Cathy

J‘ai fait une grosse bêtise: je me suis fait surprendre par ma mère quand j’embrassais Cathy sur la bouche. Je me suis faite engueulée et par ma mère et mon père: pas de ça chez nous. Mes parents m’ont infligé des horaires bien précis: départ de la maison, une heure juste avant mes cours et retour une heure après. Pile le temps pour moi d’aller et revenir de la fac. Je devais oublier mon début de liaison avec Cathy. Pourtant j’en rêve quand même et là, pas question que les parents entrent dans mes pensées et mon cerveau. D’ailleurs, le soir quand je me masturbe j’ai toujours en tête Cathy. Mes fantasmes tournent toujours vers elle.
Bien sur que je rencontre toujours Cathy pendant les cours et les inters cours. Personnes ne s’aperçoit que nous nous isolons toujours pour nous aimer. Evidemment ça ne vaut pas un lit, mais les toilettes suffisent pour nous caresser rapidement pour trouver un plaisir toujours trop court. Il nous faut trouver un autre endroit où alors mentir sur nos emplois du temps. Ou alors que Cathy disparaisse, ou alors que nous disparaissions toutes les deux. Enfin l’idée de génie: changer de fac pour une ville plus lointaine.
Quand j’annonce à mes parents le changement de lieu d’étude, vient aussitôt la grande question de Cathy. Je les rassure, avec Cathy c’est fini depuis longtemps et je ne sais même pas où elle est. J’ai l’excuse pour moi de dire que la où je vais les études médicales sont plus complètes, ce qui est vrai
Pour les vacances je vais comme chaque année chez ma grand-mère à la campagne. C’est dans un coin perdu que je trouve trop calme habituellement. Cette année c’est différent: Cathy a pu se débrouiller pour trouver un emploi d’étudiante à quelques kilomètres. Serveuse à mi temps dans une routier ce n’’est pas mal. Nous avons les après midi pour nous. Nous en profitons tant que nous pouvons: nous voulons bien habiter ensemble à la rentrée, en attendant nous sortons énormément dans la campagne pour trouver des endroits isolés.

Deux jours après nos recherches nous trouvons un ancienne cabane qui peut nous abriter. Plein de paille ancienne, une porte qui ne ferme pas et de la place à l’en plus finir pour adorer Sapho. La première fois dans cette bergerie, nous hésitons à nous mettre nues. Nous n’enlevons que nos strings. Nous jetons sur la paille, les robes ou jupes retroussées. Nos lèvres se joignent, nos langues entrent en action. Nous sommes plus qu’excitées. Nous restons couchées cote à cote, hésitantes encore sur notre prochain mouvement. Cathy, sans doute moins peureuse que moi passe une main entre mes cuisses, les caresse en montant jusqu’à ma chatte.
Je ferme les yeux pour profiter du plaisir de l’avoir à mes cotés. Pour cette première fois seules, elle me caresse simplement le clitoris. Elle me touche tellement bien que je ne peut retenir et un soupir et surtout un orgasme. Je me dois de lui rendre ce qu’elle m’a donné. Je pose ma mains sur le genou de Cathy genou, passe entre ses jambes et comme elle, je monte certainement plus lentement qu’elle à la recherche de sa chatte. Je ne cherche pas son bouton: je le trouve pour le masser et non pas le caresser normalement. Elle gémit avant de me dire:
- Je jouis, comment tu as fait?
- J’ai inventé selon mon gré du moment. Ca t’as plu ?
- Beaucoup.
- Essais sur moi pour voir.
- Mais tu viens juste de jouir.
- Et alors, j’aime jouir plusieurs fois, tu le sais bien.
Nous sommes suffisamment chaudes pour nous mettre nues. Elle me fait écarter les jambes, pour venir se mettre à genoux entre elle: elle regarde ma chatte en détail pour passer sa main entière sur mon sexe. Elle suit ce que je viens de lui faire, et comme elle j’en jouis. Que faire à une amie qui vient de vous donner un grand plaisir: je l’embrasse longuement. Nous frottons son seins pour le plaisir que ce genre de contacts procure.
Le lendemain, nous n’avons plus peur: nous nous déshabillons et nues sur la pailles nous recommençons à nous masturber. Au bout d’un moment la masturbation ne nous contente plus. Les doigts sur nos chattes, c’est agréable, mais insuffisant: Cathy écarte les jambes pour que je la branle encore. Je vais à ses pieds pour lécher toute sa jambe jusqu’en haut; elle me laisse faire. Quand je suis à sa hauteur, elle prend ma tête comme pour la diriger. Je n’ai pas besoin d’elle pour aller où j’ai envie.
J’ai envie de donner des plaisirs inconnus de nous deux. Je léche son anus.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Rien j’explore ta chatte.
- C’est pour ça que tu commences par mon cul.
Je ne peux plus répondre, je lèche son cul et y entre légèrement. Je force un moment avant qu’elle se détende normalement. Je fait des allers et retours quand enfin elle gémit: je sens son anus en proie des spasmes de jouissance.
Je monte ma langue dans son con. J’y entre également, toujours en allant et venant: elle explose encore. Je réserve mes lèvres pour son clito: je l’aspire carrément.
- C’est bon, recommence encore une fois.
- Dans ton cul aussi.
- Bien sur j’ai aimé.
Je me retrouve à nouveau ma langue dans son cul. Bien sur le goût est différent de sa cyprine, ce n’est pas désagréable. Par contre je commence à faiblir de ma langue.
- A mon tour; suces moi.
- Tu veux au cul, comme moi ?
- Où tu veux; je veux jouir comme toi.
Cathy a été si surprise par ma langue sur son anus, qu’elle commence par là. C’est très agréable d’avoir sa langue dans mon cul. Je ne pensais même pas à ce plaisir que je lui ai donné, comme ça sur un coup de tête. Elle me baise avec sa langue puis deux doigts quand elle me suce le clitoris.
Nous devenons complètement des cinglées de sexe lesbien.
Quand nous rentrons elle à son restaurant et moi chez ma grand-mère, nous trouvons le moyen de nous arrêter en route pour nous embrasser et mettre une main sur le pubis de l’autre: d’où envie de jouir encore. Un soir, elle s’assied sur une borne kilométrique, écarte ses jambes pour se branler devant moi qui du coup m’approche d’elle, les cuisses un peu écartées pour qu’elle me lèche une dernière fois.

Dans le prochain épisode, je vous raconterai la suite, en fac de médecine. Si vous le voulez bien sur