Cocu Content Mais Pas Trop. Voire Pas Du Tout. (7) Des Nouvelles De Mathilde.
Résumé : Je reçois un nouveau DVD. Elle ne me laissera donc jamais en paix.
Résumé :
Dans le 6ième épisode, que je pensais bien être le dernier, je vous racontais comment Mathilde ma quitté et je vous avais fait partagé le contenue de deux DVD sur les trois que javais reçu.
Depuis le dernier Episode ma vie a, en apparence, changé. Jai retrouvé du travail. Je suis maintenant VRP, ce qui me laisse assez de souplesse quant à mon emploi du temps. Je ne suis pas très doué mais je men sors pas mal, juste assez pour gagner ma vie et surtout assez pour ne pas me faire virer. Dans ce milieu, rien ne fait foi, largent pour largent, rien nest laisser au hasard. Technique de vente, méthode, psychologie, etc.
En quelques mots : Je déteste ce Job !!!
Bref, je vivote tant bien que mal. Mathilde et moi ne sommes toujours pas divorcés et je ne sais pas ce quelle devient. Plus de nouvelle depuis que jai reçu les DVD. Javoue quelle métait, par moment, presque sortie de la tête. Ce nest que le soir quand je rentre, le plus tard possible de préférence et rarement à jeun, mais bien alcoolisé, que je mesure létendu des dégâts et la misère affective dans laquelle je me suis mis. Vous ne pouvez imaginer, pour certains dentre vous, à quel point on peut faire le point sur un tas de choses qui nous semblaient complètement futiles, sans importance, anodines et qui une fois misent bout à bout, avec un peu de recul et beaucoup de souffrance vous apparaissent comme une évidence.
Jai été nul !!! Point !!!
Ce constat ce fini toujours par un verre ou deux et quelques cigarettes.
Jai depuis eu une aventure avec ma voisine que je navais même pas remarqué avant. Une famille qui habite au dessus, des « cas sos » comme on dit. Elle une grande brune, plutôt bien gaulée, et idiote à nen plus pouvoir. Une gueule de marchand de chien et un tempérament de blonde.
Bref tout cela fera sans doute lobjet dun autre récit, parce que la aussi, y a matière à raconter.
Nous sommes Vendredi. Je hais le week-end parce que je nai rien à faire. Jadore le week-end parce que je ne suis pas obligé de faire ce boulot de merde. Je rentre du boulot vers 20h00 et prend le courrier. Pubs, pubs, pubs et re-pubs, factures, bien évidemment et une enveloppe kraft sans timbre, donc déposée sans nul doute directement dans ma boîte aux lettres. Dessus mon prénom au feutre indélébile noir.
Je monte les escaliers doucement en regardant cette lettre et mes pensées ce sont tournées instantanément vers Mathilde, alors quà lintérieur de lenveloppe tout porte à croire, de part la forme que je devine, quelle contient un disque.
Jentre pose le courrier sur la table de salon, me sers un verre, allume une cigarette. Comment est-ce possible ? Pourquoi après tout ce temps ? Jaurai presque fini par loublier. Jhésite à ouvrir cette enveloppe. Je nai pas regardé le dernier DvD. Ca fait presque 6 mois maintenant. Quand je revois la chronologie des évènements. Jai publié le premier texte alors que Mathilde ma déjà quitté. Oui six mois ce sont écoulés depuis quelle ma quitté et quatre mois depuis la réception des 3 DVD.
Délicatement, je décolle le rabat de lenveloppe, comme si javais lintention de la refermer plus tard pour que personne ne sache que jai vu ce qui avait à lintérieur. Comme pour me faire croire que ce que contient lenveloppe ne mintéresse pas et que je ne lai pas ouverte parce que je me fous de ce quelle devient. Reflexe idiot mais pourtant nécessaire.
A lintérieur un DVD. Je frisonne. Je le sort doucement de lenveloppe, il est protégé par une petite pochette plastique que jouvre tout aussi méthodiquement que lenveloppe.
Que vais-je trouvé dans ce foutu Dvd ? Que vais-je encore apprendre sur les sordides activités de ma femme. Qua, encore, inventé Bernard pour mhumilier ?
Je continue de boire. Encore et encore et encore, jusquà être bourré à en vomir. Cest dailleurs ce qui arrive. Jai vidé la bouteille de Jack Daniels et fini mon paquet de clopes. Je suis à 4 pattes la tête dans la cuvette des chiottes à vomir trippes et boyaux. Je suis mort. Comment puis-je être aussi sur que cest elle ? Cest elle !!! Jen suis sur et cest tout. Je me traine jusquà la paillasse qui me sert de lit.
Je me réveille en sursaut. Jai la tête prête à exploser. Je jette un il au réveil. Trois heures du matin. Un troupeau de bisons repasse dans mon cerveau pendant un instant. Jai la tête qui tourne, jai un haut le cur mais ça passe. Je massois sur le bord du lit crasseux puis me dirige tant bien que mal vers le salon. Japerçois le Dvd posé sur la table du salon. Je me décide. Allez courage.
Jinsert le Dvd dans le lecteur. Je me sers un grand whisky et allume une cigarette. Le film na pas encore commencé que déjà je sens mon cur accélérer et mon sexe palpiter dans mon pantalon. Décidément, je ne suis pas guéri.
Limage est noir, puis soudain un salon. On dirait un boudoir, décoré à lancienne par de vieux meuble qui doivent valoir une fortune et en face de la caméra un canapé deux places. Puis soudain une voix :
- Vas y Mathilde cest à toi.
Soudain Mathilde apparait à lécran, vêtue comme la dernière des putains. Je suis abasourdi de la voir dans cette tenue. Elle porte un mini robe rose hyper décolleté jusquau milieu du ventre dont les pans de tissus sont attachés sur la nuque, essayant vainement de dissimuler ses gros seins. La robe sarrête quelques centimètres sous les fesses et remonte dans le dos pour rejoindre lattache sur la nuque par une espèce de petit bijou.
Puis elle sassoie sur le canapé et croise les jambes. Repassant la scène au ralenti on peut très rapidement se rendre compte quelle ne porte rien sous sa robe. Cétait prévisible. Je suis atterré, excité, affolé, décontenancé. Je ne sais plus quoi faire : arrêter, continuer, me masturber. Javale mon whisky est men ressert un autre. Rallume une cigarette et tire nerveusement dessus.
Toujours cette voix que je ne reconnais pas :
- Tu peux y aller.
Elle regarde cette personne puis revient vers la caméra.
- Bonjour Laurent.
- Bernard viens de me dire que tu avais reçu les Dvd de nos différentes rencontres. Javoue avoir été fâchée sur le coup car je ne voulais pas que tu puisses avoir le plaisir de partager ces instants de pur bonheur avec moi, mais, après coup, je me suis dit que ça pourrait être une belle vengeance et que finalement tu ne méritais pas mieux.
- En effet, je suis finalement heureuse que tu ais pu voir comment, alors que nous étions encore ensemble, Bernard, que tu mas fait rencontré, cest si bien occupé de moi.
Putain, mais quest-ce quil y a sur ce putain de Dvd que je nai pas voulu regarder ? Quest-ce que jai raté de si important ? Et dabord, ou est ce Dvd. Je me lève et commence à fouiller dans le capharnaüm. Impossible de remettre la main dessus. Arrête !! Réfléchis !!! Essaye de te souvenir de ce que tu en as fait espèce de poivrot dégénéré.
Je massieds un moment fixant Mathilde souriante sur lécran en pause de la télé. Puis soudain je me souviens. Il est dans le tiroir du bahut avec les factures. Je me lève, ouvre le tiroir, jettes les enveloppe sur la table de salle à manger, prends la pochette et revient massoir. Remet en mode lecture.
- Bien voilà, je pense tavoir tout dit. Je te souhaite une bonne branlette, secoue bien ta petite bite et apprête toi à voir ta femme, puisque je le suis encore, te cocufier comme tu en rêve depuis longtemps. Jespère que tu vas bien en profiter.
- Encore une chose. Je vais demander le divorce et jespère que tu crèveras seul la bite à la main comme un conard que tu es. Bye pauvre nase.
Son regard est dédaigneux, haineux, je sens de la colère et de la hargne. Elle me déteste. Cest sur. Limage se coupe et revient sur le boudoir et cest Bernard qui est maintenant assis à la place de Mathilde.
- Mon pauvre Laurent. Quest-ce quelle ta mis. Elle ny est pas allez de main morte. Hein ? Mais que veux-tu cest la vie.
- Au fait ! Petite bite et gros lâche comme tu es, je suis sur que tu nas pas osé regarder le 3ième Dvd. Alors un conseil. Regarde-le avant celui là. Ca te donnera un avant goût et ça te permettra de te demander ce quelle peut bien être capable de faire après ça.
- Allez !!! Je te laisse cest quon a du pain sur la planche. Mais avant regarde bien.
- Mathilde !!!
- Viens ma belle salope. Viens me sucer.
Mathilde reviens dans le chant de la camera et sassied à coté de Bernard. Elle défait méthodiquement la braguette et sort le monstre demi bandé. Javais oublié quelle était si grosse.
- Tu as vu mon chérie. Dit Mathilde en regardant la caméra. Tu as vu comme elle est grosse. Ca cest de la bite. Une vraie bite dhomme. Si tu savais combien jen ai sucé et prise dans tout les trous des comme ça. Tu serais impressionné.
- Si tu fermais un peu ta gueule. Je tai demandé de me sucer.
Aussitôt elle se jette sur la queue de Bernard qui déjà fourre la main dans ses cheveux pour lui imprimer le mouvement.
- Que cest bon ça. De ne plus être obligé de filmer en douce. Regarde Laurent comme le plan et langle de vu est bien meilleur.
Mathilde suce la queue en fixant la caméra. Elle sapplique à bien le sucer tout en malaxant ses grosses couilles. Je bande. Je sors ma queue de mon boxer et commence à me masturber. Très rapidement Bernard bande à fond et commence à sénerver. Il bourre la bouche de Mathilde comme un forcené. Elle apprécie le traitement. Il létouffe à moitié en lui fourrant sa queue à fond dans la bouche, jusquau fond de sa gorge.
- Vas y prends la toute veille trainée. Régale-toi. Ohhh !! Putain oui je vais tout de foutre dans la gueule. Ouiiii !!!
Puis il se tend. Je vois Mathilde déglutir les yeux fermés. Elle avale tout jusquà la dernière goutte. Puis nettoie bien la queue de Bernard avant de la remettre dans le pantalon et de refermer la braguette. Puis elle se réajuste comme si de rien était et disparait du champ. Bernard me regarde, me fait un clin dil.
- Allez !!! Cette fois on y va. Profite bien.
Limage devient noire et je coupe avant que la prochaine scène apparaisse. Je ne sais plus quoi faire. Pourtant je suis dans tous mes états. Je bande comme un fou. Il faut que je sache cette fois. Je ne suis pas un lâche.
Je me lève est sort le Dvd en le remettant délicatement dans la pochette puis insert le 3ième Dvd de lautre fois. Puis appuie sur Play.
Une petite musique débute. Puis un canapé. Une mise en scène bizarre. Le titre apparait : Le casting de Mathilde.
La voix off : Bonjour à tous. Aujourdhui notre ami Bernard, que vous connaissez tous pour ses talents de rabatteur, nous amènes une quinquagénaire nommée Mathilde. Je sais que dhabitude nous ne recevons que des jeunettes, mais il a vraiment insisté pour que nous la recevions et on ne pouvait pas lui refusé ça. Il nous a dit que cétait sa nouvelle petite trouvaille, que nous nallions pas être déçus, quelle avait un super potentiel et un tempérament de feu. Comme vous le savez, on aime les bonnes grosses salopes qui aiment la bite, alors espérons quelle soit à la hauteur. Si son casting est convainquant on lui donnera peut-être un petit rôle.
Sa frappe. La caméra se dirige vers la porte et souvre. Sur le pas de la porte, Bernard suivie de Mathilde. Bernard porte un pantalon de ville, une chemise largement ouverte sur ses poils avec une grosse chaine en or ainsi que des grosses bagouses et des lunettes noires. Il fait vraiment leffet dun mac. Mathilde, qui suit juste derrière, porte un grand manteau de fourrure. Elle est maquillée comme une pute : gros rouge à lèvre, mascaras, couleur sur les paupières, etc. Elle porte un petit bandeau noir autour du cou serti de petits brillants. Le plan sélargit un peu et fait un plan sur ses pieds gainé de nylon dans des chaussures ouvertes aux talons vertigineux. Jose à peine imaginer se quelle peut porte dessous.
La voix Bonsoir Bernard, tu connais la maison accompagne Mathilde jusquau salon.
Bernard Salut Abdel. Content de te revoir. Merci davoir accepter de nous recevoir.
La voix - Cest tout naturel. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.
La caméra film en suivant Mathilde qui du fait de ses hauts talons se déhanche diaboliquement, puis le couple sassieds sur le canapé. Le dialogue sinstalle entre la voix et Mathilde.
- Bonjour Mathilde.
- Bonjour
- Alors Mathilde. Dis-nous ce qui tamène ici ? Et raconte-nous un peu ton parcours.
- Eh bien. Jai 50 ans. Je suis mariée, sans . Et mon mari avait comme fantasme de me voir faire lamour avec dautres hommes. Alors un jour nous sommes allez dans une boite échangiste. Nous y sommes retournés deux ou trois fois et à chaque fois il me traitait comme une pute. Jusquau jour il ma présenté Bernard avec qui jai fait lamour le soir même pendant que mon mari dormait. Jai tellement jouie que jai eu envie de le revoir et depuis nous vivons « ensemble » si lon peut dire.
- Et ton mari ?
- Je lai quitté.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne suis pas sa pute mais sa femme. Alors tant qua être traite comme telle autant que ce soit avec quelquun qui me fasse vraiment jouir et qui sait de quoi il parle.
- Ok !!! Ca a le mérite dêtre clair. Alors du coup. Maintenant tu fais les quatre cents coups avec notre ami Bernard et son gros braquemard. Ha ha ha !!!
Mathilde baisse les yeux, honteuse.
- Mathilde si on parlait de tes pratiques. Tu aimes sucer ? Tu avales ?
- Oui jaime bien sucer une grosse queue et javale parfois.
- Bien et la sodo ?
- Oui jadore.
- Cool !!! Quelle est ta position préférée ?
- La levrette.
- Ah oui et pourquoi ?
- Parce que jaime sentir mes seins pendre dans le vide. Ca mexcite tout particulièrement.
Jécoute très attentivement. Je ne veux pas en perdre une miette. Je me caresse doucement sur le canapé en sirotant des whiskys. Je suis fasciné par la décontraction avec laquelle elle répond aux questions sans aucune pudeur. Mathilde a bien changé. Elle avec qui on ne pouvait discuter de rien. Qui naimait pas forcement sucer, ni quon lui bouffe la chatte et encore moins quon la sodomise. Voilà quelle dit en redemander. Jhallucine. Elle était si prude, si réservé, que je voulais la décoincer un peu et jen ai fait la dernière des putains.
- Excellent. Jadore les femmes comme toi. Je suis sur quon ne va pas regretter de tavoir fait venir.
Bernard souris. Un sourire qui en dit long. Pervers, vicieux, malin, comme si il savait déjà ce qui allait se passer.
- Tu aimes le SM ?
- Non. Pas vraiment. Ce nest pas mon truc davoir mal.
- Même si ça apporte le plaisir ?
- Je ne sais pas. Surement que ça doit dépendre des circonstances.
- Ok !! Luro ? Le scato ?
- Je nai jamais pratiqué ce genre de chose. Javoue que ça ne mattire pas vraiment.
- Pas vraiment ?
- Non je ne vois pas quel plaisir on peut en retirer.
- Ok. Mais tu nes pas fermée à lidée.
- Ce nest pas que je sois fermée. Cest juste que pour pratiquer certaines choses, il faut encore quelle soit pratiquée dans de bonnes conditions. Je ne dit pas que si je suis vraiment très excitée, que dans un moment de folie, de plaisir et de jouissance, je ne sois pas capable de faire des choses que je naurais pas ment faite avant.
- Tes vraiment géniale.
- Merci, mais jessaie dêtre sincère comme me la demandé Bernard.
- Bien. Je vois que tu as un joli manteau de fourrure. Je suis certain, connaissant Bernard comme je le connais, quil y a une surprise la dessous. Je vois déjà que tu portes de très haut talon et apparemment des bas, mais si tu nous montrais ce que tu caches la dessous.
Mathilde regarde Bernard qui lui fait un signe dapprobation de la tête puis se lève. Fais glisser son manteau et le jette sur le fauteuil. A ce moment là, la voix siffle et moi je reste bouche bé. Mon dieu quelle est belle. Quelle tenue magnifiquement portée. Je me mets à bander rien quen la voyant. Je vais tenter de vous la décrire. Déjà le premier truc qui ma surpris, cest le piercing au nombril. Un magnifique diamant, ou du moins ça y ressemble, sur un ventre plat musclé. Elle a du faire beaucoup de sport cest dernier temps. Je regarde ma brioche mélancolique. Je nai vraiment plus rien à voir avec elle.
Elle est donc vêtue dune guêpière seins nus noire en dentelles transparentes avec des jarretelles accrochées à de magnifiques bas résilles dont le haut est superbement brodé. Puis un string fendu assortit, fente au travers de laquelle on a volontairement fais sortir les grandes lèvres. Entre elles une ficelle.
- Mathilde, dis moi ? Cest quoi cette ficelle ?
- Des boules de Geisha. Bernard voulais que jarrive déjà excitée. Pour me détendre plus facilement.
- Magnifique. Vraiment. Tu veux bien te retourner ?
Mathilde se retourne sans répondre.
- Penche-toi en avant.
Mathilde se penche et prend appuie sur lassise du canapé offrant une magnifique vu sur son postérieur fendu par la ficelle du string. Entre ses fesses on aperçoit quelque chose.
- Ecarte tes fesses.
Mathilde pose la tête contre le dossier du canapé puis pose ses deux mains sur ses grosses fesses et les écartes largement. On peut voir quelle a un bijou sur lanus.
- Tu as un Plug dans le cul ?
- Oui
- Et bien ma salope, tu nous as fait la totale. Bernard tu es un génie. Bernard montre nous un peu ce Plug que tu lui as mis.
Bernard se lève et doucement enlève la ficelle du string dentre les fesses de Mathilde et att le bout du Plug et tire doucement. On peut voir lanus de Mathilde réagir et sécarter pour laisser apparaitre la partie évasée du Plug de 4 ou 5 cm de diamètre. Il tire doucement et fini par le sortir complètement du fondement de Mathilde qui pousse un soupir de plaisir.
- Dis donc Bernard elle a lair daimer ça. Remet lui pour voir ?
Lanus, qui était resté ouvert un court instant se détend sous la pression du Plug que Bernard lui remet dans le cul. Il entre facilement malgré la taille qui reste raisonnable. Doucement il commence un léger va et vient dans le cul de Mathilde sans le sortir complètement mais juste sur la partie la plus évasée puis le remet. Mathilde, dont les seins pendent de façon obscène sous elle commence à remuer du cul.
- Cest quelle aime ça cette trainée. Vas y ouvre lui bien lanus parce quelle va en avoir besoin.
Bernard retire le Plug et lui fourre direct deux doigts dans le cul. Il la lime copieusement et Mathilde commence vraiment à apprécier le traitement. Il lui laboure vraiment le cul. Je suis impressionné de voir comment elle prend les deux doigts. Il lui met le Plug dans la bouche pendant quil lui astique le fondement. Il enlève ses doigts pour montrer à la caméra qui fait un gros plan comme son cul est dilaté. Puis il tire sur les boules de Geisha et les enlève de sa chatte. Elles sont luisantes de mouille.
- Très bien les s. Mathilde tu sais pourquoi tu es là ce soir ?
- Pas tout à fait. Un casting ?
- Oui en quelque sorte, mais cest plutôt un test de capacité.
- Ah ?
- Oui, On a invité quelques amis pour quil te test.
- Quelques ?
- Oui trois exactement.
- Ok
- Assois-toi et regarde ce quon ta réservé.
Mathilde sassied cul nu sur le canapé, les seins pendant. Arrive trois lascar déjà nu avec entre les jambes des braquemards comme Bernard. Mais en plus long. Ils sont trop bien montés. Mathilde en reste la bouche ouverte de surprise et ses yeux se mettent à briller.
Aussitôt les mecs commencent à lentreprendre en lui tripotant les seins, en faisant rouler les tétons entre leurs doigts. Ils linsultent copieusement puis rapidement lui fourre une queue dans la bouche pendant quun autre lui bouffe la chatte, le dernier lui malaxe ses grosses mamelles. Le mec qui se fait sucer lui défonce la bouche.
- Vas y prends tout pétasse. Je vais te la mettre jusquaux amygdales.
- Argggghhh !!! fait Mathilde dont les yeux commencent à pleurer tellement il va profond
Je pourrais vous décrire lensemble du DvD mais ça serait trop long. Tout ce que je peux vous dire cest que pendant près de deux heures elle sest faite défoncée comme une chienne par tout les trous. Pipe, sodomie, double pénétration, double vaginale, fist de la chatte, gorge profonde. Ils lont giflée, fessée, insultée comme la dernière des dernières et pour finir lui ont tous giclés sur la figure, les seins et dans la bouche. Même Bernard a participé et à la grande surprise de tous cest fait sucer direct en sortant de son cul et il a tout fait avaler en lui éjaculant au plus profond de la gorge.
Moi jai fini par éjaculer sur la table du salon comme un porc, complètement exténué. Mathilde, elle de son côté, recevait les félicitations du juris, en lui promettant quils allaient très bientôt se revoir. Pour une scène encore plus chaude. Mathilde les remercie pour leur confiance et leur dit que ce sera avec plaisir.
Limage se coupe et gros plan sur Bernard.
- Salut Laurent. Voilà la fin de laventure de ta femme pour linstant. A l instant où je te parle elle dort. Je suppose que tu nes pas surpris après ce quelle vient de prendre. Dis toi bien que ce que tu viens de voir nest rien à côté de ce que je lui réserve. Je vais faire de ta femme un garage à bite, un sac à foutre. Je te promets quelle ne vivra plus quavec une seule idée en tête : Se faire baiser et cela nimporte où, nimporte quand et avec nimporte qui. Et quand jen aurais fini avec elle. Elle aura pris 20 ans et sera juste bonne à faire la pute dans un rade à 10 sous.
- Tu nes quun pauvre type. Mais je te promets de te redonner de nos nouvelles quand ça en vaudra la peine. Bye.
Puis le plan sécarte. Mathilde est assise à côté de lui. Elle sait donc ce quil veut faire delle. Jen suis scotché, atterré et anéanti comme jamais je ne lai été. Détruit et excité à la fois.
Je vous raconterai la suite dans un prochain récit.
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