Na Leslie Tr 91
Leslie à Paris Souvenirs de vacances.
Je vais vous raconter une vielle histoire qui mest revenue dernièrement en écrivant mes récits.
A cette époque je nétais pas la transexuelle que je suis devenue, mes parents avaient loués, pour les congés au mois d'Août, une grande maison à l'ile de Ré, et ils ont invités mon oncle, le frère de mon père, et sa femme avec leur fille, Françoise.
A cette époque, je me cherchais un peu et regardais les filles en espérant être comme elles un jour.
Ma cousine avait un an de plus que moi. Il faut dire quelle était vraiment belle et sexy, elle devait certainement avoir du succès auprès des garçons de sa classe.
Brune aux cheveux longs noirs de jais, souvent tirés en queue de cheval. Son visage était fin aux traits aquilins, bien proportionné, avec des yeux verts très doux. Elle avait un air plus mature, plus femme que les autres filles de son âge.
Elle nétait pas très grande, autour des 1m70 et plutôt fine, avec de très beaux seins déjà formés pas très gros mais qui avaient lair bien fermes que l'on pouvait devinés sous ses tee-shirts moulants, et ses petites fesses légèrement rebondies luis faisait un cul magnifique, la danse classique qu'elle pratiquait assidument lui avait donnée un air cambré et faisait ressortir son petit cul bien bombé, Françoise nétait pas très large des hanches, légèrement androgyne.
Mes parents avaient décidés que nous dormirions avec Françoise ensemble dans la chambre qu'ils nous avaient réservés, cela ne posa aucun problème aux parents de ma cousine, mais la nouvelle fit apparaitre un petit sourire sur les lèvres de ma cousine qui me dévisagea en me faisant un clin dil.
Le soir même nous nous sommes allés nous coucher et là dans la chambre, sans pudeur Françoise se déshabilla devant moi, ôtant son petit haut avec délicatesse pour me faire découvrir sa poitrine et la peau claire de son ventre lisse, ses seins magnifiques dévoilés avaient chacun une petite aréole rose avec les bouts qui pointaient.
Je sentais mon sexe réagir à cette vision, je commençais à bander, et, sans pudeur tout naturellement, Françoise continua son effeuillage, elle retira son jean, profitant de cet instant jenlevai rapidement mon tee-shirt et mon jean pour me glisser en caleçon sous les draps du lit. Cest à se moment que je vis que le petit string rouge de Françoise était trempé, une large auréole faisait une tâche plus foncée au niveau de son pubis.
Puis, elle retira son string pour me faire découvrir son pubis entièrement glabre avant de se glisser sous les draps près de moi.
Dès entrée dans le lit Françoise approcha sa tête vers moi et m'embrassa sur les lèvres, pensant qu'elle voulait me souhaiter bonne nuit j'acceptais ce baiser, mes ses lèvres s'entrouvrirent et Françoise me roula une pelle en enfonçant sa langue dans ma bouche. Puis elle posa une main sur ma cuisse et commença une lente remontée de sa main le long de ma cuisse, nos langues se mirent à tourner dans nos bouches et à se mêler intimement.
Ayant terminée sa remontée sa main rencontra mon sexe dur et bandé sous le tissu de mon caleçon et elle soupira doucement en disant :
- Eh bien mon salaud très drôlement gaulé.
Nous roulâmes sur nous-mêmes, et je me retrouvais sur elle, et me mis à lécher aussitôt ses seins comme un dément, les malaxant et pinçant les tétons, Françoise laissa aller sa tête en arrière en gémissant de plaisir. Ceci eut pour effet de mexciter terriblement.
Relevant les draps dun revers de la main Françoise nous mis nus sur le lit, puis enlevant son string rouge elle me fit découvrir son sexe entièrement épilé aux lèvres brunes, et descendant la tête vers ce puits damour je déposais tendrement mes lèvres dessus.
Dabord un petit coup de langue sur les lèvres pour récolter un peu de son liquide, ce qui la fit à nouveau gémir et se cambrer. Je me mis alors à fouiller son sexe de ma langue, écartant de mes doigts ses lèvres et excitant son clitoris érigé d'entre ses lèvres.
Pendant deux ou trois minutes je m'activais sur le sexe de ma cousine, puis soudain elle se raidie prise de convulsions en laissant échapper un cri de plaisir. Françoise venait de jouir.
En respirant bruyamment, dans un soupir, elle me dit :
- A toi maintenant, laisse-moi faire.
Je compris tout de suite que Françoise voulait à cet instant soccuper de moi et plus particulièrement de mon membre, alors je me laissais aller, mon sexe formait une grosse bosse dans mon caleçon. Françoise savança et commença à caresser doucement mon sexe par dessus le tissu.
Ses beaux yeux verts regardaient avec envie la bosse dans mon caleçon, tout en la malaxant dune main. Puis délicatement elle abaissa le seul vêtement qui cachait mon intimité, dévoilant mon sexe tendu de désir.
Françoise laissa échapper un :
- Humm
Prenant mon sexe dune main, elle la lécha sur toute la longueur en partant de la base pour finir sur le gland, elle sattarda un instant sur mon gland en le léchant par petits coups de langue, je laissais échapper un soupir de plaisir, ce qui encouragea ma cousine qui redoubla dattention sur mon sexe.
Elle ne regardait que ce membre offert à ses convoitises, comme envoutée elle suçait avec délectation, elle levait de temps en temps ses yeux de braise vers moi pour me regarder dans les yeux avant denfourner à nouveau mon sexe dans sa belle bouche.
Puis elle commença alors un lent va-et-vient avec sa bouche, serrant les lèvres autour de mon sexe qui était dur, Françoise me suçait comme une vraie salope, cest sûr, elle avait de lexpérience ma charmante cousine, je ne devais sûrement pas être le premier mec auquel elle faisait une pipe.
Mais à cet instant je pensais quune belle fille, comme chaque mec à rêver un jour d'avoir dans ses bras, était dans le même lit que moi et me taillait une pipe !
De mon côté je lui massais les fesses dune main alors que tout en me suçant Françoise se titillait le clitoris de son autre main en soupirant.
- Tu aimes ça ?
- Oh ou, jadore.
Elle joua encore avec mon sexe, m'excitant en caressant le gland de ses doigts pendant quelques instants, le plaisir remontait lentement en moi, alors s'écartant pour me regarder et admirer l'effet qu'elle me faisait, je bandais à nouveau et Françoise me dit :
Branles toi, j'adore regarder un mec qui se branle pour moi.
Alors sous son regard je me mis à me branler, ses yeux remplis dadmiration et de désirs ne perdaient rien du spectacle, elle regardait en se doigtant la chatte, nous étions tous les deux prêts à jouir quand un coup à la porte mit fin à nos ébats.
Nous recouvrant rapidement du drap, mon père entra et dit :
- Il faut dormir les s.
- On éteint, répondis-je.
- Bonne nuit tonton, dit Françoise.
Dès que la porte fût refermée, Françoise se lova contre moi en disant :
- J'ai adorée.
- Cétait génial, lui murmurai-je.
- Nous allons recommencer, me dit-elle en souriant et en caressant mon entrejambe.
Elle se retourna pour dormir me laissant dans mes rêves mais tenant toujours mon sexe dans sa main.
Dans la nuit je me réveillais en sentant quune main me branlait, Françoise était entrain de me masturber et en me regardant elle me dit :
- Jai envie de ton sexe !
Elle se mit à me sucer comme une diablesse afin de faire durcir mon sexe au maximum, puis une fois quelle me sentit dans les meilleures conditions elle menjamba pour se placer au-dessus de moi. Elle prit mon sexe dans une main pour le guider à lentrée de son sexe et une fois bien positionnée elle descendit lentement sembrochant sur mon sexe en feulant de plaisir.
Elle commença alors de lents va-et-vient montant et descendant sur mon sexe en disant :
- Jadore me baiser sur un beau membre comme le tien.
C'est certain qu'à ce moment je fus convaincu que ma cousine avait de l'expérience, je ne devais pas être son premier mec et elle n'était plus vierge depuis longtemps.
Françoise se mit à gémir, feulant lorsque ma bite était au fond de sa chatte, elle descendait sur moi lentement en prenant son temps, comme pour ressentir chaque centimètres de moi qui entrait en elle, Françoise me faisait lamour en prenant son plaisir, se cambrant pour que je sois au maximum en elle, Françoise était couverte de perles de sueur, elle gémissait de plus en plus fort et ses seins remuaient au rythme de ses mouvements.
Les cris, étouffés, de Françoise annonçaient son orgasme proche et le plaisir montait rapidement aussi en moi, puis Françoise eut un tremblement et laissa échapper un hurlement de plaisir en jouissant, alors que en même temps je déversais mon plaisir au plus profond de Françoise.
Epuisées par cet instant magique, Françoise sallongea près de moi et vint membrasser passionnément avant de sendormir lovée contre moi.
A suivre
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