Intronisation (2)
INTRONISATION 2 ème partie
Ce nest que vers 10 h que Mico se réveillât ; selon son habitude, elle se blottit contre moi, et sa chaleur commence à réveiller mes envies et mon désir de parler de la soirée est plus grand que le reste ; avec tendresse, je la caresse et rapidement, je lui décris la fin de notre soirée, après son départ nous sommes tous les deux bi, mais mes contacts avec les hommes sont assez peu fréquents pour que Mico me fasse raconter ma pénétration avec plus de détail ; elle prend toujours plaisir à me voir et elle me dit combien elle regrette de sêtre endormie ; cela nous ramène à son aventure dans la cave et la simple évocation lui procure un frisson ; ma main a quitté ses seins et se glisse entre ses douces petites lèvres , lintérieur est déjà mouillé, et à sa demande , je la pénètre, remplaçant mes doigts, par mon sexe grossi par le plaisir
« mon amour, les deux queues dans ma chatte mont comblée de plaisir ; jai jouis de tout mon corps et jai envie de recommencer avec toi » ; il ne men faut pas plus pour ne plus pouvoir me retenir et menfonçant tout au fond de sa chatte , mes couilles tapant sur son pubis, je me vide de mon sperme ; son corps se tend et répond à plaisir par des grognements de plaisir ; un gros baiser et je me dirige vers la cuisine, un bon café me fera du bien ; phil est là et me demande comment va ma petite femme; je lui propose daller voir Mico pour avoir son avis ; elle est dans la salle de bain et sans façon, nous dit dentrer ; avec juste un petit slip de dentelle, elle finit son maquillage et ses gestes agitent ses deux mamelons, Phil lui fait compliment de ses jolies formes et vient lui déposer un bisou sur la joue ; se retournant, elle sempare de sa tête et lui roule un vrai patin
« Cest pour te remercier de mavoir si bien baisé hier toi, toi et ton salaud de copain » ; les choses ne peuvent plus claires et Phil en profite pour la peloter ; elle colle son corps contre lui, frotte son, ventre contre la braguette, qui gonfle à vue dil ; je me colle derrière elle, la bosse, moi aussi de retour ; à tour de rôle, elle nous donne de petits baisers et la pointe de sa langue sinfiltre dans la bouche
« Roulez vous une pelle, je sais que vous aimez cela, si jen crois votre petite séance de cette nuit », un sourire éclaire son visage, elle est satisfaite de son effet et en sécartant elle nous laisse le champ libre pour notre étreinte ; Phil ne se défile pas et nos lèvres se joignent, nos mains partant à la découverte de la bosse dans le pantalon ; se rapprochant, elle fait sauter nos pantalons, les slips suivent le même chemin et sa bouche se pose sur nos glands, sa langue léchant nos freins, ses va et vient de lun à lautre ont vite fait de parfaire notre érection ;
« venez, je veux te voir le prendre » ; nous prenant par la queue , elle nous emmène vers la chambre, se pose sur le lit et nous laisse à notre étreinte ; jatt alors le sexe tendu et lenfouie dans ma bouche, je le pompe avec entrain, ressortant pour me lengloutir après ; son gland vient me frapper le fond de la gorge ; me tournant en 69 Phil vient maintenant me caresser lanus ; sa langue alterne avec ses doigt et je sens mon anneau qui souvre ; un doigt vient me pénétrer et soudain Mico se déplace et prenant la bite de Phil la présente devant le trou qui sagrandit et lui dit, « vas y encule le , défonce lui la pastille, je veux le voir gueuler de jouissance sous ta queue » ; son sexe senfonça a dun seul coup et la douleur me coupa le souffle ; sous la poussée à répétition, mon anneau souvre de plus en plus, mais la force de lenculage me coupe lérection ; je prends du plaisir, mais cest dans la douleur et cest la première fois ; Phil me laboure le ventre et mon regard crispé par la douleur se tourne vers Mico ; elle se masturbe, les yeux demi clos, jouissant autant de ses caresses que de me voir brutaliser le cul ; mon regard la stimule et elle devient à nouveau vulgaire, »
« Vas y bourre le, déchire lui le cul comme vous mavez déchiré hier soir ; il aime ça le salaud ; regarde comme son trou est béant » en effet, il se retire parfois et je sens un grand vide, jappréhende le retour, mais en même temps, sa queue me manque et quand il me possède à nouveau à grand coups de bite, un grand bonheur menvahie, je jouis dans ma tète et dans mon corps et quand il se libère enfin de sa semence, je serres mes cuisses pour garder le plus longtemps son jus ; jai le cul en feu, mais voir les yeux brillants de Mico, me rassure ; elle a aimé me voir et cest tout aussi important ; elle se précipite sur la queue encore grosse et sa langue aspire ce sexe qui vient de me sodomiser ; elle le nettoie , elle lui lèche les couilles, puis revient sur le gland dans lespoir dune dernière goutte ; puis le couchant sur le dos, elle sempale sur lui, son bassin claquant sur le ventre ; sans répit, elle se branle sur sa bite qui ne cède rien de sa raideur ; Phil se tend sur ses jambes et son sexe doit aller plus loin car elle rugit de plaisir ; je devine le gland qui doit taper sur son point g, et cette pensée me fait revenir cette érection salutaire ; me plaçant derrière elle je frotte mon gland sur sa raie fessière et Mico, pensant de je vais lenculer, se baisse, relevant alors sa croupe ;je voie le sexe de Phil qui sincruste et ressort de son antre et me présentant contre lui, je pousse afin de pénétrer moi aussi dans sa chatte ; surprise ; elle se cabre, refuse, crie que je suis un salaud, mais rien ny fait et le gland dans lentrée, je pousse brutalement ; cest à son tour de souffrir, mais je ne cède pas et Phil pour maider et lempêcher de se dérober, lui bloque les hanches et la colle fermement contre lui ; la pénétration est complète et je sens mes couilles contre celle de mon partenaire ;
« Tu as aimé hier soir et cest mon tour den profiter », mes paroles provoquent immédiatement une réaction de Mico ; elle arrête de se défendre et maintenant elle ondule de la croupe, essayant une poussée plus profonde de nos deux sexes qui se frottent dans la fente béante ; la sensation pour moi est nouvelle et je ne tarde pas à lui gicler plusieurs jets ,suivi de peu par Phil ; je sens les contractions de la verge à chaque jet, et la sensation est surprenante ; épuisée, mais comblée Mico se calme doucement de la jouissance qui lui a traversé les entrailles ; de sa chatte s écoule de petits filets de jus et de la main, elle se frotte le duvet de son pubis, geste à la fois charmant et bandant car parfois son doigt frotte sen clito ;
« Au fait qu'as tu proposé à mon homme avant de me baissait comme une pute ? »
« Surprise, surprise, dit-il en se levant dun bond, cela vaut le détour et je suis sur que cela vous plaira » et sur ce il claque les fesses de Mico et se retire ; satisfait de notre matinée, nous nous préparons pour aller déjeuner.
Après un petit trajet, nous arrivons à une jolie bâtisse, clos par un grand parc ; plusieurs véhicules sont déjà là ; nous sommes accueilli par le maitre de maison, un petit homme flué, le regard profond et inquisiteur ; il dévisage Mico et après un bonsoir un peu froid, il nous fait rentrer dans une grande salle, ou une cheminée est allumée, diffusant une douce chaleur ; une dizaine de personnes dont 7 femmes, plus ou moins âgées ; toutes élégamment habillées, certaines sexy ; au fond de la salle une estrade, avec une grande table et 7 sièges ; une partie de léclairage sest éteint et 5 hommes vêtus dune cape, rouge pour 4, noire pour celui qui semble être le meneur (sa taille me fait penser à notre hôte) ;ils sinstallent autour de la table et sassoient ; avec nonchalance , un dernier homme arrive ; cest un noir ébène, grand ( environ 2m,) lon devine sa musculature sous sa cape blanche ; il se présente devant le « chef » et après un petit discours daccueil, nous apprenons que cest le « club des plus de 25 cm »et en renvoyant sa cape sur ses épaules, le noir nous montre sa plus grande nudité, et nous comprenons le motif de sa présence ; un sexe au repos pend sous son ventre, de longueur dau moins 25 cm, gros, le gland rosé ; un murmure flatteur parcours la salle, ; les regards ne quittent plus ce sexe et les yeux de Mico brillent ( je nen suis pas jaloux) ; une sonnerie annonce larrivée dune jeune femme, vêtue dun voile qui ne cache pas grand-chose de ses jeunes formes( petits seins, bassin étroit, fesses dodues) ; celle ci sallonge sur la table et le « chef » que pour lintronisation dun nouveau membre, celui-ci doit posséder une jeune vierge (je doute de la virginité) et dun geste théâtrale , il découvre le corps et lui écartant les cuisses, lui pratique une sucette que semble apprécier la jeunette, ainsi que le noir dont le sexe commence à se développer ; ladmiration et lenvie se voit sur les visages des femmes , car maintenant, dresser comme une poutre sa queue fait au moins 30 cm( en réalité 28) énorme, le gland turgescent, secouée de soubresauts ; notre jeunette voyant lengin, se rebiffe sur la table et quatre hommes se lèvent et viennent la maintenir ; notre intronisé se rapproche et plante son gland à lentrée de la grotte et le frotte sur le clito ; lassemblée semble attirée par le spectacle et quand le gland franchit lentrée et se propulse dans la vulve ; deux cris retentissent dans la pièce ; un hurlement de douleur et un « oh « de stupéfaction de lassemblée ; maintenant la femme se tord sous la pénétration, puissante et rythmé de son bourreau, puis peu à peu la douleur doit céder la place au plaisir car son corps est maintenant consentant et savance vers les coups de butoir qui lui ravage le ventre ; dans la pièce de nombreuses mains caressent leurs intimité, et voulant me placer sur le sexe di Mico, je trouve la place occupée, la jupe relevée, Mico offre son pubis à son amant ; reconnaissante , elle me sort la bite te me branle doucement ; autour de la table, les autres membres sont sorti leurs sexes ( ils font vraiment partie des + de 25 cm) et ils se masturbent au dessus du corps qui frémit sous eux ; la frénésie du rapport est évidente et la queue accélère son mouvement et vient buter sur le bassin de la jeune femme ; elle commence à gémir, sa tête dodeline sur la table et elle se cabre quand le noir se vide en elle ; ses gémissements sont ceux dune femme qui jouit et sur elle tombe une pluie de sperme ; les jets se répandent sur son corps, éclaboussant son visage , ses seins et son ventre ; dans la salle , les respirations sont plus fortes et sous les doigts, nombreux sont ceux qui gémissent de plaisir ; ma Mico se branle littéralement sur les doigts de Phil et ronronne de plaisir ; peu à peu la tension diminue , les gens se réajustent la tenue et tous le monde est invité au buffet ;
Lassemblée discute et se restaure, et les hommes ont enlevé leurs masques et je découvre que notre guide dans les cachots fait partie du groupe, ce nest que justifié car son sexe rentre dans les critères du club ; lapercevant Mico a un petit mouvement de recul ; le souvenir du « viol » précédent est encore dans sa tête et si le plaisir a été réel, lhomme ne lui plait pas trop ; et il la senti dans son regard.
La prenant par la main, il lemmène vers lestrade ; son regard me supplie, mais Phil me dit de ne pas bouger ; ils sont bientôt rejoint par plusieurs des membres du club, y compris le noir ; Phil présente alors sa recrue et explique son désir de sexe, la veille au soir ; la tension monte dun cran, et malgré moi, je bande, jappréhende, mais cela me simule, je sens que ma Mico va vivre un grand moment. Fred retire la veste du tailleur et dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds ; dautres mains semparent de ses seins et le soutien gorge tombe ; deux hommes la prennent et lallongent sur la table, son slip lui est arraché et son corps est pétri par cinq paires de mains ; elle a beau se débattre, rien ne peut y faire, au contraire cela excite lassemblée, et bientôt le « chef » nu se présente devant sa fente, le sexe tendu, surprenant par sa longueur démesuré en raison de sa petite taille et en maitre défonce lentrée, Mico rue , se débat mais la pénétration est directe, sans préparation, sans ménagement ; il se retire et replonge avec force plusieurs fois de suite et il la lime avec détermination ; Mico ne se débat plus, incapable de lutter contre la force exercée ; rapidement il jouit en se retirant et en crachant sa semence sur la toison offerte ; la place est aussitôt investi par Fred, qui se comporte en seigneur, sur de son fait ; il la pilonne , accompagnant sa puissance de paroles ,qui deviennent vite provocantes et se retirant il sadresse à ses comparses et dit
« allez-y, elle aime se faire baiser » les uns après les autres se ruent sur elles et après lavoir possédée , éjaculent sur son corps ou son visage ; seul le noir na pas encore participé ; se rapprochant ,il la retourne et son doigt effleure le sillon et lenduisant de salive, il le triture , jouant avec sa auréole, puis il y enfonce un, puis deux doigts ; Mico ne se dérobe plus, les diverses pénétrations ont fait monter son plaisir, malgré la honte de cette séance publique ; au contraire ses fesses vont au devant des caresses et quand il présente son sexe, elle lève son bassin pour favoriser sa poussée ; je redoute cette sodomie par un si gros sexe, mais je suis impuissant, car il commence sa poussée ; contrairement aux autres, il reste doux sa pénétration est progressive et le rictus de Mico, au début de lenculage, se transforme, elle semble apprécier et le sexe senfonce de plus en plus, ses couilles viennent battre maintenant sa chatte ; Mico sanime, se tortille, geint de plaisir ; la queue accélère ses aller-retour ; lhomme se connait bien et quand son plaisir est trop fort, il ralentit, puis reprend ; la pénétration dure et autour toutes les verges sont tendues ; Phil à coté de moi, se branle, je le remplace, jai envie de le sucer, mais je ne veux pas perdre une miette du spectacle de la jouissance de Mico qui en elle et après quelques instants se retire, le sexe encore raide, une goutte de sperme sur le méat ; faisant le tour de la table, il dépose un baiser sur les lèvres, plein de gentillesse ;cest à nouveau la ruée , un mec se place sur la table et fait sassoir Mico sur sa verge ; allongée ainsi elle dévoile ses arrières et séance tenante, un larron se replante dans son anus et réglant leurs pénétrations, ils la liment sans ménagement, pour leur plaisir ; les pénétrations se sont succédées, et Mico souvent prises par ses trois orifices nen fini plus de jouir, épuisée, elle demande grâce , le cul et la chatte pleins de sperme, les orifices dilatés au max ; mais Fred ne lentend pas ainsi et profitant dune dernière saillie vaginale , il vient lui refaire le coup de la double pénétration ; emprisonnant les hanches de Mico, il vient sempaler contre la queue déjà en place et en de grand coup de bite , il force le passage ;
« tu aimes ma salope ; nos deux queues te font jouir » ; en effet, sous la double emprise, Mico sanime à nouveau et pour la énième fois se fait remplir le ventre, sans ménagement, sauvagement par les deux hommes ; la baise dure longtemps, et Mico narrête pas de crier son plaisir ; sa chatte , dilatée , encaisse à nouveau les giclées et quand ils se retirent, cest une véritable coulée de sperme qui sécoule et glisse sur ses cuisses ; Mico sanglote, épuisée par toutes ses possessions et par toute cette jouissance, et je mapproche delle, la caressant afin quelle puisse enfin se détendre ; dans un murmure, elle a alors ces mots :
« Jai honte davoir eu tant de plaisir, mais je ne regrette rien, jespère que tu as apprécié ta petite pute se faisant prendre, je taime comme jamais.
Fred accentue sa pression, mais le passage est serré car il ne la pas préparé ; il insiste, force, bute contre mon anneau qui malgré tout commence à réagir ; cest mon tour de me faire »violer » la pastille ; je sens son sexe senfoncer, cm par cm et dès que mon anneau lâche, il mencule quun coup, et me laboure sans retenue, toujours aussi violent mon ventre senflamma et jai du mal à sucer Phil qui me prenant le tête me maintient dans sa bouche ; je nai pas le choix, pris des deux cotés , je subis lassaut, il me baise , menfile et jy prends mon pied, il le sais et me traite de petite frappe, ses insultes me stimulent et je sais que Mico en profite aussi ; le noir est venu près de mes lèvres et je suce alternativement les deux queues, pendant que lautre me laboure lanus, enfin il se libère et je reçois ses giclées , chaque soubresaut de sa bite mapportant son quota de sperme ; je jouis sous le contrainte et quand il se retire, cest avec envie que je sens notre intronisé se présenter devant le trou béant de mon cul ; heureusement, il arrive en deuxième car malgré louverture béante, son sexe pénètre difficilement, mais contrairement à Fred, il le fait avec douceur, sans me défoncer, il senfonce et bientôt je sens les 30 cm au fon de moi ; il bute son bassin contre le mien et sa pénétration me fait monter un bonheur immense, je sens son gros sexe qui va et vient,qui ressort pour mieux me pourfendre ;Phil enfin se répand dans la bouche et ne pouvant encore me retirer, tellement il me maintient , je dois avaler sa jute, je sens un filet sécouler pat la jointure des lèvres ; pris des deux cotés, je ne peux retenir mon plaisir et sans que lon me touche je jouis, ma queue se libérant de son plaisir ; mon corps vibre , se trémousse et jappelle de tout mon être la semence du noir ; elle arrive enfin, longue, fournie, me remplissant le cul ; je flageole sur mes jambes et, enfin libéré, je mécroule sue le sol, incapable de bouger ; mon regard croise celui de Mico qui elle aussi à jouit , à la fois sous la langue de la femme, mais aussi , je saurais plus tard par le plaisir de me voir jouir avec des mecs ;
Cest très tard que nous avons rejoint la maison de Phil et cest dans le même lit que nous nous sommes couchés, repus et fatigués, mais heureux de notre week-end.
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