Corinne Et Le Vieux Paul : Salope À Domicile
Enfin Mardi ! Durant toute la semaine, jai pensé à mes ébats avec le vieux Paul et je nai plus quune idée en tête : Recommencer et aller plus loin avec lui
Nous sommes en début daprès-midi, et conformément à mon planning, je me rends chez Paul pour sa toilette et le ménage. Je sais dinstinct quil va vouloir me baiser quil sera plus pervers que la dernière fois. Peut-être me prendra t-il par le cul cette fois ? Tout en conduisant, jimagine la scène et son gros gland dilatant mon anus et jen mouille déjà mon string
Quatorze heures ! Je sonne à la porte du vieux Paul. Il vient mouvrir, encore en pyjama et sefface pour me laisser entrer. Il en profite immédiatement pour me peloter les fesses au passage. Je joue faussement lindignée
- « Non mais, vieux cochon!»
Il rit franchement et recommence de plus belle :
- « Allez fais pas ta mijaurée, tes venue chercher ta ration de bite auprès du vieux Paul ? »
Je lui souris. Il ny va pas par quatre chemin, plutôt direct le vieux ! Dans le salon, alors que jenlève ma veste, il se colle à moi et me taquine déjà les seins.
-« Alors, tu tes fait baisée par ton cocu de mari lautre soir, après être sortie de chez moi ? »
Je massois sur le canapé et lui raconte ma mésaventure. En effet, à peine rentrée à la maison, jai pris une longue douche et me suis brossé les dents pour faire disparaître toute trace suspecte. Le soir, dans le lit conjugal, mon mari comme souvent a voulu me sauter. Je lui ai fait rapidement une petite pipe, puis il ma prise en missionnaire
à peine 10 minutes, cétait pathétique
Il a eu lair inquiet et ma dit quil me trouvait plus large que dhabitude. Jai dû lui raconter un bobard, et jai prétexté lexcitation. Sil savait que je me fais enfiler par devant et par derrière par des queues presque 4 fois plus large que la sienne !
Paul rit franchement à mon histoire puis caresse mes longs cheveux bruns.
Paul veux que jhumidifie sa queue. Je magenouille, et le prend délicatement dans ma bouche, son odeur de foutre et durine maintenant ne me dégoûte plus. Au contraire, elle fait monter mon excitation. Je mapplique à nettoyer avec ma langue chaque repli sous son gland, salive bien dessus. Ça fait un effet buf au vieux Paul. Il saisit ma tête et me baise la bouche avec énergie.
- « Allez salope, bouffe moi bien la bite, comme çà, prends-la en entier, oui à fond
»
Il me permet enfin de respirer, je me redresse et lui enlève sa veste de pyjama. Je lui chuchote à loreille :
- « Hummm, tu bandes déjà fort, tu as vraiment une grosse bitte, vieux cochon
Allez viens mempaler maintenant, je veux te sentir écarteler ma petite chatte.»
Je mappuie sur le canapé, fesses relevées :
- « Allez vas-y fourre la moi tout au fond, en levrette.»
Le vieux se penche dabord sur mes fesses et bientôt sa langue fouille mon vagin et titille mon clito. Il sait vraiment bien y faire et je mes sens fondre :
- « vas-y enfonce bien ta langue dans mon trou, tu me rends folle ! »
Paul jubile, après quelques minutes de préparation, il présente sa queue à lentrée de ma grotte et sy enfonce plus facilement que la première fois.
- « Tiens petite garce, prends çà ! Putain que ta chatte est chaude et bien lubrifiée, un vrai four ! »
En effet, je mouille comme une malade et sa queue coulisse merveilleusement bien dans mon vagin:
- « Vas-y, défonce-moi la chatte, donnes-moi des grands coups comme çà, baise-moi bien fort, hooo... »
Il me baise vraiment bien, avec vigueur, presque mieux que Kader, mon amant attitré. Il a du être un sacré mec viril pendant sa jeunesse.
- « Lime bien lentée de ma chatte avec ton gros gland... Cà te plait vieux salop quand je te caresse les couilles en même temps ? »
Mon langage cru le transcende. Il claque son bassin plus sèchement contre mes fesses, accélère encore sa cadence diabolique. Le nez dans les coussins, jécarte mes fesses au maximum pour bien profiter de cette pénétration hors norme. Mon anus, alors bien en évidence néchappe pas aux doigts inquisiteurs du vieux :
- « Vas y là, je vais jouir, là, ça arrive, Hooo oui ! Mets tes doigts, claque fort, jadore ton pouce dans mon cul, haaaa, je jouis, cest trop fort, haaaa, encore !»
Paul commence à se raidir, il va bientôt jouir.
- « Haaa, je vais cracher ma purée, je peux plus retenir, cest trop , je vais venir, attends
»
Il se retire en comprimant la base de sa verge qui déjà montre des spasmes. Je me retourne vers lui, jai une envie folle de sentir sa semence sur ma langue. Je prends son sexe en main et le regardant dans les yeux. je lui dis ce quil semble attendre :
- « Regarde, je te lèche bien la bitte, je vais te pomper à fond. »
Je le suce un peu mais je sens bien quil ne peut plus se retenir. Je sors ma langue et la darde alors contre son gland. Paul est au supplice :
- « Attend ça vient, tu demandes que ça hein, je vais tout te donner. »
Je glisse trois doigts dans ma chatte béante et accélère ma fellation. Avant quil ne jouisse sous ma caresse salace, jai encore le temps de lui dire vicieusement :
- « Envoie ta purée dans ma bouche, voilà çà vient, cest chaud, cest bon, encore ! HUMMMPF.
Son éjaculation est alors immédiate. Elle est aussi intense que lautre jour. Le foutre déborde de ma bouche. Jen avale le plus possible mais il coule sur mon menton et ma poitrine.
- « Bordel, cest bon, quelle bonne suceuse tu fais, tiens prends tout ma belle baiseuse, prends tout dans ta bouche de salope et avale! Haaaa, tiens, lèche tout jusquà la dernière goutte. »
Je me mets à lui aspirer les couilles, il se branle au dessus de mon visage pour que les dernières gouttes tombe sur ma langue. Il métonne alors en me roulant une pelle magistrale alors que jai les lèvres encore souillées de sa semence. Les doigts toujours fichés au fond de mon vagin, jai alors un second orgasme plus long et plus intense que le premier.
Nous sommes exténués. Nos galipettes ont été aussi intenses que la dernière fois. Il nous faut reprendre conscience doucement. Allongée sur le dos, je récupère mon paquet de cigarettes dans ma blouse et en allume une. Les premières bouffées me font beaucoup de bien, mon cur reprend un rythme presque normal. Ce vieux cochon de Paul est allongé à côté de moi, il me caresse la chatte, son pouce frotte contre mon clitoris. Il me demande comment jai trouvé sa performance :
- « Jai bien senti ta bitte, elle était bien épaisse, une baise royale comme jaimerai en connaître plus souvent ».
Paul membrase de nouveau. Il me mordille le lobe de loreille pendant que je caresse à nouveau son gros mandrin bitte. Il en profite alors pour me susurrer très excité:
- « laisse-moi un petit quart dheure pour récupérer, après je vais bien te casser le cul ».
Je termine ma cigarette en souriant aux anges. Après un clin dil, je lui réponds :
- « Décidément mon vieux salop, tu as de la ressource. Et avec une queue pareille çà va être délicieux dans mon cul, une fois bien ouvert
»
A SUIVRE... (si vous avez aimez, dites-le).
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