Orgasme 02

En sortant du sex-shop, sur le parking je proposais à ma douce inconnue un restaurant. Notre choix
se porta rapidement sur un restaurant du bord de mer sur l’Ouest très discret.
Nous nous rendîmes sur place avec nos véhicules respectifs.
Une fois sur place, nous primes notre temps, apéritif, entrée, plat de résistance, dessert et café.
Je vous passe le détail des plats, je vais mettre l’accent sur les inter-plats.
Une fois l’apéritif commandé, on commença par discuter, déjà les présentations, commencer par se
faire sucer par une femme, le rêve de tout homme, mais ensuite il faut savoir un minimum de chose.
Son prénom déjà, elle s’appelait Christine, séparée, la quarantaine, elle avait la garde de deux
s 1/2 semaines.
Au bout de 15 minutes, Christine se leva sous prétexte d’aller aux toilettes.
Quant elle revint, elle me glissa tout doucement dans la main son minuscule string noir. Mon
érection ne se fit pas attendre, moi qui pensait manger tranquillement, la voilà qui réanime le feu.
Elle portait au final qu’une robe, car en m’attardant sur sa tenue, je vis que le soutien-gorge qui
comprimait sa poitrine avait aussi disparut. La robe était simple, en lin, assez transparente, mais
ne frisant quand même pas l’impudeur. Je la regardais ainsi, et je souris. En moi-même, je savais
que je pouvais la titiller de toutes les manières.
Les entrées étaient devant nous et pendant 15 minutes, nous étions tous les deux concentrés sur
nos assiettes (effet secondaire de nos galipettes au glory-hole). A la fin des entrées, Christine
sorti de son sac une petit boite et me la tendit. Je compris tout de suite à quoi correspondait
cette télécommande. Elle me souffla simplement « œuf », et j’appuyais sur le bouton ON. Je venais de
mettre en route son œuf vibrant.
Cette femme décidément n’avait pas froid aux yeux et surement le feu aux fesses.

Elle est fontaine,
et me tendre une télécommande d’un œuf vibrant avant le plat de résistance, c’est de la folie ou
bien est-ce moi le fou d’allumer ainsi le feu ?
Position 1 : « légère vibration, je me sens bien », le serveur nous donne les plats de résistance.
Nous mangeons sans presque parler, en se regardant de temps en temps dans les yeux. Elle sourit avec
ses yeux, c’est plaisant de la voir manger.
A la fin du plat, je passe la position 2, elle fronce des sourcils, je mets la 3 tout de suite. Vu
son regard, cette position lui donne du plaisir. Le serveur vient débarrasser la table. Il voit
cette femme, les yeux rêveurs, au loin !
Les desserts arrivent au bout de 10 minutes. Je profite pour monter d’un cran. Avec cette montée en
pression, il lui faut 30 minutes pour finir une part de tarte tatin. Je souris intérieurement en
sachant son état.
Les cafés arrivent dans la foulée, je refuse d’augmenter d’un cran, son regard se fait tueur, elle
s’y attendait et finalement elle n’est pas exaucée.
Je paye l’addition, en sortant, heureusement pour nous il n’y a plus aucun client ! Sa robe a une
auréole, le serveur la regarde et ne dit mot. La voyant s’appuyer au comptoir il va dans sa
direction croyant un malaise, mais il n’en est rien. Je suis passé de de la position 2 à 12 d’un
coup. Sa jouissance vient. Elle halète, elle en peu plus. Elle me supplie d’arrêter. Je souris, je
regarde le serveur et lui demande combien de personne sont dans le restaurant. «2, me dit-il, une
serveuse en cuisine et moi-même, nous faisons la fermeture ».
Je lui dis : « la serveuse est –elle prude ? »
Le serveur : « non, nous baisons ensemble de temps en temps ! »
Du coin de l’œil, je vois Christine enlever sa robe, elle est nue, magnifiquement exposé devant le
serveur.
Je conseil au serveur de fermer maintenant le restaurant, avant que mon amie lui saute dessus.
En moins de 5 minutes les grilles sont fermées.
Sa collègue arrive dans la foulée, ma Christine est quant à elle allongée sur le bar, elle a gardé
que ses talons, les cuisses de part et d’autre, elle se doigte et feule.
Sa collègue arrive, se croyant seule avec son collègue,.
Elle voit cette femme s’exposant sans aucune pudeur, ne disant rien, elle se déshabille et….

Si vous voulez plus, faites le moi savoir…