Séjour À Marrakech

 Cette aventure nous est arrivée en 2016 nous étions en vacances pour une semaine au Maroc. L'après midi de notre arrivée nous sommes allé faire un tour aux souks. Ma femme voulais s'acheter une djellaba, vous avons un peu regardé les boutiques et nous sommes entré dans une ou il y en avait de jolis couleurs. Le jeune vendeur voulait a tout pris qu'elle en essaye mais nous n'avions pas le temps, le jeune homme regardait mon épouse avec insistance, le vendeur de l'entrée aussi mais il était plus âgé. Nous avons promis de revenir très prochainement. Quand nous sommes rentrés à l'hôtel nous nous sommes douchés et sommes descendu au restaurant pour diner. A table j'ai taquiné mon épouse en lui parlant du jeune vendeur qui s'intéressait beaucoup à elle et qu'il aurait bien aimé l'aider à essayer une djellaba. Elle 'a répondu que j'étais un cochon, qu'il faisait juste son travail et qu'il espérait une vente. Je lui ai dit qu'on pourrait y retourner demain après midi. Après une bonne nuit réparatrice du voyage et une matinée au bord de la piscine, l'après midi nous avons décidé de retourner aux souks. Nous nous sommes promenés avant d'aller essayer la djellaba. Je me suis intéressé à un artisan qui travaillait le cuivre, il faisait un plateau. Ma femme me dit tu viens on va à la boutique je lui ai i dit oui vas y j'arrive. Quand j'ai quitté l'artisan je me suis rendu compte que ca faisait une demi heure que ma femme était parti, je suis entré dans la boutique le vieux ma souri il n'y avait personne je suis allé dans l'autre pièce mais ne trouvais pas ma femme. Je suis retourné voir le commerçant lui demandant ou elle était. Il m'a dit viens, il a fermé la porte de sa boutique et m'a fait passer par une petite porte. Je le suivais on est entré dans une petite réserve un peu sombre et il 'a montré une lucarne qui donnait dans une autre pièce et l'a j'ai vu ma femme nue allongé sur des tapis les cuisses relevées et écartées se faisant baiser par le jeune marchant.

. Je suis resté sans bouger sentant une excitation dans le ventre. Le vieux est venu à coté de moi en me disant "t'as vu mon fils il la baise bien ta femme elle aime sa bite" j'étais sans vois excité de la voir le jeune la tenait par les cuisses et lui donnait de puissants coups de reins qui faisait ballotter ses seins lourds. je voyais la tête de mon épouse rouler sur le coussin, le marchand a ouvert un peu la fenêtre et on entendait mon épouse gémir de plaisir.. Le vieux m'a demandé "ca te plait missieur" je n'ai pus que lui dire "oui" tellement j'étais pris par la vision de ma femme baisée. J'ai senti le marchand se coller a moi et passer sa main sur ma braguette il m'a dit "baisse ton short et ton caleçon missieur", je l'ai fais et il m'a caressé les fesses d'une main et de l'autre prenait ma bite en disant "mon fils en a une plus grosse pour ta madame" hooo sa main caleuse sur ma bite, de son autre main il m'a doigté le cul. Dans l'autre pièce le jeune avait fait mettre à femme à 4 pattes et la prenait en levrette, je voyais sa longue queue enfiler ma femme qui gémissait de bonheur. De mon coté le vieux me masturbait en me fouillant le cul de deux doigts je pense. Le vendeur s'est déchainé sur ma femme en râlant "oui tiens salope"  ma femme s'est effondrée en jouissant et moi j'ai arrosé le mur sous la lucarne. Ma femme s'est essuyée et s'est rhabillé, quand elle est revenu dans la pièce nous l'attendions avec le vieux, elle était un peu gênée. Mais je lui ai déposé un baiser en lui demandant si c'était bon. Puis nous sommes sortis et le leur disais "à bientôt messieurs nous repasserons rapidement vous revoir". Nous sommes rentrés à l'hôtel, je l'ai couché sur le lit troussant sa jupe enlevant sa culotte trempée et plongeais ma langue dans sa chatte très parfumée. Elle cria "non lasse moi me doucher avant" mais je lui bouffais la chatte comme un fou la faisant jouir une nouvelle fois. Chaque jour durant la semaine nous sommes passés au magasin. Il est même arrivé qu'il y avait un autre couple, les femmes ont du se partager le jeune vendeur, alors que nous étions entre les mains du patron.