Tram Et Tasse De Thé
Depuis plusieurs jours, en prenant le tram dans ma ville du midi, je remarque la même jeune femme avec son visage fermé. Jaimerai bien lui demander ce qui ne va pas. Je nose pas lapprocher. Ce nest pas quelle ai lair revêche, au contraire, quelque chose détrange semble émaner delle. Je la détaille sans trop me faire remarquer. Elle doit avoir 30 ans, grande, brune, élégante. Je penses quelle travaille dans un bureau, secrétaire de direction sans doute. Elle monte et descends dans les mêmes stations que moi. Je sais doù elle vient, par contre quand nous descendons, elle part dans le sens opposés. Sauf hier. Hier des mouvements de grèves étaient en cours sur le réseau. Nous avons du attendre dans une caboulot, à cause du froid. Enfin nous étions voisines. Jai pu lui parler, elle avait une voix rauque comme une femme qui meurt denvie de se donner. Elle était bien secrétaire de direction, comme moi, donc. Nous parlons boutique quand enfin un tram est arrivé. En montant dans le même wagon nous étions serrées par la foule. Je sentais sa chaleur venir sur moi. Je sentais son odeur de violette. Je sentais surtout son corps collé contre le mien. Je ne pouvais retenir un moment de désir.
Le soir au retour, je lapercevais de loin. Dun signe elle me demandait de lattendre, ce que je faisais avec plaisir.
Nous attendions encore une fois ce sacré tram qui enfin arrivait. Coup de chance japercevais dernière ce véhicule à moins de 500 mètres un autre tram qui nous attendions sagement. Cette fois nous étions bien assises pouvant bavarder tranquillement. Ainsi nous nous donnions des détails sur notre vie. Comme elle se vivait seule dans un petit appartement bien placé.
Elle me plaisait de plus en plus. Je crois que je lui faisais le même effet. Sans doute une amitié qui sinstallait. Cest ainsi que le samedi suivant jétais chez elle pour boire léternel thé. Je comptais lui rendre linvitation un peu plus tard.
Dès lentrée, en guise de bien venue, elle membrasse sur la joue avec un gros poutou sur les joues.
- Voulez vous réellement du thé ?
- Bof, pas plus que ça.
- Un café ?
- Sil est fort avec plaisir.
Elle se démène pour préparer la boisson plus quhonorable, en tout cas meilleur que le thé.
Pour la suite de ma visite nous passons dans son séjour. Elle minstalle confortablement sur un divan, elle vient près de moi et nous voilà parti dans les éternelles discussions féminines : on parle de tout et surtout de vide. Sauf quà un moment où elle demande :
- Vous êtes célibataires ?
- Pas tout à fait, jai un ami que je doit voir une fois tous les deux mois au maximum, sinon je suis célibataire depuis toujours. Et vous ?
- Moi, je suis divorcée et pas prête à ma remarier.
- Ca cest mal passé ?
- Physiquement oui.
- Physiquement ?
- Au début tout allait bien entre nous, nous faisions lamour comme tous les autres je suppose et un jour il a décidé de ne plus me toucher à cause de ses nouvelles convictions religieuses. Je ne pouvais plus supporter sa présence inutile.
- Et depuis, pas dami ?
- Non, je ne veux plus dhommes. Je me contente seule.
- Vous voulez dire que vous vous server de vos mains.
- Evidemment, je ne suis pas de bois.
- Moi, cest pareil, et je nen ai pas honte, jai autant de plaisir seule, en ce moment.
- Et votre ami ?
- Vous pensez bien quune coucherie deux fois par an ne peut contenter une femme.
La conversations tombe après ces confidences, cest assez gênant de raconter nos vie sexuelles.
Un simple faux mouvement peut changer bien des choses : en arrangeant ma jupe sur le divan je découvre ses jambes. Ce que je vois est fort beau. Me voilà encore avec ce petit rien de désir qui monte au fond de moi et dans un éclair, je la vois nue dans mes bras, nous embrassant sur la bouche. Je me demande si je suis raisonnable de penser de telles choses.
Elle laisse sa jupe en hauteur. Ou elle le fait exprès ou elle ne sen ai pas aperçue. Elle baisse son regard pour voir sa cuisse et ne fait rien pour la cacher, au contraire, même il me semble quen bougeant elle la faite remonter un peu. Un moment de gêne fait place à notre conversation et pourtant, même si elle ne dit plus rien, elle agit.
Sans en avoir lair, elle approche sa cuisse de la mienne. Je sens encore sa chaleur venir contre moi. Cette fois pas de doute, elle me cherche. Elle me cherche aussi avec sa main qui lentement vient sur mon genou. Elle me regarde franchement dans les yeux, sans les baisser une seconde. Il me semble quelle me dit de me laisser faire et que je ne le regretterai pas.
Sa main monte très lentement sur ma cuisse pour passer ensuite vers lintérieur. Je la laisse faire, sachant où elle veut aller. Jécarte les jambes au fur et à mesure de sa montée. Elle mest agréable cette main câline. Elle me regarde toujours. Je ne peux mempêcher de poser mes lèvres sur les siennes. Je ressent un grand soulagement quand nos langues commencent le ballet de lamour.
Sa main est vite sur mon string.
- Tu es drôlement mouillée, ma belle.
- Tu as fait tout ce quil fallait non ?
- Bien sur. Jai envie de toi.
- Moi aussi jai envie de toi.
- Tu veux quon se fasse lamour ?
- Toutes le deux, oui, maintenant.
- Jusquau bout.
- Bien sur jusquà en devenir totalement dépendantes.
Nous nous levons dun commun accord pour nous embraser debout dabord et nous déshabiller.
Nous nous tenons par les mans, bien éloignées lune de lautre pour nous voir nues. Je la trouve encore plus excitante que dans la réalité. Elle me trouve à croquer. Pourtant je veux savoir juste avant de baiser avec elle si je suis sa première.
- Non, tu sais jai commencé à me faire masturber jeune par une copine, nous avons fait presque tout toutes les deux.
Je ne vais pas laisser partir une telle beauté ailleurs. Je suppose quelle mapprendra tout.
Nous retournons nous assoir sur le divan, nos mains se dirigent seules vers le sexe de lautre. Je trouve son clitoris. Je le caresse alors que je, voudrai le sucer immédiatement.
Je sens sa main venir dans ma chatte aussi. Si elle me branle le bouton, elle semble plus intéressée par ma vulve. Elle y a mis deux doigts non pas pour me doigter mais pour chercher mes point faibles, ceux qui me font toujours jouir. Elle arrive enfin à frotter ses doigts sur la zone du point G.
Je ne peux retenir mes soupirs et mes petits cris quand elle me fait monter au ciel dEros. Quelle branle bien. Je ne me fais jamais cette chose. Avant un de mes ex avait voulu me le faire et avait tout fait capoter pas ignorance. Mais elle quelle maestria pour donner du plaisir à une fille.
Je dois la faire arrêter, sinon je serai obligée de la laisser. Elle sort sa main pour aller vers mon anus. Elle le caresse de lextérieur longtemps, juste ce quil faut pour que je jouisse encore, presque en même temps quelle. Elle remet son doigt dans ma vulve, ly laisse juste un instant avant de revenir pur me le mettre dans le cul où elle lenfonce complètement. Elle ma surprise par son attaque directe. Par contre dès que son doigt effectue les vas et viens elle me donne encore le grand frisson.
Je ne lui ai pas fait grand-chose, elle dirige ma main pour que je la doigte. Je lui donne du plaisir cest certain à la voir se tortiller sous ma caresse.Moi aussi je suis entre rien et lorgasme. Cest vrai que quand elle jouit, je me laisse aller aussi dans un autre orgasme causé simplement pas le plaisir de la faire jouir.
Elle mène la danse jusquau bout puisquelle me demande de faire un 69.
Elle se met sur le dos, les jambes ouvertes, me demande de venir sur elle dans la même position, sauf que je pose ma bouche sur son sexe et elle sur le mien. Je sens enfin toute son odeur intime plus forte que la mienne et combien excitante. Nos langues nont quun seul soucis: donner du plaisir quelque que soit lendroit. Jessaie pour la première fois de lui lécher lanus et y mettre la moitié de ma langue. Javais un peu décurement juste avant dentrer, voyant lorgasme que je donne je ne regrette rien.
Nous nous retournons souvent, même sur le côté. Nos mains ne restent pas immobiles, nous les mettons dans tous les endroits possibles.
Pour la fin se sont nos lèvres intimes qui prennent la relève, elles sont lune contre lautre se caressant sans arrêt, nos clitoris étant la plus part du temps collés lun à lautre. Nos orgasmes se suivent sans arrêt.
Nous tombons totalement effondrées de jouissances, avec seulement le courage de nous embrasser.
Quels moments érotiques de qualités nous venons davoir.
Cest promis, nous le ferons souvent, pas tous les jours : trop crevant !
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