La Fille De La Borde

J’aime me délacer en faisant de la photo. Oh, pas comme maintenant où il suffit d’un de ces nouveaux appareils électroniques plein de pixels. Non j’aime la seule, la véritable photo argentique en blanc et noir ou en couleurs, avec un appareil normal, des produits chimiques, un agrandisseur et les trucages que je peux faire. J’ai encore mon vieux Minolta, increvable avec l’optique nécessaire, que je porte toujours avec moi. Aujourd’hui je suis en ballade pour filmer les gorges du Tarn surtout pour terminer ce que j’ai entamé il doit y avoir 5 ans. Je suis sur le Point Sublime, je détaille avec une paire de jumelles. Je prends trois ou quatre clichés, fait un tour d’horizon avec les jumelles.
Mon regard est attiré par un buisson qui remue. Intriguée de reste en sentinelle pour surveiller. Un sanglier peut être ? La curiosité est dit-on un vilain défaut, alors j’ai un vilain défaut. J’ai eu raison d’insister je vois une femme jeune qui sort en se rhabillant.
Que peux bien faire un femme se rhabillant sur le causse de Sauveterre? Elle doit obligatoirement passer près de moi. Je le lui demanderai.
Plus elle approche plus je la trouve jolie. Je ne sais même pas si elle m’a vue.
- Bonjour, il y a peu de monde aujourd’hui sur le causse.
- C’est vrai. Que faites vous ?
- Je prends des photos pour mon album spécial Tarn.
- C’est bien, il fait chaud.
La conversation traine et j’ai horreur de ça.
- Que faisiez vous là bas derrière le buisson.
- Moi ? Rien de particulier, sinon que je passais le temps.
- Passer le temps derrière un petit buisson, drôle de délassement.
Elle rougit un peu,
- A dire vrai, je passait le temps à ma façon, je …….
Je commence à de douter de ce qu’elle faisait. Tant pis je fonce, tête baissée vers un emmerdement.
- Je pari que vous étiez nue et que vous vous caressiez.
- Je n’étais pas nue, il y a trop de pierres.
- J’ai raison pour la suite?
- Ca ne vous regarde pas.


- C’est vrai, n’empêche que je parierais que j’ai raison. Vous savez il n’y a rien de honteux à se faire du bien. Je me masturbe aussi souvent, quand j’en ai envie, comme maintenant. Voyez je suis franche: dès que vous partirez je me caresserai jusqu’à jouir.
Elle est charmante quand elle rougit:
- Si vous voulez je peux rester près de vous pour vous rendre service.
- Tient donc, ma rendre service, en faisant quoi ?
- Ce que vous voudrez, vous savez j’ai déjà fait l’amour avec des filles en pension à Mende.
Voila qui change tout, trouver une complice sur ce coins perdu. Après tout pourquoi pas. C’est bien mieux à deux que seule. J’embarque mon matériel dans la malle, la fait monter en voiture et lui demande où nous pouvons aller.
- On peut aller chez moi, c’est la borde juste à coté, j’y suis seule jusqu’à demain matin.
Elle me faut aller vers une grosse ferme en pierre aux ouvertures petites. La cour est peuplée de volailles de toute sorte. En entrant dans la maison, la première chose que je ressent est la fraicheur.
Elle ne compte pas faire l’amour avec moi comme ça rapidement. Non, elle vient près de moi, tend ses lèvres pour que je l’embrasse. Je ne refuse pas le baiser. Je pose mes lèvres sur les siennes, ma langue force un peu pour entrer dans sa bouche. Je la prends dans mes bras pour la serrer contre moi. Elle passe un bras autour de mon cou. Je sens ses petits seins contre les miens. Elle me donne envie d’elle encore plus, maintenant. Il y a surtout que je n’ai pas fait l’amour depuis un bout de temps, depuis que ma copine est parti il y a deux mois. Je sens que je ne vais pas ménager ma conquête.
C’est-ce qu’il y a de bien avec les filles, nous pouvons faire l’amour souvent à la suite et de plus en plus rapproché longuement, alors qu’avec les messieurs ils callent généralement au bout de 4 ou 5 fois au maximum dans une nuit.
Ma bouche se déplace vers son cou. Je lui donne des frissons. Je trouve le crochet qui ferme son chemisier en dentelle, s’il vous plait.
Je reste est une simple fermeture éclair: c’est-ce vêtement qu‘elle arrangeait tout à l’heure quand je l‘ai vu. Elle se laisse faire avec quelques réticences. Je peux maintenant caresser ses épaules et passer mes mains derrière son dos pour défaire son soutif. Elle a compris enfin ce que je faisais. Sa poitrine jaillit d’un seul coup. Ses seins sont ceux d’une fille de 16 ans. Pourtant je crois bien qu’elle m’a dit qu’elle avait 18 ans passés. Pour qu’elle ne soit pas trop effrayer, j’enlève mon t-shirt et mon soutien gorge. Elle regarde mes seins. Dans un mouvement d’affection elle les embrasse maladroitement.
Nous voilà comme des gamines à nous embrasser les seins nus. Je vais lui montrer comment une vrai femelle est faite: j’enlève mon jean et mon string en lui tournant le dos. Je ne me retourne que quand je suis à poils totalement. Elle ne se gêne pas pour me toiser. Son regard est fixé sur ma toison. Je la veux toute nue elle aussi. D’elle-même elle le comprend et se déshabille rapidement en me faisant face. Moi aussi je fixe sa toison, moins fournie que la mienne. Que j’ai envie d’y mettre ma bouche !!! Nous nous serrons encore pendant un long baiser. Je colle mon pubis contre le sien: elle ne s’écarte pas.
J’ai envie d’elle ici, dans cette grande salle. Je la pousse vers la grande table. Elle ne peut faire autrement que de se laisser aller. Son corps est allongé sur la table, je prends ses jambes sur les épaules quand je suis baissée. Mes lèvres œuvrent entre ses cuisses. Je lèche ou embrasse tout de qui va de ses genoux à sa chatte. Je sens, quand j’arrive juste à proximité de son sexe, la cyprine qui commence à jaillir de sa source normale. Ma langue va se régaler. Elle est trop jeune et de doit pas avoir trop d’expérience pour que je lèche n’importe où. Je vais me contenter de son bouton. J’écarte bien ses lèvres pour poser les miennes: je sors ma langue et la lèche doucement, tout doucement. Je la sens frémir quand elle pose sa main sur la tête.
Je sens ses mollets trembler et je vois son ventre se creuser.
- Oui, c’est bon, suces moi encore, même si je jouis. Encore. Et puis je ne suis plus vierge depuis longtemps.
C’est bon à savoir je pourrai me servir du gode, celui de mon sac.
Je la fait jouir après pas mal de temps. Je me demande si je ne sais plus lécher un bouton. L’explication est autre: elle est mal mise sur la table.
Elle se lève, descend de la table, me prend la main et me fait aller avec elle dans sa chambre. Toutes nos affaires sont restées en bas: si quelqu’un entre il comprendra vite ce qui se passe. Cette fois elle prend un peu la direction de nos étreintes. C’est elle qui vient frotter sa poitrine sur la mienne, elle insiste même au point de me faire mouillée comme rarement. Je remet ma main sur son sexe! Elle m’en fait autant, avec sans doute plus de sensualité que je le pensais. Elle zappe mon clitoris pour aller loger deux doigts dans ma chatte. Elle fait des vas et viens digne d’un bonne baise. Fière d’elle de m’avoir faire jouir, elle d’elle, elle m’embrasse encore. Je pensais avoir affaire à une presque débutante, j’ai contre moi une fieffée dévergondée. Elle me fait encore jouir avec ses deux doigts dans la chatte, change d’endroit: elle me caresse l’anus longuement: elle fait preuve de beaucoup de virtuosité quand elle met ses doigts dans mon cul.
Je sens enfin la fille de la campagne qui s’est dévergondée en ville. Elle reproduit sur moi tour ce qu’on lui a fait.
Elle ne me sodomise que parce qu’elle a aimé qu’on le lui fasse.
- Qui t’a appris ça ?
- Une prof.
Tu ne baisais qu’avec elle ?
- Non nous étions trois toujours avec elle, le soir tard quand elle nous demandait de venir la voir. Les premières fois j’avais honte d’être nue devant les autre, maintenant je n’ai pas honte, j’aime.
- Et tu aimes enculer les autres filles.
- Oui, j’aime bien le faire et qu’on me le fasse. Mon copain me le fait presque à chaque fois que nous couchons ensemble.

- Vous allez où ?
- Dans le fenil, derrière la grange.
- Il a une belle bite?
- Je crois: je n’ai jamais vu que la sienne.
Cette conversation venant pendant qu’elle me sodomise m’excité terriblement comme pour elle. Dès ma jouissance, elle vient près de moi pour que je l’embrasse. J’en profite pour lui caresser les seins.
- Est-ce que vous faites des 69 à l’école.
- Bien sur, j’aime bien me faire sucer et sucer un autre con. J’aime lécher un clitoris comme le tient.
- Mettons nous en position.
Elle reste dessous. Je vais donc sur elle ma tête entre ses cuisses. Elle a gardé ses jambes pliées. Je peux donc faire ce que j’aime. Ma bouche suce le bouton pendant que ma langue lèche à l’intérieur le petit bout de chair. Je passe mes bras de part et d’autre de ses cuisses. Je vais directement dans la raie de fesses. Je vais doucement vers son anus. Je vois qu’elle force un peu pour l’ouvrir. Tant mieux. J’entre deux doigts dans son cul et les fait aller et venir en elle. J’aime la voir jouir quand son anus a des spasmes en s’ouvrant et se fermant régulièrement. Elle jouit longuement.
Elle ne m’oublie pas du tout. Elle s’occupe de mon puits. Sa langue sert de bite: elle cherche comme elle peut le point G. Elle finit par le trouver et ne le lâche plus. J’ai un orgasme à répétition. Je suis même obligée d’arrêter ma langue pour arriver à faire à peu près ce qu’elle veut.
Je ne peux plus continuer, alors je me dégage pour aller chercher le gode, dans mon sac. Il est sous tout un fourbi de choses. Je remonte toujours nue: je le vois étendue les jambes écartées, avec sa main presque entière dans son vagin.
Je me penche sur elle en lui tenant la main pour ne pas qu’elle la sorte. Je lui montre le gode:
- Je vais d’enculer, tu veux?
- Oui, mais je garde la main dans mon con.
Elle a tout entré; elle est encore plus sensuelle que je le pensais.
Je passe le gode dans ma bouche pour le mouiller un peu, je le lui mes dans sa bouche également.
Elle écarte encore plus les cuisses. J’ai sous les yeux tout son cul et surtout et c’est excitant sa main qui bouge à peine dans sa moule.
Je pose le gode juste à l’entrée, sur l’anus. Nous nous regardons dans les yeux: moi pour lui signifier que je vais le lui mettre dans le cul, elle pour accepter que j’entre dans son ventre. J’enfonce très doucement l’engin en plastique.
- Mets moi le au fond, complètement, comme me fait mon copain.
Puisqu’elle le demande, je ne fais pas attention à le lui faire en douceur: j’entre d’un seul coup le gode. Elle pousse un cri de surprise. Si elle a mal, je ne peux pas le dire, ce que je sais est qu’elle continue à se donner du plaisir avec toute sa main et que de mon coté, ça ne doit pas être mauvais puisqu’elle accompagne mes mouvements. Prise comme elle est, l’orgasme arrive rapidement. Je sors me gode: elle le regarde pour connaitre la suite:
Pour une fois j’ai envie de jouir comme la plus part des femmes: je plante le gode dans ma conduite. Elle ne l’entend pas ainsi: elle prend le gode et me baise dans les règles de l’art. Elle baise fort bien, mieux, à mon avis qu’un homme. Ses vas et viens sont de plus en plus rapide:
- Je te baise comme me fait mon copain.
- Continue, baises moi encore.
Elle arrive à me faire jouir rapidement: pour elle ce n’est pas assez, alors, elle continue ou recommence à me baiser. Enfin quand elle sort le gode, elle le prend dans sa bouche pour le lécher et déguster la cyprine que j’ai pu y déposer.
Nous descendons dans la grande salle du rez-de-chaussée. Avant de nous rhabiller nous nous caressons vite fait la fourrure.
En sortant je suis éblouie par le soleil. Je me demande si c’est une réalité que je viens de vivre avec une fille aussi « petite fille » et aussi dévoyée.

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