François 3

Comme un pantin

L'immeuble de Marvin se dressait maintenant devant moi. J'entrai dans l'immeuble pour aller rejoindre Marvin. Ah Marvin! Bien que je me savais hétéro les détails de son physique m'avait sauté aux yeux. C'était la première fois qu'un gars m'attirais mais je ne savais pas comment définir tout cela. Je me disais simplement que je voulais être un ami. J'aimais tant le regarder marcher quand il passait devant mon bureau papier à la main se rendant à la photocopieuse ou allant se prendre du café, ou quand il se rendait aux toilettes, d'ailleurs c'est là que nous nous sommes présentés.
J'étais seul dans les toilettes et je pissais. Soudain la porte s'ouvrit, je reconnus le son de ses chaussures et son parfum me chatouillais la narine. Il vint se mettre dans l'urinoir tout près de moi et sans même me regarder il commença lui aussi à pisser. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'épier pour la première fois que nous étions si près l'un l'autre. Je pris mon courage et je tournai la tête vers lui.
" Bonjour.
– Salut.
– J'adore votre cravate.
– Oh! Merci.
– Je m'appelle François. Je suis le nouveau dans le bureau près de la photocopieuse.
– Ah! Le type qui me matte.
Je fus un peu gêné et je sentis le rouge monté dans ma figure.
– T'inquiète pas je ne me plaindrai pas au patron. Je blague! Je suis Marvin.
– Enchanté.
– Eh bien François, à la prochaine."
Sans même attendre que je réponde il s'en alla me laissant seul dans les chiottes. Au bout de trois semaine, Marvin entra dans mon bureau pour laisser des papiers me demandant de les donner au directeur car il devait ce jour là s'en aller plus tôt. Deux jours ensuite j'avais beaucoup de boulot et l'heure passa sans que je m'en rende compte. En sortant de mon bureau je le vis faire de même. Je lui demandai s'il pouvait me déposer. Il a dit oui. Mais au lieu de nous rendre directement chez nous, nous sommes passés boire un petit verre dans un café.

C'est après 5 verre de Wiski qu'il m'avoua son homosexualité et sans savoir pourquoi cela ne me dérangea pas même que je m'en réjouis un peu. Après quelque minutes il m'avoua entre deux gorgés que je lui plaisais et que cela lui plairait si on couchait ensemble. Je refusai gentiment sa proposition lui expliquant que j'était hétéro. " Alors pourquoi regardes-tu mon cul quand je marche?" Je n'ai pas su quoi répondre. Et notre conversation s'arrêta là. On ne s'est pas arrêté de nous voir pour autant. On allait de temps en temps boire un coup dans ce même café et des sorties en boite. Plus je le fréquentais, plus j'avais envi de lui.

Je frappai à son appart, j'entendis sa voix qui me disait d'entrer. Je tournai le poignet et pénétrai ainsi dans ce même appart où je fus la veille. Je retrouvai Marvin assis dans son fauteuil portant les mêmes habits d'hier son verre à la main comme si il avait passé toute la nuit à boire en m'attendant. Cependant ses yeux n'étaient pas rougeoyant de fatigue. Il a surement du dormir habillé et quand il s'est réveillé il s'est remis à boire. Pourquoi m'attarder sur ces détails?
Sa douce voix me ramena à moi.
" Salut. Je savais que tu allais venir. Je t'attendais ". Je suis resté debout à le dévisager. Je me rappelai de ce qu'il avait dit la veille. " Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verra, tu en redemanderas. Il faut seulement te laisser aller et tu découvrira qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir". Il savait donc que Thomas avait réussit à me faire jouir. Apres tout c'est bien ce dont il voulait. Mais comment m'étais-je laisser faire? Il se le va et se dirigea vers moi.
– Tu ne dis rien. Tu n'as pas apprécié?
Il avait sur ses lèvre un sourire malicieux qui ne fit rien que susciter toute la rage qui était en moi. Je lui en voulait de m'avoir . A ce moment je lui prit par le cou et je le frappé contre le mur proche.

– de salop. Pourquoi m'as tu fait ça?
Pour toute réponse il se mit à me sourire et parvenait même à rire. Je lui répétai ma question le tenant plus fermement par le collet.
– Dis moi que tu n'as pas aimé ça, arriva-t-il à dire. Dis moi que tu n'as pas pris plaisir quand Tom t'a enfourché.
– Va te faire foutre.
– Toi tu t'es fait foutre hier soir.
– Enfoiré de …
Alors que je terminais ma phrase Marvin se précipita sur moi et colla ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser. Je le repoussai brutalement le refrappant au mur. Mais le gout de sa bouche resta dans ma bouche. Je le tenais toujours par le collet, son corps plaqué au mur et le mien plaqué au sien. Je respirais son odeur à plein nez et loin de me laisser indifférent elle me chatouillait la narine à m'enivrer. Sa peau sentait si bon, elle paraissait si tendre. Ma main se détacha de son collet pour lui toucher le cou. Restés collés l'un contre l'autre, je sentais sa respiration et la mienne accélérée. Je sentis encor ses mains passant en dessous de ma veste et les balader. Nos corps se rapprochèrent encore plus. Je me rapprochai de son cou et j'y déposai un baiser. Une de ses mains venait maintenant de se poser sur mes fesses tandis que l'autre me prenait par la nuque. Notre étreinte prenait beaucoup plus d'ampleur et décuplait notre passion. Nous avons passé cinq bonnes minutes à nous caresser, à nous exciter manuellement. Au bout de ce temps, le visage de Marvin se rapprocha du mien. Lentement, il essaya une deuxième tentative de m'embrasser. Je fermai les yeux. Nos lèvres se soudèrent, nos langues se lovèrent, nos corps se collèrent avec tant de dévouement comme si nous voulions faire un. Était-ce possible qu'un baiser produise tout ses effets?
Nous nous détachâmes subitement. Je l'ai repoussé.
– Quoi? Demanda-t-il. Quel est le problème?
– Je ne peux pas.
– Ben ... Dans ce cas…va-t-en.
– Marvin.
Marvin se retira de mes bras et s'en alla se choir dans son fauteuil bouteille à la main.
Je suis resté planter là à le regarder me demandant si je devais m'en aller ou le rejoindre. Il leva les yeux vers moi et son regard me traversa comme si j'étais de verre. J'avais comme reçu un coup en plein cœur. Je me suis donc décidé de faire ce que je voulais vraiment. Je me dirigeai devant son fauteuil. J'enlevai ma veste, mais ses yeux ne me regardait pas. Je défis les boutons de ma chemise et l'ôtai à son tour. Je dégrafai mon pantalon et la glisser ainsi que mon caleçon. Je me dressais nu devant lui. Pourtant je n'attirais pas assez son attention.
Je tendis ma main et le débarrassai de sa bouteille. Je guidai sa main vide vers ma poitrine où je la déposai. Tandis que sa main touchait mes pectoraux, j'entrepris de lui enlever ses habits et en quelques instants il fut nu à son tour. Je ne pouvais m'empêcher d'admirer son corps semblant si fragile. Un corps imberbe sinon le doux duvet roux qui lui entourait le sexe. Et une deuxième fois on se prit dans les bras l'un et l'autre ,se caressant, s'embrassant à tout rompre. Mais une autre chose nous interrompis. Cette fois ci se fut le rire sarcastique de Marvin.
– Ah! Ah! Tu es si manipulable.
A ces mots, mon sang ce glaça. Marvin m'avait effectivement manié à sa volonté et je m'en voulais de m'avoir laissé faire. La rage monta une seconde fois en moi. Malgré le fait que je voulais le frapper quelque chose en lui m'en empêchait.
Avec toute la haine qu'il y avait en moi je le prit violemment par les poignets et je lui lancé le plus cruellement que je pouvais.
– Tu vas le regretter cher.
Et lui toujours si impassible comme s'il n'avait pas peur de moi, il continua à me sourire. La rage en moi triompha. Je voulais le faire payer maintenant et sas savoir pourquoi, j'empoigné mon sexe d'une main tandis que l'autre maintenant une pression sur ses poignets le faisant pivoter. Je ramenai ses poignets à son dos l'immobilisant. Je l'entendis pousser un cri de surprise quand je le fis courber.
Sans aucune préparation et sans aucune attention je lui enfonçai mon pieu tout entier dans son trou.
Marvin poussa à ce moment des cris de douleur qui remplir toute la salle. Je sentis là ma satisfaction et mon bonheur. L'intérieur de son cul était aussi chaud et accueillant que le vagin d'une femme. Je me suis sentis si bien qu'oubliant ma vengeance je me mettais à osciller dans le cul de Marvin. Les anneaux de son anus se resserrant sur ma bite accéléra la jouissance. Je me sentais si bien que je continuait de plus en plus vite, de plus en plus fort. De plus, Marvin commençait lui aussi à prendre pied, je l'entendais de temps en temps lancer des plaintes et cela m'excitait. Au bord de la jouissance, le lui tirai par les épaules m'enfonçant plus profondément en lui. J'envoyai mon sperme baigner tout son rectum. Je restai accrocher un temps pour être sur d'avoir bien vider mes couilles. Et une fois sur, je me retirai en lui et le jetai par terre.
Marvin me regarda encore avec se sourire qui me dégoutait.
– Tu ne sais pas le bien que tu m'as fait.
– Je m'en moque. C'est fini Marvin.
– Je ne crois pas non.
Je me rhabillai devant lui qui ,couché a même le sol, s'enfonçait des doigts dans l'anus pour en retirer mon jus de couille. Son sourire qui était maintenant diabolique m'effraya. Qu'est-ce que Marvin a derrière la tête?

A suivre …

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