Des Coeurs En Otage
DES CURS EN OTAGE
AVERTISSEMENT !
Certain faits racontés dans cette histoire sont sévèrement punis par la loi.
Ils ne sont là que pour illustrer une histoire sortie tout droit de l'imaginaire, et ne sont en aucun cas cautionnés par l'auteur.
Quand vous êtes laid et avez quarante deux ans, vous nattendez plus grand chose des femmes. Vous mettez votre vie sentimentale et sexuelle en stand-by et vous vous masturbez sur les quelques instants de bonheur que vous avez pu avoir durant votre vie.
Pourtant, parfois
Cest un pote et sa copine qui mont entrainé dans cette boite de nuit.
Je ne sais pas danser et je ne me sens vraiment pas à ma place. Je me console en regardant les petits culs qui sagitent devant moi.
Les filles sont belles, jeunes, mais surtout inaccessibles. Pour moi, du moins.
A la table dà coté, il y a un couple de vingt ans tout au plus.
Enfin ! Quand je dis couple
Le garçon est seul car sa petite amie se déhanche comme une folle sur la piste.
Je narrive pas à détacher mes yeux de la fille. Cest une pure merveille blonde.
Cheveux mi-long, yeux bleus, une chemise blanche nouée sur le ventre, boutons ouverts créant un décolleté à faire pâlir le Marquis de Sade et laissant percevoir de petits seins bien blancs.
Son petit cul est couvert dun mini kilt qui dégage ses jambes des cuisses aux genoux, le reste étant enveloppé dans de longues chaussettes blanches.
Son mec reste assis et comme moi, il la contemple. Il est tellement prit par la prestation de sa chérie, quil ne voit pas que je regarde la même chose que lui. Et cest tant mieux.
« Bon ! Bruno ! Tu viens ? On y va ! »
Mes amis désirent partir.
« Heu ! Non ! Finalement, je suis bien ici. En plus, il nest pas très tard. Ne vous inquiétez pas, je rentrerais seul. Ok ? »
« Bon ! Cest comme tu veux. A plus ! Salut ! »
Ils sen vont et je les suis des yeux.
Elle danse toujours, mais elle me fixe et me sourit. Je suis un peu gêné et je tourne la tête vers son copain. Il me regarde. Il na pas lair en colère, mais semble plutôt triste.
Dun coup
je me sens moins bien.
Elle vient sasseoir près de lui pour prendre un verre et se reposer un peu. Elle donne un bisou à son mec et sort une cigarette.
Nous sommes à des tables différentes, mais sur la même banquette. Elle nest pas à plus dun mètre de moi. Je peux sentir son parfum.
« Vous avez du feu ? »
Elle cest pratiquement allongée, sa cigarette au bout des doigts. Sa chemise pendouille et je vois distinctement ses seins. Elle ne peut pas lignorer.
Je fouille ma poche, nerveusement, trouve mon briquet et je lui tends. Elle ne le prend pas, mais sétire encore un peu plus pour que je lallume.
La feu touche le tabac, mais ne senflamme pas. Elle naspire pas.
Interrogateur, je la regarde.
Ses yeux plongent dans les miens et brillent derrière la flamme. Sentant mon trouble, elle esquisse un sourire et aspire enfin. Le tabac sembrase dans un petit crépitement presque inaudible, tout comme son « Merci beaucoup. »
Elle fume sa cigarette sans sintéresser à moi. Intérieurement, je me dis que cest une belle allumeuse et je plains son ami.
Son poison fini, elle retourne danser
juste devant moi. Ses cuisses frôlent ma table.
Je nose plus regarder son mec.
Je suis fasciné par ce petit corps qui se tord et ondule. Je bande.
Soudain, nous nous retrouvons dans lobscurité et les spots colorés sont remplacés par une lumière noire.
Cest le moment des slows.
Elle me tend la main et ses doigts minvitent à me lever. Je lui fais signe que je ne sais pas danser. En plus jai une énorme bosse dans mon pantalon. Jaurais lair fin !
Mais ca, elle lignore et elle att mon poignet et me tire sur la piste.
Elle se jette littéralement à mon cou.
« Ho ! Pardon ! Je suis désolé ! »
Je les retire aussitôt, mais elle les reprend et les replacent sur ses hanches.
« Ce nest pas grave. Tu vois que tu sais danser ! Serre moi un peu plus. »
« Heu ! Je ne sais pas si je dois
»
« Si ! Tu dois ! »
Et elle se plaque à moi.
Un peu dérouté par mon érection incontrôlable, quelle ne peut ignorer, je tente de me calmer, mais en vain.
Elle se frotte à moi, doucement. Son pouce caresse ma nuque et elle a posé son menton sur mon épaule. Je sens sa respiration dans mon oreille et ses cheveux caressent ma joue.
Forcement mon sexe redevient plus dur que jamais.
Elle me regarde, amusée, me sourit et repose son menton tout près de mon cou pour me murmurer :
« Ce nest pas grave ! ».
Grisé par son parfum, sa chaleur, joubli son ami et maventure à la serrer plus fort.
Mes mains glissent dans son dos et je sens ses seins sécraser sur ma poitrine.
Si ca continu, je vais cracher ma purée dans mon froc !
Japerçois son ami qui se lève et qui se dirige vers les toilettes. Elle le voit aussi.
« On y va ! Vite !»
Ce nest pas une demande, cest comme un ordre, une évidence.
« Heu ! Ben non ! Ton copain
tu ne peux
»
Ses yeux bleus me lancent des éclairs. Elle ne semble pas aimer quon lui tienne tête.
« On y vas ! Maintenant ! Ne cherche pas à comprendre ! »
Je suis surpris et très embarrassé pour ce pauvre gars, mais pourtant, je la suis.
Nous ramassons nos manteaux et une fois dehors jappelle un taxi.
« Ou veux tu aller ? »
« Chez toi ! Cest bien, chez toi, non ? »
Je donne mon adresse au chauffeur. Il nous observe dans le rétro et il doit se dire quun type comme moi, a bien de la chance dêtre avec une fille
comme elle.
Je ne sais pas trop dans quoi je membarque, mais cest linstant présent qui compte en ce moment.
Apres avoir inspecté mon appart, elle sinstalle dans le canapé, jambes croisées, ses mains sur son genou. Mon dieu quelle est belle.
Je lui offre du champagne et très sagement nous discutons de choses et dautres. Elle nest pas idiote et il est agréable de converser avec elle.
« Je ne connais même pas ton prénom ! »
« Moi, je connais le tien ! Bruno ! »
Elle samuse de mon air étonné.
« Rassure toi, je nai pas de don particulier. Jai juste entendu tes amis tappeler par ton prénom. Hihi ! Moi, cest Fanny.»
« Fanny ! Humm ! Cest très joli ! Mais dis-moi Fanny
je repense à ton petit copain et
»
« Ha non, Bruno ! »
Elle pose son verre et vient se poser à califourchon sur moi.
« Tu ne veux pas gâcher cette belle soirée ? Tinquiète pas pour ce mec, il ne compte pas. Embrasse-moi ! »
Cest le plus beau, le meilleur et le plus long baiser de toute mon existence.
Ses lèvres sont douces, sucrées. Sa langue est agile, curieuse et fouille chaque recoins de ma bouche avec douceur. Nos salives se mélangent et font de grands filets lorsque par hasard nos bouches gourmandes se détachent, pour mieux se retrouver ensuite.
Sa chemise est dénouée, retirée et jetée loin dans la pièce.
Mes premières caresses sur ses seins confirment ce que je pensais. Ils sont dune douceur extrême, tiennent dans le creux de mes mains et son fermes comme des pamplemousses un peu murs.
Ses tétons dressés appellent ma bouche et Fanny se penche en arrière pour mieux me les offrir.
Je les suce et les roule entre mes lèvres, tandis que mes mains caressent ses cuisses et remontent lentement sous son petit kilt.
Quelle nest pas ma surprise darriver à son sexe sans trouver la moindre trace de culotte ou de string.
Mes pouces caressent les grandes lèvres, puis, les écartent et glissent dans la grotte humide.
La petite Fanny sénerve sur ma braguette qui lui résiste un peu et libère enfin mon dard tendu.
Elle se redresse lentement, puis
se laisse remplir doucement par ma chair.
Apres une bonne décennie sans faire lamour, quil est bon de retrouver la chaleur et la douce humidité dun sexe féminin, dentendre de nouveau de longues plaintes de plaisir, un souffle court, sentir des mains dans mes cheveux, sur mon visage.
Au petit matin, je la réveille doucement avec un copieux petit déjeuner.
Elle se cale dans le canapé que nous navons pas quitté, et remonte sur elle la fine couverture avec laquelle nous nous étions couverts pour dormir un peu.
Je pose le plateau sur ses cuisses et après mavoir remercié, elle dévore ses croissants.
« Tu va bien, Fanny ? »
« Humm ! Oui ! Je me sens détendue comme jamais. »
Je repose son plateau sur la table basse et je me glisse près delle sous la couverture.
Nous refaisons lamour.
« Bruno ? Jaimerai rester là ! »
Voilà un mois quelle cest installée chez moi.
Un mois de bonheur.
Un mois de sexe à toutes heures.
Un mois que je ne me sens plus laid.
Pourtant insidieusement, les choses changent.
Du jour au lendemain elle exige que je lui serve le petit déjeuner au lit, tous les jours.
Le ménage mincombe entièrement à présent tandis quelle fait son shopping, et le repas doit être prêt lorsquelle daigne enfin rentrer.
Jai bien tenté dexprimer mon mécontentement. Sa réponse fut très explicite.
« Jaimerai rester là, près de toi. Je suis bien, ici. Ne me donne pas lenvie de partir ! »
Jai tout de suite repensé à son copain en boite et à la tristesse quil affichait. Sans doute subissait-il le même chantage, la même pression.
Je repense aussi à ses années sans amour, seul. Alors
je me tais.
Je ne veux pas perdre cette peau douce, ses yeux clairs, ce petit chat qui se blottit encore contre moi, la nuit.
Peu à peu, je ne suis plus moi. Amoureux, mais paralysé par la peur de la perdre.
Je pense quelle le sait et elle en joue. A moi de ne pas tomber dans ses pièges.
Un vendredi soir
« Jai invité deux amis ce soir. Fais-nous un bon petit truc à manger. Mais par pitié, sois mignon et ne mange pas avec nous. Sers-nous, mais ne mange pas. Je veux être tranquille avec mes nouveaux amis et je ne voudrais pas quils croient que
je ne veux pas quils sachent que tu es avec moi. »
Elle a honte de moi, cest évident. Elle ne veut surtout pas quils devinent quelle se tape un vieux et un moche en plus.
Je meffacerais donc.
Je prépare un poulet au curry. Je sais quelle en raffole.
Je mets la table pour trois personnes tandis quelle se change avant larrivé de ses invités.
Elle arrive dans mon dos et passe ses bras autour de moi pour me serrer contre elle. Ses mains caressent mon torse et je passe les miennes derrière moi et les posent sur ses fesses.
« Ca sent bon, Bruno ! Tu tes surpassé semble til ! »
« Jespère mon amour. Pour toi, rien nest trop bon. »
Je me retourne et nous nous embrassons tendrement mais nous sommes dérangés par la sonnette de la porte. Immédiatement, elle court vers celle-ci en hurlant.
« Jarrive ! Me voici ! Me voilààààà ! »
Je navais pas encore vu sa tenue. Elle porte une longue robe de dentelle noire, très
trop transparente. Elle ne porte pas de soutien gorge et je peux voir sa poitrine sans problème au travers de la dentelle et voir également le petit string ridicule qui ne cache que son coquillage.
« Whouaaaa ! My girl ! Tu es trop belle ! »
« Merci Eric ! Bonjour Vincent, tu vas bien ? »
« Quand je te vois, je ne peux qualler bien ! »
Putain ! Cest quoi ces deux espèce de bourgeois ? Ils sont maniérés, gominés, habillés année quatre vingt. Je les déteste déjà !
Lun deux maperçoit. Il me fait un signe de tête presque imperceptible, lautre mignore totalement. Pauvres cons !
Je me sens vraiment très mal, mais je suis sur que cest un test que Fanny mimpose pour voir
pour voir, je ne sais pas quoi, en fait.
Ils se sont installés dans le canapé de chaque coté de ma dulcinée. Ils sont collés à elle comme des sangsues et ils ont passé un de leurs bras derrière sa tête. De leurs mains libres, ils ont prit les siennes et les lui embrassent de mille petits bisous. Ils ont vraiment lair très con.
Je mempresse de servir lapéritif, juste pour quils la lâchent.
Ils discutent, éclatent de rire pendant que je mets une touche finale à mon plat.
Le repas se passera bien. Pour eux en tout cas. Moi, je menferme à la cuisine pour ne pas entendre toutes leurs conneries.
Pour le café, ils repassent au salon. Je les sers et méclipse faire la vaisselle.
Lorsque je reviens, Fanny est à genoux, nue et saute dune bite à lautre pour les sucer. Mon cur se serre.
Jai envi de tout foutre en lair, de jeter ces types hors de chez moi et de baiser violement Fanny pour la recadrer. Mais je nen ferais rien, bien sur.
Près de la porte de la cuisine, il y a une chaise. Je massois et je les regarde prendre du plaisir, rongé par la jalousie.
Ils jouissent à tour de rôle dans la bouche de la petite blonde et je me dis quil y a une chance pour quils sen aillent. Mais bien sur, il nen est rien.
Fanny se redresse, les prend par la main et les entraine dans notre chambre
dans MA chambre.
Je mallonge dans le canapé, effondré par la tristesse, la jalousie. Je prends le coussin ou elle était assise pour sentir son parfum. Je ne dormirais pas et passerais ma nuit à écouter les gémissements, les rires et les jouissances qui me parviennent de ma chambre, par la porte entrebâillée.
Au matin, vers dix heures, je leurs apporte le petit déjeuner. Je pousse la porte du pied et entre dans la chambre. Ils sont encore en train de forniquer comme des bêtes.
Je pose le plateau sur une chaise près du lit et je sors. Ils ne mont même pas vu.
Vers midi, ils laissent Fanny épuisée et sen vont, enfin.
Je vais la rejoindre.
Elle dort, nue, sur le dos, les bras en croix en travers du lit. Ses cheveux sont collés par la transpiration. Sur son visage, près de ses lèvres ou encore dans son cou, il y a des traces de foutres séchés.
A mieux y regarder, jen trouve aussi sur ses seins, son ventre, sur un bras également.
Mon regard se pose sur son joli minou, rougit par les assauts répétés. Il sen écoule encore un filet blanchâtre qui glisse vers la raie de ses fesses.
Quest ce qui me prend ? Je deviens fou, ou quoi ?
Je penche mon visage vers sa fente meurtrie et y dépose un baiser. Lodeur de lamour consumé parvient à mes narines et menivre. Je suis pris dune envie irrésistible et je plonge ma langue dans le sexe souillé, malgré un léger soupçon de dégout.
Légèrement surpris par la saveur des jus mélangés, je suis ensuite pris de frénésie gourmande. Je suce, lèche aspire, bois. Je me débarbouille le visage de par lorifice gluant.
Mon sexe rentre en érection comme jamais. Je nen peux plus et libère mon membre. Je me jette sur Fanny endormie et la pénètre dun coup.
« Quest ce que tu fais ? Tu es devenu fou ou quoi ! »
« Ho oui ! Je suis fou ! Fou de toi ! De ta chatte ! Laisse-moi te baiser ! Laisse-moi jouir dans ta chatte de pute ! »
Elle se débat, parvient à se dégager et me balance une gifle mémorable avant de disparaitre dans la salle de bain.
Assis au bord du lit, je reprends mes esprits tout en regardant mon sexe que je ne contrôle plus, qui éjacule sur la moquette en longs et puissants jets.
Je pleure.
Voilà deux semaines quelle ne madresse plus la parole.
Effrayé à la simple idée de la perdre, je redouble de petites attentions à son égard. Mais ca la laisse de marbre. Je sais quelle peut partir au moment ou je my attendrais le moins.
Elle me tient par les couilles, cest le moins quon puisse dire.
Ce soir, lorsquelle sort de la salle de bain, jai un choc. Elle est habillée exactement comme la première fois ou je lai vue en boite. Jy vois là un signe de détente, de rapprochement, dautant plus quelle me sourie gentiment.
Je me lève du canapé et mapproche delle.
« Tu es
»
Je nai pas le temps de finir ma phrase.
« Emmène-moi au cinéma ! »
« Heu ! Au cinéma ? Mais ou ? Que veux-tu voir ? »
« Emmène-moi dans la petite salle de mon ancien quartier. »
Elle a déjà attrapé son manteau et se dirige vers la porte. Je chope mon blouson et nous sortons. Je mapprête à héler un taxi, mais
« Non ! Prenons le métro ! »
Personnellement, ca marrange. Son ancien quartier est à lautre bout de Paris. Ca me coutera bien moins cher. Toutefois, cette envie soudaine de prendre un transport en commun, minquiète beaucoup. Surtout dans la petite tenue que cache son manteau trois quart.
Il y a pas mal de monde, mais elle trouve quand même à sasseoir sur un strapontin. Moi, je reste debout, appuyé à la porte du fond. Je lobserve.
Elle mignore complètement. Je la surprends à regarder les hommes, parfois même à leur sourire.
Je tremble à lidée quelle puisse en accrocher un et partir avec, me laissant seul dun coup. Mais à ma grande satisfaction, elle ne trouve pas chaussure à son pied.
Sur lescalator qui nous remonte à la surface, elle fait pourtant une ultime tentative dharponnage.
Elle a repéré un type dune cinquantaine dannées, quelques marches plus bas. Elle se penche outrageusement en avant, faisant mine de nettoyer une de ses chaussures. Son manteau remonte et dégage ses cuisses. Il ne fait aucun doute sur le spectacle quelle offre à cet homme.
Mais cest sans compter sur moi. Je jette un regard agressif au type et celui-ci, préfère tourner la tête que de maffronter. Fanny, heureusement, ne ma pas vu faire.
Nous pénétrons dans le petit cinéma qui passe un film dhorreur et un film de cul, en alternance, toute la journée.
Bien sur, avec la chance que jaie, nous tombons sur le film de cul.
Fanny se glisse dans la première rangée venue, bien au centre. Des types se retournent, bien que nous nayons pas fait particulièrement de bruit. Peut être son parfum ?
En tout cas, voyant la jeune femme debout, déboutonnant lentement son manteau, ils délaissent le film ou pourtant une belle femme se fait prendre en sandwich par deux étalons italien.
Fanny prend son temps et fait durer le plaisir.
Elle retire lentement son manteau, le pli et me le donne afin quelle ne soit pas embarrassée. Enfin, avant de sasseoir, elle frotte délicatement sa chemise nouée avec la paume de ses mains, insistant bien sur sa poitrine, comme pour faire tomber des peluches imaginaires, puis, elle fait de même avec son petit kilt.
Je vois les types sagiter, se parler se lever et se rasseoir. Sans doute déjà bien excités par le film, ils doivent flairer la chair fraiche, le bon coup à ne pas rater.
Et je ne suis pas au bout de mes surprises.
Elle sassoit enfin. Mais pour pouvoir poser sa nuque sur le dossier, elle glisse ses fesses jusquau bord du fauteuil. Ses genoux touchent le dossier de devant, alors, elle écarte ses jambes, en grand.
« Caresse-moi ! »
« Mais Fanny, ce nest pas très
»
« Caresse moi ou vas ten ! »
Je pose ma main sur son genou et la remonte lentement vers sa cuisse. Enervée, trouvant que je manque daudace, elle prend ma main et la pose sur son minou, sous sa jupe qui se relève.
« Branle-moi ! Pauvre type ! »
Je mets le ton quelle emplois sur le stress de la situation, quelle est pourtant en train de créer, elle, toute seule.
Elle mouille comme une folle et je nai aucun mal à la pénétrer de deux doigts. Elle désire que je la branle, alors, je ne la ménage pas et la masturbe frénétiquement.
Elle ferme les yeux et respire fort. Aurait telle oublié que plusieurs paires dyeux sont braquées sur elle ?
Soudain, elle retire ma main.
« Arrête ! »
Je pense lavoir fait jouir et jen suis assez fier, mais il ne sagit pas de ca.
Un type cest assit près delle. Je ne lavais pas vu. Il caresse le genou de Fanny, dune main, tout en sefforçant douvrir sa braguette de lautre.
Sa main disparait sous la petite jupe, quelle sempresse de remonter jusqu'à sa ceinture, sans aucune pudeur.
La blancheur de sa peau dans lobscurité fait ressortir le V, formé par ses cuisses et son bas ventre. Le type nen croit pas ses yeux.
Des spectateurs sentant quil se passe quelque chose, se lèvent et montent sur la pointe de leurs pieds pour essayer de voir.
Ils nont plus aucun doute lorsque Fanny dénoue sa chemise et louvre en grand.
Les hommes quittent leurs places et se dirigent vers nous par les allées latérales.
Elle lui donne son aide pour libérer son membre et empoigne celui-ci sans hésiter.
Elle se tourne vers moi tout en continuant à se faire branler par linconnu et en lui rendant la pareille.
« Je crois quil va me falloir de quoi messuyer ! »
Puis elle se tourne de trois quart et plonge sa tête entre les jambes du type.
Il me regarde, me fait un clin dil et souri.
Je comprends que je narrêterais pas le délire de Fanny, alors je me glisse hors de lallée et me dirige vers les toilettes. Un dernier regard à la salle avant dy pénétrer. Des hommes debout me la cachent.
Près dun lavabo il y a un distributeur dessuies mains en papier. Jen retire un maximum et retourne dans la salle obscure.
Lattroupement autour de Fanny est considérable. Les hommes forment un cercle autour delle sur trois rangées. Jai bien du mal à latteindre malgré mes suppliques.
« Pardon ! Laissez-moi passer ! Pardon ! Je suis son mec ! Laissez-moi passer ! »
Entre deux types, je parviens enfin à lapercevoir.
Elle est à genoux, empruntant deux fauteuils pour cela, afin dêtre bien ouverte. Elle na plus sa chemise. Il ne lui reste que sa jupe roulée au bas de dos. Elle penche son buste en avant pour sucer un type au dessus des dossiers tandis quun autre placé derrière elle lui bourre un des deux orifices. Je ne sais lequel. Dautres encore, caressent son dos, ses fesses, ses seins et son ventre dur comme lacier.
Elle est magnifique.
Finalement, je me dis quelle est faite pour ca. Donner du plaisir.
Elle jouit sans discontinuer, dun plaisir intense non simulé, sincère. Les hommes ne sy trompent pas et même sils la baisent à la chaine, cest dans lordre et le respect. Aucune bousculade.
A tel point que je me retrouve face à elle, sans le vouloir. Je libère mon sexe bandé pour lui tendre, heureux de pouvoir profiter de la situation et de pouvoir sentir ses lèvres sur mon gland. Mais le fait que je ne sois pas prêt, me trahi. Tous les hommes ont déjà leurs sexes libérés et tendus. Cet homme qui ouvre sa braguette devant ses yeux
ce nest pas normal.
Elle lève la tête et maperçoit.
Sa bouche est baveuse et des traces de foutres barrent son joli visage. Ses cheveux balancent aux grés des assauts et ses yeux plus bleu que jamais, brillent dun éclat que je ne leurs connaissaient pas encore. Elle est radieuse et si
belle.
Je lui souri et pose mon gland sur le bord de ses lèvres. Elle me fait une toute petite grimace rigolote et me sourit à son tour.
« Non, pas lui ! Poussez-le de là ! »
Et cest un autre qui prend ma place.
En un instant, je sors de sa tête, je nexiste déjà plus et elle se régale dun gros gourdin noir.
Dégouté, désarçonné et franchement perdu, je vais massoir à lécart.
Je suis fatigué davoir le cur serré. Fatigué de me demander si elle sera encore là demain. Fatigué de me faire rembarrer quand je la désire.
Fatigué aussi de ne pouvoir men passer.
Cest décidé, demain, je lui parle. Mais en attendant, elle séclate.
Dà genoux elle passe à assise, puis dassise à allonger sur le dos à même le sol, puis en levrette. Je lentends et la vois jouir pendant près de deux heures.
Et soudain.
« Bruno ! Bruno ! »
Et bien sur, jaccoure.
Elle est assise, essoufflée, cheveux collés et dégoulinante de sperme. Au près delle, sa chemise qui a du servir à essuyer X queues ruisselantes.
Quelques hommes sont encore là, à se masturber en la regardant. Lorsque jarrive près delle, il y en a un qui se vide sur sa poitrine en poussant des râles de bêtes.
Enfin ! Elle a besoin de moi, de ma présence. Dun coup toutes mes rancurs seffacent.
Jécarte gentiment les derniers voyeurs et je commence à la nettoyer doucement.
Jessuie son visage, puis sa poitrine. Jéponge autant que je peux son vagin dégoulinant.
Sa chemise est trop gluante pour que je la lui remette. En boulle, je la glisse dans la poche de mon blouson.
Apres avoir rabattu sa jupe, je laide à se lever, à enfiler et fermer son manteau.
Dans le taxi qui nous ramène à la maison, le silence règne. Je la regarde. Elle semble épuisée.
Il fait nuit noire depuis longtemps lorsque nous arrivons chez moi.
« Je vais te préparer un thé. Ca te fera du bien. Attend ! Je vais taider à enlever ton manteau. Hum ! Il est taché. Je lemmènerais au pressing demain et je laverais ta jupe. Tiens ! Donne la moi aussi. Je vais te retirer tes chaussettes. Mince ! Elles nont pas été épargnées non plus ! »
Je suis à genoux et roule ses mi-bas sur ses chevilles pour lui ôter.
La voilà nue, devant moi. Jen suis tout ému. Jaimerais la prendre, là
tout de suite !
Mais !
« Tu aime quand jai la chatte poisseuse ! Hein ? »
Elle matt par les cheveux et me colle le visage contre son sexe.
« Jespère que ca ne te dérange pas ? Allez, lèche-moi ! Nettoie-moi la grotte bien à fond, laideron ! »
Si elle savait comme ce mot peut me faire mal ! Mais peut être le sait elle.
Ma bouche est collée à sa fente. Je la sens contracter et détendre son vagin. Elle refoule ainsi toutes les sèves humaines qui se trouvent encore en elle.
Jabsorbe tout se quelle me restitue, malgré la forte odeur et le gout amer et salé des sécrétions, espérant bien sa grâce et la permission de la couvrir, enfin, de mon corps.
Jai nettoyé son sexe au maximum et je me relève doucement sans détacher mes lèvres de son corps.
Jembrasse son ventre, son nombril. Je mattarde sur ses seins et aspire ses tétons. Je lèche son cou et tente de lembrasser.
Elle moffre sa bouche comme au premier jour et je retrouve la douceur du premier baiser.
« Ho, mon amour ! Jai tellement envi de toi ! Jai tellement damour à te donner ! Laisse-moi taimer, mon amour ! »
Je lui dis ces paroles tout en lembrassant, maintenant ses lèvres sur les miennes de ma main sur sa nuque.
De lautre, je mempresse de défaire ma braguette et de sortir mon membre prêt à exploser.
Contre toutes attentes, elle empoigne ma bite et me masturbe doucement en collant mon gland contre sa chatte bouillante. Elle mange mes lèvres à pleine bouche et nos respirations saccélèrent.
Ma verge est prise de soubresauts. Je ne pourrais pas tenir, je vais jouir dans sa main.
La telle senti ?
Elle sécarte dun bond.
« Non ! Désolée, pas ce soir, je suis crevée ! »
Je sers ma queue dans ma main dans une ultime manuvre pour empêcher ma jouissance, mais il est trop tard.
Une fois de plus, je crache ma purée sur la moquette, juste à ses pieds.
« Pourquoi fais tu ca ? Quest ce que tu attends de moi ? Tu veux me rendre fou ? Me détruire, machever ? »
Pas de nouvelles de Fanny depuis une semaine.
Le lendemain de ma crise de nerfs, elle est sortie, sans un mot, et nest jamais revenue.
Jai fais le ménage comme un damné pendant deux jours pour quà son retour elle retrouve un bel appartement. Puis, jai laissé tomber.
La table de salon est couverte de canettes de bière et de boites de pizza. Lévier de la cuisine déborde. Sont lit est défait depuis que je my suis couché et my suis masturbé. Depuis, je dors dans le canapé avec la télé allumée, non stop.
Mes nuits sont agitées. Jalterne entre cauchemars et jolis rêves. Et là, je suis aux anges car cest le cas.
Je vois ma belle Fanny pencher sur moi, léchant mes testicules avec tendresse et remonter sur ma colonne tendue. Puis elle lengloutit avec avidité jusquà la garde.
Mon plaisir monte. Je transpire. Je vais jouir.
Je me réveille en sursaut.
« Fanny ! Fannyyy ! »
Ma queue explose et je jouis fort, très fort
dans la gorge de ma Fanny.
Elle est là, comme dans mon rêve, à soccuper de mon dard. Je crois encore rêver.
Je nose pas parler pour ne pas casser le charme de cet instant magique.
Apres mavoir bu et nettoyé, elle se lève.
« Tu ne serrais pas mieux au lit ? »
Et elle se dirige vers la salle de bain.
En trois secondes, je suis dans ma
sa chambre. Je défais les draps à la hâte, pour en mettre des propres. Une petite couverture et je suis déjà couché lorsquelle arrive.
Elle est nue sous une petite nuisette courte et transparente.
Je rebande comme un âne à la simple pensé que je vais la sentir près de moi. Mais elle fera bien plus et nous nous aimerons toute la nuit. Dans les quelques poses que nous avons faites, nous navons jamais évoqué notre brouille, ni son absence.
Ce matin, je suis gai et de très bonne humeur. Je suis descendu chercher des croissants et je suis passé chez le fleuriste prendre un petit bouquet de violettes.
Je lui prépare un joli plateau et lui apporte au lit.
Elle a des cernes sous les yeux. Jen suis assez fier, cest mon uvre. Elle a joui plusieurs fois dans la nuit et a eu de nombreux orgasmes puissants.
« Merci ! Cest très gentil. Ca me fait vraiment plaisir. Hummm ! Elles sentent si bon ! »
Elle dévore son petit déjeuner, puis :
« Tu me pardonnera, mais je crois que je vais dormir toute la journée. Tu mas épuisé. Jaimerais que tu refasses un poulet au curry pour ce soir, jai un invité. »
Jai un petit pincement au cur.
« Heuu ! En tête à tête ? »
« Oui, sil te plaît. Je te remercie. »
Elle se retourne et sendort dun coup.
Je me suis emballé trop vite. Je pensais vraiment quelle était revenue à des sentiments plus profonds avec moi. Doux rêveur que je suis. Il nen est rien.
Mais elle est là ! Ma douce et tendre Fanny est là ! Nest ce pas cela le plus important ? Je pourrais être seul en ce moment. Alors
Mon poulet est encore plus réussi que la dernière fois. Je fais une belle table pour deux et prépare des toasts pour lapéritif.
« Comment trouve tu ma robe ? »
Elle porte une robe rouge, très courte. Sa taille est mise en valeur par une grosse ceinture avec une boucle ronde en argent, portée très basse. Si le décolleté est assez sage, il en est autrement de léchancrure du dos qui plonge, jusqu'à la naissance des deux hémisphères fessier.
« Hum ! Tu es magnifique ! Elle te
»
Pas le temps de finir ma phrase. La sonnette retentie.
« Ha ! Le voilà ! Jarriveeee ! »
Je méclipse en cuisine. Je ne suis pas pressé de voir ce type.
« Vladimir ! Comme je suis contente que vous soyez venu ! »
« Fanny, vous êtes superbe, vraiment. Jai amené ma chienne de compagnie. Jespère que cela ne vous dérange pas, au moins ? »
« Ho non, pas du tout, du moment quelle ne lève pas la patte sur les meubles ! Hihihi ! »
« Mais non ! Rien à craindre, cest une femelle ! Hahaha ! »
Ces rires gras ménervent au plus haut point. Je suis étonné que Fanny accepte un animal. Elle en a une peur bleu.
Je les entends sinstaller. Jattends un peu et apporte lapéritif sur un plateau.
Vladimir est un homme dune soixantaine dannées, très grand, pas bien gros, arborant une moustache et une barbichette façon Napoléon III.
Près de lui, une jeune fille est à genoux, tête baissée et mains croisées dans le dos. Il la tient en laisse et lui caresse doucement les cheveux, tout en discutant avec Fanny. Voilà donc son animal de compagnie !
Elle a de très longs cheveux soyeux, noir corbeau, qui cache son visage. Je ne peux le voir. Comme seuls vêtements, une mini jupe de cuir noir, très courte et un caraco seins nus en lanières de cuir, orné de clous argentés.
Je suis attristé pour cette fille et je file en cuisine pour ne pas avoir à supporter ce spectacle.
Mais de la cuisine, jentends tout.
« Ca ne vous dérange pas si je la détache ? »
« Bien sur que non, Vladimir ! Elle a lair bien brave, cette petite ! Quel âge a-t-elle ? »
« Bientôt dix neuf. Brave quand elle veut ! Il faut parfois se fâcher. Allez ! File à la cuisine, tu trouveras bien quelque chose à y faire ! »
Quand elle entre dans la cuisine, je suis en train de démouler un gâteau. Elle reste près de la porte, les mains toujours dans le dos et tête baissée.
« Viens ! Nai pas peur ! Viens vite maider. Tiens-moi le plat sil te plaît, je suis en train de me bruler. »
Elle sapproche et tient le plat. Je ne vois toujours pas son visage, cachée par ses longs cheveux. Je pose le moule et passe ma main sous la chevelure. Jatt son menton et relève doucement sa tête.
« Nous sommes entre amis, ici. Tu na rien à craindre de moi. »
Je la découvre enfin.
Cest une jeune asiatique avec encore un visage d. Elle est resplendissante de beauté.
Je ne peux mempêcher de la détailler. Son visage est fin et bien dessiné. Ses seins exposés à mon regard sont menus, mais semblent dune fermeté extrême. Son ventre est bien plat, légèrement musclé, dessinant de belles ombres discrètes.
« Comment tappelles-tu ? Moi, cest Bruno. »
« Vagina. Moi, cest Vagina. »
« Vagina ? Mais ce nest pas un prénom ca ! »
« Peut être, mais cest ainsi que lon doit mappeler. »
« Allons ! Nous sommes entre nous ! Donne-moi ton vrai prénom, sil te plait. »
Elle rougie un peu en me faisant de grands yeux de petite fille de manga.
« Thanh Thuy. Ca veut dire : Eau pure. »
« Et bien, eau pure, je suis ravi de faire ta connaissance. »
Elle est attendrissante et je ne peux mempêcher de caresser amicalement, sa joue dun revers de doigt.
Cest linstant que choisi Fanny pour faire irruption dans la cuisine.
« Trois fois que je tappelle ! Tu na rien dautre à foutre que de draguer cette petite morue ! »
La jeune fille apeurée, court hors de la cuisine et retombe à genoux près de son
je ne sais quoi
qui la rattache immédiatement au bout de sa laisse.
Elle remet les mains dans son dos et se referme totalement sur elle-même en rabaissant sa tête une nouvelle fois.
« Je suis désolé Vladimir, il est impardonnable ! »
« Non, non, cher amie ! Ne lui en voulez pas. Vagina est très jeune, donc influençable. Cela ne se reproduira plus. Soyez en certaine. »
Je fais le service en cachant ma haine et ma colère, de façon à ne pas aggraver les choses pour Thanh Thuy.
A la fin du repas, ils sinstallent dans le canapé et japporte les cafés.
« Monsieur Vladimir, permettez moi. Jai préparé un plat chaud pour mademoiselle Vagina. Rassurez vous, il ny aura pas de problèmes, je vous lassure. »
Fanny est rouge de colère.
« Bruno ! Comment oses-tu ! »
« Non, laissez cher Fanny. Cest très gentil à lui. Elle na rien mangé depuis hier, je ne voudrais pas quelle tombe malade. Cest très gentil à vous, garçon. Merci beaucoup. »
Garçon ? Il mappelle garçon ? Pauvre et sombre con !
Il détache la jeune fille et je lentraine à la cuisine. Là, sans un mot, je la fait assoir au coin dune table et lui sers une bonne assiette de poulet. Elle se jette dessus. Je veux bien croire quelle soit affamée.
Tout en étant aux petits soins pour ma nouvelle amie, jécoute la discussion au salon.
« Elle est adorable. Ou avez-vous déniché cette merveille ? »
« Vous ne me croirez jamais. Je lai trouvé au fond dune cave dun HLM de banlieue, peu fréquentable. »
« Dans une cave ? »
Thanh Thuy lève les yeux vers moi. La honte se lit dans son regard et je comprends que ce que jentends est vrai.
« Oui, oui, dans une cave ! Figurez vous que je recherchais une belle asiatique. Je les adore, cest mon péché mignon. Je désespérais de trouver lorsquun de mes contacts ma informé quil avait entendu parler quune tournante se préparait dans une cité, avec une asiatique. »
« Une tournante ? »
La jeune asiatique détourne son visage de moi et continu de manger.
« Oui, cest cela. Cest la résultante dune mauvaise rencontre dans un mauvais lieu, au mauvais moment. Un jeune homme lui a tourné la tête, et lui la « prêté » à ses amis. Cest très courant dans certaines cités de banlieue. La plupart du temps, ca se passe dans les caves ou les parkings. »
« Ha ? Vraiment ? »
« Je suis arrivé à temps. Avec un peu dargent on arrange les choses facilement. »
« Vous lavez sauvé en quelque sorte ! »
« Tout à fait, oui. »
Thanh Thuy semble furieuse et fait semblant de taper du poing sur la table.
Je chuchote pour que Fanny ne mentende pas.
« Tu a lair contrarié ? Ca ne va pas ? »
« Jétais consentante. Il ne ma pas sauvé. Quel con ! »
« Tu étais
»
« Et alors ! Les asiatiques aussi aiment le cul ! Il est arrivé et a foutu ma soirée en lair. Mon mec mavait trouvé dix types. Le truc, cétait que je devais faire semblant de ne pas vouloir. Je devais me débattre pour les exciter à mort. Cétait un jeu, quoi ! »
« Et tu laurais vraiment fait ? »
« Humm ! Oui ! Jen rêve depuis déjà un bon moment. Et de toute façon je le ferais au moins une fois dans ma vie, dès que loccasion se présentera ! »
« Mais quest ce que tu fou avec lui ? »
« Mon mec a accepté largent. Ca ma dégouté. Comme jhabitais chez lui, il a bien fallu que je me trouve un autre toit. Mais ca vas, je suis bien traitée, même si il est un peu dingue. Je baise à volonté, ca me plais, alors tout vas bien. Au moins, il est original. »
« Bon, daccord, mais il est vachement vieux pour toi, non ? »
« Dis dont ! Elle nest pas vachement jeune pour toi ? »
« Oups ! Tu viens de marquer un point. Nous pourrions peut être nous voir
ailleurs
seuls. Quen dis-tu ? »
« Pas facile de méchapper avec lui. Même la nuit, je dors au pied de son lit.
« Tu me diras, avec Fanny, ce nest pas mieux, elle ne me lâche pas une seconde. »
« Hé ! Mais dis dont Bruno ! Tu ne serais pas en train de me proposer la botte, là ? »
Merde ! Elle arrive à me faire rougir. Je noie le poisson rapidement.
« Chuttt ! Écoute ce quils disent ! »
Je me cache à lentrebâillement de la porte pour les observer. Le type est assis dans le fauteuil et Fanny sur un pouf en face de lui.
« Ils parlent encore de toi, Thanh Thuy. »
Elle se lève et saccroupie face à moi.
« Hé ! Quest ce que tu fais ? »
« Ose dire que tu ne me désire pas ! »
Elle pose sa petite main sur la bosse de mon pantalon.
« Thanh, cest pas la question ! Cest plutôt que ce nest pas le moment ! »
« Fais le guet et laisse moi faire. »
« Thanh ! Non, Thanh ! »
Mais déjà mon sexe est sorti. Ses petits doigts me caressent un instant, puis je sens la chaleur de sa bouche menvelopper. Comment une tête si fine, peut elle engloutir autant de chair ?
Mais je ne peux pas être tout entier à mon plaisir et je dois rester très vigilant. Si Fanny venait à nous surprendre
dieu sait sa réaction. Je nai pas à tendre loreille, nous les entendons parfaitement bien.
« Elle est vraiment charmante. Vous avez beaucoup de chance. »
« Charmante et très docile. Ce qui ne gâche rien. De plus, si vous saviez comme elle est serrée ! Cest incroyable ! »
Je manque déclater de rire.
« Cest vrais ca ? Tes serrée ? »
« Continu comme ca et tu perdras toutes tes chances de le savoir un jour. »
« Rhoo ! Cest bon ! Je plaisante ! »
Imperturbable, elle reprend sa fellation. Et moi mon observation. Du moins, jessais.
« Quand jai déposé mon annonce, je naurais jamais imaginé que ce puisse être une femme qui y réponde. »
« Jimagine que vous serrez plus rassuré que si cétait un homme. Ca je le comprends bien. »
De quoi parlent-ils ?
« Hoo ! Arrête, je vais jouir ! Cest trop bon ! Cest quoi cette histoire dannonce ? »
« Et dun, jouis, idiot ! Donne-moi ton jus ! Et de deux, jen sais rien et je men fou ! »
Elle na pas fini sa phrase que je sens la base de mon pénis bouillonner. Je pousse ma queue dans sa bouche.
« Tiens ! Prends ! Prends tout ! Haa ! Bois tout ! Hummm ! »
La petite boit tout avec délectation. Elle nen a pas perdu une seule goutte. Apres mavoir bien nettoyé, elle range délicatement mon petit matériel, puis se redresse pour se jeter à mon cou et moffrir un fabuleux baiser.
Sa bouche est si petite ! Comment a-t-elle pu me prendre tout entier ? Ceci explique peut être la rapidité avec laquelle elle ma fait parvenir à la jouissance.
« En tout cas, ta bouche lest ! »
Elle me regarde interrogative.
« Quoi donc ? »
« Ben ! Bien serrée ! »
Elle me donne de petits coups de poings tout en rigolant doucement.
« Cest bien que vous puissiez me la garder tout le mois. Vous môtez une épine du pied. Vous verrez, elle est facile à gérer. »
« Elle a tout intérêt ! Je sais me montrer très autoritaire, vous savez ! »
Nous nous regardons. Un grand sourire barre nos visages.
« Tu vas rester un mois ici ! Cest génial ! »
Fanny se lève et sapproche du fauteuil. Lui, écarte les jambes pour laccueillir. Elle prend la tête du type et lappuit sur son ventre en caressant ses cheveux.
« Nayez crainte Vladimir ! Je men occuperais bien ! Faite moi confiance. »
Tout à coup, il commence à transpirer. Il perd le contrôle. Ses mains passent rapidement sous la robe et empoignent les fesses de Fanny. Il embrasse son ventre, frotte son visage dessus.
« Ho Fanny ! Fanny ! Vous êtes belle ! Je vous veux
là
tout de suite ! »
Je tire Thanh devant moi, pour quelle profite du spectacle. Elle nest pas grande et je passe facilement mes bras par-dessus ses épaules. Je les croise comme pour lenvelopper et je caresse ses petits seins. Ils sont si menus, mais dune douceur incomparable et très réactifs. A peine mes paumes de mains posées, je sens les pointes réagir et gonfler.
Elle appuie sa tête contre moi et pose ses mains sur les miennes pour accompagner mes caresses. Je bande de nouveau et elle frotte son petit cul contre ma bosse.
Au salon, ca bouge.
Vladimir pette un câble.
Il lève la robe et plonge son visage dans lintimité de sa nouvelle amie. Elle, ferme les yeux et se penche un peu, courbée par le plaisir en lui maintenant la tête contre sa fente.
Il lèche, lape comme un chien.
Il ny a pas que lui qui soit excité. Je nen peux plus non plus et jimagine que ma petite asiatique nest guère mieux. Elle ondule de plus en plus contre moi, tout en contemplant son mentor.
Je laisse une main quitter ses seins. Elle glisse sur son ventre, presse la micro jupe et se glisse dessous. Thanh ne porte rien et est lisse comme de la nacre.
Je sens son entaille de chair sous mon index et mon majeur. Je caresse doucement de haut en bas, puis de droite à gauche, jusqu'à sentir lhumidité sur le bout de mes doigts.
Vladimir pousse Fanny contre la table et ly couche. Il relève ses jambes et après avoir extirpé son sexe, il la pénètre sans ménagement.
« Ho, oui ! Vladimir ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hooo ! »
Tandis que mes doigts pénètrent la jeune fille, je sens ses mains qui cherchent à ouvrir ma braguette et sortir mon sexe dressé.
Incroyable ! Mes doigts confirment ! Cest vrai
Elle est serrée, très serrée.
Je nen peux plus. Je la colle contre le réfrigérateur. Elle saccroche à mon cou et enroule ses jambes autour de ma taille. Nos lèvres se rejoignent de nouveaux alors que je pénètre son temple royal.
Cest un couloir de soie qui maccueil, si étroit quil faut être fort pour en pousser les parois. Je suis ému dy pénétrer, de lenvahir, de loccuper. Je suis au paradis du soleil levant.
Sa douce respiration caresse mon oreille. Nulle force, nulle brutalité, nulle impatience. Tout se fait dans la douceur et lintimité dune tendre complicité.
Dans le salon
« Je viens, Fanny ! Je viens ! »
« Ho oui ! Donne-moi tout ! Jouis fort ! Remplis-moi ! »
Même les deux excités ne pourraient gâcher notre douce fusion.
Pourtant
« Mais ils sont ou les deux, làààà ! BRUNO ! Quest ce que tu fou ! Amène moi des lingettes et deux cafés ! Dépêche-toi ! »
Pas question de quitter la douce chaleur de Thanh.
« Ne bouge pas ! Je men fou, ne bouge pas ! »
« Non, Bruno ! Sil me trouve ainsi, je serais sévèrement punie. »
Elle membrasse une dernière fois, furtivement, et laisse retomber ses jambes à terre.
Je sens mon cur se déchirer et ma tête bouillir de colère.
Japporte des lingettes. Jai vraiment envi de lui balancer en pleine face.
Lui, cest installé de nouveau dans le fauteuil, tandis quelle est restée debout, robe relevée pour ne pas la tacher par le sperme qui coule le long de ses jambes. Elle a lair ridicule devant cet homme qui, soulagé, na plus rien à faire de cette poupée.
« Putain ! Bruno ! Quest ce que vous foutiez là-bas ? »
« Nous finissions la vaisselle. Nous ne voulions pas vous déranger. »
Thanh entre dans la pièce et va droit vers Vladimir. Dès quelle se trouve à porté, il glisse sa main sous la petite jupe. La jeune fille rougie et baisse la tête.
« Et bien, jeune homme, vous faite très mal la vaisselle ! Elle est encore toute poisseuse ! Vagina, fou toi à genoux ! Tu serras punie pour ta stupidité. »
Inutile daggraver la situation. Je retourne à la cuisine, chercher le café. Lorsque je reviens, elle est de nouveau en laisse.
« Fanny, je dois partir. Je vous laisse donc le soin dappliquer la punition. Vagina sera livrée pour une tournante dans une cité. Et vous, jeune homme, vous serrez chargé de lorganiser sous le contrôle de Fanny. Et noubliez pas que si elle est punie cest en partie de votre faute. »
Thanh relève discrètement la tête pour croiser mon regard. Elle me fait un grand sourire complice. Elle ne pouvait rêver meilleure punition.
Fanny se méfie beaucoup et je narrive pas à communiquer avec Thanh. Je dors sur le canapé et elle est attachée au pied du lit de Fanny. Pas simple.
Le lendemain, elle menvoie prospecter.
Je ne choisis pas la cité la plus pourrie. La sécurité de Thanh mimporte beaucoup. Cest une que je connais qui a ma préférence.
Jy traine un peu, semblant chercher quelque chose. Je veux attirer lattention dun groupe de jeunes.
Jai du y parvenir, car lun deux sapproche de moi. Cest le moment de vérité.
« Tu cherche quelque chose ? »
« Ca se pourrait, oui. »
« On aime pas les types qui tournent en rond, ici. Tes qui ? Tu veux quoi ? »
Le type ne semble pas commode et ses potes nous observent de loin.
« Rassure toi, je ne suis pas un flic. On ma parlé de « tournante » ici. Cest vrai ? »
« Tes journaliste ? »
« Mais non ! Cest juste que sil y a des tournantes dans le coin, jai peut être du matériel pour vous. Du premier choix.»
Je fouille dans ma poche et je lui sors une photo de Thanh, que Fanny avait habillée joliment pour loccasion, afin dattiser lenvie.
Il séloigne avec la photo et va rejoindre son groupe damis. La photo circule de mains en mains. Ils discutent. Aucune émotion ne transparait. Et lorsquil revient me voir
« Samedi. Dix neuf heures trente. Je serais là. Tu ne me parle pas et tu me suis de loin avec la fille. On garde la photo. Tes prévenu, il risque dy avoir du monde. Pas dentourloupes, sinon
»
Je rentre transmettre le rendez vous à Fanny. Thanh est encore dans la chambre, alors je parle assez fort pour quelle mentende.
Fanny semble surexcitée.
« Ca cest parfait. Vladimir vat être content de moi. Cest génial. Il faudra faire des photos et des vidéos pour les lui montrer. Ho putain ! Cest trop cool ! »
Tout à sa joie, elle senferme dans la salle de bain en oubliant de fermer sa chambre à clef.
Je rejoins Thanh.
« Tu a entendu ? Tu vas lavoir ta tournante. »
« Cest super, Bruno. Merci. Je suis déjà toute excitée. »
« Tu a intérêt à être en forme. Le type ma fait comprendre que ca allait être musclé. »
« Tinquiète pas je vais les épuiser. Hihihi ! »
« Mais noublies pas. Autant pour les types que pour Fanny, tu nes pas consentante. Cest bien compris ? »
« Tinquiète pas ! Au lycée, jétais la meilleure en théâtre. »
Elle membrasse furtivement.
Je ne pourrais plus lui parler de la semaine.
Samedi.
Fanny est nerveuse. Elle a sorti toutes les fringues de son armoire. Elle ne sait pas comment habiller Thanh.
Finalement, se sera porte jarretelle et bas noir, escarpins hauts talons, jupe noire plissée et pour finir un gilet bordeaux un peu grand, fermé devant par des boutons pression. Bien sur, elle ne porte aucun sous vêtement. A ma demande, elle lui donne tout de même une veste pour le voyage.
« Ou allons nous ? Ou memmenez-vous ? Je ne veux pas faire de tournante ! Sil vous plait ? Ou allons-nous ? »
Elle avait raison. Cest une excellente comédienne. Fanny tombe dans le panneau et lui met son collier de chien.
« Je te préviens, si tu bronche je te passe la laisse et tu gouteras à la cravache ! »
Thanh a pu et a su se maquiller pour être encore plus désirable. Elle a lissé ses longs cheveux soyeux, quelle laisse couler sur ses épaules. Je la sens nerveuse, mais décidée. Nos regards se croisent furtivement plusieurs fois dans la journée. Lorsque ca arrive, elle me sourit ou me fait un clin dil rapide.
Elle est délicieusement belle.
Fanny enfile un jeans et un tee-shirt sous un blouson de cuir, et nous voilà parti.
Dans le métro et le bus qui nous conduisent à la cité, les gens nous regardent. Il faut dire quil nest pas commun de croiser une jeune fille portant un collier danimal de compagnie.
« Place Youri Gagarine. »
Nous sommes au cur de la cité et à lheure. Pourtant, près du banc ou nous avions rendez vous
personne.
La nuit tombe sur les barres HLM.
Nous sommes tendus tout les trois. Même Fanny se demande si nous ne ferions pas mieux de partir. Je le sens à son attitude nerveuse.
Depuis un moment, sur le trottoir den face, des jeunes passent, seuls ou en petits groupes, pour entrer dans un hall dimmeuble. Démarches nonchalantes, mains dans les poches et casquettes vissées sur le crane. Le stéréotype de la jeunesse de banlieue. Ils nous dévisagent tous. Il est vrai que les deux poupées qui se trouvent avec moi, ne peuvent quattirer les regards.
« Le voilà ! Cest lui. »
A ces mots, Thanh est parcourue dun grand frison, quelle a bien du mal à cacher.
Elle me fait signe discrètement quelle a peur. De la tête, je lui indique que lon peut encore partir, mais elle fronce les sourcils pour me faire comprendre quil nen était pas question.
« Nous devons le suivre de loin, sans lui parler. »
« Ok ! Allons y, mais avant
»
Fanny sort la laisse de sa poche et malgré ses protestations, attache la petite asiatique.
Le jeune pénètre dans le même hall que tous les autres. Il ne fait plus de doute que nous allons bientôt retrouver tout ce petit monde.
Nous nous engageons à notre tour derrière la grande porte vitrée. Il y a un couloir ou son alignées des boites à lettres pour la plupart éventrées. Un petit tourne à droite et nous sommes devant deux ascenseurs. Les témoins lumineux, indiquent quils sont dans les étages. Il ny a personne.
Derrière nous, japerçois une porte entrouverte. Jy jette un il.
Un escalier en béton, éclairé par une ampoule blafarde, disparait dans la pénombre du sous sol.
« Suivez moi, ce doit être par là ! »
Fanny me retient par la manche.
« Pas question ! Cest la pute qui ouvre la marche. Allez, avance ! »
Tout en la tenant en laisse, elle pousse Thanh dans lescalier.
Je la vois morte de trouille, mais je sais quelle napprécierait pas que jarrête tout.
Lescalier tourne. Une main légèrement en avant, elle laisse lautre glisser sur le mur. Elle penche un peu la tête comme pour anticiper ce qui pourrait surgir au bout de notre descente.
Nous ny voyons pas grand-chose mais bien que fermant la marche, je devine un long couloir, éclairé à peut prêt tout les vingt mètres. A notre gauche il y a un mur de béton et à droite des portes de bois cadenassées salignent aussi loin que lon peut voir. A chaque lumière, un autre couloir senfonce sur la droite. Autant dintersections qui nous font frissonner.
Jentends un bruit derrière moi. Je tourne la tête. Le jeune est là qui me fait signe davancer. Au couloir suivant, trois jeunes nous bloquent le passage.
Mon contact me tape sur lépaule.
« Cest qui la meuf en jeans ? »
« Cest une amie, cest elle qui amène la fille. »
Sadressant à ses potes
« Je moccupe de lui, fouillez les nanas ! »
Le mec me tapote un peu partout alors que les filles se font carrément peloter. Ce nest pas du gout de Fanny.
« Bas les pattes ! Cest elle la salope ! »
Les types rigolent et tirent Thanh dans une cave. Nous y pénétrons aussi.
Il y a cinq caves dont les cloisons ont été abattues afin de ne plus faire quune longue pièce. Au fond, un matelas a été jeté à même le sol en terre battue. Sur le mur, deux anneaux pendent à hauteur dhomme. Il y est accroché des cordelettes de nylon.
Difficile de dénombrer le nombre de personne qui se trouve là.
La longue soirée de Thanh commence.
Sa laisse a été défaite et sa veste ôtée. Le jeune la fait avancer lentement vers le matelas entre deux rangées de jeunes hommes.
« Arrêtez ! Laissez-moi ! Mais quest ce que vous faite ! Laissez-moi ! Non ! »
Malgré ses cris de protestations, son gilet a été ouvert et baissé sur ses épaules. Des mains se succèdent sur sa petite poitrine. Dautres soulèvent sa jupe, caressent son cul ou sa chatte, ou bien encore ses cheveux, son visage, sa bouche.
Lorsquelle arrive au matelas, son gilet nest plus et sa jupe ne résiste pas longtemps.
Sa beauté, sa resplendissante nudité contrastent avec cet endroit glauque, sale et puant.
Pendant un instant, je ne la vois plus. Elle a totalement disparu au milieu des hommes qui se bousculent pour la caresser. Le jeune intervient.
« Ho ! Poussez-vous ! Laissez la petite salope respirer ! Il y en aura pour tout le monde ! »
Il semble respecté car les types sécartent immédiatement.
Il sapproche delle en montant lui aussi sur le couchage.
Thanh est debout sur la paillasse, dos au mur. Elle couvre sa poitrine de ses avants bras, en portant ses doigts à ses lèvres. Comme une petite fille apeurée, elle lève légèrement une jambe et la glisse devant lautre pour tenter de cacher son sexe.
« Je mappelle Samir, et toi ? »
« Vagina. »
« Vagina
Vagina. Vaginal ? Comme le vagin ? »
Ils éclatent tous de rire.
« Bon, écoute. Cest toi qui décide. Si tu veux que ca se passe bien, ca se passera bien. Si tu veux la merde, tu auras la merde. Tu comprends ce que je te dis ? Regarde-moi quand je parle ! »
Elle sursaute et fait un petit oui de la tête.
« Biennn ! On va te dire ce quon veux et toi tu fais. Ce nest pas dur, tu vois ! Par exemple
»
Il défait sa ceinture ainsi que les boutons de sa braguette.
«
par exemple, moi, je veux que tu me pompe à fond ! »
Elle ne bouge pas et rebaisse la tête.
Samir se fâche et latt par les cheveux.
« Ta pas compris pouffiasse ! Je veux que tu me pompe ! Alors tu te fou à genoux et tu bouffe mon dard ! »
Il tire fort, obligeant la jeune fille à tomber à genoux.
« Bouffe ! »
Tremblante, elle plonge ses doigts dans le caleçon et sort sa première bite de la soirée.
Elle prend la main de Samir pour quil lui lâche les cheveux, et fait glisser le gourdin entre ses lèvres fines.
« Et ben voilà ! »
Plusieurs types se rapprochent pour la contempler sucer leur chef.
Dautres, viennent vers nous.
Un grand black sapproche tout près de Fanny et fait glisser un doigt sur ses cheveux.
« Salut chérie ! Tu sais que le black aime bien les poufiasses blondes ? »
« Oui, mais les blondes naiment pas forcement le black ! Ok ! En plus je ne suis pas là pour ca ! Alors dégage et vas toccuper de la bridée. »
Il fait un large sourire qui laisse apparaitre une dentition parfaite, dune blancheur incomparable.
« Putain ! Toi, ta des couilles pour me parler comme ca. Jaime bien. Jadore les rebelles ! »
Il colle une main sur un de ses seins, en la glissant dans le blouson ouvert. Sans attendre, elle lui claque lavant bras pour lui faire lâcher prise.
« Pas touche ! Cest pas pour toi ! »
« Tu crois pouvoir me frapper ? »
Il claque des doigts et deux types passent derrière elle et tente de lui retirer son blouson, malgré ses efforts pour se dégager.
« Moi, je demande pas la permission ! Je prends ! Surtout ici ! Tu crois vraiment que tu allais repartir comme tes venue ? »
Le blouson, descendu dans son dos, lui bloque les bras. Le black att le tee-shirt au niveau du col et le déchire en deux, libérant les deux seins blancs.
« Brunooo ! Aide-moi, merde ! Fais quelque chose ! »
Je vois là loccasion rêvée de reprendre le contrôle de ma vie.
« Mais oui Fanny ! Je vais faire quelque chose ! Je vais me délecter de ce qui va tarriver, mon amour ! »
Les types éclatent de rire et finissent de la débarrasser du blouson et du tee-shirt. Puis, ils la tirent contre le mur, au pied du matelas pour lattacher aux crochets avec les cordelettes.
A ses pieds, Thanh se fait prendre en levrette et suce un type en même temps. Jignore combien lont déjà honorée, mais elle ne semble pas épuisée.
Jaide les types à retirer les bottines et le jeans de Fanny. La salope se débat comme une tigresse et les coups de pieds pleuvent de toutes parts. Mais cest peine perdue et très vite elle est complètement dévêtue.
Les bras attachés, elle est beaucoup moins fière et nettement moins arrogante.
« Sil vous plait, détachez-moi ! Regardez, cest moi qui vous ai apporté la petite salope et cest comme ca que vous me remerciez ? Allez ! Détachez-moi, je vous en supplie ! »
Samir vient me voir.
« Si jai bien compris, tes en compte avec cette morue ? Alors à toi lhonneur ! Paye-toi ! »
« Non, merci. Ca lui ferait trop plaisir que je mabaisse à la baiser. Elle est à vous, je vous la laisse. »
Cest le black qui la besogne en premier. Lui aussi était en compte avec elle et il se sert copieusement et bien profond.
En fin de nuit, elle a rejoint Thanh sur le matelas. Celle-ci, bien que fatiguée, en demande encore et cest en missionnaire quelle finit les quelques jeunes qui trainent encore dans la cave.
Fanny se fait sodomiser une dernière fois et sécroule, épuisée. Elle aimerait bien se lever et partir enfin, mais cest sans compter sur son ami black qui ne voit pas les choses se terminer ainsi.
Il la couche sur le dos, bras le long du corps et sassois sur son ventre.
« Tiens, petite ! Viens poser ton minou sur sa face de putain ! »
Thanh, amusée, ne se fait pas prier.
Elle se glisse à genoux au dessus du visage de Fanny, face au black. Son vagin dégueule de foutre qui coule sur les cheveux et le front de la salope. Encore quelques centimètres et elle se contracte pour se vider sur son nez, sa bouche et son menton.
Le black à son sexe entre ses seins et les presse pour se branler gentiment.
Je suis surexcité et je ny tiens plus. Je sors mon engin et le tends à Thanh qui se fait un plaisir de lui offrir sa bouche comme refuge.
Elle a désormais posé son fessier sur le visage de la nouvelle esclave. Elle étouffe ainsi ses plaintes et ses injures.
Le black dans un dernier râle, se vide dans le cou de la blonde. Il retire ensuite le collier de la petite asiatique et le passe à lautre, sur son foutre encore chaud.
Je craque et me vide à mon tour.
Thanh sessuie avec les lambeaux du tee-shirt. Pour Fanny, cest plus compliqué. Elle na rien pour éponger sa chatte ou son visage. Elle renfile son jeans et son blouson.
Je la sens vaincue. Elle a les yeux hagards, ne sachant plus quoi faire, ny ou se rendre.
Avec Thanh, nous remercions Samir et le black et nous leur avouons quelle était consentante. Ca les amuse beaucoup et ils nous font jurer de revenir les voir.
La petite se fait un plaisir dattacher Fanny à la laisse, et nous voilà en route pour mon appartement.
Cinq heures du matin. Pas de bus. Cest à pied que nous rejoignons la station de métro, heureusement pas trop éloignée. Le vent frais fait plus ou moins sécher le foutre sur le visage de Fanny.
Elle a bien de la chance car à cette heure, un dimanche matin, il y a peu de monde dans le métro. Mais nous croisons tout de même quelques personnes qui noublierons jamais limage de cette jeune fille blonde, maculée de foutre et tenue en laisse par une ravissante asiatique, dans un couloir de métro.
Après une bonne douche, nous dormirons toute la matinée dans mon lit, dun bon et long sommeil réparateur. Fanny, quant à elle, restera attachée au pied du lit dans létat ou elle était.
Quinze heures sonne en même temps que la sonnette de la porte. Je vais voir et je tombe sur Vladimir.
« Bonjour mon ami ! Je viens reprendre Vagina. Jespère que
»
« Bougez pas, je reviens ! »
Je ferme la porte.
Thanh maide à remplir un sac poubelle des fringues de Fanny. Elle la détache du lit, lui passe collier et laisse et me lamène.
Je la tire jusquà la porte dentrée que jouvre et je la pousse dans le couloir sous les yeux effarés de Vladimir.
« Vagina nest plus, vive Enculina ! »
Et je claque la porte.
Thanh explose de rire et de joie. Elle accoure et me saute au cou.
Insatiable quelle est, nous ferons lamour jusquau soir.
Une nouvelle vie commence.
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