Elise
Elise, belle fille de 25 ans a déjà vécue une vie agitée. Pourtant en la voyant, pour ceux qui ne la connaissent pas, elle est normale. Cest même ce que je pensais la première fois. Quand elle ma séduite, moi, une hétéro convaincue, je nen revenais pas. Nous étions embauchées à la sortie de la fac par la même entreprise sans doute sous payées, mais que faire quand le chômage règne. Nous nous connaissions de vue sans plus. Je menais ma vie de fille seule, portée par le sexe, vers les garçons les plus beaux et surtout les mieux montés. Je ne couchais avec eux la première fois de suite après la rencontre que pour me rendre compte de leur calibre. Les moins bien lotis étaient effacés de mes souvenirs, dès le lendemain où jen essayais un autre. Jétait une Marie couche toi là, et jaimais ça.
Une fois dans la boite, je ne pouvais plus me tenir comme en fac. Je me contentais seule avec mes mains et un gode. Indispensable le gode: sans rien dans le sexe, je ne pouvais pas tenir.
Elise elle vivait comme moi. Petit à petit nous nous sommes rapprochées comme collègue et copine.
Delle-même elle me raconte sa vie:
Elle a commencé à se faire du bien vers 12 ans, comme moi. Rapidement pour elle, cétait devenue une nécessité de se branler au moins trois fois par jour. Un peu plus tard en bavardant avec une camarade décole elle sapercevait quelle nétait pas la seule dans son cas. A force den parler linévitable a eu lieu: elle se sont masturbées ensemble en se regardant et ensuite Elise branlait directement sa copine: elle avait pris gout à donner du plaisir.
Vers 16 ans½, son premier garçon ,qui lui plaisait bien, lui disait, sachant ce quelle faisait avec sa sur, que lui aussi voulait du plaisir.
En somme elle sest donnée simplement pour dispenser du plaisir à une autre personne. La seule sensation quelle a eu était une légère douleur pour devenir femme, sans plaisir particulier pour elle alors quelle sentait le sperme du son copain qui giclait dans son ventre.
Elle ne cherchait que des filles, plus douces, moins faraudes et plus câlines.
Bien sur sa copine de fac navait pas obtenu la même place quelle: elles sétaient quittées après une nuit damour entière.
Comme moi, elle se contente seule avec ses mains. Il lui manquait une présence. Comme moi.
Nous sortons ensemble au cinéma, dans les boites pour boire un peu et « danser ». Je cherche un amant que je ne trouve pas, je ne sais pourquoi, alors que je crois être un bon coup. Elise cherche aussi des filles un peu lesbienne ou même bi.
Un samedi soir, par chance je trouve un homme dune quarantaine dannées qui me plait et à qui je dois faire de leffet. Il minvite pour un slow. Justement un slow, cette dance qui permet aux étranger de se rapprocher sans risque. Je me colle contre lui, sa cuisse passe entre les miennes: il me donne envie de lui. Je commence à mouiller. Je sens sur mon ventre sa bite qui commence à bander. Je ne peux pas résister à la tentation: je prend sa queue dans la main. Il membrasse sur la bouche. Je réponds à son baiser: nos langues semmêlent. Nous nattendons pas la fin de la danse: je vais avertir Elise que je pars avec un homme pour finir la nuit avec lui.
Je passe une nuit splendide. Il me met partout sa bite qui me plait par la taille et par sa résistance. Je me souvient encore de la sodomie quil ma faite: une uvre dart. Jai encore le gout de son sperme dans la bouche. Nous devons nous revoir dès demain soir. Espoir déçu, je ne lai jamais revu, dommage il baisait bien.
Jen étais affectée, pas parce que je laimais, simplement je regrettais son sexe. Elise me console comme elle peut:
- Tu vois les hommes sont tous pareils, ils ne pensent quà leur plaisir immédiat.
- Il nétait pas comme ça.
- Quen sais tu, il ta laissé tomber.
- Je connais son adresse, je peux aller le relancer.
- Nous allons y aller toutes les deux.
Après tout pourquoi pas, en cas de rejet elle me soutiendra. Elle ma soutenu: il a fait celui qui ne me connaissait pas. Javais le moral dans les chaussettes.
En rentrant chez moi, je navais même pas le courage de me masturber. Si Elise était là, elle saurai me consoler encore. Je la tenais comme un sauveteur en mer. Le lendemain soir je lui en parlé
En sortant du travail je lui demande de ma consoler encore, jai besoin delle. Elle a du comprendre que javais envie delle. Ce nest pas une beauté, en tout cas pas une mocheté. Elle a beaucoup de charme, bien faite, assez sexy. Elle prend mon bras et recommence à dire du mal des hommes. Elle ne fait des compliments que sur les femmes.
Nous entrons chez moi: elle membrasse sur les joues. Pourtant le dernier baiser est à cheval sur la joue et mes lèvres. Si à cet instant javais protesté la suite ne serait jamais arrivée.
Pour conclure son avantage, elle ma posé sa bouche sur la mienne et sa langue a le barrage de mes lèvres. Nos langues se sont rencontrées. Bien sur nous nous sommes caressées à lintérieur des bouches. Elle a insisté jusqua moment où elle ma embrassé le cou. Malgré moi, je lève la tête pour quelle membrasse comme il faut. Je passe mes mains autour de son propre cou.
Avec une maestria que je ne connais pas, elle sempare dun sein. Elle le caresse à travers mon t-shirt. Entre le sein et sa main il ny a que létoffe. Elle sen aperçoit vite, passe sa main sous le vêtement pour mieux me caresser. Je la laisse faire: elle me caresse bien mieux que nimporte lequel des amants que jai eu. Je deviens une chiffe entre ses mains. Elle en profite lâchement en mettant sa main sur le pubis: je la sens à travers le jean pourtant épais. Je sens quelle met un doigt sur ma chatte. Et je ne dis pas non: je mouille au contraire. Elle me donne envie de jouir. Elle enlève ce que je porte sur le dos, défait la ceinture du pantalon ainsi que la fermeture. Bien sur elle fait tomber le pantalon et le slip.
Je suis nue à sa merci. Elle passe derrière moi pour mieux caresser les seins avec une main, lautre allant vite sur ma chatte.
Cest ma première main féminine sur ma féminité: elle saperçoit rapidement que je suis trempée. Lâchement elle en profite: elle passe un doigt sur le clitoris quelle caresse comme elle le ferai avec un petit animal. Mais cet animal est à moi, cest une partie importante de mon corps. Elle frotte son doigt lentement dabord pour aller bien plus vite. Ses mouvements sont dictés par mes soupirs. Ce qui devait arriver est là: jai des spasme de lorgasme.
Pour moi, cest presque la délivrance. Il faut que je fasse quelque chose: je passe une main derrière moi pour essayer de lui toucher le pubis: je ny arrive pas. Alors je me tourne pour lembrasser. Elle commence à parler
- Alors tu vois que les filles font du bien aussi.
- Cest vrai, merci de mavoir faite jouir.
- Tu vas me le rendre, je crois, non ?
- Bien sur. Déshabilles toi.
Sans chichi elle est nue: je veux lui caresser le sexe.
- Pas ici, allons au lit.
- Cest mieux couchées.
- Evidemment.
Nous voilà couchées cote à cote, nos bouches encore embrassées. Jarrive à prendre un sein que je pelote. Elle fait plus que se laisser faire, elle me rend la pareille. Jarrive à mettre ma main sur sa chatte. Je cherche un peu son bouton que je caresse comme quand je me branle. Elle écarte de plus en plus ses jambes, offerte complètement à ma main. Jarrive à lui donner un orgasme Je laisse ma main dans les parages: je cherche son entrée des jouissances. Je la doigte avec trois doigts, pile ce quelle aime. Je vais et viens dans son vagin: elle jouit encore. Je voudrai essayer plus bas: je pose un doigt sur son anus. Elle se laisse tout juste faire: personne ne la caresser à cet endroit. Je ninsiste pas.
Elle me fait assoir sur le lit, elle sassoit juste en face de moi, à portée de ma bouche. Nos seins se touchent presque.
Je nattends pas quelle me demande quoi que ce soit: elle me donne son con, je le prend. Ma langue lèche partout. Javale son clitoris, jentre dans son vagin et vais plus loin. Elle ne peut rien dire, sa langue est sur mon clitoris. Alors je met le bout de ma langue sur lanus. Je le lèche un instant avant que je la force à entrer doucement dans le cul. Je le sens souvrir un peu, juste ce quil me faut pour ce simili de sodomie quelle accepte.
Nous nous recouchons normalement pour nous embrasser encore et toujours.
- Cétait bon ce que te ma fait
- Et toi dans mon cul aussi, je ne voulais pas javais tord.
Nous avons passé une bonne partie de la nuit à nous aimer. Il nous arrive de coucher ensemble les samedi soir et le dimanche.
Jai trouvé un type, un VRP qui passe tout les mois. Je passe la nuit avec lui. Jai au moins mon sperme.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!