Après Midi Pépère 2
Cette carte de visite au fond de ma poche, ma brulé les doigts durant plusieurs semaines.
Je la connais par cur.
Monsieur Roger Durant
23 Ave Gaston Frendin
75016 Paris
TEL : **********
Plusieurs fois jai été tentée de composer le numéro, mais je me suis toujours dégonflée.
Il ne connait même pas mon prénom et puis à quoi bon le rencontrer. Il voudra me baiser, le fera surement et après ? Quel intérêt ?
Si je veux me faire sauter, je suis bien assez grande pour me trouver un homme.
Mais, je me mens.
En fait, je connais le numéro de téléphone comme si cétait le mien et je crève denvie de le taper sur mon portable. Mais je refuse de me lavouer.
Jai tellement honte de ce que jai fait dans le métro cet après midi là.
Je ne compte plus les fois où je me suis masturbée en me remémorant cette aventure.
Mais comment pourrais-je me présenter devant cet homme, sans passer pour une fille facile, voir
une pute ?
Allez, javoue
Jai repris le métro. Plusieurs fois. Souvent. Très souvent. Trop souvent peut être.
Jai remis la même robe, le même parfum et jai trainé de rames en rames, jours après jours, espérant trouver un homme qui me ferait vibrer de nouveau.
Mais rien. Je rentrais déçue, frustrée. A croire quil ne cétait jamais rien passé. Que javais rêvé, juste fantasmée.
Javais limpression que personne ne prêtait attention à moi. A chaque fois que je croisais un regard qui se posait sur moi, je me glissais jusquà celui qui me lavait gratifié. Mais rien. Pas même le frôlement dune main sur ma cuisse.
Mais le plus étrange, cest que plus je me désespérais et plus jen avais envie. Surement à cause de la frustration de ne pas obtenir ce que je voulais, je ménervais de plus en plus.
Voilà pourquoi je me retrouve une fois de plus dans le métro parisien.
Lété nous a quitté. Cest la raison pour laquelle jai troqué ma jolie robe pour un petit imperméable, léger et court et rien de plus.
Me voilà donc encore entièrement nue, ou presque. Hummm ! Quelle délicieuse sensation. Je ne men lasse pas.
Cest le milieu de la semaine. Les heures de pointe sont passées et une fois de plus je fais chou blanc. Je suis désenchantée et cest un peu irritée que je décide de rentrer chez moi.
Je vais masseoir sur une banquette, plonge mes mains dans mes poches, me cale et pose le bord de mon front sur la vitre. Le train qui roule fait vibrer mon cerveau dans ma boite crânienne. Ca a pour effet de me bercer et de mendormir. Combien de temps, je lignore.
Cest un frôlement qui me réveille. Leger, presque imperceptible.
Laissez-moi-vous raconter une anecdote. Lorsque jétais petite, je dormais dans la même chambre que ma sur.
Ah ! Joubliais. Nous sommes jumelles.
Notre mère venait nous voir quand elle allait se coucher, pour sassurer que nous dormions.
Cest à cette époque quavec Flo, nous avons appris à plisser les yeux pour voir discrètement sans que ca se sache. Nous avions acquis la faculté de ne pas faire vibrer nos cils ou rouler nos yeux et cela très longtemps.
Nous avons ainsi bernée notre pauvre maman plus dune fois et nous nous relevions aussitôt quelle était couchée. Voilà pour la petite histoire.
Je disais donc que cétait un léger frottement qui me réveillait. Bien sur je pourrais tout simplement ouvrir les yeux, mais cest mon genou que lon touche et de façons étranges. Tout mes sens se réveillent dun coup.
Jutilise donc la méthode des jumelles infernales, pour voir sans être vue.
Cest un homme assit en face de moi, mais coté centre. Il doit avoir entre quarante cinq et cinquante ans. Il a les cheveux poivre et sel, présente bien et est plutôt pas mal.
La rame semble presque vide. Personne près de nous, juste un couple à lautre bout du wagon.
Lentement, je penche la tête en avant, comme le ferait une personne endormie. Je peux ainsi voir mes genoux.
Dans mon sommeil, je me suis détendue et mes jambes se sont légèrement écartées. Si je veux continuer à faire croire que je dors, je ne dois pas les refermer.
Lhomme a collé son genou contre le mien. Je le vois qui se penche pour regarder sous mon imper. Il doit entrevoir mon minou, libre comme lair.
Ca mexcite et même si jai peur, je me sens mhumidifier malgré moi.
Ne pas bouger.
Il se glisse sur la banquette et se place face à moi.
Mes cuisses nétant pas suffisamment écartées, il ne peut glisser quun genou entre les miens.
Un frisson me parcoure lorsque je le vois se pencher vers moi. Délicatement, il défait le dernier bouton de mon imper. Il fait si doucement, que je ne sens presque rien.
Puis, il se redresse et sadosse à sa banquette en glissant ses fesses vers le bord de celle-ci. Son genou est maintenant très au dessus du mien, presque à mi-cuisses.
Il ne bouge plus un court instant, sans doute pour voir si je ne me suis pas réveillée.
Rassuré, il entreprend décarter mes jambes à laide de son genou. Doucement. Un peu à droite. Un peu à gauche. Encore une fois. Encore.
Mes cuisses se décollent lune de lautre et ne se touchent plus. Ma chatte est surement très visible maintenant.
Il se penche de nouveau et défait un second bouton.
Il mécarte encore un peu et mon imper souvre, jusquà la ceinture.
A chaque station, je tremble de peur que quelquun ne monte. Lui, ne semble pas inquiété du tout. Il défait sa braguette et dégage son sexe de son caleçon. Il bande fort et prend son membre à pleine main.
Je le regarde se branler doucement.
Voit-il ma fente couler ? Je lignore, mais il se penche et y glisse un doigt de bas en haut. Lorsquil frôle mon clito, jai toute les peines du monde à rester de marbre.
Puis il le porte à ses narines, le hume un instant et le lèche.
Jentrevois ses yeux. Ils brillent dexcitation. Il respire fort et semble avoir très chaud.
Moi aussi, jai chaud, mais en dedans. Je sens mon puits damour bouillir denvie et le feu monte jusquà mon ventre.
Il me caresse plus fort et écarte mes grandes lèvres avec précaution.
Mais il arrête dun coup.
Nous venons dentrer en station. Quelquun serait-il monté ? Je nai pas entendu de portes souvrir.
Sans doute a-t-il eu peur de me réveiller en allant trop loin ou trop vite.
Il profite des secousses du départ, pour défaire deux des boutons du haut. Il attend un peu et écarte mon imper. Je sens comme un courant dair sur mes seins et mes pointes se dressent dun coup.
Je nen peux plus.
Lui non plus, semble-t-il.
Il craque et me saisit un sein tendit quun doigt de son autre main senfonce dun coup en moi.
Je ne peux plus faire semblant plus longtemps. Jouvre les yeux en grand et plonge mon regard dans le sien en aspirant une grande bouffée dair.
Il semble hésitant un instant.
-Oh ! Je
je
Mais devant mon corps qui se cambre, semblant accepter les caresses, un sourire se dessine sur ses lèvres. Je le sens nerveux, tremblant fébrilement.
Je nai plus peur et me laisse emporter dans ce délire. Je défais rapidement ma ceinture et fait sauter les deux derniers boutons. Limper grand ouvert, mon corps désormais entièrement dénudé et offert, je le laisse me palper, me branler, me pincer mes pointes gonflées. Il se penche et embrasse, lèche mes seins.
Ses doigts qui me fouillent font monter mon plaisir. Je vais jouir.
Emportée par mon orgasme, je ferme les yeux de nouveau.
Mais soudain, une main se pose sur mon épaule et une voix de femme me fait tressaillir.
« Mademoiselle ! Mademoiselle ! »
Jouvre les yeux et là, durant quelques secondes qui paraissent des heures, je ne sais plus ou je suis. Je ne comprends pas.
Avachie sur mon siège, jai toujours les mains dans mes poches.
Cest une jeune femme qui me secoue doucement. Face à moi, une grand-mère me fait des yeux noirs. Près delle, un type bave en contemplant mon entrejambe. Mais le plus terrible, cest que la rame est bondée et des dizaines dyeux sont tournés vers moi.
Je me suis endormie et jai fait le plus exquis des rêves, mais le retour à la réalité est brutal et violent.
Je me redresse et serre les jambes. Mais il est trop tard. Le mal est fait.
La mamie se déchaine.
« Hoooo ! Si ce nest pas une honte de voir ca ! Petite putain ! Vous vous rendez compte, si cest pas malheureux de voir ca ! »
La jeune fille qui ma réveillée est aussi rouge que moi. Gênée, elle me conseille de descendre à la prochaine station.
Je me lève et reçois un coup de canne de la part de la grand-mère. Mais je ny prête pas attention. Cela nest rien comparé à langoisse de devoir fendre la foule des voyageurs qui me séparent de la porte.
Je me faufile tout en mexcusant mais, une femme qui sest montrée comme je lai fait, ne peut pas espérer être respectée. Jen fais la cruelle expérience.
Des types excités me mettent la main au cul. Visiblement, ils sont toute une bande et se connaissent, pour mon plus grand désespoir.
Mon imper est relevé et des mains tentent de me fouiller, aussi bien devant que derrière.
« Sil vous plait ! Laissez-moi passer ! »
« Une ptite partouze ! Ca ne tintéresse pas une ptite partouze ? »
« Laissez-moi ! »
« Fallait pas nous aguicher, chérie ! »
« Vas y, fais voir tes nibards, salope ! »
« Touche ma queue ! Regarde comme je bande ! »
« Putain ! Mais tes à poil là dessous, salope ! Merde ! Je le crois pas ! Elle est à poil, la pute ! »
Je suis assaillie de toute part et jai toute les peines du monde à atteindre la porte.
Enfin ! Les lumières dune station, au-dehors de la rame, inondent celle ci.
La porte souvre et je bondis à lextérieur en parvenant à me libérer de quelques mains encore agrippées à mon imperméable. Je me réajuste rapidement, tout en courant dans un couloir qui se présente face à moi.
Apres une course effrénée, je mengouffre vers une sortie et je me retrouve à lair libre.
Sans réfléchir, encore choquée par cette curieuse expérience, je me précipite dans une brasserie et je minstalle à la table la plus éloignée de la porte.
Je suis rouge. Je transpire et je tremble.
« Ca va, mademoiselle ? »
Cest le serveur qui sinquiète.
« Oh ! Heuu. Oui, oui, ca va. Juste un petit souci. Merci. Je prendrais un café, sil vous plait. Un café, et un cognac. Merci. »
Il me faudra bien ca pour me remettre.
Une minute plus tard, jai avalé mon café et je bois mon alcool par petites gorgées.
Soudain un type se dresse devant moi.
Trente ans au plus, rond et pas bien grand. Son look laisse à désirer et je ne le trouve pas très agréable à regarder. Je dirais même quil est laid.
Devant mon inquiétude surement palpable, il tente de me rassurer.
« Ne vous inquiétez pas. Jétais dans le métro. »
« Vous mavez suivi ? Laissez-moi, sil vous plait.»
« Ho ! Non, non ! Je ne vous ai pas suivi. Je vous ai aperçu en sortant de lautre coté de la place et je me suis dis
»
Il semble gêné, voir même intimidé.
«
Non, bien sur. Je suis un idiot. Je rentrais chez moi et je me demandais si vous
Je suis ridicule. Excusez-moi. Je men vais. »
Il tourne les talons et sort de la brasserie.
Joublie très vite cet incident, et sors à mon tour après avoir avalé le reste de mon cognac.
Plus question de reprendre le métro aujourdhui. Je cherche un taxi, lorsque japerçois lhomme de la brasserie attendre quun feu tricolore passe au rouge, pour traverser.
Quest ce qui me prend. Je commence à le suivre.
Est-ce la curiosité ? Lalcool qui me tourne la tête et me fait faire une nouvelle bêtise ?
Finalement, je cesse de me poser des questions et je poursuis ma filature incognito.
Elle est de courte durée car à un carrefour il se retourne et maperçoit. Il semble hésiter un instant, puis il reprend son chemin.
Quelques minutes plus tard, il arrive devant la porte dun immeuble cossu. Il tape le code daccès et entre. Je vois sa main retenir la lourde porte pour quelle ne se referme pas.
Mon cur se met à battre la chamade.
Que faire ?
Je peux très bien men aller, mais ce type est étrange. Il semble timide mais il a tout de même eu laudace et, ou, le courage de maborder.
Je ne risque rien à discuter avec lui, à essayer de comprendre ce quil cherche.
Je ne pense pas quil me saute dessus et puis il sera toujours temps de partir si ca tourne au vinaigre.
Je pousse la porte à mon tour.
Jespère quil a du cognac. Une autre rasade me ferait le plus grand bien, pour que cesse les tremblements de mes jambes.
Sans un regard pour moi, il monte jusquau quatrième étage. Il semble mignorer totalement.
Arrivé sur le palier, il emprunte un couloir. Je suis plusieurs mètres derrière lui. Je ne le vois plus. Jentends une clef dans une serrure.
Mon courage semble me quitter dun coup et je bredouille en direction du couloir.
« Je suis désolée. Ce nest pas une bonne idée, je crois. Je préfère men aller. »
Pas de réponse.
Je descends quelques marches et je marrête pour écouter. Pas un bruit.
Cest plus fort que moi. Je remonte doucement et penche la tête dans le couloir.
Je vois cinq portes de chaque coté. Une est entrebâillée. Cest surement la sienne. Il doit encore espérer que je change davis.
Je pousse la porte doucement pour jeter un il discret à lintérieur.
Japerçois un petit vestibule. Une porte donne dans une minuscule cuisine, une autre sur ce qui semble être une salle de bain, et encore une sur une pièce plongée dans le noir.
Je gratouille la porte avec mes ongles.
« Hou hou ! Vous êtes là ? »
En guise de réponse, je perçois un cliquetis continu et une lueur dans la pièce sombre.
« Vous êtes là ? Je peux entrer ? »
Evidement que je peux. Cest même surement son vu le plus cher.
Je ferme la porte dentrée derrière moi et je mapproche de la pièce.
Le cliquetis est produit par un projecteur super huit. Posé sur une table, il renvoie des images sur le mur den face. Il sagit dun film porno, semble til très hard.
Une télévision sallume également dans un coin, sur le même genre de film.
Je fais un pas dans la pièce. Mes yeux shabituent tout doucement à la pénombre.
« Vous êtes là ? »
Au-delà de la table, derrière le rideau de lumière du projecteur, japerçois deux chaises, contre le mur. Il est là, assit sur lune delle
nu. Il est complètement à poil et se masturbe en regardant ses films.
Je crois bien être tombée sur un détraqué.
Des revues pornos jonchent le sol, mêlées à des cassettes et des boitiers de films du même genre. Il y en a des dizaines et des dizaines. Impossible de ne pas marcher sur certain.
Un lit dune place dans un coin, nest pas épargné, et est lui aussi enseveli par une tonne de magazines. Pas de cadres aux murs, mais des posters de femmes nues un peu partout.
Je crois commencer à cerner le personnage.
Je limagine casanier, un peu sauvage. Très certainement ultra timide et pas sur de lui, surement par rapport à son physique. Ca expliquerait quil mait ignoré, ne pensant certainement pas arriver à mattirer chez lui. Maintenant que je suis là, il doit être un peu paniqué, alors il vit sa vie sans soccuper de moi. Il a même peut être peur.
Puceau ? Je nen serais pas étonnée.
Je dois être folle de rester là, mais je commence à mattendrir sur cet étrange personnage. Jimagine difficilement une vie sans sexe. Pour un homme ce doit être terrible de ne pas pouvoir tenir une femme dans ses bras.
Finalement, que lui reste til comme solution, sinon de se masturber devant des films.
Pauvre homme.
Je massieds près de lui. Il reste sans réaction. Il ne tourne même pas la tête.
Je prends sa main libre et la pose sur ma cuisse. Il la laisse ainsi, sans la bouger, tandis quil continu à se masturber de lautre.
Il bande fort. Son gland violacé brille dans la pénombre. Je vois les veines qui courent le long du membre, gorgées de sang. Sa bite est belle, appétissante.
Je ne résiste pas à lenvie de le branler moi-même. Il me la laisse bien volontier et lâche sa queue.
Elle est douce et brulante et javoue ne pas en avoir déjà vu ni eu de si grosse entre les doigts. Je ny tiens plus. Je me jette à ses pieds, et laisse glisser le pieu de chair chaude entre mes lèvres. Jai bien du mal à lengloutir entière, tant elle est longue. Je le suce et le masturbe tout à la fois.
Je lentends respirer fort. Je suis heureuse darriver enfin à lui soutirer un semblant démotion.
Je fais courir ma langue jusquà ses testicules. Je les déguste tour à tour, puis remonte lentement jusquà son gland. Les gouttes de liqueur transparente, qui sen échappent, me laisse à penser quil nest plus très loin de jouir.
Je veux lui porter lestocade.
Je me relève et me place tout près de lui. Doucement, je déboutonne mon imperméable, puis je défais la ceinture. Je le laisse sentrouvrir tout seul. La lumière du projecteur éclaire la peau blanche de mon ventre, du v entre mes seins et ma fente humide.
Lui, reste imperturbable et continu à se caresser frénétiquement en regardant son film.
Il en devient vexant.
« Regarde-moi ! Je ne te plais pas ? »
Pas de réaction.
Jai très envie de partir, mais cet idiot ma excité comme une puce et je ne partirais pas sans jouir.
Je fais glisser mon manteau et je le laisse tomber au sol.
« Regarde-moi ! Touche-moi ! Regarde, je suis nue pour toi ! Je suis à toi ! Caresse ma chatte, elle est trempée ! Humm ! Jai envie de toi ! »
Mais il ne change rien à son attitude.
En désespoir de cause, je me jette à quatre pattes et plonge ma tête dans mes mains. Mon cul et ma chatte tournés vers lui, je me cambre fort et attend. Je lui laisse cinq minutes et je partirais.
Mais soudain le miracle se produit enfin.
Il se jette sur moi sans aucune tendresse. Il me défonce littéralement, se plantant avec force dans mon ventre, heurtant mon pauvre utérus à chaque coup de rein.
Je jouis. Enfin, je jouis de toutes mes forces, encore et encore. Toute mon énergie semble séchapper de ma chatte en long jet de liquide bouillant.
« Bouffe-moi la chatte ! Bouffe-moi ! Je ten supplie, suce moi le clito ! Humm ! Ahhhh »
Il se moque bien de mes envies. Il libère mon vagin et je ressens une violente douleur dans mon cul. Il me la prit dun coup, sans sommation. Heureusement pour moi, mon plaisir est au summum et la jouissance prend le dessus.
« Oh ouiii ! Jouis dans mon cul ! vide-toi dans mes intestins ! Ouiii ! Remplis-moi vite ! »
Jai comme un gout de victoire dans la bouche lorsque je sens la liqueur bouillante menvahir enfin. Il me déverse une quantité impressionnante de foutre au fond du ventre. Cest un vrais bonheur de lentendre mugir derrière moi.
Il sextirpe comme il est entré, sans tendresse. Il se rassoit sur sa chaise et reprend le cours de son film.
A mon grand étonnement, il bande toujours et recommence à se masturber.
Sans lui demander son avis, je fais un saut dans la salle de bain. Ce nest pas trop clean, mais je fais avec. Deux trois godes trainent ici et là. Je me demande bien ce quil peut en faire.
Je retourne dans la pièce et ramasse mon imper. A mon grand étonnement, il madresse la parole.
« Tu ten va ? Je te veux encore. »
« Hum ! Tu ne serais pas atteint de priapisme, toi ? Jai limpression que tu pourrais me baiser toute la journée, sans jamais débander. »
« Je pourrais pas. Au bout dun moment, ca fait mal. Tu veux bien rester encore un peu ? »
Son envie de moi surpasse sa timidité.
« Ok ! Mais tu me rends un service. »
« Lequel ? »
« Je vais te donner un numéro de téléphone et tu demandera à parler à monsieur Roger. Tu lui diras que la fille du métro sappelle Marion. Il comprendra. »
« Oui, Marion, je le ferais. Promis. »
Je fini par avoir de la tendresse et de la compassion pour cet homme que la vie na pas gâté physiquement.
Je lenjambe et je mempale sur son membre. Jécrase ma poitrine contre son torse et je monte et descends doucement.
Je lui offre son premier baiser, jen suis presque certaine. Je lembrasse dans le cou, lui mordille le lobe de loreille. Je caresse sa nuque de mes ongles. Il respire fort.
Ce quil connaissait de lamour, il ne la apprit que par les films pornos. Il ne devait surement pas se douter que cela pouvait être aussi, très doux et très tendre.
Cest avec des larmes aux yeux quil me remplit de nouveau, sans violence cette fois.
Avant de partir, je lui demande pourquoi il y a des godes dans sa salle de bain. Jen ai même trouvé deux dans les toilettes.
« Cest pour que si les filles elles ont envi. »
Évidemment. Suis-je bête.
Une fois dans le couloir, jécoute à la porte. Il tient parole et je lentends téléphoner.
« Monsieur Roger ? Je vous appelle de la part de la fille du métro. Oui, oui, je la connais bien. Je la baise très souvent. Elle ma dit de vous donner son prénom. Elle sappelle Marion.
Moi ? Je lai rencontré dans le métro. Elle ma montré sa chatte et
»
Je manque dexploser de rire et je redescends dans la rue.
Japerçois un taxi.
« Taxi ! »
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