Ma Première Sodomie

Voici le récit de ce qui fut ma première pénétration par une queue masculine.

A l’époque, j’avais 25 ans, j’avais l’habitude de fréquenter de prostituées à la sortie du travail, afin qu’elles me doigtent pendant que je me branlais. J’étais encore puceau et n’avais jamais fait l’amour avec une fille. Mes jouissances étaient causées par l’introduction d’objet divers dans l’anus. J’étais timide et ne savais ni n’osais aborder une fille. Comme je travaillais en horaires décalés, j’étais libre en début d’après-midi une semaine sur deux. Ces semaines, je prenais ma voiture et partais à la recherche d’une professionnelle pour me branler mon petit trou.

Je commence donc ma recherche vers la Porte Maillot et je repère très vite une charmante blonde qui faisait apparemment du stop. Je m’arrête, la discussion est très brêve et elle monte à mes côtés. Arrivés à son studio, pas très éloigné, nous montons et je me déshabille pendant qu’elle part dans la salle de bain.

Une fois nu, accroupi sur le lit, je la vois revenir vers moi. Comme je lui demande si elle a un gode, elle me répond en souriant :

« Tu es sûr que tu ne veux pas mieux qu’un gode ? »

Je la regarde d’un air surpris et elle baisse sa culotte devant moi, culotte d’où s’échappe une queue, un vrai sexe. Je dois dire que c’était la première fois que je voyais une autre queue que la mienne, du moins en réalité. Je ne sais quoi répondre mais je dois avoir un tel air gourmand qu’elle rigole et me dit de me mettre à quatre pattes sur le lit, ce que je fais comme dans un rêve. Jamais je n’aurais pensé à cette chance. Déjà que je n’osais pas aborder une fille, alors là, un mec avec un sexe, pensez donc.

Elle se place derrière moi, me caresse la rosette avec sa main puis elle lubrifie sa queue, du moins c’est ce que je pense vu qu’elle est derrière moi et moi la tête dans les étoiles.

Les choses sérieuses commencent rapidement, elle approche sa queue de mon anus et doucement, lentement, elle me pénètre.

Elle est douce, elle me caresse le dos, les fesses, elle m’encourage, je ne pouvais rêver mieux comme initiation.

Une fois en moi, elle entreprend des va-et-vient d’abord lents puis plus rapides mais toujours avec une douceur que je n’oublierai jamais. En fait, elle me fait l’amour. Les choses durent quelques minutes, je gémis tellement c’est bon, je me caresse pendant qu’elle me prend et je jouis presque en même temps qu’elle. Je dis « elle » car c’est vraiment le sentiment que j’ai eu pendant tout le temps.

Puis elle se retire, toujours doucement, et va se laver, moi aussi. C’était avant le Sida, elle n’a pas mis de capote et je n’y avais même pas pensé, tout acquis à mon bonheur d’un moment.

Quarante ans après, je m’en souviens encore et lui suis toujours reconnaissant.

Je dois dire que depuis, je me suis fait sodomiser par de nombreux mecs, parfois doux eux aussi, mais je n’ai jamais retrouvé une telle tendresse pendant l’acte.

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