Les Bienfaits D'Une Entorse
Les biens faits dune entorse
Premières descentes à ski et la chute
. Après un retour à lhôtel, diagnostic dune entorse du genou ; cest fini pour la semaine et après la déception, le moral revient : il fait beau, le cadre est sympa et jencourage mon mari à skier avec sa fille qui est elle aussi dans la station. Pour moi se sera terrasse et bronzette avec un bon bouquin.
Le lendemain, je les encourage à faire la journée non stop prévue au programme ; vers 11h je descends avec mon attelle et je prends place à une terrasse, la jambe sur une chaise, couvée par le barman (pensez une femme blessée) ; il fait très beau et finalement, cela aurait pu être pire ; à coté de moi sinstalle un homme qui gentiment me salut, puis un peu plus tard engage la conversation, et finalement il me questionne sur mon genou ; » je suis ostéo « me dit-il et il me propose de regarder mon genou ; dabord sur la réserve ,on ne sait jamais, il réussit à me convaincre et nous partons à lhôtel. Il sest avéré que jai eu raison car après mavoir remis le genou en place, la gène est bien moins importante. Pour terminer, il me masse la jambe et je prends conscience quavec tous les mouvements pour me remettre en place, mon string a bougé et que placé comme il est, il doit avoir une belle vue sur ma fente, car une de mes lèvres a quitté sa prison ; je pique un peu mon fard et il sen aperçoit.
« Rassurez-vous, la vue est plaisante et se sera mon salaire pour la manip » en même temps sa main remonte, le long de ma cuisse et frôle lentrecuisse ;
« Cela vous fait du bien ? » sa main appuie de plus en plus sur ma cuisse et ses doigts effleurent de plus en plus près ma chatte ; ma réponse est idiote « cest bon, je nai plus mal »
« Vous aimez ? » Sa main vient de sarrêter entre mes cuisses ; que faire ? je le regarde rapidement ;physique banal, environ 60 ans, légèrement bedonnant, rien de particulier sauf sa main qui sappuie de plus en plus et ses doigts sont maintenant à lentrée de ma grotte ; je sens monter mon envie et mes lèvres se tapissent de cyprine ; pour toute réponse , je ferme les yeux et jécarte doucement mes cuisses ; maintenant il a accès direct et il ne sen prive pas ;deux doigts sinfiltrent facilement et il commence à me branler, faisant tourner ses doigts, me grattant les parois ; puis les ressortant, il les rentre dans ma bouche ; ils sont plein de jute, puis il les replongent, et cest bientôt trois doigts qui me ramonent et je cambre mes reins pour faciliter la pénétration; très vite il me fait jouir et mes gémissements remplissent la pièce.
« putain, tu pars vite, mais à moi maintenant » et me prenant la main, il la pose sur sa braguette ; la bosse est conséquente et quand il ouvre son pantalon, un sexe tuméfié jaillit ; sa bite nest pas très longue mais elle est très grosse et une grosse veine bat, ses couilles, épaisses , pendent, son gland est violacé et une goutte perle de son méat; je nai pas le temps de le branler car péremptoire il me la plante entre les lèvres ; sa peau est douce et son gland a un gout âpre ; je lui promène la langue sur toute la longueur et je lui gobe les boules ; elle tiennent à peine dans ma bouche et quand je les tire en arrière, il laisse échapper un grognement ; reprenant ma sucette (jadore mener un homme à la jouissance avec ma bouche), je menfonce le plus possible et je le branle, lui malaxant les couilles en même temps ; à ce régime, il ne tient pas longtemps ; le premier jet est pour mon palais et le reste de sa jute méclabousse le visage ;
« test vraiment bonne, cela fait longtemps que je navais pas joui ainsi » sa queue est toujours raide et jécarte les cuisses : « prend moi maintenant, jai envie de ton bâton, ma chatte est ouverte pour toi » mes paroles doivent le stimuler car sans hésiter, il me pénètre ; mon con, pourtant bien dilaté , a du mal à le contenir, tellement il est gros, court ,mais gros « putain tu me remplis la chatte, vas-y bourre moi, fais moi jouir avec ta grosse queue » il est agrippé à mes hanches et il me bourre comme un bucheron , à grand coups, accompagnant chaque butée dun grognement ; je ne maitrise plus rien, je me laisse aller , je me donne à cet amant dun jour. Soudain, sans prévenir ma jouissance arrive, violente ; je ne peux me retenir et je hurle mon bonheur » cest bon, tu me défonces et tu vas me remplir de ta jute ; je suis une salope qui nattend que ton jus ; je jouis
» Pour lui aussi, la jouissance arrive et je sens les pulsions de sa queue qui déverse son sperme ; plusieurs jets frappent mes parois, et son jus déborde sur mes cuisses à chaque fois quil bouge dans mon ventre : enfin, il sécroule sur moi et nous restons un long moment ainsi.
Cest le téléphone qui me fait reprendre mes esprits « jarrive dans un quart dheure ; le temps na pas été trop long ? Cest jean qui revient ; vite mon soigneur séclipse, non sans me dire quil reprendra de mes nouvelles demain.
Quand jean arrive, je suis étendue sur le lit, les cuisses grandes ouvertes ; dabord étonné de ma position, il comprend quand il saperçoit que de ma chatte sécoule des sécrétions ; menfonçant deux doigts, il constate létat dilaté de ma vulve ; « si je comprends bien, tu tes fait baiser
(Ses doigts me fouillent) cétait bon ? Maintenant, tu vas me raconter pendant quà mon tour, je vais te défoncer »
La soirée a été chaude et javoue que jai oublié mon genou. Jai retrouvé mon soigneur le lendemain, car malgré tout je nai pas pu reprendre le ski. Il aurait bien voulu reprendre « les soins » mais javais dautres projets.
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