Il Était Une Fois Sur La Route...
Même étant jeune, Je nai jamais eu peur du danger, faire du stop nétait pas vraiment un problème, tout le monde était gentil, le monde des Bisounours en somme
Ce printemps là, je fis du pouce pour me rendre à une ville voisine, beaucoup plus intéressante et vivante que mon petit patelin. Un camionneur sarrêta à côté du trottoir ou jétais positionné, je lui demandais sil allait vers ma destination et il me répondit :
- Oui, mais je dois faire une halte à lentrepôt, cest une affaire de 5mn, ensuite je passe en ville, cest comme tu veux
Je montais alors dans le camion en répondant :
- Ok ça marche, jai mon temps de toute façon.
- Cest vraiment laffaire de 5mn, je tassure, si tu veux tu pourras même maccompagner, comme ça le temps te paraitra moins long.
Je le dévisageais timidement, du coin de l il, mais de haut en bas, parce que ce que je vis me plut, un mec viril, blond frisé, les yeux bleus plutôt bien fait, musclé sec avec un sourire coquin des plus séduisant, il mintimidait et jétais un peu mal à laise, lui pas, il me regardait par le rétroviseur central, tout en gardant un il sur la route et entama la conversation :
- Alors tas décidé de faire un tour en ville ? Tas rencard ?
- On peut dire, jy vais surtout pour voir des potes.
- Même pas une copine à câliner ?
- Euh
. Non pas en ce moment
- Moi à ton âge je me déplaçais surtout pour pécho
(rire).
- Bah ensuite ça dépend, des fois on peut faire de bonnes rencontres sur le chemin
- Oui, cest sur hum hum
Je navais pas fait allusion à nous en fait, mais il parut gêné et balbutiait un :
- Ongnétarrivé.
Il arrêta le camion sur une place de parking en me priant de venir avec lui, je le suivis, il ouvrit la porte en me faisant signe dentrer. Le hangar était remplit dengins de toutes sortes, de rangements et autres produits pour le bâtiment, il me dirigea vers un espèce de tunnel, emménagé avec des planches pour délimiter un passage, facilitant les allées et venues pour les travailleurs vers le bureau.
Lorsque la porte se rabattit, lobscurité fût totale, je sentis alors sa main dans mon dos me pousser vers lintérieur :
- Tinquiète, je connais ce hangar comme ma poche, je te guide.
Je navais plus aucuns repères, je me laissais faire comme une marionnette par obligation, on avançait quand je sentis le mur en face moi ainsi que le camionneur qui commençait a me peloter dans les règles. Non seulement je sentais son chibre entre mes fesses, qui grossissait de plus en plus, mais il me contenait aussi contre le mur en me caressant frénétiquement le torse et lentre-jambe, je me laissais faire, jétais surpris, mais en même temps loccasion fait le larron. Il me montra quil aimait mon postérieur en sy attardant dessus, en me malaxant les fesses, les écartant, me passant nonchalamment un doigt sur mon anus ou la main entre mes cuisses rejoignant comme cela mon sexe dorénavant en ébullition. Le fait quil me besogne de la sorte, comme un hystérique pervers, me mis en émoi et même si jétais gêné, je voulais connaitre jusquoù il irait dans mes retranchements.
- Tas lair daimer ça toi
Je me trompe ?
- Hummmm
; fis-je en signe dacquiescement.
- Ouais tas raison, ça se passe de commentaire, jai envie de te faire du bien depuis que je tai vu sur la route, en plus, je sais que je texcite, tavais la gaule en me matant, pas vrai ?
- Oui cest vrai, jai même mouillé.
Il entreprit de môter le jean, puis le slip jusqu aux genoux. Me caressa partout, en me branlant tout en me reculant toujours vers lui, vers sa bite dure comme une barre de fer.
- Mmmmm sent comme tu mexcites
Tu la veux où ?
- Euh je ne sais pas
Jai jamais fait ça en fait.
- Ok, on va se faire ça en douceur alors.
Il descendit son pantalon et me mit sa queue entre les jambes de façon à se quil puisse se branler entre, mes couilles rebondissaient à chaque impacts, je mis mes doigts pour toucher son gland humide pendant quil mastiquait la bite dune main et de lautre me maintenant contre lui par le ventre.
Il ne mit pas longtemps à jouir dans ma main, je fis de même dans la sienne quil remontât tout le long de mon corps en étalant le sperme au passage, il me passât un doigt sur les lèvres, minvitant à les lui lécher un par un, puis il pencha ses lèvres sur mon cou, membrassa de toute sa bouche et me susurra à loreille :
- Le hors duvre tas plu ?
- Oui
Dis-je essoufflé.
- On se douche et on continue alors ? Y a ce quil faut dans le local du haut, je dois voir un collègue mais il partira de suite après.
- Ok
Il me dirigea vers lescalier qui menait à leur pièce en me faisant passer devant, pour mieux me caresser les fesses à chaque marche, jouvris la porte qui donnait sur une grande pièce, la première vision fût une table en bois entourée de quelques chaises éparses, en face, des grandes fenêtres côtes à côtes éclairant la surface comme des néons, à droite une cuisine emménagée dans un coin, avec tout le confond nécessaire pour se restaurer, ainsi quune banquette servant de lit dappoint avec dessus un drap, empêchant de voir la totale nudité d un homme de dos
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A suivre
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