Mes Premiers Émois (2)
Suite de mes premiers émois avec Anne. Je vous renvoie au (1) avant dire lire la suite :)
A lépoque les textos étaient en illimités à partir de 18h. Anne était assez pudique pour ne pas dire coincé mais je ne sais pourquoi plus parlante et ouverte par sms. Le lendemain, je me souviens davoir reçu un texto de sa part.
« Pierre, jespère ne pas te froisser en te disant cela, jaimerais que tu mapprennes à donner du plaisir aux garçons. »
Je ne me suis pas fait attendre et répondu de suite « jaimerais découvrir ton corps, te lécher, de ne cesser de tembrasser partout. Je serais enchanté te de montrer comment fonctionne un garçon si en échange tu fais pareil avec les filles »
« Merci pour ta réponse, je ne voulais pas te le dire, mais javais très envie hier de gouter ta bite, de la prendre dans ma bouche. Tu mas fait un peu peur quand tu mas dit de me décaler sur le côté. Crois-tu quon pourrait ressayer ? Supprimes ces textos stp, je ne veux pas que tes amis tombent sur ces messages.
« Je ne voulais pas te faire peur, jétais excité et ne voulait que tu te tapes la honte devant tes copines avec ma semence séchée. On se retrouve à 18h30 devant le réfectoire ? On en parle après manger : cela sera plus discret. »
« ok merci Pierre. Je taime »
Certains internes prenaient leur douche directement à 18h je suis monté 4 à 4 dans la chambre, prendre vite fait une douche. Mes colloques de chambrés nétant pas là, je me suis accessoirement aussi soulagé en pensant aux aventures qui pourraient arriver ce soir. Jai vérifié que mon gland + mes noix étaient nickels puis je suis descendu rejoindre Anne.
Elle avait détaché ces cheveux, son blouson était ouvert sur un pull vert pomme avec un beau décolleté sur ces jolis gros seins. Pour le bas, un pantalon noir assez serré sur ces hanches. Je ne pus mempêcher davoir des papillons dans ma bite. Elle commençait déjà à durcir sérieusement dans mon slip.
« Salut Anne ! Bien passé ta journée ? »
« Oui super jai même plutôt réussi mon contrôle de maths. » Elle me souffla à loreille « Tu es déjà en forme, arrête je mouille moi aussi ». A lépoque je ne savais pas ce que cela signifiait exactement mais javais compris grâce à lintonation de sa voix.
Après le repas (sans souvenir particulier), nous nous sommes dirigés vers notre coin habituel tout en haut dun bâtiment dans la cage descalier.
Je lembrassa. Ces lèvres étaient sucrées et avaient le gout de fraise. Elle me mordit sous le coup de lexcitation le bord de mes lèvres. Je maventura avec ma langue pour rejoindre la sienne dans sa bouche.
Au bout de 5 bonnes minutes, on sécarta brièvement pour enlever nos blousons respectifs, puis nous nous collâmes à nouveau pour sembrasser.
Elle narrêtait pas de soupirer, je sentais son cur à travers sa poitrine collée contre la mienne battre la chamade. Mes mains commencèrent leurs explorations par ces fesses que je sentis fermes à travers le fin tissu et élastique de son pantalon. Je remonta mes mains directement sous son t-shirt et lui toucha ces seins à travers son soutien-gorge. Je me souviens de la douceur de sa peau, ces tétons qui étaient durs et sensibles sous mes doigts.
Ma bite malgré la branlette sous la douche dy il a quelques heures, me faisait mal comme jamais tellement elle était dure. Anne le devina car de ces doigts agiles, déboucla ma ceinture et fit descendre mon jean. Ma bite et mes couilles dépassait de mon slip. Elle fit tomber mon slip et ma bite jailli contre son pantalon.
Anne arrêta de membrasser et séloigna dun pas. Elle prit ma bite dans sa main droite et se mit à genoux en me regardant. Elle avait compris la leçon précédente car elle plaça sa main droite juste en dessous de mon gland et commença à la faire coulisser de haut en bas.
Elle approcha sa bouche lentement sur mon gland.
Je ne sais pas si cest mes encouragements (« oui va y ») ou mes gémissements (car elle continuait de faire des vas et vient, ma bite navait jamais été aussi sensible), mais elle goba dun coup mon gland violacé.
Le contraste était saisissant. Le couloir était chauffé (il y avait même un radiateur à 2 pas) mais la sensation de mon gland dans sa bouche chaude, étroite et humide ma littéralement marqué à jamais.
De son côté, Anne me regarda et décala sa main sur la base de ma tige. Son autre main commença à titiller mes couilles. Elle les caressa et les faisait rouler délicatement sous ces doigts.
Elle retira ma bite de sa bouche et me souris « Wahou ! Je te sens palpiter dans la bouche ! » Elle rajouta en me regardant droit dans les yeux « jadore ta bite » Elle reprit mon gland dans sa bouche et cette fois ci enfourcha progressivement une partie de ma tige dans sa bouche. Elle fit des vas et vient dans un bruit de succion. De la salive coulait le long de ma tige puis ruisselait jusquà mes couilles. Cette sensation était elle aussi divine.
Je ne peux mempêcher de pousser un « ohhhh » puis rajouta « Anne je ne vais pas tenir longtemps. Veux-tu que je te prévienne ? »
Elle sortit ma bite de sa bouche et me répondit : « non je veux aller jusquau bout. » Fit un bisou sur mon gland et rajouta en me regardant « je veux te gouter entièrement »
Cette dernière phrase est arrivée directement à ma bite et la fit durcir alors quelle était déjà au bord de lexplosion.
Anne lenfourna à nouveau et fit 3 ou 4 va et vient avec sa bouche. Je lui tapota en haut ce son crane : Anne, je viiiens » suivi dun râle comme jen ai jamais poussé. Je vis la base de ma bite bouger et jéjacula dans sa bouche. Je vis Anne déglutir mais avala une bonne partie. Elle prit un mouchoir dans son blouson qui était à terre et cracha le reste de mon sperme.
« Merci Anne, cétait.. à nouveau parfait ! Quen as-tu pensé ? »
« Cétait bizarre mais excitant je ne comprends pas pourquoi javais peur ! La prochaine fois cest à toi de toccuper de moi ! » Elle rajouta en rigolant « Vite nous sommes en retard ! ».
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