Les Vieilles

Depuis un an mon mari ne veux plus baiser comme avant. Pourtant c’est un bon baiseur. Quand nous arrivons à faire l’amour une fois par semaine, c’est le bout du monde. Le prétexte pour ne pas nous livrer à mon plaisir favori: nous sommes trop vieux: si 40 ans c’est être vieux que va-t-il devenir à 50 ?
J’ai pas mal d’amies avec qui nous papotons beaucoup, surtout de sexe. Un jour, où je venais de me masturber après un régime sans bite, je lançais un appel au secours. La plus part de copines ne parlaient pas de leurs problèmes de couple, même si elles en avaient, une avait pris un amant jeune, et la dernière Claudine avouait qu’elle était dans mon cas.
Nous partons avec Claudine: je lui fais entière confiance. Je lui avoue que les seuls orgasmes que j’ai viennent de la masturbation. Pour elle c’est pareil. Claudine me fait même part de ses fantasmes: elle se voit dans les bras d’une autre femme. Quand elle jouit, il lui semble que la bouche féminine est sur son clitoris. Mon fantasme est le viol. Je ne sais pourquoi, alors que j’aurai horreur de passer par là.
Quelques jours plus tard, Claudine me dit qu’elle a fait une folie: elle a acheté un godemichet pour au moins avoir quelque chose dans son vagin. Malgré ses réticences, elle accepte de me montrer son achat. A mon âge, je sais bien ce qu’est un gode, mais je n’en ai jamais eu seulement dans la main.
Nous sommes chez elle, au salon, je m’assois pendant qu’elle va chercher le gode. Elle revient, me le montre un peu: je pensais trouver un objet dur et très raide, au contraire sa texture fait plutôt penser à une bite quand à sa flexibilité, c’est presque la même chose.
- Si tu veux, je te montre comment je m’en sert.
- Bien sur, pas de problème, je pourrai voir si j’en achète un.
Claudine soulève le bas de sa robe, passe sa main par-dessous, ferme les yeux et je vois sa main bouger régulièrement jusqu’au moment où elle pousse un petit cri:
- Je jouis.

Excuses moi, j’étais emportée par le besoin de jouir.
- Ce n’est pas grave, tu en avais sacrément besoin, comme moi maintenant.
- Si tu veux nous pouvons jouer ensemble, nous sommes assez grandes pour ça, non ?
- Tu me propose de faire l’amour toutes les deux ?
- Non, je te propose de jouir ensemble, si tu en as envie.
- Tu sais que j’ai besoin de jouir, pas seulement envie.
- Déshabillons nous.
Elle est vite nue, pendant que j’enlève la dernière barrière, ma culotte en dentelle. C’est la première fois que nous nous voyons dénudées. Le tableau est plutôt bon, nos 40 ans ne nous ont pas marquées. Nos seins se tiennent bien.
Que faire quand deux femmes sont nues, prête à se faire jouir ? S’embrasser tout simplement. Nous sommes debout, bien serrées nos poitrines qui se joignent. Drôle d’impression agréable que d’avoir nos tétons qui se touchent. Je ne pensais pas trouver ce nouveau plaisir si agréable.
Claudine pose ses mains sur mes fesses qu’elle caressent avant de passer un doigt dans la raie pour venir vers mon anus. Je ne me souviens pas de lui avoir dit que j’aimais la sodomie, à moins que pour elle cette pratique soit courante. Elle me caresse légèrement avant d’entrer dans mon cul. J’ouvre le plus possible mon anus pour qu’elle puisse me mettre tout son doigt. Elle se baisse tout en gardant son doigt là où elle l’a mit. Sa langue cherche à entrer entre mes jambes. Je les écarte en sachant fort bien ce qu’elle vient chercher. Elle trouve mon clitoris bien durci. Elle s’occupe de deux endroits voluptueux. Je ne peux me retenir, je sens le plaisir monter dans mon ventre, envahir mes jambes, mon ventre et mes seins. L’orgasme est bien là. Elle enlève et son doigt et sa langue, pour que nous allions dans la chambre. Nous sommes couchées les lèvres encore soudées. Sa langue à le goût de ma cyprine. Je veux lui rendre, en parti au moins les biens faits qu’elle m’a donnés. Je passe ma main sur sa poitrine qui est bien dure, ses tétons eux sont encore plus durs.
Je descend vers son sexe, sans m’arrêter en route. Elle écarte les jambes pour que j’accède partout. Je passe un seul doigt sur son clitoris. Je le caresse comme si c’était le mien. Je vais et viens doucement.
- Tu vois ton fantasme se réalise: tu jouis avec une main de femme.
- Suces moi, s’il te plait.
- Où veux tu que je le fasse ?
- Sur mon cul, j’aime me faire enculer.
Je fais ce qu’elle veut, après tout nous sommes ensemble pour prendre le maximum de plaisir. Je ne me pose même pas la question de savoir quel goût peut avoir un cul. Je commence à lécher le périnée avant de toucher l’anus. Il me semble doux au toucher lingual. Je n’ai plus de crainte, ma langue se durci pour former une forme de cylindre. Je ne force presque pas quand j’entre. Je dois lui mettre 5 centimètres de langue que je fais aller et venir. Elle se crispe de temps en temps, sans jouir pour autant. Mais les contraction spasmodiques arrivent en rafale. Je ne sais combien de temps elle jouit en tout cas c’est long.
Elle me demande de lui donner ma fente. Je reste dans la sienne occuper à entrer ma langue dans son vagin. J’ai du trouver le bon endroit: elle n’arrête pas de jouir. Je l’ai enjamber pour faire ce qu’elle demande un bon 69. Je suis sur elle, j’en profite pour lui rendre ce quelle me fait tout en étant plus basse. J’entre deux doigts dans son cul. Je ne pensais jamais avoir un tel plaisir avec sa langue sur le clitoris et des doigts dans le cul; Elle non plus: nous gémissons toutes les deux; nous jouissons souvent.
Nous avons oublier le principal, la chose pour laquelle je suis venue chez elle: le godemichet. Elle l’a apporté et l’a oublié. Je me propose pour qu’elle me baise en premier. Elle est presque assise sur mon ventre, elle me masturbe encore une fois pour finir par me le mettre dans le vagin. Elle me baise avec une douceur que je ne connais pas encore. C’est sans doute plus long pour l’orgasme: quand il arrive, je cri légèrement.
Elle arrête juste le temps pour moi de finir de jouir. Cette fois j’ai jouis avec une bite, fausse mais présente dans mon vagin. Elle recommence à me baiser encore une fois. J’ai droit non plus à la douceur, mais au contraire à des vas et viens très actifs. Je me laisse baiser comme elle veut et je jouis encore plus.
Je n’en peux plus. A son tour d’être baisée. Je prend à pleine main le gode, je le passe partout dans sa fente. Je vais du cul au clitoris. J’entre enfin dans sa chatte. Je la baise normalement. Je me sens bizarre de jouer l’amant. Je fait des allers et retour qui la font jouir.
- Je voudrai que tu me la mette au cul.
- Tu aime bien te faire enculer.
- Oui, depuis la première fois quand il m’a dépucelé.
- C’est ton mari qui t’a dépucelée ?
- Non mon premier, je devais avoir 17 ans. Tu veux me sucer en même temps; c’est bon, je me branle normalement mais je préfère ta langue.
Je lui remets le gode dans son vagin pour le mouiller un peu, je prends de ma cyprine pour bien mouiller l’entrée. Je passe sous elle, pose ma langue sur son bouton le lèche avant d’entrer dans son anus bien ouvert. La sodomie se déroule normalement et pour elle et pour moi. Pour moi, je peux voir de près le gode entrer et sortir, j’ai le goût de son sexe et j’ai la surprise de sentir sa langue sur mon clito. Elle est secouée de plusieurs orgasmes. Je sors le gode au bout d’un bon quart d’heure. L’aventure est terminée pour aujourd’hui. Nous sommes lasses de ce que nous venons de faire. Nous voyons les copine moins souvent: nous nous baisons deux à trois fois par semaine: pas mal pour des vieilles.


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