Dédé
Il me tarde que ma cousine arrive. Avec elle au moins je ne mennuie pas une seconde, elle est tellement affairée. Mes parents sont ennuyeux à force de vouloir vivre confit de religion, même pas de religion, ils sont pris par une « église » qui leur promet le bonheur dans lautre monde, pas dans celui où nous vivons. Le rire est interdit à la maison, les sorties délassantes et en règles générales tout ce qui est agréable. Je me demande même sils font lamour. Jai réussis à rester en dehors de leur idées.
Je sors à peu près quand je veux, voir des copains et des copines. Jai pu même inviter ma cousine Dédé.
Avec elle je sais que mes parents ne dirons rien en cas de « dépassement ».
Demain matin elle arrive de Paris. Jen suis toute excitée dénervement. A tel point que le soir, je me mets nue dans mon lit. Jai besoin dune bonne dose de calmant. Je reste sur la drap, les jambes ouvertes Je caresse mes seins qui durcissent et les tétons. Je caresse le reste de mon torse pour arriver sur mon ventre. Je peigne avec mes doigt ma fourrure pour aboutir au centre des principaux plaisir. Je sens ce vide dans mon ventre, il faut que je me satisfasse rapidement, quitte à recommencer après.
Avec deux doigts de ma main gauche, jécarte le haut de mes lèvres pour faire ressortir le bouton que je vais caresser.
Jai découvert ça quand je navais pas encore 12 ans. Ce qui ma emmenée à faire lamour très tôt pour gouter au fruit défendu. Javais choisi mon premier homme dun peu plus de 25 ans, attiré par les jeunes. Je me souviens encore de la douleur que jai eu au début et du plaisir extraordinaire en jouissant. Jai recommencé plusieurs fois : cétait toujours aussi bon.
Jai deux doigts sur le clitoris que je mouille avec ma cyprine. Rien que de passer mes doigts dessus me fait frémir. Je vais doucement pour faire durer ce plaisir extraordinaire. Mes doigts vont et viennent pour mon seul plaisir, que cest bon de jouir.
Satisfaite je met ma nuisette pour me coucher et dormir comme une souche. Le lendemain, quand je me réveille je repense à ma Dédé. Elle arrive tout à lheure. Je vais la chercher à la gare.
Elle descend du train toute chiffonnée. Quel idée de prendre un train de nuit. Je laide à porter son bagage jusquà la maison. Nous sommes seules, mes parents travaillent. Je lui donne la chambre où elle va passer les quelques jours: pile en face de la mienne.
Je sais que nous allons bien nous divertir. Je laide à ranger ses affaires, elle fait tomber un petit paquet. Je demande de quoi il sagit, elle répond en rougissant un peu :
- Ce nest rien.
- Allez, dis moi le.
- Cest un paquet de préservatif, jen ai toujours dans mon sac.
- Tu as un ami ?
- Non, il marrive de coucher à droite à gauche et jai besoin de ça pour éviter de tomber enceinte.
- Pourquoi te ne fais pas comme moi, je prend la pilule.
- A cause de mes parents, ils me croient toujours vierge.
- Je le croyais aussi, depuis quand tu couches ?
- Pas depuis longtemps, je ne suis pas comme toi à mettre faite baisée toute gamine.
- Dabord je savais bien ce que je faisais et en plus je nétais pas si gamine que ce que tu dis. Tu aimes te faire mettre ?
- Bien sur.
- Et par où ?
- Nimporte où, même par la bouche.
- Tu avales ?
- Oui et toi?
- Moi aussi jaime le sperme.
- Jaime la totale : me faire baiser, enculer, lécher et jai découvert ça il y a peu me faire lécher le cul.
- Tu es en train de mexciter, je mouille.
- Moi aussi je mouille.
- Si tu veux en pourrai
.
- On pourrai quoi ?
- Se caresser ensemble
- Pourquoi pas. Tu las déjà fait avec une autre ?
- Pas encore, je le ferai dans 5 minutes avec toi.
Je ne pensai pas la toucher ainsi : elle sapproche de moi les lèvres tendues dans une invite que je reçois vite. Je pose mes lèvres sur les siennes, nos bouches ouvertes laissassent passer nos langues. Notre baiser dure longtemps. Nous nous serrons bien et nous constatons que nous sommes excitée un max. Au départ il est prévu que je la branle et quelle me le rende. Ce nest pas bien méchant. Je vais commencer la première : je passe ma main sur son pantalon de jean pour aboutir à son sexe. Bien sur ce nest pas suffisant. Jarrive avec difficulté à le faire tomber ainsi que sa culotte. Ma main rencontre sa fourrure: je passe plus bas. Je trouve sa fente toutes mouillée. Je vais faire comme pour moi, ma main gauche écarte ses lèvres, la droite trouve son bouton. Je le caresse lentement :
- Cest bon, vas plus vite.
- Comme tu veux. Je vais tembrasser encore, jaime tes lèvres.
- Oui, jaime ton baiser.
Dédé tend ses lèvres que je lèche totalement. Je me rends compte quelle avance son bas ventre: elle veut encore plus de caresses. Je descends ma main jusquà son entrepôt de plaisir. Jy mets deux doigts, les fait aller et venir: je la sens se tendre. Je ne veux pas quelle jouisse trop vite Je sors ma main de son vagin. Je maventure sur son anus. Elle me surprends quand elle arrive à louvrir. Jentre mes doigts facilement dans son cul. Elle jouit rapidement.
Nous nous séparons :
- Cest bon ce que tu mas faite, jai bien joui.
- Je ne tai branlé que le cul.
- Je sais. A ton tour.
Par précaution jenlève et pantalon et string.
Jai dans lidée, puisquelle est chez moi pour quelques jours que nous devenions amantes, amantes pour de bon, avec tout ce que cela comporte comme étreintes.
- Veux-tu être mon amante ?
- Ton amante ?
- Oui, tu sais on coucheraient ensemble souvent et on se feraient des choses comme des lesbiennes.
- Comme des lesbiennes ?
- Oui, si tu veux.
- Pas si je veux, cest si tu acceptes toi que nous nous fassions jouir souvent
- Oui. Soyons amantes!
Je vais donc avoir Dédé pour amante pour quelques jours. Je vais bien jouir
Je lembrasse sur la bouche, la déshabille et en fait autant. Je me serre contre elle. Nous avons les seins bien serrés. Je colle mon pubis contre le sien.
Je suis excitée au possible. Je la fait coucher pour me mettre sur elle. Elle écarte les jambes comme si javais une bite à lui mettre. Je passe ma main sur tout son sexe. Elle me donne envie delle; je descends pour que ma bouche soit à hauteur de son clitoris. Je le fait sortir de sa gaine pour le lécher. Ma langue narrête pas: je lèche tout ce qui me plait. Je fait un festin avec sa cyprine: je doit en avoir partout sur le visage. Jen suis à me demander si ce que je fais est pour lui donner un orgasme ou par gourmandise. Elle narrête pas de gémir, surtout quand je lui met deux doigts au cul: elle aime réellement ça. Jai eu son clitoris, son vagin son anus. Elle ne peux plus rien me donner de son entrejambe.
A mon tour de me faire sucer.
Je ne dis rien, je me couche à ses cotés. Elle sait ce quil lui reste à faire. Après un bref baiser à son tour elle cherche mon sexe avec sa langue.
Au fond cest plus égalitaire et plus facile que nous sucer séparément. Ce nest quun coup à prendre pour être dans la bonne position. Une fois bien mise nous arrivons à jouir bien plus fort. Surtout que nous finissons nos étreintes par les langues dans le cul de lautre. DELICIEUX.
Dédé est resté 15 jours chez nous. Dès que nous le pouvions, nous nous baisions, surtout la nuit. Quelles nuits de baise nous avons eues. Que dorgasmes
. Si mes parents savaient comment nous faisons lamour, entre deux filles, je serait bannie de la maison.
Elle ma invité chez elle à Paris. Nous avons décidé de baiser entre nous ou, pour moi de me farcir un maximum de garçons et même les partager avec Dédé si elle en a envie.
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