Sans Clés

Après plusieurs heures j’arrive enfin dans ma résidence secondaire. Il s’agit d’une fermette du midi, un mas ( prononcer mass). C’est un voisin qui surveille de loin les lieux. La réciproque est vrai quand il part, c’est moi qui surveille. Je n’ai pas grand-chose à faire, d’autant plus que cette année il a oublié de me donner les clés. Je compte passer un mois tranquille, sans les ennuis de la ville et sans surtout les filles que je connais. Il faut que je me repose coté baise. Là je suis tranquille, personne ne viendra m’y chercher. Les « ennuis » commencent deux jours après mon arrivée. Je suis tranquillement à l’ombre, devant ma porte avec un bon bouquin quand arrive une jeune femme, dans les 25 ans, brune et semble-t-il pas mal faite.
- Bonjour monsieur, je suis la fille de votre voisin. Je l’avais averti que je venais passer quelques jours de repos et j’ai beau frapper, personne n’ouvre.
- Je sais, normalement il me laisse les clés et là, je suis comme vous je ne peux pas entrer. Il ne m’a même pas parlé de vous.
- Je suis ennuyée, je ne sais où aller.
Je réfléchis un instant:
- Ecoutez, si c’est pour quelques jours, je peux vous proposer de rester chez moi. J’ai de la place, une piscine, je suis seul.
Elle aussi réfléchit un moment puis accepte.
Tant mieux elle me tiendra compagnie. J’espère seulement une chose, quelle ne soit pas une obsédée du sexe pour me changer.
Je lui montre sa chambre, en face de la mienne : elle donne sur l’arrière, vers le parc où se trouve la piscine avec un accès direct. Elle est satisfaite quand je lui dit que je reste un mois, c’était la durée prévue de son séjour. Je l’aide à sortir les bagages de sa voiture,: il ne lui reste plus qu’à faire son petit ménage.
J’ai oublié une bricole : le frigo ne contient que peu de bouffe. Je tape à sa porte, elle ouvre avec méfiance :
- Je vais faire des courses, si vous aimez un aliment particulièrement dites moi le.


- Je ne suis pas difficile, ce que vous prendrez ira bien.
Tant mieux, je reviens ½ heure plus tard avec ce qu’il faut pour une bonne semaine. Je range tout et me demande où elle est passée. Comme je n’en sais rien, je me met à poil pour aller me baigner : à quoi bon mettre un maillot quand on est seul à des kilomètres. Je vais en baguenaudant mais quand j’arrive à la piscine, elle est là avec un mini maillot. Heureusement qu’elle ne me voit pas immédiatement, j’ai le temps de mettre ma serviette autour des hanches.
Je pense qu’elle n’a rien vu.
- Ne vous cachez pas, je viens de voir votre matériel, il est à ma convenance.
- Mais je n’ai rien fait.
- Si, vous êtes nu et ma foi bien muni. Si vous voulez de moi, je suis à vous où et quand vous voudrez et là où vous voudrez.
Elle sort de l’eau : je vois son corps pas mal foutu. Mis à part un grain de beauté sur la fesse, le reste me semble parfait. Dire que j’étais venu là pour ne pas baiser. Je ne fais rien, en tout cas, pour l’attirer. Elle semble bien attirée par la serviette, elle s’approche et d’un coup sec la fait tomber. Toute ma quincaillerie est en vue.
- Ce n’est pas juste je me force à porter ce maillot, alors que vous êtes nu.
Elle n’obéit qu’à son instinct, je suis à l’aise elle veut l’être aussi. Sans pudeur elle enlève le peu qu’elle porte et je la vois nue. Je ne m’en plains pas du tout : Elle est sexy. Je la vois approcher sa main de mon petit bâton pour le moment, elle me prend à pleine main, serre ma bite y tire dessus et enfin me fait bander. Il semble qu’elle soit contente de son exploit, faire bander un homme, c’est très difficile pour la main d’une femme……. Je ne veux pas lui laisser l’initiative de faire ment ce qu’elle veut. Je prend sa main pour l’embrasser sur la paume. Je lui lèche la main. Je l’attire vers moi pour l’enlacer et l’embrasser. Sa bouche me parait fraiche et sa langue est agile dans ma bouche. Je n’ai pas affaire à une débutante.
Je ne la lâche plus et je l’emmène avec moi dans l’eau. C’est là que j’ai décidé de la baiser. Nous sommes là où l’eau est la moins haute. Je suis contre son dos, je peux lui caresser les seins comme j’aime, je les soupèse avant de les caresser et d’énerver les tétons avec une simple caresse d’un seul doigt. Elle pose sa tête sur mon épaule pendant que je descend vers sa cage à plaisir.
Je bande toujours et ma pine se trouve prisonnière de sa raie des fesses. Elle sait bien remuer son bassin pour me donner du plaisir. Moi je sais que je vais lui en donner en mettant ma main sur son bouton. Un clitoris plus grand que les autres : elle ne doit pas avoir de mal à se masturber. J’ai passé ma main sur son pelage avant d’arriver là où j’aime. Je caresse son clitoris comme une petite bite, elle commence à gémir. J’ai deux main, la seconde va se perdre dans son trou. Je cherche l’endroit où toutes les femmes éprouvent du plaisir, je le trouve facilement. Je m’attendais à une réaction, mais pas celle là : elle gémit, c’est normal, elle se trémousse, c’est normal. Par contre elle bouge d’avant en arrière sans arrêt et murmure des mots sans suite :
- Non, ne veux pas. Oui encore. Non je vais jouir. Oui, oui, encore, mets moi ton doigt. Non ne me fait pas jouir. Oui, encore………..
Ces mots n’ont aucun rapport avec la réalité : elle jouit sans arrêt pendant que je la caresse à cet endroit. Quand je sors mon doigt il est gluant de cyprine. Je la tourne vers moi, son visage est décomposé, elle a trop jouit et pourtant elle en redemande. Je sens ses seins durs comme de la pierre contre moi. Elle me prend par le cou, s’élève vers moi pour m’embrasser et surtout pour mettre toute sa fente à hauteur de ma queue. Elle passe ses jambes sur mes hanches les serrent comme il faut pour ne plus en bouger. Elle prend ma bite dans sa main, vérifie que je bande et se la met dans sa gaine. Je l’ai branlée, elle me le rend à sa façon. J’avoue que je me laisse faire, conquis par ses allers et venues.
Elle baise très bien, alors que je m’attendais à une fille chaude sans plus. Elle me murmure des insanités :
- Ta queue est comme celle d’un gros chien qui la met à sa chienne, j’aime baiser avec toi, je suis ta pute, tu vas me défoncer, j’aime quand on me la met au fond, encore plus au fond. Il faut que te sache que j’ai un cul qui aime les bites aussi. Je vais m’enculer.
Le plus fort est qu’elle joint le geste à la parole, elle fait sortir ma bite pour se la mettre toute seule sur l’anus, avant de la faire entre sans difficulté dans son cul. C’est vrai elle doit bien aimer se faire sodomiser. J’aimerai l’enculer sur un lit pendant qu’elle se branle. Ce doit être merveilleux pour elle.
- Si tu veux tout à l’heure je t’enculerai et tu te branleras.
- Oui, c’est-ce que je préfère, même si j’aime bien avoir deux bites, une devant et l’autre derrière.
- Tu aimes les filles ?
- Oui, pourquoi ? Tu en connais qui viendraient baiser avec nous ?
- Pas ici.
- Dommage tu me faisais mouiller pour rien.
- Je te baises.
- C’est pas pareil, tu n’as jamais essayé à plusieurs sur une fille.
- Tu me prends pour un débutant, j’ai du baiser plus de filles en groupe que toi d’hommes.
- Sortons de l’eau, j’ai faim.
Nous allons au mas, nus puisque personne ne peut nous voir, à moins que la voisine lointaine passe dans le secteur, elle est curieuse comme un pot de chambre, si elle nous voit je ne sais trop ce qu’elle ferait.
Nous arrivons pour manger des sandwichs. Nous les finissons quant quelqu’un frappe. Je me met la serviette et vais ouvrir. Je tombe sur qui ? Sur la voisine qui habite quand même à plus de 500 mètres.
- Je sais que je vous dérange. Vous baisiez tout à l’heure avec une belle fille qui me plait.
- Mais..
- Il n’y a pas de mais, j’ai envie de cette fille.
La fille en question entend tout et vient comme elle est : nue plus que nue dirait-on. La voisine ne demande plus rien quand la plus jeune, celle que je viens de baiser sort pour embrasser le voisine.

Le reste arrive, pour moi à la vitesse d’une avalanche.
Elles s’embrassent longuement, se caressent et la voisine aussi est nue. Elles restent debout, les jambes écartées avec les doigts de l’une sur les détails du sexe de l’autre. Elles se branlent partout, y compris pour la plus jeune comme elle aime, avec des doigts dans le cul.
Je recommence à bien bander. La voisine voit ma bite et la veut aussi. Elle fait assoir la jeune femme sur une chaise, lui prend la con dans la bouche et tend son cul vers moi. Elle mouille bien son arrière train, prend ma bite dans une main, la pose sur son anus et lentement elle recule pour que j’entre au fond de son cul. Je suis dans son endroit préféré certainement. Je ne me gêne pas pour aller et venir. Tant mieux la plus jeune femme m’ai fait jouir plusieurs fois: je suis très long à venir. Je sens les spasmes autour de ma bite. Je regarde la jeune voisine qui jouit elle aussi sous la langue de l’autre femme. Je crois que mon orgasme arrive quand je vois ses yeux de révulser.
J’étais venu pour faire un peu de jeune de baise : je baise sans arrêt avec deux femmes complètement dingues de baises. Ca ne dure pas un jour, ca dure un mois. Juste quand le voisin entre en disant qu’il a complètement oublié de me donner ses clés !

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