Les Aventures De Marie - 2
Cela faisait maintenant trois semaines que Marie avait reçu la visite des cambrioleurs. Elle repensait tous les jours à ce qui s'était passé ce soir là. Elle avait obéi aux ordres de Patrice, elle n'avait pas été au travail le lendemain matin pour aller déposer une plainte à la gendarmerie. Elle leur déclara que quand elle était rentrée, tout était en sans dessus-dessous, mais qu'il ne manquait rien.
Un des gendarmes lui dit : Ça fait plusieurs mois que des cambrioleurs écument la ville, ils repartent généralement rarement les mains vides. Je pense que vous avez du les déranger, heureusement que vous n'êtes pas tombée sur eux.
Oui... Heureusement, ajouta Marie pensive.
Son mari avait été très choqué également, il avait annulé son déplacement prévu toute la semaine suivante pour rester à l'agence et être ainsi présent tous les soirs.
Marie en voulait beaucoup à son mari, d'abord parce que comme d'habitude il avait été absent ce soir là, s'il avait été ici avec elle cela ne serait jamais arrivé. Elle lui en voulait ensuite de ne lui avoir jamais fait ressentir toutes les sensations que lui ont procurées ses deux tortionnaires.
Elle gardait toute cette rancur en elle, faisant semblant d'apprécier les rares gestes d'attentions dont Benoit faisait preuve à son égard. Elle lui faisait payer en refusant tout rapport sexuel avec lui, prétextant toujours quelque chose pour y échapper. Benoit n'était pas dupe, il se rendait bien compte que quelque chose n'allait pas, mais il mettait ça sur le compte du traumatisme qu'elle avait subi.
Marie n'en avait pas parlé non plus à ses collègues, elle leur raconta la même chose qu'aux gendarmes. Eva et Florence sentaient bien que quelque chose n'allait pas chez Marie, elles étaient incapables de dire de quoi il s'agissait, mais elles étaient persuadées qu'il y avait autre chose. Elles préféraient malgré tout de ne pas trop la questionner, tout cela était encore récent.
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Michel attendait Patrice dans le bistrot où ils avaient l'habitude de se retrouver, il remuait nerveusement sa petite cuillère dans la tasse de café noir que venait de lui déposer le serveur.
Michel : Qu'est ce qu'il fait, c'est pas normal...
Michel attendit fébrilement pendant encore 10 bonnes minutes.
Patrice finit par arriver, il s'assit et commanda un café au serveur.
Patrice : Bon, c'est fait !!
michel : Combien ???
Patrice : 3 000 euros...
Michel : génial, t'es un champion...
Patrice : ... Chacun...
Michel : Chacun !!!! Alors la, tu me troues le cul, si t'étais pas aussi susceptible, je t'embrasserais, dit-il en rigolant.
Patrice : Ouais, voila une bonne chose de réglée, ça fait du bien de finir par refourguer tout ce qu'on avait sur les bras...
Michel : C'est clair, on a de quoi voir venir pendant quelques semaines, on va pouvoir prendre des vacances, ah c'est le pied...
Patrice : En parlant de pied... Je retournerai bien faire une petite visite à la petite de l'autre soir... Tu te rappelles ???
Michel : Ah sur que je m'en souviens, son petit cul aussi doit s'en souvenir aussi, ajouta til en rigolant.
Michel : Mais c'est pas un peu risqué ton plan... ???
Patrice : fais moi confiance, elle na pas du nous balancer aux flics, vu qu'on est fiché, on se serait déjà fait pincer... Et puis elle doit avoir trop peur que certaines photos ne fassent surface.
Michel : Arrête j'en bande déjà...
Patrice : Faudra juste s'assurer que elle est seule et puis ca devrait être bon...
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Le mardi d'après, Marie venait de rentrer du travail, Benoit avait repris ses habitudes et était de nouveau en déplacement. Cela faisait un quart d'heure qu'elle venait de rentrer du boulot, elle avait pris une revue et s'était assise sur le canapé en train de la feuilleter.
Elle entendit frapper à la porte, elle se demanda qui cela pouvait bien être, elle n'attendait personne.
Elle ouvrit la porte, aussitôt deux hommes pénétrèrent à l'intérieur, elle reconnut immédiatement ses deux cambrioleurs.
Patrice lui plaqua de nouveau sa main sur sa bouche, puis mit son doigt devant la sienne pour lui faire signe de se taire.
Patrice : Écoute ma belle, on ne vient pas pour te faire du mal, on sait que tu nous as pas balancé aux flics, alors en signe de reconnaissance, on vient te redonner les petites photos que l'on a prises la dernière fois. C'est compris ?
Marie hocha la tête pour lui faire comprendre qu'elle n'allait rien tenter.
Patrice ôta doucement la main de sa bouche.
Marie : C'est vrai... Vous n'allez rien me faire... Et vous allez me donner les photos ???
Patrice : Mais oui je te dis, tu sais on est pas des mauvais bougres, tu nous as juste surpris la dernière fois, il a fallu qu'on improvise... Hein Michel...
Michel : Oui c'est vrai, on est pas méchants, ajouta-t'il en rigolant.
Patrice : Mais oui t'inquiètes pas ma chérie... Mais tu ne vas pas laisser tes invités comme ça sur le seuil de la porte.. Tu vas peut-être nous offrir à boire.
Michel : Bah oui c'est vrai, il est moins le quart, c'est l'heure du ricard, gloussa-t'il.
Marie était embarrassée, elle avait envie de leur faire confiance afin de pouvoir récupérer les preuves de sa soirée de débauche, mais elle nétait pas tranquille, elle sentait l'entourloupe.
Elle les fit quand-même rentrer dans le salon, ils s'assirent sur le canapé.
Patrice : Pour moi ce sera un Whisky... Tu dois bien avoir ça...
Michel : La même chose pour moi...
Marie revint dans la salon, elle tenait une bouteille de Whisky ainsi que deux verres, elle posa tout ça sur la petite table devant le canapé.
Elle allait s'asseoir à son tour quand Patrice lui dit, Mais il manque un verre, tu ne vas quand même pas laisser tes invités trinquer tous seuls.
Marie : Mais je ne bois presque jamais.
Patrice ajouta d'une voix cordiale mais ferme : Mais si, allons ne te fais pas prier.
Marie retourna dans la cuisine chercher un troisième verre, à son retour Patrice lui dit: Viens donc te mettre en Michel et moi, je vais m'occuper du service.
Il servit 3 verres de Whisky, et des bonnes doses.
Ils trinquèrent tous les trois, Patrice fit la conversation pendant que tout le monde sirotait son verre, il veillait également que Marie boive le sien en le lui rappelant régulièrement.
Marie commençait déjà les premiers effets de l'alcool, elle avait un peu chaud.
Patrice : Bon un dernier petit verre et puis on va y aller... Hein Michel.
Michel : Oui oui, on a des trucs à faire...
Patrice servit alors une autre tournée, chacun but son verre, Marie un peu désinhibée par le premier but le second sans que Patrice ne l'y incite...
Patrice dit alors: Bon Michel, tu dis au revoir à la demoiselle, on va y aller...
Marie trouva la force de bredouiller : Mais... Euhhh... Les photos... Vous aviez dit que...
Patrice : Ah oui... Quel étourdi je suis...
Patrice se rassit sur le canapé, Marie était toujours coincée entre les deux bougres... Il sortit son téléphone et commença à faire voir les photos à Marie : Ah c'est quand même dommage de supprimer toutes ces photos, elles sont magnifiques...
Tout en disant cela, il faisait défiler les photos, Marie devint subitement toute rouge, elle regardait attentivement les photos. Elle se contemplait, elle était le cul à l'air sur le lit, avec ses bas couleur chair et sa jupe retroussée sur le dos. Elle voyait très nettement sur les clichés le sexe de Michel qui lui écartait les fesses.
Marie sentait que la situation était en train de lui filer complètement entre les doigts, à la vue de ces clichés elle sentait l'excitation monter en elle. Elle se dit en elle même : Quels salauds... Je suis vraiment trop conne...
Pendant que Patrice montrait les photos, Michel y allait de son petit commentaire : Cest dommage que tu ne l'aies pas prise pendant qu'elle me suçait, elle le fait tellement bien, hein ma belle.
Marie ne répondit pas à cette remarque.
Patrice ajouta : C'est pas grave, regarde, j'ai encore mieux...
Il navigua dans le menu de son portable, puis il lança une vidéo, Marie resta bouche-bée, elle se regardait en train de se faire copieusement pistonner l'anus pas Michel, de plus les paroles qu'elle échangeait avec Michel étaient très crues et sans équivoque, elle prenait son pied.
Sa fente s'humidifia instantanément, c'est à ce moment que Michel en profita pour la mettre une main sur sa cuisse. Comme elle ne dit rien, il commença à caresser sa jambe par dessus son jean. Petit à petit il remontait vers l'intérieur de sa cuisse, Marie ne disait toujours rien, mais son souffle devenait plus intense.
Michel posa sa main sur le sexe de Marie et commença à la caresser doucement par dessus son pantalon, à sa grande surprise elle recula un peu et écarta les jambes pour lui faciliter la tache.
Patrice arrêta alors la vidéo, posa son téléphone sur la table, il pencha Marie en arrière sur la canapé et l'embrassa à pleine bouche, elle hésita un moment et puis lança sa langue à la rencontre de celle de Patrice.
En même temps qu'il l'embrassait il lui caressait doucement les seins, il prit ensuite la main de Marie et la posa sur son sexe déjà bien dur.
Voyant cela, Michel fit de même avec l'autre main de Marie, qui très vite se mit à caresser les deux sexes par dessus le tissu de leurs jeans. Michel commença à défaire les boutons du pantalon de Marie, une fois fini, il plongea sa main sous la culotte de Marie et lui mit un premier doigt dans son vagin. Marie était complètement trempée : Chose que Michel ne put s'empêcher de signaler à son complice : Dis donc, elle est déjà toute mouillée.
Patrice ne répondit pas, il continuait d'embrasser Marie goulument.
Pour une fois ce fut Michel qui prit les choses en main, il enleva le pantalon et la culotte de Marie, il la tira vers le bord du canapé puis il commença à lui lécher sa petite fente tout en y enfonçant deux doigts.
Michel : Mmmmm elle est bonne ta petite chatte, je n'y avais pas gouté la dernière fois...
Marie gémissait tout en restant soudée aux lèvres de Patrice : Mmmmfffffff... Mmmmmfffff...
Patrice sortit son sexe de son pantalon, mit un terme au baiser et dit assez tendrement à Marie : Allez suce moi maintenant ma chérie...
Patrice s'assit à une extrémité du canapé, Marie s'allongea sur le coté à commença à le prendre en bouche, Patrice ne tarda pas à pousser les premiers soupirs de plaisir. Dans cette position Marie avait les jambes écartées à 90° et Michel pouvait tranquillement continuer à lui lécher sa délicieuse petite chatte.
Patrice était aux anges, il repensait au tout début quand il fouillait la chambre de Marie et la situation dans laquelle ils se trouvaient maintenant tous les trois. Cela lui rappela également le joli ensemble blanc qu'il avait découvert dans l'armoire de Marie.
Il lui dit alors : Dis donc ma chérie tu ne veux pas aller te faire belle pour nous ce soir.
Marie interrompit sa fellation : Belle... Mais... Je ne comprends pas...
Patrice : Tu sais la dernière fois, je suis tombé un joli ensemble blanc avec un porte jarretelles et des bas noirs, si tu allais le chercher et venait le passer devant nous...
Marie : Mais... Je ne comprends pas... Je...
Patrice l'interrompit : Allez file chercher tout ça, presse toi...
Marie partit dans la chambre et revint quelques instants après avec le fameux ensemble. Elle se déshabilla alors complètement.
Patrice et Michel étaient prêts pour le spectacle, ils étaient tous les deux assis sur le canapé et se masturbaient doucement.
Cette situation finit par exciter Marie, elle savait que si elle mettait cette tenue elle allait être désirable comme jamais elle ne lavait été.
Elle commença par prendre le string qu'elle enfila délicatement, il était blanc et le tissu était complètement transparent, on pouvait voir très nettement chaque détail de son intimité.
Patrice ébloui par le spectacle, saisit son téléphone et commença à la prendre en photo pendant qu'elle était en train de se vêtir.
Marie s'en aperçut et ne dit rien, Patrice eut même l'impression qu'elle faisait maintenant durer le plaisir en faisant des gestes lents et soigneux.
Elle mit ensuite le soutien gorge. Puis elle passa le porte-jarretelles, celui ci était également blanc et avait une ceinture très large, elle était magnifique.
Elle s'assit ensuite sur le fauteuil qui faisait face au canapé, elle prit la pochette qui contenait les bas et les sortit de leur emballage.
Elle prit le premier bas qu'elle enfila délicatement. Patrice et Michel étaient subjugués par ce bas qui escaladait doucement la jambe de Marie. Une fois le bas enfilé, elle le fixa soigneusement au porte jarretelles, se leva et parcouru tle long de sa jambe avec la paume de ses mains pour bien étirer le doux textile sur sa peau.
Elle prit le second bas et recommença lentement la même opération, Patrice et Michel étaient remplis de désir, ils avaient rarement vus une femme aussi sensuelle et désirable. Marie ressemblait à un ange tout droit descendu du ciel. Son corps était parfaitement mis en valeur par la lingerie qu'elle arborait maintenant fièrement. Ses jambes déjà magnifiques étaient maintenant tout simplement splendides, le nylon des bas les sublimait.
Une fois Marie habillée, Patrice l'invita à les rejoindre sur le canapé, elle se rassit entre les deux hommes et empoigna leurs sexes qu'elle commença à caresser délicatement. Patrice se remit à lembrasser, quant à Michel, il avait sorti un sein de son étui de dentelle et commença à le sucer. Puis Patrice interrompit de nouveau son baiser et passa sa main derrière la nuque de Marie, cette fois il n'eut pas à lui demander ce qu'il attendait d'elle. Ils reprirent leur position de tout à l'heure.
Marie suçait la queue de Patrice avec fougue et passion, pendant ce temps là, Michel lui léchait la fente par dessus son le tissu de son string. Celui ci lui collait littéralement à la peau. Tout en la fouillant avec sa langue Michel lui caressait ses jambes délicieusement gainées de ses bas noirs. Il était comme un fou, vêtue de la sorte, Marie l'excitait comme jamais il ne l'avait été, il ne pouvait plus, cette femme si belle, si sexy , il avait une envie furieuse de la baiser et de la faire hurler de plaisir.
Il s'adressa à Marie : Mets toi à quatre pattes, ma belle, je vais te prendre pendant que tu continues de sucer Patrice.
Marie fit encore quelques aller-retour sur le sexe tendu de Patrice, puis elle s'installa de biais sur le canapé comme le lui avait demandé Michel.
Marie était prête, elle branlait vigoureusement Patrice en attendant que Michel s'enfonce en elle.
Michel : Mmmm je vais commencer par ta belle petite chatte aujourd'hui.
Il écarta le string de Marie sur ses fesses, il frotta quelques instants son gland contre son sexe trempé, puis il poussa doucement pour s'introduire en elle.
Marie poussa un long soupir de plaisir : Mmmmmmmm... Oui...
Elle était remplie de plaisir par cet énorme sexe, jamais son intimité n'avait été envahie par une chose si monstrueuse. Michel la pistonnait maintenant à une cadence soutenue mais régulière.
Marie exprimait son bonheur : Mmmmmm... Oui... Ahh... C'est bon.
Désormais habituée au rythme qu'imprimait Michel elle reprit le délicieux phallus de Patrice, elle lui lechait avidement le gland, la hampe, même les couilles. Elle ne se reconnaissait plus, ils avaient éveillé en elle une soif intense et inépuisable de sexe.
Michel toujours aussi bavard lui dit : Alors... Elle lui plait ma bite à ta petite chatte.
Marie : Mmm oui... Elle est bonne...
Michel lui introduit alors un doigt dans l'anus, qu'il fit coulisser doucement.
Marie : Ahh...
Plus les secondes défilaient plus Marie avait l'air d'apprécier : Ahhhh... Ouiiiii... Ouhhhhh.
Michel : Ca te dirait que j'y mette autre chose que mon doigt ??
Marie : Mmmm... Oui vas y...
Michel : Mais tu veux quoi dans ton petit cul ??
Marie : Hannnnn... J'ai envie de... Hannn... Ta grosse bite...
Michel se retira et commença à forcer l'illet de Marie avec son gland, Patrice le coupa dans son élan : Attends, pas comme ça...
Il vint s'asseoir sur le canapé, rapprocha ses fesses du bord, et il dit à marie : Viens sur moi ma chérie...
Marie devina aussitôt où il voulait en venir, il voulait qu'elle soit prise par eux deux en même temps, Marie hésita, elle savait qu'elle pouvait plus reculer, mais cela lui paraissait si effrayant.
Marie : vous êtes surs, je n'ai jamais... C'est si...
Patrice : Sois sans crainte, on va faire très attention... hein Michel... Surtout toi, avec ce que tu as entre les jambes, ajouta-t'il en rigolant.
Mise en confiance par ces paroles, Marie vint alors s'empaler sur le sexe de Patrice, elle se pencha sur lui pour l'embrasser à pleine bouche, Patrice fit faire quelques allers-retour à son sexe pour qu'elle s'habitue à ce pénis, certes moins gros mais plus long que celui de Michel. Elle plongea sa tête contre son épaule et gémissait doucement de plaisir : Ahhhhhh... Mmmmmmmm... Hannnnnn.
Patrice s'immobilisa alors, cétait le moment ou Michel devait entrer en scène, il se baissa et appuya son gland contre la rosette de Marie, celui ci s'enfonçait tout doucement dans les entrailles de Marie.
Marie : Ouhhhh... Doucement s'il te plait... Oui comme ça... Vas y...
Elle guidait Michel dans son exploration, une fois qu'il avait enfoncé la moitié de son sexe, il commença à se retirer doucement, il laissa juste son gland, puis il se remit à pousser mais un plus loin cette fois.
Marie : Oui...Comme ça.. .Ahhhh... Tu me fais du bien...
Patrice répéta cette opération plusieurs fois, il rentrait millimètre par millimètre, pendant ce temps Patrice restait immobile dans le vagin de Marie tout en sentant le sexe de Michel coulisser contre le sien.
Michel avait maintenant réussi à faire rentrer presque toute la longueur de son pénis, il pistonnait maintenant Marie ave la régularité d'un métronome. Patrice se lança à son tour, il leur fallut quelques secondes pour s'accorder sur le rythme.
Marie hurlait son bonheur : OOOOhhhh Ouiiiiii... Ahhhhh je vous sens bien...
Marie : Ahhh plus fort... Hannnn... Hannnnnn... Hannnnn.
Elle était incontrôlable, elle vibrait littéralement sous l'impulsion des deux sexes qu'elle avait en elle. Le trio s'agitait frénétiquement sur le canapé qui tremblait de toutes parts.
Michel aperçut le téléphone de Patrice qui était resté sur le canapé, il se dit : Il faut que j'immortalise cette scène...
Il saisit le téléphone, le tint en l'air à bout de bras et prit quelques photos, on y reconnaissait distinctement Marie, sexy en diable coincée entre ses deux amants. Sans montrer les détails, les photos laissaient facilement deviner ce qu'ils faisaient.
Délicieusement enserré par le rectum de Marie, Michel fut le premier à venir, en trois va-et-vient, il lâcha sa semence au plus profond de ses entrailles de Marie : Ahh... Pfffff... Ahhhhh.
Il fit encore quelques allers retours se leva et alla s'asseoir sur le fauteuil en face.
Maintenant qu'il avait plus de liberté au niveau de la cadence, Patrice se mit à donner de grands coups de bassin. Marie apprécia ce changement de rythme et le lui fit savoir : Arrrrhhhhhhhh... Putain... Vas y... Baise moi bien...
Patrice allait bientôt venir à son tour, il fit lever Marie et lui demanda de vite s'allonger sur le dos, puis il se mit à se branler énergiquement au dessus des cuisses nylonées de Marie, il finit par lâcher, plusieurs jets de sperme qui atterrirent en haut des bas de Marie. Celle-ci caressa alors ses jambes avec la douce liqueur que lui avait servi son amant, une fois tout étalée, elle releva son buste à la verticale, saisit le sexe encore un peu dure de Patrice, en arracha les derniers gouttes qu'il fit tomber sur son mollet, elle essuya ensuite délicatement le gland de Patrice le long de sa jambe. Puis repue elle plongea la tête en arrière pour se rallonger sur le canapé.
Ils restèrent tous les trois plusieurs minutes à récupérer.
Patrice contemplait Marie, il lui dit tu es vraiment magnifique, pourquoi tu te caches sous tes pantalons, tu devrais faire profiter de tes charmes à tout le monde tu es un régal pour les yeux.
Marie ne savait pas quoi répondre : Ah bon... Mais... Enfin...
Patrice : D'ailleurs à partir de maintenant je ne veux plus te voir qu'en jupe, que ce soit le week-end, à la maison, au travail... Et puis sexy sous la jupe, fini les collants et les slips en coton. Que des beaux sous vêtements et des bas qui tiennent tout seul. Par contre, tu gardes le porte jarretelles pour les grandes occasions comme ce soir.
Marie ne savait pas quoi répondre, un stupide : "Bon bah d'accord" sortit de sa bouche
Patrice : Mais attention... On viendra vérifier de temps en temps...
Marie : Vous... Tu veux dire que vous allez revenir.
Patrice : Pourquoi, tu es déçue de notre visite de ce soir.
Marie : Si... Euh enfin non, enfin c'est pas ça, c'est que mon mari est là des fois, c'est rare mais ça lui arrive.
Patrice : Dans ces cas là, tu me donnes ton numéro de portable et je t'enverrai un SMS la veille de notre passage.
Marie : Euhh... D'accord si tu veux.
Elle se leva, et griffonna son numéro sur un bout de papier qu'elle donna à Patrice. Celui ci prit le papier et prit la direction de la porte : Allez Michel, on y va nous...
Marie les suivit se rendit compte qu'elle n'avait pas remis son string comme il faut, ce quelle fit discrètement. Il lui restait tout de même quelques restes de sa pudeur passée.
Avant de franchir la porte, Patrice se retourna vers Marie et lui déposa un baiser sur la bouche : A bientôt ma chérie, lui dit-il en sortant.
Michel emporté par son enthousiasme tendit également sa bouche vers elle. Cela fit sourire Marie qui lui posa la main sur l'épaule, lui fit un petit baiser au coin de la bouche et lui dit gentiment : A bientôt Michel.
Elle referma la porte derrière eux et se dirigea vers la salle de bains, après tous ces assauts, elle avait besoin d'un bon bain chaud. Elle vit le haut de son corps dans la glace de la salle de bains, Patrice avait raison, elle aussi se trouvait belle.
Elle alla dans la chambre d'amis, où il y avait une grande glace avec laquelle elle allait pouvoir s'admirer. Elle se trouvait sensuelle et désirable vêtue ainsi. Elle remonta délicatement bien en haut de ses cuisses les bas souillées par le sperme de Patrice.
Elle réajusta, son string, son magnifique porte jarretelles et son soutien gorge. Elle pivota sur elle même, se regarda de face, de profil, de dos. Elle pensait : Ah, si j'étais un homme, j'aurai aussi envie de toi.
Alors qu'elle continuait à se contempler, elle commença à sentir le sperme que Michel lui avait répandu dans son joli petit cul. Cette étrange sensation provoqua en elle un relan d'excitation. Elle s'allongea sur le lit de la chambre d'amis, écarta son string et commença à se caresser l'anus avec la douce sève qui en sortait. Elle fit rentrer ensuite un premier doigt dans sa rondelle et commença également à scaresser son sexe de l'autre main. Au bout de quelques minutes elle se masturbait frénétiquement l'anus avec deux doigts tout en caressant vigoureusement son clitoris. La chambre était rempli par ses gémissements : Annnnnn... Mmmmm... Ahhhhhhhhhh.
OuuuuuuHHHHHHH... Ahhhhhhhhh. Elle se cambra une dernière fois une dernière fois et laissa tomber sur le lit, épuisée de bonheur.
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