Na Leslietr 95

Leslie à Paris – Françoise, et son amie, suite.

Nus tous les trois dans le salon, Carine à genoux et Françoise sous Carine lui faisant minette et jouant avec son clitoris, moi derrière Carine et enfoncée en elle au plus profond de ses chairs. Je sentais le souffle chaud de ma cousine sur mes couilles et qui profitant de la situation me léchait les couilles du bout de sa langue.
C'est la première fois que Carine est possédée par un vrai sexe de chair, cette petite lesbienne au corps d'androgyne à certainement goûté avec Françoise aux délices des godes pendant leurs ébats saphiques, mais c'est une première pour cette petite brune, qui d'ailleurs prend un plaisir non dissimulé à se faire mettre par l'amant de sa compagne.
Je suppose que ma petite salope de cousine rêvait, compte tenue de sa bisexualité de faire un trio afin d'amener son amante sur d'autres rives que les seuls rapports saphiques et je dois avouer, qu'à ce moment, je ne suis pas mécontent dans être le complice.
Tout en pensant à ces deux lesbiennes offertes à mes désirs j'ai commencé à limer lentement Carine par des va et vient lents mais profonds, arrachant des gémissements non dissimulés qui sortent de la gorge de Carine. Le souffle lui manque car elle n'a pas l'habitude de ce genre de rapports, mon sexe va et vient en elle de régulièrement et Carine commence à apprécier cette introduction en elle.
- Ohhh, oui, c'est bon, dit 'elle le souffle court, ohhh, comme il est gros ton membre, ohhh je vais jouir.
Carine se cambre et accepte mon sexe au plus profond d'elle, des gouttes de sueur commence à perler de son front et tout son corps est recouvert de sueur, le plaisir monte en elle, la faisant rugir de plus belle en disant :
- Ohhh, je jouis, ce n'est pas possible, humm, c'est trop bon.
Carine vient de jouir en se redressant, tétanisée par la jouissance qui vient de l'envahir elle est complètement offerte à mes assauts, encore un moment je la possède avant de relâcher mon étreinte et la laisser reprendre ses esprits tout en restant planter en elle enserrer par l'étroit vagin de l'amante de ma cousine.


Carine reprend ses esprits et son souffle se calme doucement, Françoise s'est redressée et regarde son amante, en disant :
- Eh bien, on dirait que t'aime ça ma petite salope.
- Ohhh, répond Carine, c'était fabuleux et je dois avouer que je suis prête à recommencer.
- Alors Leslie, dit Françoise en me regardant, qu'attends-tu pour baiser cette salope.
Sans plus de détails, le sexe encore dur j'ai à nouveau baisé Carine qui en trois secondes est repartie à crier son plaisir. Son corps sursautait à chacune de mes pénétrations et elle à jouit peu de temps après secouée pas des spasmes et hurlant de plaisir.
Ce soir là je n'ai pas enculé Carine mais peut-être plus tard l'occasion se présenterait
Ensuite nous nous sommes endormis enlacées dans le grand lit, moi au milieu sentant de temps en temps des mains caressées mon sexe avec douceur.

Le lendemain en me réveillant, alors que nous étions tous les trois enlacés nues sur le lit, je remarquais que Carine avait des cernes sous les yeux, elle était réveillée et me regardait, Françoise dormait encore
Carine me faisant un clin d'œil se leva et me fit signe de la suivre.
Arrivés dans la salle de bains, elle ferma la porte ne me laissant pas le temps de dire quelque chose.
Elle me dit en se collant à moi :
- C'est fou d'être ainsi possédée par un vrai sexe d'homme.
- Tu as donc aimée de faire l'amour avec moi.
- Oh que oui et j'aimerais bien que tu recommences maintenant.
Et s'appuyant des deux mains sur le bord de la baignoire Carine se plaça devant moi les reins cambrés, elle attendait que je la pénètre, je l'ai pris aussitôt debout dans la salle de bains.
Elle était tellement mouillée que je suis entré en elle d'un seul coup de reins la faisant hurler, elle était chaude et ne demandait qu'à être bien limée.

Les cris de Carine ont certainement réveillés Françoise qui fit éruption dans la salle de bains. Nous voyant ainsi, elle dit :
- Alors comme cela vous prenez du plaisir sans moi, je vais corrigée cela tout de suite.

Elle est sortie de la salle de bains et revint deux minutes après équipée d'un gode ceinture en disant ;
- Adam tu vas enculer cette salope de Carine pour lui ouvrir son cul puis après je l'enculerais avec mon gode ainsi nous aurons du plaisir avant d'aller déjeuner.
Carine se cambra aussitôt et dit ;
- Non Françoise tu ne peux demander à Adam de me sodomiser, son sexe est trop gros et je sui trop étroite je vais souffrir le martyr.
- T'inquiètes, dit Françoise, il va être doux et puis tu n'as pas le choix.
Moi je ne pouvais qu'être d'accord car enculer cette petite salope de Carine j'en avais très envie, alors l'occasion était trop belle.
Françoise, d'ailleurs, était entrain de se mettre un plug dans le cul en disant :
- Comme cela j'aurais mon petit trou occupé moi aussi, comme toi ma chérie.
Je suis sortie du sexe de Carine pour positionner mon sexe sur sa rondelle, elle frémit en essayant malgré tout de s'ouvrir, je sentais Carine prête à se faire sodomiser malgré ses réticences verbales.
Un peu de gel sur la rondelle de Carine et le sexe bien en place à l'orée de son cul, j'ai poussé mon sexe dans ses entrailles, sa rondelle serrée résistant lui faisait émettre des cris de panique.
Cette petite cochonne bien que certainement consentante avait peur. Une poussée plus forte et mon gland rentra faisant céder l'anneau de Carine.
Carine émit un grand gémissement en disant ;
- Oh comme c'est gros, je te sens Adam m'ouvrir en deux, doucement, fait doucement.
C'est à ce moment que Françoise de mit à titiller le clitoris de Carine lui envoyant des ondes de plaisir dans tout le corps et la faisant se détendre. Je sui alors entré au plus profond des entrailles de Carine qui se mit à gémir de plus belle.
Françoise était visiblement heureuse de voir son amante se faire enculée.
- Tu vois, dit-elle en s'adressant à Carine, bientôt je pourrais t'enculer avec ce gode que tu as toujours refusée, Adam est entrain d'ouvrir ton petit cul pour mon plaisir futur.

Carine commençait à émettre des petits gémissements de plaisir, j'ai enculé Carine jusqu'au moment où j'ai remplit les entrailles de Carine, la faisant hurler de plaisir.

Lorsque je me suis séparé de Carine, son petit trou était béant, tout ouvert de la pénétration qu'il venait de subir, ce qui remplit de joie Françoise.
- Ton petit trou est bien ouvert et à tes cris je sais que tu as prit ton pied.
- Ohhh, dit Carine, oui j'ai pris un pied d'enfer.
Carine encore appuyée au rebord de la baignoire se trouvait offerte, Françoise sans prévenir son amante plaça le gode à l'entrée de son cul et l'encula d'un coup.
- Aie, dit Carine arrête t'es folle il est énorme ton gode.
- Tais toi salope et ouvre ton cul.
Françoise enculait son amante comme pour le punir d'avoir fait l'amour sans elle avec moi, elle lui donnait des coups de boutoirs à damner les plus frigides, faisant crier Carine qui éructait des mots ;
- Salope, à ma salope.
- Dis-moi que tu n'es qu'une petite enculée de lesbienne, demanda Françoise.
- Ohhh oui je suis une petite enculée de lesbienne, dit Carine, je sui ton enculée, ta petite enculée d'amour.
- Dis que tu aimes.
- Ohhh oui j'aime et tu m'enculeras chaque fois que tu le voudras.
- Eh bien, dit Françoise, voila qui est clair, nous pouvons aller déjeuner.

Nus nous sommes allés déjeuner et c'est plugée que Françoise déjeuna.
Nous avons tranquillement déjeunés, Françoise se trémoussant de temps à autre sous l'effet du plug qui rentrait parfois plus profondément en elle, ses yeux brillaient et les pointes de ses seins étaient érigés, Françoise avait le désir en elle et cela la rendait encore plus attirante.

Avant de quitter mes amantes, Françoise désira se faire sodomiser, puis nous nous sommes séparés avec regrets sans avoir si nous aurions l'occasion de nous revoir.
En repensant à ces moments j'ai une petite pointe de nostalgie.

A suivre…

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