Mes Relations

Depuis mes 16 ans, j'ai eu pas mal d'aventures au gré des circonstances. J'ai presque 50 ans et me souviens de quelques une de mes conquêtes. J'ai en mémoire la femme d'un ami de mon père. Je devais avoir 20 ans, les reins solides et surtout une capacité de baise très au dessus de la moyenne. Je rencontrais cette femme lorsque mon père recevait le couple pour simplement déjeuner. Assis près d'elle je lui parlais de tout et de rien. Je ne sais trop pourquoi je me mis à lui faire du genou. Il faut dire que j'étais attiré par ses seins que je trouvais juste à la mesure de mes mains. Elle me regardait en souriant, je comprenais que je ne lui étais pas indifférent. Elle devait avoir la trentaine (une vieille pour moi) Elle me glissait dans l'oreille: demain à 17 heures, devant telle statue.
Je passais une partie de la nuit à me branler en imaginant une foule de positions avec cette femme. Le lendemain je bouillais d'impatience en attendant l'heure. Enfin je la retrouvais et elle me souriait. J'en été heureux. Pour la première fois j'allais peut-être baiser une femme d'expérience. Elle me menait dans un hôtel de passe où elle louait une chambre, pensant à juste titre que mes finances ne me permettaient pas de faire face à une telle dépense.
Enfin dans la chambre, elle prenait la direction: je devenait son objet. Un objet consentant. Elle se déshabillait entièrement: ce n'était pas la première que je voyais une femme nus, mais de son âge, je pensais voir une poitrine tombante: ses seins en forme de poire pointaient. Son ventre plat finissait sur une fourrure des plus agréables. C'est elle qui me déshabillait. Elle voyait bien ma bite qui bandait. Ce n'était que la seule chose qui dans mon corps l'attirait. Elle était assise sur le lit. Elle prenait ma bite entre ses mains et jouait avec comme avec un rouleau. J'étais sur le point de jouir bêtement hors d'elle. Elle s'allongeait sur le lit et je pensais qu'elle voulait que je la baise.

Ce n'était pas encore le moment. Elle me demander de me mettre à genoux devant elle et ouvrait largement les cuisses. Suces moi. Je commençais à monter lentement ma tête entre ses jambes et enfin arrivais vers son con. Posant ses mains sur ma tête, elle me dirigeait jusqu'à son clitoris. Je trouvais un bouton assez gros pour le mettre dans ma bouche et le sucer comme une petite bite. Elle gémissait doucement et enfin elle jouissait. Je pensais sortir ma tête, lorsqu'elle me disait: encore. Je recommençais mes succions et je le faisais encore jouir plus rapidement. Je recommençais encore et elle jouissait chaque fois plus vite. Enfin elle me demandait de venir près d'elle. Je pouvais enfin caresser et embrasser cette poitrine arrogante. Je sentais sa main sur la bite: elle la branlait doucement. Qu'est ce que c'était agréable. Enfin le moment arrivait elle voulait que je la baise. Ça je savais faire. Mais son expérience me prouvait que mes connaissances en la matière n'étaient pas encore satisfaisantes. Je serais rentré en elle comme ça, sans trop de préparation. C'est elle qui prenait ma bite et la promenait dans sa fente. Je la sentais mouiller de plus en plus. Au moment où elle en avait le plus envie, elle me disait simplement: baises. Je ne faisais pas prier et je la pénétrais et j'entrais dans un lieu de délice. Je sentais autour de ma pine le vagin de cette femme en mal de jouissance. Je plongeais ma queue le plus profond possible et y restais longtemps. Mais mon désir était trop fort je la limais avec ardeur. Elle jouissait: la contraction de jouissance dans son con me faisait jouir à mon tour. J'allais me retirer quand elle me disait: merci. Je débandais et je pensais que notre union était finie. La femme avait des recettes pour me faire bander encore. Elle caressait mon bas ventre et venait sucer ma bite. Elle reprenait forme rapidement. J'aurais aimé qu'elle me fasse jouir en me suçant. Ce n'était pas dans son programme. Elle se mettait en levrette et me demandait de l'enculer, pour moi c'était la première fois.
Elle mouillait largement son petit trou en me dirigeait. Elle posait ma bite sur son cul et m'encourageait pour que j'y rentre. Je le faisais et j'étais étonné par l'étroitesse du cul. Pourtant elle me demandait d'y rentrer complètement. Une fois dedans je limais. Elle de son coté accompagnait mes mouvements et je sentais encore plusieurs spasmes de jouissance.
Nous avions fini notre liaison, aussi rapidement que ce qu'elle avait commencé.

Plus tard je trouvais une fille qui n'avait pas froid aux yeux et qui savait se "tenir" au lit. J'étais un peu plus âgé qu'elle et son l'expérience était aussi grande. Toutefois ses besoins étaient très bisexuels. Notre première rencontre avait eu lieu dans un lieu insolite: un marché aux légumes où nous faisions nos courses du dimanche. Une femme faisait tomber son porte monnaie et je le ramassais. Delà nous avons entamé une relation ambiguë. Nous flirtions pas mal de temps avant de baiser ensemble. Elle m'avait invité chez elle pour boire un pot. Nous avons bien pris un pot, mais très rapidement nous nous sommes retrouvés nus dans sa chambre. Je n'avais pas affaire à une débutante: notre première relation fut un 69. Ce n'est sans doute pas une bonne façon de faire connaissance, en tout cas c'est une des plus agréable. Elle jouissait rapidement: je léchais les filles comme un chef et les faisait partir très vite. Je continuais à la sucer pendant qu'elle me mangeait littéralement la bite: sa langue s'enroulait autour de ma queue et ses lèvres servaient de con. A mon tour je jouissais, dans sa bouche. Elle acceptait et avalait le tout.
Enfin, cote à cote, je pouvais lui caressait les seins et le pointes qui durcissaient au fur et à mesure de mes mordillements. Je la branlais de l'autre main. Nous nous embrassions sans cesse: nos langues étaient en constante lutte. Elle posait sa main sur la bite et la caressait doucement. Elle me faisait bander à nouveau. Je la brutalisais presque quand je la couchais sur le dos dans l'intention très ferme de la baiser.
Elle écartait enfin ses jambes pour que je me pose entre elles. Mon bas ventre contre le sien ma bite rentrait lentement dans ce con que j'avais sucé. Je cadençais mes mouvements et elle accompagnait enfin. Et d'un seul coup nous avons jouit ensemble, chose rare la première fois que je baise une fille.
Nous nous sommes revus le lendemain, chez moi. J'eus la surprise de la voir avec une autre fille de son age qui physiquement lui ressemblait beaucoup. Elle nous présentait. C'était la fille avec qui elle aimait bien baiser.
Elles se déshabillaient l'une l'autre en échangeant de longs baisers. Je me mettais également nu. Je bandais déjà. Les deux filles regardaient ma bite comme une curiosité. Elle devait s'en servir un peu plus tard. Elles étaient assises et se branlaient. C'était spectaculaire de les voir faire en parfaite coordination. C'était un bien réglé. Les jouissances très visibles et silencieuses. J'étais posté devant elle, ma bite en l'air. Je commençais à me branler, lentement pour ne pas jouir mais assez pour que mon besoin de baise soit légèrement atténué.
Enfin la fille qui avait été ma maîtresse la veille se levait et venait contre moi. Elle prenait ma queue en main et la présentait à son amante: prend dans la bouche. En effet j'avais droit à une fellation sans doute meilleure que la veille. Pendant qu'une me suçait, l'autre m'enlaçait et me mettait deux doigts dans le cul (c'est depuis cette époque que j'aime assez me faire mettre des choses dans le fondement pour baiser). J'appréciais la caresse et je jouissais encore une fois dans une bouche féminine. Pour me faire bander à nouveau elle me demandaient de les regarder faire un 69.
Elles étaient couchées par terre et chaque visage se trouvait entre les cuisses de l'autre. Elles devaient se faire beaucoup de bien. Je les voyais jouir. Et je bandais assez fort pour pouvoir les baiser toutes les deux à la file. Elle me demandaient de les prendre en levrette: ainsi pendant que je baisais l'une, l'autre pouvait venir la sucer.
Ce qui ne manquait pas de se produire. Je ne sais toujours pas comment j'avais pu autant baiser: j'arrivais à baiser et enculer les deux femmes deux fois. Cette liaison n'a pas trop durée.

La suivante a fini par devenir mon épouse. Je rencontrais une fille isolée pendant un raout chez des amis communs. J'étais attiré par un je ne sais quoi vers elle. Nous nous parlions de chose et d'autre. Habituellement je laisse glisser la conversation vers le sexe, et là, je n'en parlais pas de tout: nous parlions politique, ce qui est rare. Nos idée étaient sensiblement les mêmes. Nous nous sommes revus plusieurs fois et enfin avons flirté. Peu de temps après, comme le commande la nature, nous avons couché ensemble. je pensais être tombé sur une fille réservée au lit. Au contraire: c'était un véritable volcan. Tout mon répertoire y est passé. Elle jouissait fort bien. Elle m'avouait sa vie secrète: elle se branlait souvent, et pour le prouvait elle le faisait devant moi, ce qui était une forme de confiance. Elle me demandait si je me branlais aussi: je le faisais aussi devant elle. Quelques mois plus tard nous nous sommes mariés. Depuis mes souvenirs sont ceux du couple heureux sur tous les plans et surtout sur le plan sexuel.

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