Sylvette

Je pars sur un coup de colère, qu’elle idée de me traiter comme une moins que rien. Elle croit que j’ai couché avec un homme. C’est vrai, j’avais besoin d’une bite en moi, dans ma chatte et tant qu’y faire dans mon cul. Il y avait presque 2 ans que je n’avais pas couché avec un porte queue. Après tout il n’y a rien de méchant se faire mettre une fois de temps en temps, surtout que quand j’ai rencontré Sylvette j’étais avec Paul, mon mec de l’époque. Nous étions réunis pour une partouze, j’ai voulu essayer avec elle pour savoir quel plaisir je pouvais donner et recevoir.
Elle n’était là que pour essayer de se payer une fille. C’est tombé sur moi. Je ne le regrette pas puisque elle m’a fait connaitre ces plaisirs un peu spéciaux des lesbiennes. Ce n’est même pas sa langue qui m’a faite jouir, c’était l’ambiance : mon mec enculait une fille que je trouvais vulgaire alors qu’il lui trouvait un cul fort agréable.
J’ai passé la soirée avec la même fille. Elle m’a appris une foule de choses, surtout les meilleures façons de la lécher. Elle n’était pas la première fille avec qui je baisais. L’autre nous étions deux avec elle : mon ami et moi. Lui la baisait pendant que je lui mettais deux doigts dans le cul. Ensuite c’est elle qui me suçait.
Après la partouze, je suis partie chez elle. Nous avons fini la nuit à faire l’amour. Je me suis laissée conduire par les orgasmes extraordinaires qu’elle me prodiguait. Après les baisers d’entrée, je me suis laissée faire. J’appréciais énormément sa langue dans ma bouche, sur mes seins, sur mon ventre, sur mes fesses. J’aimais également sa langue qui fouillait mon intimité depuis le clitoris, en passant par la chatte et finir sur mon anus.
En guise de reconnaissance, je rendais un peu plus tard les même léchages aux même endroits. Je m’étonnais de rentrer ma langue directement dans son cul. Je pensais trouver un mauvais gout mais il était simplement différents.
Elle m’a appris longuement les 69 comme elle les aime.

Nous commencions moi sur le dos et elle dessus, elle nous faisait tourner pour qu’elle soit dessous à son tour. Je me souviens encore de cette première fois quand elle a voulu que nos sexes se touchent, échec sur toute la ligne.
J’ai encore en tête les hurlements de mon ami quand je lui ai dit que j’allais habiter chez Sylvette. Pour avoir la paix je l’ai sucé une dernière fois.
En revenant chez Sylvette, en m’embrassant elle reconnaissait le gout de sperme dans ma bouche, il ne fallait plus que je recommence. Je le promettais. Elle m’a fait l’amour sans accepter une caresse même petite de moi. Elle n’acceptait que les baisers. Et encore sur la bouche, même pas sur un sein comme elle aime.
Je lui dit souvent que j’aimerai baiser un homme en sa présence mais elle refuse toujours. Pour elle baiser avec un homme est une impureté. Pour me calmer elle me met trois doigts réunis dans la chatte. Elle fait les vas et viens, elle me fait jouir bien sur comme toujours.
Elle aime me mordre légèrement les tétons pendant qu’elle me suce ses seins. J’en ai pris l’habitude et si elle ne le fait pas, je le lui demande. J’adore baiser avec elle quand elle me met deux doigts dans le cul. Elle a une façon de le faire, douce et dure à la fois. Douce quand elle me pénètre lentement et dure quand elle fait les va et vient.
Un jour elle a voulu que j’entre toute ma main dans son sexe. Je l’ai fisté un bon moment avant de mettre toute ma main dans son ventre. Elle était sur le dos, les jambes écartelées, levées par ses mains. Je voyais tout son sexe. Je regardais ma main entrer lentement dans sa chatte, je mouillais comme une fontaine. J’étais obligée de me servir des deux mains : celle qui entrait et celle qui aidait à entrer. J’avais serré le poing pour en mettre d’avantage. J’avais le bord de son sexe à mon poignet. Je restais immobile le temps pour elle de s’habi à cette présence énorme. J’ai eu l’idée de lui mettre également deux doigts dans le cul. Ainsi prise, elle était devenue ma prisonnière.
Je commençais mes mouvements d’aller et retour avec ma main totalement prise par les lèvres de sa bouche d’en bas. Si elle geignait un peu quand j’entrais , maintenant elle hurlait. Je voulais enlever la main : non continu, c’est trop bon. J’ai continué pour son plaisir et le mien par contre coup. Il me semble qu’elle allait me faire tomber la main quand elle jouissait avec ses spasmes, tellement ses spasmes étaient forts
Je me retirais doucement pour la libérer. Un flot de cyprine sort de son vagin. Elle me demande de lui mettre tous mes doigts dans sa bouche pour gouter sa cyprine après le fistage. Dommage j’aurai aimé lui « bouffer » toute la main.
Je n’osais pas lui demander qu’elle me rende le même service. Elle a tenu à me mettre sa main au même endroit. Elle a prit toutes les précautions pour ne pas me faire mal. Elle est entrée comme dans mon cul. J’ai à peine eu mal au début. Par contre quand elle m’a baisé avec sa seule main dans la chatte, je me suis tortillée presque tout le temps. Mon Dieu que c’était bon sa main dans ma chatte qui me faisait pousser des cri de bête qu’on égorge. Elle s’est arrêtée à mi chemin. Je gardais en moi sa main bien au fond. Quand elle a repris elle a été très lentement : résultat j’ai hurlé encore de bonheur cette fois. Quand elle a sorti sa main je l’ai remplacée par la mienne. Je n’en ai pas mis autant, je me suis faire jouir plusieurs fois ainsi. Elle était juste en face de moi, sur les genoux, les cuisses ouvertes : elle se masturbait pour son plaisir.
C’est cette séance qui m’a donné envie de baiser avec une vrai queue.
Je m’étais habillée très court pour montrer aux hommes que je croisais ce que je voulais. J’ai accordé mon cul au premier venu. Il me la mise devant et derrière. J’ai pu le sucer aussi. J’aime bien sucer un type qui vient de m’enculer.
Voilà l’objet de sa dispute. Je reviendrai plus tard, le plus tard possible. J’aimerai baiser encore avec elle et un gars.

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