Jacqueline

Nous nous aimons depuis longtemps. Depuis mes19 ans, déçue par un garçon qui me promettait des jouissance extraordinaires et qui ne faisait que me baiser sans trop s’occuper de moi, je décidais de le laisser tomber. J’en trouvais facilement un autre puisqu’il suffit de leur promettre le paradis. Cette fois il faisait des efforts pour me donner du plaisir.
J’ai eu droit à me faire mettre par devant, par derrière (ce qu’il préférait). J’ai même partagé un ou deux 69. Pour moi c’était le plus agréable: je me sentais maitresse de sa queue que je pouvais mordre sans qu’il ne me dise que c’était bon. Pour lui c’était bon, pour moi sa langue commençait quelques fois à me faire tressaillir, sans plus.
Déçue de ce genre de «plaisirs » je me contentais seule le soir dans mon lit. Je pouvais rêver sans limites à des étreintes qui me faisaient monter au 7° ciel. Jusqu’au jour où ma jeune tante Jacqueline qui avait presque mon âge, la femme de mon oncle, venait pour passer quelques jours à la maison. Je pouvais me confier à elle sans problème.
- Je me suis marié pour profiter de la situation de ton oncle que je n’aime pas du tout.
- Tu baise bien avec lui.
- J’y suis bien obligée.
- Tu jouis au moins ?
- Avec lui je simule toujours. Pour jouir je me branle sans le lui dire: il en serait jaloux.
- Pourquoi, tu n’aimes pas baiser ?
- Si j’aime baiser.
- Alors pourquoi ?
- J’aime baiser les filles.
- Tu me le ferai ?
- Te faire l’amour ?
- Bien sur je ne peux pas jouir avec les hommes, alors je voudrai essayer avec une autre femme.
- Tu n’as pas honte de me demander cette chose, si quelqu’un nous entendait nous nous ferions traiter de tous les noms.
- Tant pis, j’aurais aimé, je vais continuer à me masturber en attendant une autre femme.
- Je ne t’ai pas dit non, je t’ai dit que si on nous entendait……….
‘ Alors, tu es d’accord.
- Bien sur que je te baiserai.

Es tu vierge ?
- Non depuis longtemps.
- Je te propose d’aller dans un hôtel de passe pour nous envoyer en l’air.
- Non, je n’aime pas les hôtels je préférerait ici, près de la piscine.
Nous nous séparons, demain après midi vers 15 heures nous nous retrouverons dans la piscine: promis juré, elle me fera jouir.
Il me tarde d’être demain. Je me demande comment je vais pouvoir m’habiller pour me baigner. J’opte pour le plus petit des maillot, celui qui ne monte qu’à mi ventre, juste au dessus du pubis, celui que ma mère n’aime pas que je porte, et un soutif aussi petit.
A l’heure pile je suis déjà dans l’eau. Je suis tellement impatiente que je reste au bord de la piscine appuyée contre la margelle, ma main dans mon slip me touchant déjà le clitoris. Je suis si excitée que j’ai un orgasme rapide, juste au moment ou Jacqueline arrive. Elle me fait sortir de l’eau pour que nous allions nous allonger sous un saule là où sont les fauteuils. Avant de nous assoir sur l’herbe elle s’approche de moi. Encore plus près et pose lentement, en me regardant dans les yeux, ses lèvres sur ma bouche. Sa langue ne traine pas en route; je la sens quand elle vient dans ma bouche. Je me sens envahie d’un sensation étrange: mon premier baiser avec une femme. Elle vient se coller à moi. Son corps chaud contre le mien me fait prendre conscience que je suis mouillée par le maillot. Je ne sais rien faire d’autre que de passer mes bras autour de son cou. Par contre je sens qu’elle sait bien s’occuper des plaisirs d’une autre femme! Elle passe une main, sur une fesse, chercher la raie pour descendre là bas, en bas vers mon petit trou. Si elle savait comme je mouille. Elle trouve facilement ce qu’elle cherche pour le caresser. Elle ne cherche même pas à y entrer, elle se contente de le caresser, surtout le tour. Je sens que je mouille d’avantage que d’habitude.
Je la laisse me donner tout le plaisir qui abouti au grand frisson. Je serre son cou à l’: elle me fait poser les mains sur sa poitrine.
Je commence à le faire quand elle enlève son soutien gorge. Je touche maintenant ses seins. Qu’ils sont doux à coté des miens. C’est totalement faux bien sur, mais sur le moment je le pense sérieusement. Elle s’arrange pour que je sois comme elle, torse nu et appuyée sur sa poitrine. C’est une révélation de sentir ses pointes dures sur les miennes qui sont dures aussi. Nous sommes reliées pas nos bouches et nos seins. Maintenant elle appuie son pubis contre le mien.
J’ai une envie folle qu’elle s’occupe de mon sexe: elle doit bien savoir faire jouir une fille comme moi. Je sens son corps couché sur le mien. Elle me fait toutes les caresse inimaginables sur moi. J’essaye bien de les lui rendre. Je suis une débutante et ne sais par trop comment faire. J’ai tellement besoin, de jouir de sa main que je me laisse faire totalement.
Il me semble qu’elle comprend quand elle enlève mon slip. Elle passe une main entre nous deux, la fait descendre enfin sur le sexe. Elle se lève pour s’assoir juste à mes cotés. J’écarte les jambes sans qu’elle me le demande: je suis prête à la subir. Je n’attends que sa main qui enfin vient directement sur le bouton. Elle le caresse en faisant les même vas et viens que moi. Je la laisse faire toujours; c’est plus agréable que quand je me branle et pourtant elle ne me fait rien d’extraordinaire. Pour la première fois de ma vie de pousse un léger cri quand je jouit. Mon Dieu que c’était bon………….
Elle se relève pour venir se coucher entre mes jambes. Sa tête est vite sur ma chatte. C’est sa langue qui fait tout pour me donner encore du plaisir. Elle lèche au passage l’anus pour se ficher dans ma vulve. Je ne sais pas ce qu’elle me fait en tout cas je suis toujours à deux doigts de jouir, elle sait manifestement faire durer les bonnes choses. Elle n’y réussit pas totalement puisque j’ai encore un orgasme qui me fait pousser mon petit cri. La prochaine jouissance arrive quand ses lèvres prennent mon bouton.
Je ne veux pas être égoïste, je veux lui rendre ce qu’elle m’a si sensuellement donné.

Je lui demande de rester sur le dos pour que je puisse la caresser. Elle aussi a envie de mes caresses. Je la branle en étant assise à coté d’ .elle. Elle conduit ma main fort ignorante dans cette partie. J’arrive à lui donner un orgasme qui me déçoit. Du coup je me rabat vers son anus. J’innove en le caressant comme elle m’a fait. Je ne m’arrête pas à la surface, j’entre deux doigts dans son cul: elle gémit. Quand je commence les vas et viens elle gémit plus fort jusqu’au moment de sa délivrance. Je sens les mouvements de son orgasme autour de mon doigt.
Je prend mon courage à deux mains pour mettre ma bouche sur son con. Je suis d’abord surprise par le goût de sa chatte et ensuite pas la douceur des tissus de son sexe. J’entre ma langue dans son vagin. Je fait quelques vas et viens avant d’aller sur son bouton. Je le lèche longuement sans m’attarder à tenir compte de ses jouissances.
Elle me demande la suite logique:
- Viens sur moi pour que je te suce.
- Tu veux que nous fassions un 69 ?
- Oui, j’adore faire ça entre filles.
Je me pose sur elle. Elle doit lever sa tête pour me sucer la moule et moi je baisse un peu ma tête. Nos langues nous donnent plus de plaisir que je le pensais. Nous en profitons pour nous « enculer »
Nous arrêtons là pour aujourd’hui.
Le lendemain, nous recommençons et arrivons même à passer une nuit entière ensemble quand mon oncle est appelé pour son travail: le lendemain nous ne sommes pas belles à voir avec nos visages cernés.
Nous arrisons à nous rencontrer quelques fois pour jouir encore.
J’ai finalement trouvé une véritable amante depuis peu. Nous baisons souvent; elle m’a appris d’autre bricoles qui font toujours du bien. Nous nous aimons plus que bien, comme un couple normal.

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