Sa Fente
Jaime son sexe depuis la première fois ensemble. Vu de lextérieur ce nest jamais quune chatte, une chatte de race qui aime les caresses. Pas toutes heureusement. Les miennes lui plaisent beaucoup parce que jy met tout mon cur entre autre. Jaime ouvrir sa fente pour faire ressortir son bouton qui grossit sous ma langue. Jadore son puits dans lequel je vais pêcher avec la langue et son plaisir et le mien à cause de son gout légèrement ambré. Jaime mabreuver à cette source qui donne cette délicieuse cyprine, comme jadore lui lécher lanus comme elle aime et en r pour y mettre toute ma langue.
Javais à peine 19 ans quand je lai rencontrer chez des amis pour une petit sauterie. Nous avons bavardé un bon moment avant quelle murmure dans mon oreille que je lui plaisait beaucoup. Pour moi ça ne voulais dire quune chose: ma conversation lui plaisait.
Nous sommes sorties ensemble toujours en parlant. Elle ma invité chez elle: jai accepté. Je ne mattendais pas du tout à la suite heureuse qui suivrai.
Il était tard, plus de 23 heures en tout cas. Habitant seule, personne ne pouvait mattendre. A cette heure Rosine ne pouvait moffrir quun alcool. Je choisissait une liqueur pendant quelle prenait un armagnac. Nous parlions jusquà présent de choses et autres, maintenant elle arrivait lentement à parler de plaisir sexuel. A mon âge je ne connaissait pas grand-chose: je navais fait lamour quavec deux garçons plus âgés que moi (pas avec les deux à la fois). Je savais me donner du plaisir, en prendre avec un homme, le second.
Elle avait beaucoup plus de connaissance que moi en la matière. Cest normal elle avait 27 ans.
Pourtant elle ne me parlait pas dhomme de sa vie. Elle aussi aimait se branler, elle aimait jouir avec dautres personnes.
Cest là que tout a basculé: elle avouait quelle me trouvait très sexy et quelle avait envie de me donner du plaisir. Nous étions assises très proches il lui a été simple de poser sa bouche sur la mienne.
- Déshabilles moi, sil te plais. Me demande Rosine.
- Je ne sais pas faire ça.
- Fais le tu verra ma poitrine et mon sexe que tu touchera.
Voir et caresser ses seins. Je veux lui rendre ce quelle ma fait. Son sexe: mis à part le mien, je nen connais aucun.
Je my prends comme un manche. Jarrive péniblement à la mettre toute nue. Je réalise enfin quelle est belle avec ses seins bien hauts munis de mamelons plus sombres que sa peau. Son ventre sans poils et le début de sa fente. Je sais ce quil y a dedans, si elle est faite comme moi. Je caresse un peu les seins. Je doit my prendre très mal et pourtant elle me tient la main. Jai besoin dencouragement aussi je lembrasse de moi-même. Cest ma langue qui entre dans sa bouche. Je trouve quelle a bon gout. Je reste sur sa langue.
Elle garde sa bouche sur la mienne: pourtant une main va sur une cuisse pour la caresser. Jusquà présent elle ne fait rien de plus quun garçon. Je réalise que cest une femme qui me fait du bien: je mouille depuis un bon moment. Jespère quelle va de caresser entre les jambes, là où jaime me faire jouir. Quelle lenteur pour aller vers mon intimité que jaccepte de lui donner. Ouf, enfin je sens ses doigts arriver sur ma féminité. Elle commence par écarter les lèvres vers le haut: pile là où jai le clitoris. Jécarte bien les jambes. Je sens au début juste comme une déchainement qui monte, plus forte que quand je me masturbe.
Elle ne sarrête pas là, elle entre des doigts dans ma chatte. Cest bien moins gros quune bite en érection, elle me fait quand même jouir. Avec quelle douceur de sa part pour me les mettre. Elle sait faire durer le plaisir avant lorgasme. Quand elle sort de ma gaine je la retiens, elle recommence pour me faire jouir très vite.
Pour le moment je suis comblée. Je voudrai lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle aussi écarte les jambes. Jarrive à passer ma main entre ses cuisses. Je la monte lentement vers son entrejambe. Je dois aller trop lentement, elle prend mon bras pour le pousser plus vite. Je suis maintenant sur son sexe, sur sa fente. Jai deux doigts qui écartent également ses lèvres. Je les caresse lentement pour arriver enfin sur son clito. Je suis étonnée de le sentir plus grand que le mien. Je peux le prendre entre deux doigts que je serre et desserre en cadence. Je la sens jouir. Jen suis satisfaite; jai fait jouir une femme. Je voudrai recommencé au même endroit doù elle a bien joui. Elle me veux ailleurs. Je vais le plus bas possible: son anus. Je pensais quelle ne voudrai pas. Elle accepte mon doigt. Je ne fait que passer dessus sans presque la toucher. Elle me laisse faire un instant avant de coller cet endroit sur mon doigt. Ma caresse lui plait: je vais aller dune autre façon: je fait le tour de son cul sans trop appuyer. Elle me prend presque au dépourvue quand elle serre ses cuisses sur ma main.
En jouissant elle me dit des gros mots!
- Je suis une salope daimer les filles, je suis une gouine, une pute à femme, jouvre mon con aux femmes, je mouille comme sil pleuvait, jaime que te langue soit dans ma bouche. Branles moi encore, sans arrêt; jai envie de jouir. Putain que cest bon ta paluche sur mon connard de cul.
- Tu veux que je te suce ?
- Oui, suces moi le con.
Elle se couche, écarte les jambes ce quil faut pour que le passe la tête.
Je peux également lui entre deux doigts dans le cul. Je les fais aller et venir comme si je la sodomisais.
- Viens sur moi pour un 69.
- Je me met sur elle, les jambes ouvertes pour lui donner tout ce que je possède de plus précieux.
Cest elle qui rapidement prend mon clito pour le lécher. Je lèche le sien un poil plus tard. Je ne pensais jamais prendre un tel plaisir pour un simple 69. Ses seins sur mon ventre me font du bien comme son ventre sur mes seins. Ses mains entourent mes cuisses, vers le haut. Si elle pouvait mettre un ou plusieurs doigts dans mon fondement comme je vais lui faire.
Elle ne fais pas se que je désirai: elle fait bien de poser sa langue sur mon cul. Elle force à peine pour la rentrer dans mon ventre. Je frémis toujours quand elle la fait aller et venir. Elle fait tout ce quil faut pour que mon plaisir monte lentement. Alors à ce moment là je crie mon bonheur, je crie mon orgasme. Je me sens mourir damour pour elle.
Je crois que mon sentiment est partagé depuis que nous vivons ensemble: nous sommes comme de jeunes mariés, près à baiser nimporte où, nimporte quand et souvent. Si nous partons en voiture, elle conduit: je dois avoir les cuisses presque nue, sans string, prête à recevoir sa main quand elle veut me masturber.
Je suis devenue totalement lesbienne et jen suis heureuse.
Il est des endroits où on nous regarde différemment: dans les restaurants où nous ne nous gênons pas pour nous embrasser sur le bouche et si nous sommes bien placées nous branler.
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