Na Leslie Tr 94
Leslie à Paris Françoise, et son amie.
Le lendemain en me réveillant la place à mes côtés était vide et une douceur odeur planait dans l'appartement, Je me levais et retrouvais Françoise entièrement nue qui m'attendait pour le petit déjeuner. Quand Françoise alla dans la cuisine pour aller chercher le café je fus surpris de sa démarche, elle marchait les fesse serrées avec un petit je ne sais quoi d'étrange, et ce n'est que lorsqu'elle se pencha pour me servir que je m'aperçu que ma salope de cousine s'était plugée le trou du cul.
Ne me laissant pas le temps de réagir ou de dire quelque chose elle dit :
- Ainsi je suis toujours prête et en plus c'est tellement agréable de se sentir toujours possédée.
Nous avons tranquillement déjeunés, Françoise se trémoussant de temps à autre sous l'effet du plug qui rentrait parfois plus profondément en elle, ses yeux brillaient et les pointes de ses seins étaient érigés, Françoise avait le désir en elle et cela la rendait encore plus attirante.
Puis après une douche commune pendant laquelle ma cousine ne cessa de me branler, nous nous sommes habillés pour aller faire un tour au jardin du Luxembourg. Je remarquais que Françoise n'avait pas retirée le plug qui lui entravait le petit trou mais ma surprise fut à son comble quand je l'a vis ouvrir une jolie boîte d'où elle sortie un uf.
- Tu vois, me dit-elle, il vibre grâce à cette télécommande que je vais te confier et ainsi tu pourras le mettre en marche à distance et il vibrera en moi. Ainsi je serais à ta merci et tu pourras me faire jouir à volonté.
Puis prenant l'uf elle se le rentra dans sa vulve en prenant soin de laisser dépasser le petit cordon.
Je n'ai pas retenue mon envie de faire un test et j'ai actionné la télécommande aussitôt faisant sursauter ma cousine, qui me dit :
- Ce n'est pas correct de profiter de la situation, tu dois attendre un peu.
Pendant toute la promenade j'ai abusé de la situation et à chaque fois je voyais Françoise se trémousser au bord de la jouissance avec des yeux qui m'imploraient d'arrêter, mais je n'en faisais rien et me réjouissais de mettre ma cousine dans un tel état, la fin de la journée risquait d'être chaude.
Nous sommes rentrés en fin d'après-midi, Françoise était dans un état de surexcitation, elle me demanda de lui faire l'amour mais je refusais lui demandant d'attendre encore, mais elle devait rester équipée jusqu'au début de soirée.
- Mais, me dit 'elle, ma meilleure amie va venir d'un instant à l'autre et je vais être gênée de me trouver ainsi devant elle.
- Ton amie te connait bien et elle sait que t'es une salope.
- Heu, oui, elle aussi d'ailleurs en est une belle.
- Alors où est le problème, tu m'as dit que je pouvais te faire jouir suivant mes envies, alors comme cela je peux aussi le faire devant ton amie.
- Ohhh non chéri, tu ne peux pas me faire cela.
- Je ne vais pas me gêner et en plus je suis sur qu'elle va aimer notre petit jeu.
Françoise semblait de plus en plus troublée par mes propos et de la tournure de la situation, je sentais que Françoise me cachait quelque chose et ne voulait pas me l'avouer, alors j'ai actionné la télécommande pour faire vibrer l'uf au fond de la chatte de ma cousine, à la puissance maximale.
L'effet fut immédiat et Françoise se mit à se tordre dans tous les sens en me demandant grâce.
- Arrêtes s'il te plaît, je vais jouir et je n'en peux plus.
- Dis-moi ce que tu me caches et j'arrête.
- Je n'ai rien à dire, insista Françoise.
Elle était au bord de la crise et la jouissance était intense.
- Ohhh, ohhh, je viens, c'est trop fort arrêtes.
- Dis-le !
- Carine est lesbienne et c'est mon amante, elle n'a jamais connue d'homme et ne sais pas que nous sommes ensemble, mais elle sait que j'ai des aventures, j'ai peur que cela ne lui plaise pas.
- On verra, dis-je en arrêtant les vibrations.
Carine est arrivée vers dix-neuf heure, très en beauté une jolie fille brune comme ma cousine, aux traits fins et je remarquais tout de suite l'absence de poitrine chez cette jeune fille mince aux traits androgynes.
Françoise avait fait livrer le diner de chez le traiteur du coin et après les présentations faites nous avons trinqués au champagne.
Ma cousine ne disait rien de cette caresse ouverte attendant avec anxiété le moment ou je déclencherais l'uf qu'elle avait en elle. Je me suis excusé pour aller aux toilettes, et en revenant je vis les deux amies enlacées s'embrassant à pleine bouche, me voyant elles ne furent pas gênées et continuèrent devant moi.
La main de Carine était maintenant à l'orée du string de ma cousine qui écartait les cuisses afin de faciliter les caresses de son amante.
Françoise se leva pour nous demander de passer à table, le diner fut parfais, mais je sentais Carine frustrée de ne pas avoir été plus loin avec son amante, et je me demandais bien pourquoi ma cousine avait invitée Carine en ma présence si ce n'est que pour faire un trio.
C'est au moment du désert, alors que nous étions installés au salon que j'actionnais l'uf, faisant tressauter Françoise surprise, très vite l'effet se fit sentir faisant gémir ma cousine.
- Ohhh, ohhh, mon dieu, ohhh.
Carine intriguée se rapprocha de Françoise pour lui demander ce qui lui arrivait, mais Françoise sous l'emprise des vibrations en elle ne pouvait parler, seulement des mots et des gémissements sortaient de ses lèvres entrouvertes.
- Ohhh, ouiii, l'uf, ahhh, je vais jouir, ohhh ma chérie.
- Mais quoi mon amour, dis Carine.
- Ohhh, c'est Adam, ohhh, dis lui d'arrêter.
- Adam, me dit Carine, que se passe-t-il ?
- Il se passe que tu es l'amante de Françoise et moi son amant, et quand se moment elle jouit des vibrations de l'uf qui vibre en elle et dont elle ma confiée la télécommande.
Carine me regarda un instant et prenant Françoise dans ses bras elle lui demanda ;
- C'est vrai ma chérie ce qu'Adam vient de dire
- Ohhh, oui, oui.
Au moment où j'arrêtais les vibrations Carine se pencha vers son amante et l'embrassa à pleine bouche en lui disant :
- Tu sais ce ne pas important car je veux que tu sois heureuse et Adam doit être un bon amant.
- Ohhh, oui merveilleux, dis Françoise à demie-voix.
Carine se mit à genoux devant Françoise et lui écarta les jambes, puis sans gêne elle prit le bord du string qu'elle écarta et prenant le petit cordon elle sortit l'uf de la chatte de son amante en la faisant gémir.
- Et en plus tu es plugée, dit Carine.
- Oh oui c'est trop bon d'être ainsi constamment possédée.
- Eh bien t'es une drôle toi, tu vas voir je ne vais pas me gênée devant Adam.
Et descendant la tête vers l'intimité de sa compagne, Carine, Se mit à lui lécher de minou à grands coups de langue, dans cette position la jupe courte de Carine était remontée sur ses hanches découvrant ses petites fesses plates séparées par la ficelle du string. La langue de Carine s'enfonçait maintenant entre les lèvres de son amante qui feulait doucement.
C'est Carine qui déclencha la suite en me disant la bouche collée aux lèvres intimes de Françoise ;
- Bien que je sois une lesbienne je ne suis pas contre de faire une expérience avec l'amant de ma chérie, caresse moi un peu et emporte moi si tu veux que je m'ouvre à toi.
Je me plaçais derrière Carine et commençais à lui ploter son petit cul, elle ne repoussa pas la caresse et bien au contraire vint à la rencontre de mes mains.
Tout en suçant sa compagne, Carine actionnait le plug fiché dans le cul de Françoise, mes caresses commençaient à être plus précises et je profitais du laissé aller de Carine pour commencer à la déshabillée.
Très vite elle fut nue entre ma cousine et moi, mes mains caressaient à présent son minou taillé ras et sans brusquerie je me déshabillais à mon tour. Françoise fit de même et nous étions nus tous les trois quelques temps plus tard.
Carine ondulait de plus en plus sous mes caresses, son corps mince d'androgyne me fit bander et elle sentit mon sexe sur sa vulve ce qui la fit sursauter.
- Tu sais c'est beaucoup mieux qu'un gode, tu peux demander à Françoise, lui dis-je.
- Mais tu es bien gros, réplique t'elle.
- C'est pour mieux te remplir petite vicieuse.
- Mais ton sexe est long.
- C'est pour aller loin en toi et te faire jouir.
- Tu seras doux avec moi, j'ai peur !
- Tu vas aimer et en redemander.
Mes doigts étaient sur son clitoris et Carine tremblait de plaisir et de peur, d'un doigt sur sa rosette je faisais des pressions afin de voir sa réaction, mais Carine ne réagit pas plus que cela, simplement elle me dit :
- Et tu vas aussi me sodomiser.
- Oui, comme j'ai sodomisé ton amante.
- Oh oui, dis Françoise et après pendant qu'Adam m'enculera tu me prendras ma chérie au gode ceinture.
L'ambiance était torride, Carine se cambrait de plus en plus sous mes caresses faisant ressortir son petit cul plat de gamine, c'est à ce moment que j'ai remarqué que les fesses de Carine étaient bien séparées laissant entrevoir sa rosette toute plissée.
M'aidant d'une main je pris mon sexe pour le placer à l'entrée de la chatte de Carine, Françoise sentant que j'allais prendre son amante lui bloque la tête de ses deux mains sur sa vulve l'obligeant à la sucer de plus belle.
Mon sexe coulissa doucement dans la petite chatte serrée de Carine, lentement je m'enfonçais en elle, étroite comme elle était elle devait sentir la progression en elle. Elle feulait tout en plissant les yeux, mon sexe progressait bientôt la moitié fut en elle et d'une main elle me fit comprendre de marquer un arrêt.
Ainsi planté en Carine j'avais du plaisir d'être enserrée dans ses chairs étroites, Françoise profita de ce moment pour se dégager et passer en dessous de Carine afin de lui faire minette et ne rien perdre du spectacle de mon sexe dans la vulve de son amante.
Je suppose que Françoise avait trouvée le clitoris de Carine car celle-ci se mit à hurler et bouger son petit cul, en fait elle s'embrochait elle même un peu plus sur moi à chaque mouvement, le tenant par les hanches je me suis planté au fond d'elle d'un coup la faisant hurler.
Elle voulut se dégager mais je l'ai tenue fermement en disant :
- Maintenant laisses-toi aller ce n'est que du plaisir.
A suivre
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