Au Ciné
Dans un des rares cinémas pornos qui restent, je regarde un film de cul débile des années 70. Je remarque un type qui vient dentrer et qui se tient debout dans lallée, le temps que ses yeux shabituent à lobscurité. Il est massif, la cinquantaine, visage fermé, moustachu, cheveux drus : on dirait un ouvrier turc ou quelque chose comme ça.
Il finit par jeter un coup dil à la rangée où je suis le seul à être assis, et il sy met, à 3 ou 4 sièges de moi. Je lui lance des regards : il a toujours les yeux fixés sur lécran.
Il mexcite à fond. Jaime pas trop prendre le risque de mhumilier, mais jai trop envie. Tant pis, je me lance : je me lève, et je me décale pour venir masseoir juste à côté de lui. Il me jette un coup dil puis de nouveau, regarde lécran. Au bout de 30 secondes environ, il commence à déboucler sa ceinture, à ouvrir sa braguette, à baisser son slip. Sa bite pend.
Ce qui mépate le plus, cest pas sa bite elle-même, de taille moyenne, mais lincroyable fourrure de poils noirs qui lentoure. Jallonge ma main et jy plonge les doigts. En la caressant, je remonte un peu son polo et je constate que tout son bas ventre jusquaux cuisses est couvert de poils. Une odeur de bouc sen dégage.
Il continue de regarder le film sans soccuper de moi. Sur lécran, une gonzesse est en train de faire une pipe super baveuse à un jeune mec bien monté. Le turc, qui commence à bander assez fort, me met la main derrière le cou pour mattirer vers son entrejambes.
Je viens me mettre à genoux entre ses cuisses et, tout en sortant un capote de ma poche, je commence à enfoncer mon visage dans sa fourrure. De près, ça pue super fort le fauve : je respire cette odeur à fond, ça mexcite de incroyablement !
Je lui enfile la capote en vitesse puis je me mets sa bite bien au chaud dans la bouche. Maintenant quelle bande bien fort, elle est assez grosse et son gland vient me taper le fond du palais : avec le nez dans ses poils qui schlinguent comme une écurie, jadore !
Je le suce longuement comme ça : il na pas lair pressé, et moi je me délecte de son odeur insoutenable et de son membre dur.
Puis, le film se finit sans prévenir, et la lumière sallume dans la salle. Pris de court, je me redresse, mais appuyant de sa main vigoureuse sur ma tête, le turc me force à me rebaisser et à continuer de sucer. Je résiste un peu mais sa pression se fait plus forte. Des mecs se lèvent et nous regardent bizarrement en passant dans lallée. Jimagine le spectacle : moi à genoux, penché dans la fourrure noire qui déborde du pantalon de ce type, avec sa bite rose qui jaillit de ses poils pour venir sengouffrer dans ma bouche, le gland bien calé au fond du palais
Je vois même un type qui était venu sasseoir dans notre rangée nous regarder puis se lever et partir tant le spectacle avait lair de le gêner ! Je suis ravagé de honte, mais ça mexcite de façon inouïe.
Le turc aussi a lair dapprécier mon humiliation, car sa queue se durcit encore : je sens son gland se gonfler dans ma bouche, il se tétanise en mappuyant fortement sur la tête et en grognant, et finit par jouir dans deux ou trois coups de rein assez brutaux qui me font pénétrer son gland dans la gorge et mécrasent le nez dans ses poils à lodeur de cage aux lions.
Quand lobscurité revient et quun nouveau film commence, je sors du cinéma la gorge endolorie. Je rentre chez moi et me branle au moins 5 ou 6 fois, tant son odeur dont je suis imprégné continue de mexciter.
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