François 4

Soirée imprévue

Marvin. Il n'y a que lui dans ma tête... Marvin. Il n'y a que lui dans ma tête... En repensant à lui, à sa peau, à son corps je me suis mis à bander. J'avais encore envi de lui. Je me suis déshabillé et dans mon lit je me masturbais tout en le visualisant avec moi dans la pièce. Je le voyais m'embrasser, me caresser, me sucer, s'empaler sur ma bite. Tout en me masturbant je faufilais mes doigts dans mon trou et le plaisir que je trouvais me fit prendre pied rapidement. J'éjaculai vite mais ne m'arrêtai pas pour autant. Je me suis masturbé douze fois au cour de cette même journée. Ma queue et mes couilles n'en pouvaient plus, mais c'était plus fort que moi …
Cette image de lui me resta dans la tête tout le reste de la semaine. Au boulot, j'essayais par tous les moyens de l'éviter. Je ne voulais pas le croiser par peur de ce qui pourrait se passer. Je ne le voyais que dans la grande salle commune et la cafétéria et il n'y avait qu'a le voir pour que je me mette à bander. J'ai tout essayé pour parvenir à l'oublier. J'ai couché avec des femmes, mais je ne ressentais plus le même plaisir. Marvin avait envahi mes pensés. Je ne rêvait que de lui tous les soirs depuis notre première fois. Je n'avais plus de repos. Cela durant deux semaines.
Vendredi après-midi, j'étais sur le point de partir quand mon patron fit irruption dans mon bureau. " Désolé François, mais tu dois finir ces dossiers. Je l'attends demain à la première heure. Oh! J'allais oublier, il y a certaines informations que tu devras traiter avec Marvin. Tu as de la chance il n'est pas encore parti."
Marvin. Pourquoi le destin voulait-t-il que nous nous rejoignions? Je sortis de mon bureau et allai vers le sien. Tout fut si calme et si silencieux que je conclus qu'il ne restait plus que lui et moi. Je frappai à sa porte et il me permit d'entrer.
" Quelle surprise! Je doutais bien qu'on allait se revoir un de ses quatre.
– Je ne viens pas de mon plein gré, c'est pour le boulot.


– Eh bien … dans ce cas. Mettons nous au travail.
Je pris place. A mon grand étonnement, nous nous sommes réellement mis à travailler. En aucun cas Marvin n'avait fait mention de sexualité ou de quelque chose en rapport. Et pourtant le simple fait d'être dans la même pièce que lui m'excita. Tandis que nous travaillions je le matais avec l'envi de lui masser les fesses, déflorer l'anus. Je ne sais pas s'il s'en est rendu compte. Au bout d'une heure de temps nous réussîmes à nous défaire de ces dossiers qui auraient pu prendre toute la nuit. Dehors il commençait à faire nuit. Je vis un sourire sur ses lèvres qui ne ressemblait pas à ceux qui me faisait peur. Ça le rendait plus beau.
– Arrêtes de me regarder comme ça, m'a-t-il lancé.
– Pardon, mais je ne peux m'empêcher.
– Cesse de dire des conneries…
– C'est la vérité. Depuis qu'on ait fait l'amour dans ton appart je ne penses plus qu'a toi.
– On a fait l'amour ou on a baisé?
– L'importance est que j'ai envi de toi.
– Tu dis n'importe quoi. Hier encore tu m'évitais et aujourd'hui tu veux de moi. Tu ne sais pas ce que tu dis.
– Je te dis la vérité. Je t'aime. Je t'aime Marvin.
– Pour cela il faudra accepter ce que tu es devenu.
– Je suis prêt à tout pour toi.
– Prouve le.
Je me levai de mon siège et allai le rejoindre. Je plongeai mes yeux dans les siens pétillants. Nos visages se rapprochèrent et je posai mes lèvres sur les siens. Nous nous embrassâmes et la passion ne se fit pas attendre. Déjà nos mains se promenaient sur tout notre corps et nos vêtements étaient prêts à être enlever. Je commençai à lui enlever sa chemise alors que lui il s'attaquait au boucle de mon pantalon. Puis on changea de rôle après que je lui passai sa chemisette au dessus de sa tête. On se retrouva tout les deux bandant durs en caleçon.
Je le prit par les hanches et je le posai sur son bureau. Je l'embrassai sur la bouche et doucement je descendis sur sa poitrine que je léchais.
Je lui mordis délicatement un tétons. Je descendis dirigeant mon visage vers son bas ventre. Mes yeux étaient fixés sur sa verge étirée au max. Je la sortie de sa cachette pour la contempler de plus près. Elle n'était pas un chef-d'œuvre de la nature mais elle était en mesure de satisfaire bien de désir. Je m'agenouillai entre les jambes de Marvin.
Je la décalottai et son gland s'ouvrit à moi comme une fleure au printemps. L'odeur de pisse, de son entre jambes et du désir me parvinrent à la narine. J'ouvris la bouche, tendis ma langue et goutter à sa queue. J'engloutis tout le membre bien dur dans ma bouche. Je sentis le corps de Marvin frémir à ce contact. Je faisais maintenant sortir son sexe de ma bouche. Tout le gout salé y était resté. J'avalai un peu de salive. Elle était bonne. Je ré-enfonçai sa bite dans ma bouche la caressant de ma langue. Elle gonflait encore plus. Je lui tétai son gland rose comme j'aimais que les putes me fassent. Je creusais mes joues, aspirais fort, j'enfonçais profondément sa pine au fond de ma gorge tout pour le plaisir de mon homme. Sur la table, Marvin était en transe. Il me tenait de temps en temps la tête pour guider ma fellation. Je sentais de temps en temps ses ongles s' enfoncer dans mon épaule. Son membre trémoussais dans ma bouche. Il était maintenant près de l'orgasme. Je l'entendis effectivement crier plus fort ces dernières secondes de suce kiki. Il allait venir et je voulais que sa ça soit dans ma bouche. Et sans que je m'attende, Marvin poussa un cri strident et du même coup un jet de sperme envahi ma bouche. Loin de m'arrêter je continuai à le sucer jusqu'à la dernière goutte.
Je retirai son membre redevenu flasque de ma bouche et je lui partagé un baiser au gout de sperme.
Je sens sa main qui me prend par la bite, il la dirige vers son trou. Il se coucha sur le dos, je lui ai mis un dossier sous les reins afin qu'il s'offre plus facilement. Jambes bien écartées, le cul en l'air, je vois le bouton de sa rose qui n'attend que mon bâton pour l'ouvrir.
Je pris le soin de mettre quelques doigts avant pour atténuer la douleur. Une fois que le sentis prêt a me recevoir je retirai mes doigts de son cul. Je mis mon sexe à l'entrée de son cul. Doucement et très lentement je lui enfonçai ma pine à l'intérieur. Je voyais bien la grimace qu'il faisait quand j'ai commencé, mais ensuite un sourire s'est esquissé sur ses lèvres. Je rentrais et sortais maintenant mon sexe de plus en plus vite de son anus. Je pouvais coulisser sans aucun problème pour le plaisir de nos deux corps. Marvin et moi crions au rythme de notre ébat. Je lui défonçais toujours le cul quand il me dit de chercher dans le premier tiroir. Je trouvai en godemichet vert annelé que je mis dans mon propre trou. Le plaisir était décuplé. Mes mouvements m'échappaient, je ne pouvais plus contrôler mes actes tant je jubilais. Ses mains se posaient fermes sur mes fesses pour limiter les sorties trop fréquentes de ma queue en lui. Il ne fallut pas longtemps pour que je me mette à geindre. Mes oscillations se devenaient plus rapide et je m'enfonçais plus profondément en lui. A lui aussi je faisais du grand bien. Il se cambrait pour mieux offrir son cul et moi je m'y plongeais. L'orgasme se manifesta en moi.
– Ahhhhhhhhhhh!
Le foutre longtemps retenu dans mes couilles se déversa dans son rectum. Je retirai délicatement mon pénis de son trou tout en m'assurant que mon sperme n'y sortit pas. Je retirai ensuite le godemichet dans le mien.
– Garde le!
Nous nous rhabillâmes après de nombreux baisers et de nombreuses caresses à nous refaire bander. Nous fumes les derniers à quitter le bureau ce soir-là. Je fus déçu de ne pas m'être rendu à son appart pour cette nuit mais je me consolai à l'idée de nous revoir demain.

A suivre …

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!