Les Trois Élèves
Un jour, en rentrant de Paris en train, Chantal a rencontré trois élèves de son lycée. Les apercevant de loin elle va les rejoindre à lautre bout du wagon. Le plus grand, un jeune beur, doit avoir à peine 18 ans. Dune allure dadulte, effronté, il montre une certaine assurance. Il dépasse sa prof dune bonne tête et comme tout jeune beur qui se respecte, il porte la casquette à visière tirée en arrière. Il a lair très sympa.
Le deuxième, un autre Maghrébin, difficile de lui donner un âge. De la taille de Chantal il est un peu rond de partout mais son visage respire la bonne humeur et la jovialité. Il rit toujours et se conduit avec beaucoup de respect et de déférence envers sa prof. Il voue une profonde admiration à son copain plus âgé qui est vraisemblablement le leader du petit groupe. Ces deux là sont de la même classe.
Un troisième, paraît plus jeune tout timide au milieu des grands mais plus canaille. Il est tout noir, les cheveux très courts et les vêtements bien rangés. Il est très poli et reste toujours en retrait des deux grands. Tous les trois sont très polis devant leur prof de science et semblent bien laimer.
Chantal rit bien et paraît heureuse de cette rencontre fortuite dans ce train. Doù je suis je nentends rien de ce qui se dit mais ils semblent complices. Nous étions en juillet, lannée de cette forte canicule qui devait durer tout lété. Nous étions tout en sueur, à séponger toutes les minutes. Par cette chaleur, Chantal ne portait quune fine robe de coton, bleue, attachée sur le devant par une série de boutons et simplement nouée à la taille par une ceinture du même tissu.
Arrivés à notre station, elle me rejoint et me présente ses jeunes élèves et mannonce quelle les a invités à la maison pour se désaltérer et se documenter !
Il fait entre 35 et 38 degrés quand on arrive chez nous. On est tous mouillés de transpiration. Elle passe tout laprès midi avec eux ouvrant des livres, des cahiers, montrant des films.
Il fait vraiment chaud et il faut boire souvent. Chantal se désaltère avec des grands verres deau avec un fond de pastis. En fin daprès-midi, un garçon vient me chercher affolé en me disant que Chantal a un malaise. Je la retrouve au fond du jardin, assise par terre contre un arbre. Elle a dans son regard une espèce dabsence que je ne comprends pas tout de suite, mais il suffit que je mapproche delle pour me rendre compte immédiatement quelle est bourrée. Elle sest saoulée sans sen rendre compte en buvant à outrance de leau et du pastis. La fatigue et la chaleur ont fait le reste.
Chantal est cuite, bien cuite au point de ne plus bien réaliser où elle se trouve ni ce qui lui arrive. Moi je sens vite que ce nest pas grave et quelle a simplement besoin de repos. Elle me sourit bêtement ce qui a pour effet de soulager tout le monde et de faire rire les gamins. Pourquoi je pense soudain quil va se passer quelque chose sans trop savoir quoi exactement ? Mais cest vrai quà cette minute je pressens une aventure comme je les ai toujours rêvées.
Comme elle a du mal à se relever je demande au plus grand de maider à la rentrer dans la maison. Je la prends sous les bras, le plus grand par les pieds. La robe tirée par le haut remonte découvrant la culotte. Elle souvre même, heureusement retenue par un bouton, celui du bas. Mais dans cette position Chantal est presque découverte jusquau nombril. Les trois garçons se rincent lil sans trop insister. Je ne peux rien faire. Celui qui est à ses pieds a les yeux rivés sur lentrejambe et sur la culotte découverte.
Par instants Chantal ouvre les yeux et nous sourit béatement sans vraiment réaliser quelle est en train de montrer sa culotte à ses élèves.
Je la conduis dans la chambre et on la dépose sur le lit. Je reste seul avec elle. Elle me rassure sur son état et me demande simplement de la laisser dormir pour se reposer. Je lui défais deux boutons de sa robe en haut pour laider à respirer. La sueur perle sur son front et sur son cou. Jappelle un garçon et lui demande de prendre à côté dans la salle de bain une serviette et de me lapporter. Quand il entre dans la chambre, la robe est ouverte en haut presque jusquà la taille et laisse voir son soutien gorge. Chantal qui voit son élève près delle est sans réaction, elle lui sourit même sans prendre vraiment la mesure de la situation. Sa robe sest toujours ouverte sur ses jambes découvrant le haut de ses cuisses. Est-ce leffet de lalcool mais toujours est-il que soudain, elle ferme les yeux et sabandonne dans mes bras qui lui soutiennent la tête. Moi alors je réalise le sens de la situation et ce qui me trouble. Chantal est là, allongée sur notre lit, à moitié déshabillée, exposée au regard dun de ses élèves qui ne se gêne pas trop pour mater.
Soudain, elle replie une de ses jambes sur le côté découvrant un peu plus ses cuisses à laisser voir une partie de sa culotte blanche. Le jeune garçon près de moi devient tout rouge. Je lui souris pour le rassurer et lui montrer que jai bien saisi le pourquoi de son trouble, et pour lui faire comprendre que cet incident fortuit nest pas grave. Et même, comme le bouton en bas de la robe est près de déchirer le tissu, tant il est tendu, javance naturellement une main vers lentrejambe de mon épouse pour défaire ce bouton qui libère un peu plus de son ventre. Cette fois, le sous vêtement apparaît tout entier à la lumière. Quelques poils dépassent sur les côtés. Le jeune homme détourne dabord les yeux comme sil avait peur de se faire prendre à mater sa prof. Puis, comme il saperçoit que je ne bouge pas, il ose un regard sur les cuisses dénudées. Moi, pervers, je me surprends à être excité. Je me mets à bander.
- Même si elle venait à ouvrir les yeux, je lui précise, elle ne se rendrait compte de rien ni se souviendrait de quoi que ce soit.
Je lui demande de rester auprès delle le temps daller chercher une autre serviette pour léponger car la chaleur est toujours aussi pesante et nous sommes tous ruisselants de sueur. Les deux autres jeunes sont restés au dehors et pervers, je les invite à rentrer, espérant bien quils iraient rejoindre leur copain et mater.
Quand je reviens avec la serviette, ils nont pas osé sapprocher, alors cest moi qui leur demande de donner la serviette à leur pote pendant que je pars à la pharmacie acheter nimporte quoi. Je veux simplement leur permettre de mater la prof à son insu. Je leur précise aussi quelle dort profondément et que cela métonnerait quelle se réveille avant une heure ou deux. Je leur précise quil faut léponger et tout faire pour laider à respirer.
Je fais semblant de partir mais je reviens me poster près de la fenêtre de la chambre doù je ne pers rien de ce qui sy passe.
Les deux autres sont sur le pas de la porte, sans trop oser entrer dans la chambre alors que le plus grand essuie le front de Chantal en sueur.
Ils matent tous les trois, cest sûr ! Le beur passe la serviette dabord sur le front, puis sur le visage, il descend dans le cou puis timidement remonte sur le visage.
Chantal ouvre soudain les yeux, panique chez les mômes mais stupidement elle leur sourit et se rendort sans bien réaliser quelle est à moitié nue devant eux.
Le pantalon du plus grand laisse apparaître une bosse en regard de sa braguette. Aucun doute, il bande. Il essuie doucement la sueur tandis que ses copains assistent silencieux à la scène. Il leur adresse souvent un clin dil comme pour souligner le caractère exceptionnel de la situation et sassurer quils matent. Soudain je réalise quil exhibe tout simplement sa prof à ses copains. Les deux autres rigolent nerveusement. Le plus grand lui prend son pied. Il défait même un bouton de la robe pour exhiber un peu plus la culotte. Il pince même Chantal au cou comme pour sassurer de sa passivité. Rien.
Il sintéresse bientôt à la poitrine. Essuyant le cou, il descend un peu pour éponger la gorge qui sépare les deux seins, il remonte, jette un regard goguenard à ses complices qui gloussent, remonte, passe sur un sein, séloigne vite, revient. Comme rien ne se passe, il défait un autre bouton de la robe et prétextant, de lessuyer, il la pelote carrément. Il passe la serviette sur le soutien gorge, et caresse les seins. Il appuie un peu plus sa pression pour dégager un téton, quil cache aussitôt de peur des conséquences. Rien ne se passe. Il recommence en dégageant un peu plus le sein de sa prison. Toujours aucune réaction. Il regarde ses copains et fier de son acte, il leur fait signe de regarder les seins de la prof. Les deux autres sont moins téméraires, ils restent encore à distance. Cest leur prof et le grand est bien gonflé mais eux, ils ont peur tout en sassurant bien de ne rien perdre du spectacle. Lautre comme pour montrer quil est gonflé ose plus. En même temps il se caresse la queue sur son short. Chantal est bien endormie, il le sait. Tout en riant nerveusement, il senhardit. Il passe la serviette humide sur les cuisses faisant remonter encore plus le tissus de la robe qui nest plus maintenue fermée que par un seul bouton au niveau du nombril et sa ceinture. A chaque fois quil ose un geste plus avancé il se retourne vers ses complices en riant pour sassurer quils ne ratent rien. Celui entre les deux, porte ses mains à sa propre poitrine signifiant à son pote quil veut voir les seins de sa prof. Tout doucement il lui souffle :
- Fais voir ses roberts ! En disant cela, il sapproche au pied du lit pour mieux voir. Son pote regarde sa proie endormie lâche la serviette et de ses deux mains, tire sur le soutien gorge pour dégager les mamelons de leur cachette. Il tire plus fort et découvre un sein entièrement. Comme Chantal ne réagit toujours pas, il sattaque à lautre sein quil dénude à son tour le faisant jaillir de son vêtement. Avec le rire gras de ladolescence, il adresse un regard à ses potes comme pour leur prouver sa témérité. Pour oser plus encore, il prend le tissu du vêtement et le tire vers le bas découvrant la poitrine entière. Les jeunes pouffent, portant leur main à la bouche. Lautre beur sapproche encore plus et son pote tire encore plus le soutien gorge vers le bas découvrant les deux seins en entier jusquau milieu du ventre. Dans cette position allongée sur le dos, la poitrine sétale mais garde une certaine forme.
Le jeune black lui, reste encore à lécart, comme médusé, les yeux fixés sur ce corps à moitié nu. Cest la première fois sans doutes quil approche de si près un corps presque nu, et cette femme pourrait être largement sa mère. Il ne comprend pas mais il est également excité. Sa sexualité séveille, il la découvre. Il se laisse aller, encouragé pas la présence de ses copains plus âgés.
- Elle a de gros nichons, bordel, comme elle est belle, souffle le jeune beur. Jose pas y toucher mais cela me tente vachement.
- Vas-y, elle dort, pelote la ! Cest super ! lui lance son copain de classe. Elle a la peau douce.
Alors doucement sans faire de bruit il avance sa main et recouvre un sein dénudé. Aucune réaction de Chantal qui semble partie dans un profond sommeil. Sa main légère flotte sur la peau à leffleurer. Elle passe dun sein à lautre quelle contourne, souligne, caresse. Elle descend sur le ventre, contourne le nombril, remonte. La caresse se veut légère, douce, aimable, timide. Le jeune homme est troublé, cest sûr, il ne rit plus mais suit du regard sa propre main. Mais de plus en plus, il senhardit et caresse maintenant sans retenue les deux seins dénudés. Il entreprend maintenant den exciter les bouts.
- Putain quelle est bonne les gars ! Elle a la peau trop douce. Regardez, ajoute-il, elle a les bouts qui bandent !
Ils parlent encore doucement comme pour ne pas la réveiller alors quils sont en train de la violer. Le jeune noir lui est immobile toujours scotché à lentrée. Le grand linvite à sapprocher, il lui prend la main et la plaque sur un sein. Il nose bouger et son complice linvite à profiter de laubaine. Alors le gamin laisse aller sa main sur la poitrine sans vraiment savoir ce quil fait. Le second sest aussi approché et à son tour il pelote la poitrine de sa prof. Tout cela semble irréel.
Le plus grand, maintenant défait le dernier bouton et dénoue la ceinture de la robe. Il écarte les pans du tissus et Chantal apparaît simplement vêtue de son slip blanc et de son soutien gorge tiré jusquau nombril laissant sa poitrine complètement nue. Le noir alors approche sa tête des seins blancs et se met à téter le téton près de lui. Doucement il y passe sa langue sur la pointe, en fait lentement le tour. Le téton sous la caresse se dresse nettement et le petit regarde tout étonné :
- Elle a les seins qui bandent encore plus ! Les gars cest bon !
Sous la caresse, Chantal remue lentement le torse comme pour accompagner le mouvement de la langue.
Soudain une tache apparaît sur la culotte de coton blanc. La tache sagrandit très vite et devient jaune : la prof est en train de faire sur elle. Ils se mettent tous les trois à rigoler.
- Elle se pisse dessus crie lun dentre eux. Putain les mecs elle est vraiment cuite !
Même sils ne comprennent pas ce que cela signifie, cela les trouble quand même. Surtout que la tache sagrandit et cette fois un liquide jaune commence à séchapper au travers du tissu. Elle pisse sur elle et le liquide est de plus en plus abondant avec tout ce quelle a bu. Comme Chantal ne réagit toujours pas, laîné porte sa main à la culotte dont il écarte les bords pour voir lurine séchapper du sexe de sa prof. Libéré, le jet jaillit dentre les grandes lèvres de la vulve de la femme endormie. Lurine sécoule en continu le long des cuisses. Encore quelques jets et tout sarrête.
Les trois garçons rigolent et cette fois sont rassurés que la belle nest pas prête de se réveiller.
Tous regardent maintenant le slip mouillé qui, nétant pas remit à sa place laisse voir les poils du pubis. Le lit est tout souillé !
- Regarde sa touffe, dit le petit black, plein de pisse ! Ecarte lui sa culotte dit-il en sadressant au grand qui mène le bal, je veux bien voir sa chatte à cette meuf. Alors le grand monte sur le lit, se place aux pieds de la prof et il tire sur la petite culotte mettant à nu le sexe encore souillé durine. Tout le monde retient son souffle devant ce geste encore plus osé. Il laisse la culotte à mi-cuisse et contemple les poils du pubis de sa prof plaqué par lurine contre le sexe que lon devine en dessous. Il est tout excité cette fois, il ne rit plus. Il sort sa bite et commence à se caresser devant les yeux ahuris de ses copains. Le second Maghrébin, encouragé, sort à son tour sa queue plus petite et commence aussi à se caresser devant le corps nu.
Le petit black aussi a maintenant sorti son sexe. Je le vois bien, tout petit, noir et sans poils. Il se met à le tripoter, faisant sortir un gland tout rouge violet. Ses couilles sont toutes petites et complètement imberbes Sa queue est déjà longue mais très peu épaisse, recouverte dune peau bien noire. Il commence une petite masturbation. Il se penche maintenant sur le corps inerte de sa prof pour lui peloter lintérieur des cuisses. Il ose même passer un doigt sur le sexe et presque aussitôt, accélérant le rythme de sa branlette, un jet de sperme séchappe brusquement de sa toute petite queue pour venir sétaler sur le ventre nu de ma femme.
- Putain les mecs, il vient de juter sur sa prof sécrie le plus grand.
Le petit devient tout rouge car apparemment cest la première fois quil éjacule devant des copains et devant sa prof à poil ! Les deux autres se marrent doucement pour chambrer.
Le beur lui, a une plus grosse queue, longue, large et très foncée. Il la secoue énergiquement en pelotant les seins nus sans ménagement et très vite aussi il éjacule à son tour en dirigeant son jet sur le visage de lendormie. Chantal toujours inerte reçoit le sperme sans aucune réaction. Le garçon vise les lèvres et les jets suivants viennent sécraser sur la bouche de Chantal. De sa main il étale le liquide chaud sur le visage toujours endormi. Quelle perversion pour un si jeune garçon !
Le dernier se caresse plus lentement faisant durer le plaisir. Il se penche sur les cuisses quil écarte plus mieux voir le sexe mouillé. Il se penche au dessus à le toucher. Il avance une main et écarte les poils, les lisse puis écarte les lèvres de la vulve dont lintérieur apparaît tout rose et brillant. C est la première fois apparemment quil voit un sexe de femme daussi près. Il louvre encore plus largement et sapproche à entrer dedans ! Là, il a un geste qui me surprends et surprends ses copains : il se met à appuyer sur le ventre devant lui et bien sûr un peu durine séchappe à nouveau. Il appuie encore plus fort et je comprends quil veut la voir pisser à nouveau. Sous la pression, une seconde émission durine intervient, un long jet même et cela le fait jouir presque instantanément. Il vise le sexe luisant sur lequel un abondant jet de sperme vient sétaler se mélangeant à lurine. Je nimaginais pas quon puisse avoir une telle perversité à cet âge! Je nétais pas au bout de mes surprises.
Repus, ils prennent la mesure de leurs gestes. Ils reviennent à la réalité.
- Son mari va revenir les gars, il faut la laver et la rhabiller. Vite, ils mouillent une serviette et effacent les traces de leur méfait. Ils en profitent bien sûr pour la peloter sans retenue. Le soutien gorge est remis en place, la robe refermée, la culotte mouillée est remontée.
Je décide de revenir.
Ils mannoncent quelle a beaucoup transpiré et même quelle a fait sous elle. Je les rassure que je vais moccuper delle et qu'ils peuvent rentrer chez eux.
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