Christine
Mes parents sont propriétaires dune ferme isolée dans une région agricole. Je suis âgée de 19 ans, le mappelle Julie, et fréquente les cours dune classe prépa dans le lycée de la ville proche. Assez aisés, mes parents mont acheté un studio ce qui me permet de vivre comme tous les autres de ma classe. Je naime pas trop rester chez mes parents; je suis fille unique et my ennuie. Je passe mon temps à lire, ce que je trouve très agréable et me balader dans la propriété où jai découvert à quelques centaines de mètres un bosquet: quelques arbres que je baptise aussitôt ma FORET. Jy vais tous les après midi passer une bonne partie de mon temps à me faire plaisir.
Il ne mest pas étranger ce plaisir que je connais depuis que je suis adolescente. Je ne pense pas être la seule a explorer mon sexe. Jai pris lhabitude daller à cet endroit pour me mettre toute nue pour pratiquer sur ma perle des caresses très ciblées. Je me fais jouir. Le soir après diner, je fais pareil quand mes parents vont se coucher. Je retourne dans ma FORET en ne portant sur moi quune simple robe à fleurs très démodée. Etant nue dessous, jabrège ainsi lattente pour jouir.
Cette année, Christelle, la fille du seul ouvrier agricole doit venir passer ses vacances aussi. Je ne sais que peu de choses sur elle, sauf quelle étudie le droit en fac dans la ville où jhabite. Jai hâte de la connaitre pour briser ma solitude.
Et un matin je la découvre dans la cour. Une fille aussi grande que moi, plus belle, il me semble, avec des lèvres sensuelles et une paire de seins qui doit attirer les mains des garçons de sa fac. Nous nous approchons pour nous parler. Le courant passe vite entre nous deux à tel point que je linvite à venir visiter ma FORET.
Laprès midi nous voilà parties en expédition sur le sentier pour rejoindre mon repaire. Nous bavardons bien sur de tout. Nous parlons surtout de la vie dans la ferme. Elle est comme moi: si je navais pas été là, elle se serait ennuyée.
Nous bavardons au début comme si nous parlions de choses sans importance. Sans nous en rendre compte nous devenons excitées. Je pose une main par-dessus ma robe pour la poser sur mon pubis. Je me prépare même à me caresser. Christelle me regarde: elle aussi est excitée et comme moi pose sa main à un endroit défendu: elle a posé sa main sur le pubis pour aller plus bas: elle se caresse lentement le haut de sa chatte.
- Tu as envie de jouir, hein, Christelle ?
- Oui, nous parlons de choses qui me donne envie de jouir.
- Fais le si tu veux. Si tu le fais je le ferai aussi.
- Alors fait comme moi.
Elle nhésite plus, elle soulève sa jupe jusquà la ceinture, enlève sa culotte et met une main sur toute sa chatte que je peux voir. Dans de tel moment la pudeur disparait totalement. Avec son autre main, elle tire sur ses lèvres pour bien faire ressortir son bouton et doucement commence à le caresser. Elle ferme les yeux perdue certainement dans ses fantasmes.
Elle mexcite tellement que jouvre le devant de ma robe sous laquelle je suis nue. Cest plus pratique pour la suite. A mon tour de caresser ma perle. Je ne peux ôter mon regard du spectacle que Christelle me donne. Je la vois bien quand elle accélère son rythme et fermer ses cuisses sur ses mains quand elle gémit en jouissant.
Elle revient sur me monde réel pour me voir juste avant que comme elle je jouisse. Je ne fait pas comme elle en jouissant: je ferme juste les yeux au moment de mon orgasme.
- Nous sommes des filles bizarres, au lieu de branler la copine nous nous le faisons à nous même.
- Cest vrai, nous pourrions caresser lautre.
- Jai jouis trop vite et toi ?
- Moi cest pareil, jaimerai recommencer.
Au fond cest vrai nous pourrions donner du plaisir à lautre, ce serait bien meilleur. Elle a raison, de toutes façons rien ne nous linterdit, sinon la morale qui ferait de nous des lesbiennes.
Pour souligner notre accord, je vais près delle pour pouvoir lui caresser la moule. Avant elle aussi se met nue. Je voudrai lavoir pour moi ce corps sexy. Je sais que si jétais un homme je me la paierai bien. Je ne pense même pas que je vais réellement lui donner du plaisir et quelle me le rendra. Dautant plus que cest elle qui commence par poser une main entre mes cuisses que jouvre. Je me laisse faire en attendant quelle arrive sur mon sexe.
- Tu es drôlement mouillée. Cest moi qui te fait cet effet.
- Bien sur je mouille parce que tu vas me caresser.
- Et toi, tu ne me fais rien?
- Pardon jétais égoïste.
Elle caresse mon bouton avec délicatesse pendant que jarrive en retard sur son petit grain. Nous nous appliquons tant au plaisir de lautre que nous avons un orgasme ensemble. Pourtant nous ne sommes pas encore satisfaite.
Christelle me demande de lui embrasser le sexe. Jhésite un instant. Pourtant je ne suis pas cruche au point dignorer que les filles entre elles se lèchent toujours. Je me glisse plus bas, le corps sur lherbe, ma bouche juste au dessus de son sexe dont je distingue la beauté. Cest vrai que le sexe dune femme est plus beau à voir quune bite. Jécarte les lèvres pour découvrir lentrée de son repaire à plaisir. Je me demande si je peux entrer ma langue dans son vagin. Je le fais en ayant la certitude de rater quelque chose. Tant pis: jentre en elle, je ressort aussitôt pour entrer à nouveau. Je sens, juste sous mon nez son clitoris. Mon nez lui, sens son odeur pendant que ma langue apprécie le gout de sa cyprine. Je ne pensais jamais avoir ces sensations en ayant mon visage sur son intimité. Je laisse ma langue dans son con et arrive à entrer un doigt dans son anus.
Elle se crispe réellement quand lorgasme plus fort arrive.
- Que tu ma fais du bien en me mettant un doigt au cul.
- Tu vas me faire pareil.
- Non, je pense te mettre ma langue directement dans le cul.
- Tu crois que jaimerai ?
- On ne risque rien dessayer.
- Vas y, suce moi juste un peu avant.
Elle sempare de ma fente. Sa langue me lèche de haut en bas. Elle a commencé par le clitoris, à juste pénétré dans mon vagin. Je la sens maintenant sur mon anus. Elle me lèche cet endroit moins sensible que le bouton et pourtant jaimerai quelle narrête pas. Elle arrête à sa façon, son suçon se transforme en pénétration. Jai relâché tous les muscles entourant mon cul, elle entre la moitié de sa langue au moins. Je ne bouge pas par crainte de la perdre. Quels nouveaux délices elle me procure. Elle ne sarrête pas à cet endroit, elle arrive largement à me branler le bouton. Jai encore une jouissance différentes des autres. Le temps a passé sans que nous ne nous en rendions compte. Nous nous arrêtons pour cet après midi. Elle est obligé de remettre tous ses vêtements alors que jai vite fait avec ma robe. Nous quittons NOTRE BOIS. En cours de route nous décidons quelle viendra ce soir dans ma chambre quand mes parents dormirons, vers 22 heures. Un cours baiser sans la langue nous permet de nous séparer.
Pendant tout le repas je repense à cet amour entre filles. Je pense que nous pourrions nous sucer en 69. Reste à la convaincre. Enfin mes parents partent se coucher. Je ne sais sils baisent encore: jai surpris un regard de ma mère qui me semblait une invite. Après tout ce serait normal quils baisent et jouissent, ils lont bien fait pour me fabriquer.
Je suis nue et me caresse, juste pour me tenir excitée. Jai laisser la porte de ma chambre entrouverte. Christelle en profite pur entrer er refermer. Elle est nue déjà avant dêtre à mes cotés: nous nous embrassons sur la bouche comme de vrai amantes: nos langues viennent de se rencontrer maintenant.
- Si nous nous faisions un 69, tu serai daccord.
- Un 69 ? Jen ai fait déjà avec un copain. Je nai pas aimé le gout de son sperme.
- Nous navons pas de sperme, simplement de la cyprine, cest meilleur: tu as déjà gouté la mienne tout à lheure.
Cest vrai. Elle ne demande rien de plus. Elle se tourne pour avoir sa tête à hauteur de mon sexe. Elle menjambe pour me faire un beau cadeau: son sexe en entier. Je suis libre daller faire ce que je veux dans son enfer. Elle aussi est libre: elle lèche le clitoris, me met trois doigts dans le con et deux autres dans le cul. Cest la complète pour moi. Tellement complète que je ne tiens pas longtemps! Je jouis encore sur sa figure.
Pour ma part je ne fait pas comme elle, je préfère sélectionner en commençant par avaler son clitoris et le tirer à lui faire mal. Comme cet après midi elle apprécie pour jouir. Je la doigte également avec un seul doigt destiné à trouver son point G. je lui entre trois doigts dans le cul.
Nous nous donnons ainsi de fabuleux orgasmes. Laube arrive trop tôt pour nous. Nous devons nous arrêter pur cette nuit.
Par la suite nous avons baisé dans tous les endroits possibles de la ferme, y compris dans la grange peine de paille. Nous en sortons pleines de paille, y compris jusque dans mon sexe: pour retirer le brin de paille jai du forcer devant une glace pour le prendre.
Les vacances finies, nous nous retrouvons chez moi pour des baises homériques digne des meilleures lesbiennes. Elle est venue un jour avec une nouvelle méthode. Nous lavons expérimentée: nous étions presque assises, les cuisses mêlées, nos bas ventre en contact pour que nos clitoris soient le plus possible en contact. Nous navons pas réussi du premier coup par contre ensuite nous ne nous sommes jamais lassées en fin de baises de terminer ainsi. Pour nous cest le signe de notre amour.
Nos études nous mènent loin, elle en avocate réputée et moi en haut fonctionnaire libre de mes emplois du temps. Comme quoi lamour lesbien ne gêne que celles qui ne poursuivent pas normalement leurs études.
Il nous arrive de lever un garçon uniquement pour avoir une bite dans nos ventres: un seul nous suffit largement.
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