parfaitement, comme une seconde peau, sa chatte joliment entretenue, mon mince tissus dessinait sa mini fente, elle m’a adopté en même temps que mon demi –frère, un soutient gorge quatre vingt dix B assortis à moi et qui a la particularité de libérer les seins par un simple clic entre les bonnets.
Hélas, nous ne savions pas que nous étions tombés chez un couple plutôt porté sur la ‘chose’, surtout lui et elle ne savait pas dire non !!! Cela a commencé gentiment l’après midi même à une terrasse de café…..
- Regarde le mec il te matte, écarte … va y écarte j’te dis …..
J’ai commencé à voir la lumière du jour, sa jupe remonte doucement, puis ses genoux s’ouvrent de plus en plus souvent, de plus en plus grand…..un rayon de soleil vient me chauffer, c’est vous dire !
- Chéri, çà me fait mouiller de lui montrer mon petit brésilien …..
- Va l’enlever aux toilettes, tu vas lui faire voir ta chatte maintenant.
Obéissante elle entre dans le bar, et va aux toilettes, j’ai glissé le long de ses jambes, elle a fait pipi, et au lieu de prendre du papier elle s’est servie de moi pour essuyer sa chatte pleine de mouille ! De nouveau à sa table je me suis retrouvé dans la paume de son mari qui m’a longuement humé, je suppose que son voyeur a dut apprécier mais pour moi çà s’est arrêté là !
Le soir je me suis retrouvé dans la panière à linge parmi d’autres slips très ordinaires des jours précédents qui sentaient encore la lessive
- C’est toi le nouveau qui sent comme çà ??
- Heuuuu, oui pourquoi ?
Hé ben dis donc ! Tu es passé où ?
En bon copain j’ai raconté mon après midi, ils m’ont rit au nez disant que ce n’était pas vrai qu’ils n’avaient jamais connus çà que de temps en temps le mari venait les toucher entre les cuisses de sa femme mais très vite il retirait sa main.

- Ha ! t’a encore mis une grande ‘chulotte’ ce matin, tu sais bien que je ne te baise pas avec çà !!
Puis je suis sortie avec eux au cinéma, la lueur de l’écran m’éblouissait car elle ne sait pas garder ses cuisses fermées, son mari à ma gauche et un inconnus à ma droite , et devinez qui a été le premier à venir me gratter de son ongle sur la partie la plus sensible de sa minette ?... le voisin ! rapidement excitée elle a laissé un doigt tirer son élastique et de mon entre jambe, le doigts s’est inséré dans la fente humide , une deuxième main est venue se joindre à celle du voisin, le mari d’abord surpris de trouver un doigt étranger dans la chatte de sa femme en a mis un lui aussi, là j’étais bien tiré sur le coté , l’humidité de la chatte s’est rapidement transmise sur moi. A l’entracte l’inconnu s’est levé , elle l’a suivit aux toilettes, debout contre la porte fermée le mec m’a à nouveau bousculé sur le coté pour lui mettre sa grosse pine dans le con , il l’a limée un bon moment et moi aussi par la même occasion avant de décharger son sperme dans le ventre, c’est comme çà qu’il a appelé ce qui sortait à gros bouillon de son gland, toute la soirée mon triangle de coton a réceptionné ce magma immonde ! çà glissait tellement que tout mon entre jambe s’est retrouvé coincé entre les grandes lèvres, je ne servais plus à grand-chose ! sa jupe a dut trinquer elle aussi !
Après combien de langues et de grosses pines se sont introduites bousculant l’élastique de l’aine ? je n’ai pas compté !
un samedi soir ma maitresse m’a sortie avec son mari, nous avons pris l’autoroute au soleil couchant …
- Relève ta robe fait voir ton slip brésilien aux routiers, j’allume le plafonnier !
Evidement, coups de klaxons !
- Enlève le ….
Je me suis retrouvé accroché à une cheville étalée sur le tableau de bord, appels de phares sifflets et tout et tout ! la voiture à ralentie, nous nous sommes retrouvés sur un parking sombre entre des camions mais à nouveau bien tiré entre ses cuisses.
- Vient chérie on descend …
Peu après des mains sont venues me caresser, combien je ne sais pas ! Puis ces salauds ont commencés à passer sous tous mes élastiques pour pouvoir toucher sa chatte et son cul j’étais au point de rupture ! Heureusement des gars m’ont baissé, mais le mal était fait, je ne tiendrais plus serré sur ses hanches …. C’est ce soir là que les premières queues m’ont salie pendant qu’elle se faisait trousser sur le capot de la voiture de gros boudins se sont branlés et ont crachés sur moi une purée blanche qui colle ! pour le retour elle m’a quand même remis sur elle malgré que j’étais à tordre, sa moule se vidait en plus sur mon triangle de coton sensé la protéger, même mon demi-frère le soutien gorge a été ôté et a reçu dans ses bonnets du foutre chaud !
Au petit matin dans la panière je ne vous dis pas !!
- Ha ! C’est encore toi qui pue ! Que vas-tu encore inventer ce matin ?
- Hé bien hier soir j’ai vue plein de bites !
- Des bites ??
- Oui des bites ! Çà crache de la crème, notre maitresse en avait plein la chatte, et çà m’a coulé partout !
- Tu parles ! On va te croire !!
Et là une petite voix se fait entendre …
- Si les filles il a raison …. je ne vous l’ai jamais dis mais un matin notre maitresse était occupée à l’évier, un copain de son mari est arrivé par derrière, il a soulevé sa jupe, m'a abaissée, juste pour dégager sa chatte et sans attendre il l’a enfilée, ho, çà a duré à peine trois minutes mais sa queue frottait sur moi deux grosses boules velues tapaient sur moi à chaque poussée ! une fois qu’il lui a mis toute sa semence dans le vagin, il s’est retiré en s’essuyant sur moi. Il a pris la peine de me remettre en place avant de disparaitre, voilà moi aussi j’ai sentit couler cette purée de son vagin, vous n’avez pas pus voir dans quel état j’étais car sans doute pour me cacher aux yeux de son mari elle m’a directement mise dans la machine à laver ! mais c’est vrai une queue qui crache de la purée çà existe !
- OHHHH quel malheur qu’est ce qu’on ratte les filles …..t’a de la veine toi le slip brésilien !
- Vous savez ce n’est pas toujours drôle de se retrouver amidonné et raide quand ‘çà’ refroidie ! si vous voyez mes pauvres élastiques, elle va me mettre à la retraite c’est sur !……
D’ailleurs le coup de grâce n’a pas tardé ……
- Chérie pourquoi tu ne mets pas ta petite culotte fétiche ??
- T’as vu dans quel état elle est ?? Elle baille de partout ! je suis sur qu’elle t’irait !
- Ho ! Tu crois ? Attend je vais l’essayer pour rire ….
Là j’ai vue ma dernière heure arriver …. Il a tiré et encore tiré sur mes ouvertures, comme si ma bande étroite pouvait contenir son paquet !
- Regarde chérie !! Je fais la ‘tortue ninja’ !!
Elle a pouffé de rire en voyant le spectacle !
Il avait une couille qui passait de chaque cotés de ma bande étroite et son gland décalotté apparaissait juste au dessus de ma taille comme les pattes et la tête d’une tortue !!
Ils ont beaucoup rit à mes dépends les ingrats, mais elle doit me regretter car même encore plus étiré qu’auparavant elle m’a remis dans mon tiroir à coté d’une petite nouvelle qui a encore l’étiquette du magasin accrochée à sa taille , elle me regarde de haut , moi je sourie , je veux voir sa bobine quand elle va revenir de sa première sortie !
Le kif de toutes les petites culotte ou slip n’est il pas de se faire toucher, humidifier, sentir des sexes d’hommes jouir sur elles ?
C’est si bon ! Mais çà use ………….