Na Leslietr 92

Leslie à Paris – Souvenirs de vacances, suite.

Le lendemain j’ai bien sentis que Françoise n’attendait que le soir où nous serions à nouveau seuls dans ma chambre, ses regards en disaient long sur ses désirs.
Nous avions jouis mais je sentais que Françoise attendait plus encore de cette relation.
Les poses que Françoise prenaient devant moi m’excitaient et durant toute la journée mon sexe resta bander prêt à honorer ma cousine qui me montait son côté de salope.
Sitôt le repas terminé, Françoise prétexta être fatiguée pour aller se coucher et m’entrainer, discrètement, avec elle dans la chambre, une fois rendus dans la chambre, Françoise, tout en me regardant avec ses yeux bleus me déshabilla et me regarda nu un long moment, puis elle me dit :
- C’est vrai qu’il est beau ton sexe.
Puis elle le prit à pleine main pour me branler doucement. Puis se mettant accroupie elle l’enfourna alors délicatement dans sa bouche et se mit à me sucer avec ardeur en soupirant doucement.
Elle faisait de lent va-et-vient me tirant des soupirs, alors me poussant sur le lit elle dit :
- Avec une queue pareille tu vas me rendre folle.
Allongée, Françoise monta sur le lit et reprit ma queue dans sa bouche, elle me suçait de plus en plus profondément et rapidement, alors je donnais de légers coups de hanche pour enfourner mon sexe au plus profond dans la gorge de Françoise, elle eue un hoquet et retirant ma queue de sa bouche elle me dit :
- He bien mon salaud, t’y prend goût !
- Ca te gêne, lui demandais-je ?
- Non mais t’apprends vite petit salaud.
Elle reprit mon sexe en bouche, que c’était bon, le plaisir montait lentement en moi, Françoise le sentit et s’arrêta de me sucer, Françoise se redressa et se leva en disant :
Tu me rends folle, je suis tout excitée, tu vas me baiser maintenant !
Françoise se releva et se déshabilla, puis monta sur le lit pour se mettre à quatre pattes, le cul face à moi.


Ma cousine m’offrait sa vulve gonflée et trempée de mouille en spectacle, puis elle écarta les jambes de manière obscène et des ses deux mains s’ouvrit la vulve en disant :
- Elle est belle ouverte ainsi, elle te fait envie ?
- Oui tu es belle impudiquement offerte.
- J'adore me montrer ainsi.
Je regardais ce cul magnifique offert et le trou béant de la vulve de Françoise qui n’attendait que ma bite, et son petit œillet froncé et tout plissé, qui me semble t’il palpitait légèrement.
Françoise attendait que la baise, elle avait prit soin de fermer la porte à clé afin de ne pas être surpris dans nos ébats, alors elle me dit :
- Alors t’attends quoi pour me baiser.
Je me mis à genoux derrière Françoise et guidait ma queue à l’entrée de sa vulve, au contact de mon gland sur ses lèvres Françoise feula, je caressais ses chairs intimes du bout de mon gland la faisant frémir et glousser de plaisir.
Puis m’aidant d’une main je poussais mon sexe dans les chairs intimes de ma vicieuse cousine, trempée comme elle l’était je n’eu aucun mal pour la pénétrer d’un coup jusqu’aux couilles, mon gland butant dans le fond de ses entrailles, Françoise était embrochée sur toute la longueur de mon sexe.
- Ohhh, tu me remplis entièrement, me dit-elle.
Je restais ainsi un instant au fond d'elle, la laissant gouter cet instant.
- Il est large je ne sais pas si j'ai déjà eu un tel calibre en moi, dit-elle dans un soupir.
Puis j'ai commencé de puissants va et vient qui firent hurler Françoise, la tête dans l’oreiller elle ne cessait de dire :
- Ohhh, oui, comme ça, c’est trop bon, encore.
A chaque coup de reins ma queue butait au fond des entrailles de ma cousine la faisant sursauter, elle coulait comme une fontaine lubrifiant mon sexe de sa jouissance. Tout en m’embrochant comme un damné dans sa chatte je caressais d’un pouce son petit trou plissé, ce qui fit de l’effet à ma salope de cousine qui se cambra en disant :
- Tu ne vas pas m’enculer ?
- Pourquoi pas, lui dis-je, t'es une belle salope et je suis sur que tu en as envie.

Je n’avais jamais sodomisé une fille, mais l’idée d’enculer ma chère cousine n’était pas pour me déplaire, alors je redoublais d’ardeur au fond de son vagin en lui enfonçant entièrement le pouce dans son petit œillet
- Non, dit-elle, non.
Elle se trémoussait mais Françoise ne tenta pas de se défaire de l’introduction de mon pouce dans son petit trou.
- Tu sais, me dit-elle, je ne me suis jamais faite enculer et je suis encore vierge de ce côté.
- Alors ce sera une première pour tous les deux, lui dis-je.
- Mais tu es tellement gros.
- Eh bien comme cela tu la sentiras bien.
- Je suis peut-être une salope, mais pas encore une enculée, me dit-elle.
Mon pouce était entièrement en elle et Françoise acceptait maintenant très bien cette pénétration.
- Tu vas voir, je suis sur que tu vas adorée !
Me retirant doucement de son sexe je plaçais mon gland à l’orée de son œillet, Françoise frémit mais ne se déroba pas. Alors je commençais à pousser mon sexe dans ce petit trou serré et offert, une certaine résistance se fit sentir, les muscles anaux de ma cousine résistaient, je poussais un peu plus faisant gueuler Françoise.
- Non, arrêtes, ça rentre pas
Françoise soufflait en grimaçant, elle devait un peu souffrir, mais je continuais de pousser pour m'introduire en elle. Soudain son œillet lâcha et mon gland entra dans son petit trou serré. Françoise de la paume de la main placée sur le bas de mon ventre me faisait comprendre de ne plus progresser, durant un moment nous sommes restés immobiles laissant au trou du cul de ma salope de cousine le temps de s’habi à cette première pénétration.
- Mon salaud, si je me doutais que tu allais m'enculer...
- Un jour ou l'autre tu aurais été enculée par un de tes amants.
- Oui certainement mais là pour une première c'est un gros calibre.
- Dis que tu n'aimes pas et je me retire, luis dis-je.
- Ohhh non, reste mais j'ai l'impression d'être possédée comme une chienne.

- N'en es-tu pas une.
Françoise était très étroite et me serrait bien la base du gland, puis décidé d’enculer à fond ma salope de cousine, je m’enfonçais d’un coup de rein au fond du cul de ma cousine.

Celle ci trembla en grimaçant de plus belle et laissa échapper un hurlement de douleur, alors que j’étais entièrement enfoncé dans son cul elle se mit à se doigter pour camer la douleur dans son fondement et s'apporter un peu de plaisir, cela ne fut pas long après quelques caresses de sa main sur sa chatte elle se remit à feuler en disant :
- Vas-y mon salaud, maintenant encule bien ta petite chienne de cousine !
Je commençais alors des va-et-vient de plus en plus violents, mes mains posées fermement sur son cul bien cambré. Pénétrer au plus profond d’elle par cette voie était une sensation de puissance, j’enculais ma cousine offerte dans cette pénétration indécente, elle était offerte et prenait de plus en plus son pied pour cette nouvelle forme de pénétration.
Maintenant Françoise lâchait des cris de plaisir, tout en étant secouée par mes coups reins qui enfonçaient mon sexe en elle, Françoise se titillait rapidement le clitoris. Je continuai à la limer furieusement pendant un long moment me retenant pour ne pas jouir et profiter au maximum de cet instant
Françoise haletait maintenant de bonheur, heureuse d’être enculée, puis dans un râle de plaisir je déchargeais tout mon plaisir au fond de ses entrailles.
Maintenant ma salope de cousine était aussi une petite enculée.
Puis je me retirais en m’affalant sur le lit, en regardant le joli cul de ma cousine et affalée le ventre sur le lit, les cuisses grandes ouvertes, je vis mon sperme qui coulait doucement de son petit trou palpitant encore de plaisir.
En s’allongeant près de moi, Françoise me dit :
- Tu m’as bien fait jouir mon salaud, en m'enculant.
- Tu n’as pas aimé, lui demandais-je ?
- Ohhh que si, mais j'avoue que j’ai le cul cassé.

- Cela doit être ainsi la première fois, mais tu es très serré.
- C'est très étrange cette impression d'être entièrement possédée.
- Alors je vais te sodomiser pendant toutes les vacances.
- Ohhh oui, je veux que tu me sodomises le plus souvent.
Ainsi fut dit par Françoise, et ainsi fut fait. Les vacances ne furent que des moments d’intimité entre elle et moi et le petit trou de ma cousine à la fin des congés étant parfaitement opérationnel pour de futures sodomies.

A suivre……

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