Fantaisie, Jenna En Voyage D'Affaires A Paris

Voici un recit que j'ai ecrit en collaboration avec un de mes admirateurs.
Cela m'excite tellement de savoir qu'un homme fantasme sur moi. J'ai mouillee comme une folle en ecrivant et lisant cette histoire.

L'entreprise qui m'emploie avait décidé de racheter une société, cette dernière avait développé une nouvelle technologie qui nous intéressait énormément. Cette société appartenait à homme d'affaires français très riche et apparemment un peu fantasque. Cet homme devait avait un peu plus de la soixantaine, et selon mes sources il commençait à mettre en vente une bonne partie des nombreuses entreprises qu'il possédait. Apparemment il commençait à fréquenter une certaine jet-set et se mettait comme eux à organiser des fêtes somptueuses mais horriblement chères.

C'est un de mes collègues Dan qui était charger de finaliser les détails de la vente, Dan était marié et avait une trentaine d'années, il était plutôt du genre sportif et assez bel homme.Malgré le fait qu'il ait déjà traité de nombreux dossiers similaires, ma hiérarchie avait souhaité que je l'accompagne, en effet cette technologie était vitale pour nous et nous savions que nos concurrents lorgnaient sur cette société. Heureusement nous avions une longueur d'avance et les tractations entre les deux parties arrivaient à leur terme. Néanmoins Dan, parlait le français mais il ne le maitrisait pas totalement, par contre c'était mon cas, ayant également de la famille en France, je connaissais un peu Paris et j'avais également beaucoup plus d'expérience que Dan pour ce genre de dossiers. Bref ma société voulait mettre tous les atouts de notre coté et m'avait donc missionné pour accompagner Dan.

Nous arrivâmes la veille de la réunion. nous avons mis l'après-midi à profit pour faire un dernier point sur le dossier. Le soir nous avons diné au restaurant et sommes rentrés bien sagement dans nos chambres respectives car demain une dure journée nous attendait.

Le matin nous nous sommes présentés avec Dan au siège de la société de Mr X, notre client. Une hôtesse nous accompagna jusqu'à une grande salle de réunion, nous étions les premiers arrivés. Mr X arriva accompagné par ces deux avocats. Je ne l'avais jamais vu auparavant, il était très largement dégarni et le peu de cheveux qui lui restaient étaient blancs. Il avait un sérieux embonpoint et faisait un peu rustre, bref il n'était pas très glamour. Quand il se présenta et me serra la main, j'ai vu qu'il me scrutait de haut en bas avec un regard salace qui ne me plaisait vraiment pas du tout, cela fit même naitre en moi un frisson qui me parcourut tout le dos.

Nous nous sommes rapidement mis au travail, les dernières négociations furent longues, âpres et discutées. Voulant régler ce dossier rapidement Mr X fit monter des plateaux repas que nous avalâmes rapidement. Nous sommes finalement tombés d'accord sur tous les points en milieu d'après-midi. J'étais contente de moi, j'avais plutôt bien mené les discussions, montrant ainsi à Dan le chemin qui lui restait à parcourir avant d'avoir mon expérience et mes talents de négociatrice. Les avocats de Mr X devait apporter quelques modifications aux contrats, choses qu'ils auraient fini pour demain midi.

En attendant que les contrats soient retranscrits et pour fêter cet accord qui lui faisait tout de même empocher une somme assez rondelette, Mr X proposa de nous inviter chez lui pour arroser ça. Je décidai donc de soigner un peu ma tenue pour cette occasion. Il faisait un peu frais et je voulais mettre quelque chose qui soit élégant et sexy à la fois, moins sérieux que le tailleur de la journée. Je pris donc mon ensemble en velours et dentelle noir. Cette robe plutôt ample et sans manches est faite de bandes de dentelle et de velours. La dentelle est parfois transparente suivant l'orientation de la lumière. En dessous je j'apportai une touche sexy en portant un bustier avec jarretelles noir et un tanga. De jolis bas noirs vinrent gainer mes jambes avant que je ne les plonge dans des bottes en cuir noir allant jusqu'au dessous du genou et avec des talons de 10 cm un peu épais. Je mis un long manteau en laine noire pour me garder au chaud. Confortable mais élégante. Classe mais en mettant juste un peu de sensualité en évidence.

Mr X envoya sa voiture personnelle à l'hôtel, avec Dan nous étions un peu bluffés, quand nous sommes sortis, une limousine nous attendait. Un chauffeur d'une carrure impressionnante à la peau noire comme l'ébène avait ouvert la porte et nous invitait à monter dans ce luxueux véhicule. Au bout d'une demi-heure, nous pénétrèrent dans une magnifique propriété avec un grand parc boisé. Le chauffeur nous précéda jusqu'à la porte et nous fit entrer dans une magnifique bâtisse.

Mr X nous accueillit chaudement d'un "Bienvenue dans ma modeste demeure !!!", à coté de lui se tenait une jeune femme qui devait avoir autour d'une trentaine d'années, elle était blonde, grande et avait une magnifique poitrine.

Mr X fit donc les présentations, et il nous présenta sa charmante épouse Sophie, et expliqua à son épouse que nous étions les représentants d'un grand groupe américain à qui il venait de vendre une de ses entreprises.

Je regardai un peu plus en détail sa femme et je doutais quand même de l'aspect naturel de ses charmes, je pense que son fortuné de mari avait du lui offrir quelques opérations chirurgicales. Elle était vêtue d'une robe de soirée couleur nacre qui s'arrêtait un peu au dessus des chevilles. Elle portait des talons -aiguilles qui devait presque faire une dizaine de centimètres et ses jambes étaient recouvertes d'un collant clair.

Le repas se passa magnifiquement, son des airs quelques peu vicelards et bourrus, Mr X s'avérait être en fait une personne avec une culture impressionnante et c'était donc très agréable de discuter avec lui. Dan et Sophie parlaient peu, je soupçonnais même Sophie de faire du pied à mon collègue, celui se tenant parfois bizarrement sur sa chaise et aussi au fait qu'il changeait constamment de couleur, passant du blanc blafard eu rouge cramoisi.

A l'issue du repas, Mr X nous proposa petite sortie dans un club qui lui appartenait. Je me suis dit pourquoi, je ne viens pas si souvent à Paris, autant en profiter, Dan non plus n'avait pas l'air contre, bien au contraire.

Nous arrivâmes toujours en limousine dans à l'entrée d'un club qui s'appelait "Le Caméléon". Une fois à l'intérieur, il y avait un bar et une piste de danse, les murs était recouverts de miroir, je commençais à avoir des doutes sur l'endroit ou nous avait emmené Mr X. ceux ci se confirmèrent très rapidement. Sur la piste de danse, des couples lançaient très lascivement, certains s'embrassaient à pleine bouche, d'autres étaient même a moitié dévêtus. Au bar, il y avait des couples assis sur des grands tabourets, la plupart des femmes avaient des jupes extrêmement courtes qui laissaient apparaitre des bas ou des portes-jarretelles.

Un peu gênée, je dis à Mr X : Mais c'est quel genre de club que vous possédez exactement. Puis il m'expliqua sans aucune gène qu'il s'agissait en fait d'un club échangiste, il y venait très souvent avec Sophie, car à son age il n'avait plus la force nécessaire pour honorer correctement sa femme.

Tout en m'expliquant ça, il continua la visite des lieux, nous passâmes ainsi devant plusieurs pièces ou il y avait des grands lit carrés sur lesquels des couples se donnaient du plaisir. Nous avons donc pu apercevoir une femme qui était aux prises avec 3 hommes. Dans une autre c'était un quadra qui se faisait faire une magnifique fellation par deux ravissantes jeunes femmes et dans une troisième deux couples faisaient l'amour cote à cote.

L'ambiance qui régnait ici commençait à provoquer une certaine excitation en moi, de son coté Dan avait également l'air d'être plus qu'excité car je distinguais très nettement une bosse sous son pantalon.

Mr X nous invita au bar pour nous offrir un verre. Je choisis un Gin Tonic et prit quelques gorgées, puis je m'excusa auprès de mon hôte pour aller me rafraichir aux toilettes. En effet il fallait que je me passe un peu d'eau fraiche sur le visage, les visions de toutes ces personnes en train de se livrer à des ébats torrides autour moi commençait à me faire mouiller.

Quand je revins, il n'y avait plus que Mr X accoudé au bar, Sophie et Dan n'étaient plus là. Mr X me dit : "Sophie est allé à faire visiter à Dan une partie du club réservée aux membres VIP, venez, allons les rejoindre". Mr X m'amena dans un recoin du club jusqu'à une porte qui était gardé par un molosse impressionnant qui devait mesurer 1m90. Sa peau était comme celle du chauffeur, d'un noir intense.
Bonsoir Jules, dit Mr X en passant devant lui.
Bonsoir Monsieur, répondit Jules d'une voix caverneuse.

Nous arrivâmes dans un couloir, il y avait plusieurs portes tout le long, un peu comme dans un hôtel. Mr X me fit pénétrer dans une pièce vide avec un grand lit carré au milieu. Je ne comprenais pas trop ce qu'il voulait faire, enfin si je voyais ou il en voulait en venir, puis je me dis : "il est hors de question qu'il me touche, et puis vu son age et son état physique, je n'aurai aucun mal à repousser ses avances".

Finalement, il ne se dirigea pas vers moi mais alla chercher une télécommande et y appuya sur un bouton, un panneau du mur de la pièce commença à coulisser, laissant apparaitre une grande vitre de 3m de large qui allait du sol jusqu'au plafond. Je m'approcha de la vitre et vit Dan allongé sur le lit, le pantalon baissé jusqu'aux chevilles en train de faire sucer par Sophie.

Mr X : C'est une vitre sans tain ils ne peuvent pas nous voir, profitez donc du spectacle.

J'avais une envie folle de lui mettre une gifle et de tourner les talons, mais pour qui me prenait il ?
Mais en même temps je ne pouvais pas détacher mon regard du sexe de Dan sur lequel les lèvres de Sophie étaient en train de coulisser, c'était même pire, ma chatte devenait toute humide et une boule de chaleur commençait à naitre dans mon bas -ventre. Néanmoins je restai stoïque devant Mr X et faisait tout pour cacher l'état dans lequel je me trouvai. Je sentis bientôt sa main qui se posa sur le bas de mon dos, il tenta de la faire glisser plus bas, mais je lui retirai aussitôt.

Pendant de temps là Sophie s'était déshabillée, elle ne portait plus qu'un magnifique porte-jarretelles blanc et ses bas. Dan était complètement nu allongé sur le dos. Sophie prit un préservatif qu'elle sortit de son emballage et le déroula sur le sexe de son partenaire. Puis elle l'enjamba et vint s'empaler sur sa queue, très vite elle se mit à faire coulisser son sexe sur la bite de Dan.

Mr X retenta une nouvelle approche, alors que mon regard était toujours braqué sur le couple d'à coté, il reposa sa main dans le bas de mon dos et commença à la faire descendre. J'étais néanmoins tellement excitée que j'avais envie de le laisser faire et de me faire baiser par ce vieux pervers. Mais dans un effort surhumain, je repoussai une nouvelle fois sa main.

Sophie s'était maintenant placée à quatre pattes sur le lit, les fesses bien cambrées, elle prit en tube de lubrifiant et en fit sortir une noisette qu'elle appliqua sur son anus, elle tendit ensuite le tube à Dan qui en étala le long de son préservatif. Puis elle attira Dan vers elle, prit sa bite et posa le gland contre sa rosette, il poussa et peu et son sexe commença à disparaitre dans les entrailles de Sophie.

J'entendis le porte de la pièce dans laquelle je me trouvais s'ouvrir et se refermer, mais tellement obnubilée par le spectacle que j'avais sous les yeux, je ne pris même pas la peine de regarder qui était entré. Je continuai de fixer avec délectation la queue qui entrait et sortait du cul de Sophie et regardait avec attention le couilles de Dan venir cogner contre sa chatte.

Je sentis alors deux mains me saisir les seins et deux autres venir se plaquer sur ma fesse et ma cuisse. Je tourna la tête et reconnut Jules et le chauffeur de Mr X. Dans un ultime effort j'enlevai leurs mains de mon corps, mais il revinrent à la charge, de manière plus pressante cette fois. Jules reprit mes seins en main et commença à m'embrasser dans le coup, le chauffeur s'était lui placé sur le coté et commençait à me caresser l'intérieur de la cuisse par dessus ma jupe.

De mon coté j'étais incroyablement excitée, sentir ces mains qui se promenaient sur mon corps me rendaient folles, je n'avais plus la volonté de les repousser, je leur dis quand même : "Non s'il vous plait, laissez moi ...". Mais hélas cette ultime protestation n'eut aucun effet.

Jules chercha ma bouche avec la sienne, je détournai la tête, ils allaient obtenir ce qu'ils voulaient, me baiser comme la dernière des chiennes, il fallait au moins que je sauve les apparences en lui refusant ce plaisir.

Tout en continuant de fixer de manière hypnotique le cul de Sophie qui se faisait maltraiter par la queue de Dan, des mains commencèrent à me palper de manière plus intense. Jules avait réussi à sortir un sein de mon bustier, il concentrait ses caresses autour du téton qui très devint tout dur, tout en faisant cela, il continuait de m'embrasser fougueusement dans le cou, il saisit même le lobe de mon oreille qu'il titilla avec sa langue.

De son coté le chauffeur avait frayé une main sous ma jupe, il me caressait l'intérieur de la jambe, sur il se concentrait pour l'instant sur la partie de ma cuisse qui était recouverte par mon bas. Il décida de finalement de s'aventurer plus haut, il tomba très vite sur ma chatte qui dégoulinait littéralement d'envie.

Je n'en pouvais plus, j'avais envie de partir tellement je me sentais honteuse et humiliée. J'étais en train de faire peloter comme une vulgaire prostituée, laissant mes orifices à la disposition d'un chauffeur et d'un videur dans une boite à partouze, et le tout devant un vieux pervers sexagénaire. J'étais mortifiée, mais je ne pouvais pas bouger, je ne commandais plus mon corps, au contraire, il commençait même à bouger au rythme des caresses qu'il subissait.

Je sentis d'un seul coup la tête du chauffeur passer sous ma jupe, je me dis : "mon dieu, je suis perdue ...". Ce dernier fit tomber mon tanga sur mes bottes, il me fit lever les jambes une par une pour pouvoir le prendre et le lança à Mr X qui le porta à son nez. Il inspira profondément afin de s'imprégner des effluves qui en émanaient. Puis il se releva et baissa son pantalon, très vite je sentis son membre qu'il commençait à frotter contre mes cuisses nylonées. Le contact de son sexe au travers de la fine étoffe qui recouvrait mes jambes m'électrisait. Il inclina ensuite sa queue vers le sol, la glissa dans mon bas et commença à la frotter entre ma cuisse et le doux tissu qui la recouvrait.

Jules avait sorti mon deuxième sein et 'était placé sur le coté, il me léchait maintenant les tétons, il alternait les caresses, il les léchait, les suçait, les aspirait, les mordillait. Il avait également sorti son sexe de son pantalon, il prit ma main et la posa dessus. Comme je ne bougeai pas, il posa sa main sur la mienne et commença à me faire masturber son énorme sexe. Je n'avais pas encore posé les yeux dessus, mais rien qu'à le sentir sous mes doigts j'en étais effrayée. Il était assez épais, mais surtout d'une longueur incroyable, je pense qu'il devait faire dans les 20-25 centimètres. Il enleva sa main et mécaniquement sans que je ne m'en rende vraiment compte, je continuai de branler cette énorme queue.

Le chauffeur ne voulait pas rester en reste, il prit mon autre main et la posa également sur son sexe. Je pris l'initiative de le branler également, je sentai sa grosse queue vibrer sous mes doigts, tout cela à travers le fin tissu de mon bas. Ma lingerie devait l'exciter pusque je sentis quelques gouttes perler de son gland et venir mouiller mes dessous. Malgré l'excitation, je me haissais, comment une femme aussi distinguée que moi pouvait se laisser aller de la sorte et s'abondonner aux caresses de deux vulgaires domestiques.

Au bout d'un moment, le chauffeur sortit son sexe de mon bas, replongea sa tête sous ma jupe et commença à me lécher le fente. Je commençai à pousser de légers soupirs de plaisirs, j'avais de plus en plus de mal à leur cacher le plaisir qu'ils étaient en train de me donner. Tout en continuant de me lécher bruyamment, il mit deux doigts qu'il faisait coulisser très rapidement, il trouva mon clitoris et concentra ses caresses dessus. Je fus terrassée par un premier orgasme violent, je poussai un long râle de plaisir. Mes jambes étaient complètement flasques, je tenais à peine debout. Ils me portèrent jusqu'au lit ou ils m'allongèrent sur le dos. Ils échangèrent les rôles, Jules vint placer sa tète entre mes jambes, il retroussa ma jupe sur le ventre et commença à son tour à me lécher la chatte qui était à peine remise de l'orgasme qu'elle venait de subir. De son coté le chauffeur commença à me caresser et me sucer les seins.

Au bout de quelques minutes le chauffeur sortit son sexe, il était beaucoup moins long l'autre mais beaucoup plus épais et surtout parcouru par de grosses veines, qui lui donnaient un aspect bestial. Il avança son sexe vers ma bouche, mais je tournai la tête, je ne pouvais pas, même si j'en avais envie, cela était top humiliant pour moi. J'entendis Mr X dire : "Allez suce le petite salope, je suis sur que tu en meurs d'envie"

Le chauffeur me tourna la tête et m'enfonça sa bite dans la bouche, puis il prit ma main pour que je le branle en même temps. Excitée par Jules qui était toujours en train de me lécher savamment, je me laissai aller et commençai à sucer doucement le gland tout en caressant l'épaisse tige avec ma main. Emportée par l'excitation, j'étais maintenant en train de faire une pipe d'enfer au chauffeur, je le léchai avidement puis aspirait son gland le plus fort possible, ce qui lui arrachait de longs soupirs de plaisir. Ma langue s'amusait avec son gland en faisait le tour, je forçai même un peu le trou du méat avec ma langue.

Pendant de temps Jules commençait à s'intéresser à mon petit trou, bien aidé par la cyprine qui dégoulinait de mon sexe, il me mit un doigt dans le cul tout en me léchant le bouton. Je poussai maintenant de longs râles de plaisir partiellement étouffés par le gros mandrin qui me déformait la bouche.

Le chauffeur enleva son sexe de ma bouche, il prit un préservatif qu'il mit rapidement en place, puis il s'allongea sur le dos à coté de moi. Jules arrêta de me lécher, me fit lever et m'indiqua d'aller m'empaler sur la bite du chauffeur. Il me pris le bras et me tira vers ce sexe dur qui m'attendait. Hésitante, je l'enjambai, prit son sexe que je dirigeai doucement vers mon puits d'amour et commença m'immiscer cette énorme queue dans mon intimité. Il était tellement gros que j'avais l'impression qu'il me déchirait, je faisais descendre mon bassin tout doucement, Je couinais et gémissais "non je ne peux pas , c'est trop gros" mais je le laissais faire. Une fois le sexe rentré totalement en moi, je me mis à le faire coulisser mais toujours très lentement en pleurnichant. Très vite la sensation de douleur et de déchirement fut remplacée par un plaisir extrême Le chauffeur m'attira pour que je l'embrasse, mais au lieu de ça, je mis ma tête dans le creux de son épaule. Je tenais absolument à garder ce dernier bastion inviolé, il n'allaient pas me soumettre et m'humilier complètement .

Le chauffeur me pistonnait maintenant comme un métronome, j'étais ailleurs, complètement transportée par les vagues de plaisir qui montaient en moi. Je voyais tout juste Mr X en train de se branler frénétiquement avec mon tanga. Jules vint se présenter devant moi. Il me tira la tète vers le haut par les cheveux et introduisit son membre dans ma bouche. J'avais déjà le souffle court. Il se servit de ma bouche alors que le chauffeur me faisait monter et descendre sur sa queue massive.

Le chauffeur n'en pouvait plus et l'étroitesse de ma chatte torturée allait le faire jouir. Il me souleva de son sexe, retira le préservatif et éjacula sur mon bas ventre. Je suis tombée a coté de lui, brisée et proche de l'orgasme.

Je sentis ensuite quelques chose de froid se poser sur mon anus, Jules était en train de me tartiner l'œillet avec du lubrifiant. Puis il inséra un premier doigt sans difficulté puis un deuxième, j'étais moi même étonnée de la facilité avec lequel il me branlait le cul, cela ne me faisait pas mal, bien au contraire. Puis il sortit ses doigts, je ne savais que trop bien ce qu'il allait me mettre, je lançai sans grand espoir : "Non pas ça, s'il vous plait"

Comme seule réponse, je sentis son gland appuyer sur mon anus, tout doucement il commença à me pénétrer, le chauffeur 'était arrêté de me pistonner pour laisser le soin à son collègue de rentrer tout doucement. Puis il s'enfonçait, plus la douleur était intense, je serrai les dents. Il s'arrêta d'avancer puis recula, une fois presque sorti il reprit son incursion mais un peu plus loin cette fois. Malgré qu'il aille à chaque fois de plus en plus loin, la douleur diminuait et faisait place à une boule de feu qui me nouait les entrailles et me consumait de l'intérieur. Il me tenait les hanches.

Mr X lança à Jules : encule la bien cette petite salope, je suis qu'elle en crève d'envie.

Assez rapidement il prit un rythme régulier, je poussai moi des petits râles sourds mais réguliers. Mr x vint alors à coté de nous, me fit me redresser un peu et me planta son sexe quelque peu fripé dans la bouche. C'était l'humiliation extrême, en train de sucer un sexagénaire qui pourrait être mon père. Jules s'accrocha aux jarretières de mon bustier pour me sodomiser de plus en plus fort. Je grognai de plaisir, le sexe de Mr X toujours logé dans ma bouche. Habitué au rythme de mon destructeur je pus me mettre à sucer Mr X d'une manière convenable. Il dut apprécier mes caresses buccales puisque quelques instants plus tard et sans prévenir il déversa sa semence dans ma bouche, surprise, je fus obligée d'en avaler une gorgée avant de recracher le reste qui dégoulina le long de ma bouche pour s'écraser sur le lit. Le chauffeur revient vers nous et me pinçait les tétons et me caressait le clito par en dessous. je sentis mon orgasme venir et me ravager.

Peu de temps après, Jules sortit de mon cul, enleva son préservatif et me plongea à son tour sa grosse queue dans la bouche. Mr X me dit : "Cette fois tu n'en perds pas une goutte petite salope". Jules ne tarda pas à cracher quatre puissants jets de sperme dans ma bouche que j'avalai sans broncher.

Je restais quelques instants à récupérer, puis ma raison et ma volonté reprirent le dessus. Il fallait que je quitte cet endroit immédiatement, ils m'avaient déjà tellement souillée et humiliée, je ne pouvais en supporter plus. Je me levai donc tant bien que mal, le sexe et le cul encore meurtris par ces énormes queues qui venaient de me ravager. Je remis de l'ordre dans ma tenue et partit sans dire un mot laissant mon collègue Dan dans la bouche de Sophie et abandonnant aussi derrière moi mon tanga lui aussi souillé par mes sécrétions et celles de Mr X.