Ma Première Expèrience Avec Mon Copain Motard Tony
En 1974 javais 17 ans, ma folle passion de la moto, la vitesse, la liberté, les copains, le partage et les disputes amicales autour dune mousse sur la puissance et tenue de route de nos chevaux dacier. Javais embarqué ma sur cadette VERO dans cette aventure, elle était surtout attirée par mes copains que par ces deux roues que lon prenait plaisir à faire prendre des angles incertains.
Je flirtais avec BIBI, qui était la sur jumelle de mon inséparable copain TONY que javais rencontré par le biais du milieu motard ,nos motos de même marque nous rapprochais considérablement , il ne tarda pas à sortir avec VERO, tant et si bien que nous finîmes par être les quatre inséparables du groupe ce qui nous convenais parfaitement à tout les deux et à nos surs respectives, cela devenais plus facile pour elles de sortir avec le frangin qui veille.
Bibi était brune, bien faite, fine, ces traits de visage était très proche de son frère jumeau, lui ,sportif jouait au rugby dans léquipe locale et nous allions souvent le voir au stade.
Ma sur VERO était aussi une belle fille « elle lest toujours »,je comprenais que mon pot soit attiré même si je savais que ce ne serai quun flirt qui ne durerais quun temps ,je navais aucune envie moi non plus de rester très longtemps avec ma copine ,cétait lépoque ou nous avions le plaisir de séduire et changer de filles," les filles de garçon" quand nous le voulions, ces nanas là ne se donnaient pas facilement ,même si nous nous amusions bien à les peloter et à nous faire faire des petites gâteries nos jeux sarrêtait là, respect avant tout.
Chaque année au mois de septembre il y avait la concentration moto dANDORE ou se réunissais des milliers de motos pour 4 ou 5 jours, cétait la deuxième année que nous pouvions nous y rendre pas question de rater cette excitation de voir autant de bécanes ,dautant plus que cette année nous avions nos passagères respectives « le top »,nos parents étaient daccord pour nous laisser partir avec nos surs sous certaines conditions « pour dormir dans les tentes » (les filles avec les filles et garçons ensemble ),ok de toute manières elle ne se donnerai pas ,alors autant samuser autrement, « je ne croyais pas si bien dire ».
Nous avions réussi à partir le jeudi soir à 17 heures, après 3 heures de route à fond la caisse, ou plutôt fond la bécane, nous voilà sur place, le bruit de toutes ces machines cétait vraiment le top, quel bonheur !!!!!, quelle liberté !!!!! Les motos déchargées, les tentes canadiennes 2 places ne mirent pas longtemps à prendre leur places en face lune de lautre, la bonne organisation a fait quune heure plus tard nous étions en place ; crevé mais heureux dêtre tout les quatre.
Nous campions sur un ancien complexe sportif avec des commodités réduites, les organisateurs avaient séparé les douches en deux par des panneaux de contre plaqué une porte au milieu ce qui nous obligeais à prendre des douches à plusieurs, dun coté les hommes de lautre les femmes (encore) jétais pas mal dérangé pas cette option alors que mon copain lui , habitué quil était par son sport se disait parfaitement à laise ,les filles nétaient pas dérangées du tout ce qui ma valus je me rappelle pas mal de taquineries et rigolades.
Jacceptais donc, par force, daller me débarbouiller avec TONY, il me mit vite à laise par ses vannes à deux balles, nous entendions les filles à coté se marrer et nous imaginions des scènes à faire pâlir un scénariste de porno, faut dire que nous étions pas mal excité par les seins de nos copines qui cétaient appuyé toute lAM contre nos dos, (vive la moto) franchement on était bien servis lun et lautre de ce coté là.
Cétait la première fois que je prenais une douche avec un mec ,je ne pouvais mempêcher de regarder en évitant de me faire remarquer ,certainement pour pouvoir faire une comparaison et me rassurer un petit peu, ce que je fis très vite , je maperçu que jétais largement dans la norme, TONY me pris à partis en me disant darrêter de me cacher vers le mur, il vint vers moi, il était entièrement rasé et son sexe avait grossis ; nullement gêné il me dit alors que cétait normal leau lui faisait toujours cet effet, cela marrangeai bien , le voir comme ça devant moi mexcitait et je ne pouvais contrôler lérection qui était en train de monter ,TONY était maintenant à quelques centimètres .
A lextérieur dautres groupes nous pressais en criant de vannes du style, alors ça gaze on séclate ?, magnez vous les petits mecs !!! Et
! il fallu attendre un petit moment pour que nos verges rétrécissent ce qui fut assez facile vu lénervement qui nous prenais car nos copines étaient sortis de la douches et les gars nous les draguaient allégrement ,nous voulions montrer que nous étions des hommes « à 17 ans pensez vous donc » une bousculade sen suivais avec les injures qui vont avec mais cétait de bonne guerre et cela se calma assez vite ,cela montra à mon pot que je ne me laissais pas faire et que j étais aussi viril que lui.
Je sortis des sanitaires troublé, presque choqué je ne voulais pas admettre que jétais attiré par un garçon, lui rigolais car il voyait ma gène, quelque part il me tardait daller me coucher, jattendais la suite.
Les sandwichs que lon avait achetés furent vite engloutis, la soirée était fraiche, laltitude nous saoulait, les bornes que nous avions avalées à fond faisaient que la fatigue-nous gagnant rapidement, les filles nen pouvais plus et nous décidâmes daller nous coucher.
Je fus surpris en rentrant dans la tente, TONY avait attaché nos duvets ensembles ce qui avait pour effet de ne faire quun seul couchage, mais je ne dit rien je mattendais à quelque chose donc
.
TONY ut un petit sourire en coin, il avait compris au vu de mon silence que jaccèderai à ses désirs, à ma grande surprise il ne tenta rien, en tout cas pas de suite, nos corps nus se frottais à chaque mouvements, le sommeil était le pus fort et je mendormis assez rapidement.
Ce nest quau petit matin dans le froid matinal que je sentis une main me toucher, TONY avait froid , moi aussi, je ne refusa pas quil se colle un peu plus a moi ,jétais tourné sur le flanc ,il se serra derrière moi, je sentis une caresse puis il se blottit contre moi je sentais son sexe grossir contre mes fesses, il me suc cura à loreille un petit « salut toi »,je lui répondis par un salut ta bien dormis ?, pas très bien me répondit-il je ne pensais pas que tu dormirai si vite !!!!, puis il essaya de membrasser ce à quoi je me refusais ,il me demanda si jétais fâché je lui répondis que non pas du tout il me demanda alors ce que je pensais de la veille, si jétait choqué, je lui répondis par la négative ,il me serra encore plus fort de son corps viril et musclé ,le désir montait en moi, jétais en érection maximale quand il passa sa main sur mon sexe ,il lempoigna de sa main musclé et la serra fort en faisant des mouvement de haut en bas ,je sentais de plus en plus que jallais mabandonner à ses désirs ,ce poigné qui me branlais était vraiment excitant et doux à la fois, cétait vraiment un mec attentionné, il savait comment si prendre pour amener un garçon au désir dun autre ,je compris vite quil nétait pas à sa première expérience ,je décidais de me laisser aller ,il arrêta son exercice par un mouvement de plus en plus doux il relâchais sa main tout en ralentissant le rythme, il passa sa tête sous le duvet et descendit jusqu'à ma verge, je sentis ses lèvres sur mon gland elles étaient douces ce qui ne correspondais pas avec son physique ,je ne sais pas pourquoi je limaginais sec, sans attentions, tout dans ses façons de faire me faisait penser le contraire de ce quil était, ma sur avec laquelle je partageais tout y compris le récit de nos relations sexuelles ne mavais rien dit sur ce mec si tendre.
Nous nous sommes rendormis, au matin nous nous sommes levé comme si de rien nétait, on a fait nos lits, non sen sêtre auparavant occupé des filles, je maperçus à ce moment là quelles avaient attaché leurs duvets ensemble pour ne faire quun.
Jattendais le soir impatiemment, mais ça cest une autre histoire.
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