Soumission De Ma Compagne

Cela remonte à une vingtaine d’années, en plein divorce, sans travail, un mari chef d’entreprise gagnant bien sa vie mais ne payant la pension que quand bon lui semblait et pour qui bizarrement la justice n’avait pas la possibilité de le contraindre ! Nous nous connaissions que depuis peu et on ne se voyait qu’une fois par mois. Ce qu’elle a vécu je ne le sais que depuis 2 ans.
Après un pseudo stage en informatique qui ne lui a pas apporté beaucoup de connaissances, elle s’inscrit dans une boite d’intérim peu scrupuleuse de la qualification de leurs inscrits.
Sans argents et des filles à entretenir elle fait de son mieux. Elle décroche un poste en Cdd dans une grande entreprise française. Soucieuse de faire bonne impression, nous passons le samedi à faire quelques emplettes vestimentaires.
Au bout d’une quinzaine, son chef de service lui demande de rester entre midi pour discuter de la situation. En effet ses collègues se sont plaintes des insuffisances de connaissances, prétextant que si c’est pour faire son travail il n’était pas utile de prendre une intérimaire, peut être que son physique a pu déplaire à certaines d’entre elles ! blonde naturelle de 1,70 cm, 90B les yeux bleus,
Ce jour-là, elle est habillée d’une jupe pied de poule, chaussé de bottes, un collant noir et un pull pour ce qui est du visible… dessous elle a enfilé des sous-vêtements blancs.
A midi un quart, tout le personnel ayant rejoint la cantine, elle se présente comme demandé au bureau de son chef de service, il est confortablement installé dans son fauteuil en cuir. Il la détaille lorsqu’elle rentre et plutôt que de la faire s’asseoir il lui demande de rester debout face à lui, dos au bureau. Il lui fait part du motif de la convocation : Mme Der… vos collègues se plaignent de vos non connaissances informatique, qu’elles sont obligées de contrôler votre travail et de corriger les erreurs. Du coup je suis dans une situation délicate à votre égard et je m’interroge sur la suite de votre contrat chez nous !
Elle n’est pas particulièrement surprise du propos, sachant qu’effectivement ses qualités de secrétaire sont discutables.

Par ailleurs, la perte du contrat la mettrait dans une situation financière complexe. Elle ne sait que trop dire pour se justifier et c’est lui qui prend à nouveau la parole.
Il avance légèrement son fauteuil faisant glisser son genou entre les siens. En même temps sa main se pose sur le bas de sa cuisse. Il l’observe, elle ne dit rien, elle réfléchit à ce qui est en train de se passer. Ce n’est pas une Oie blanche et connaît les hommes, celui-ci reprend la parole en lui faisant comprendre que s’il interpelle la société d’intérim et qu’il relate ses insuffisances en informatique elle n’aura pas d’autres contrats.
Tout en continuant son monologue, sa main glisse sur le collant remontant jusqu'à la limite de l’ourlet qu’offre sa jupe. Son deal est simple, si elle ne veut pas perdre cette place elle doit lui donner une compensation. Elle a compris qu’elle n’a pas beaucoup de choix !
Aussi quand il lui dit : je n’attends pas un oui de vous, si tu es (il passa rapidement du vous au tu) d’accord tu te contentes de relever ta jupe d’une dizaine de centimètres et tu écartes un peu tes jambes !
Elle ne réfléchit pas très longtemps, se saisit du bas de sa jupe et la relève du double de sa demande, si bien que l’ourlet est à quelques centimètres de son entre-jambe. La main remonte jusqu’au contact de son bas ventre et appuie sur le renflement de son sexe. Elle est très sensible, il suffit de très peu la caresser pour qu’elle perde toutes notions de bien où de mal !
S’amusant de la tournure, il continue sa masturbation au-dessus du collant quelques instants et voyant qu’elle capitule lui demande de se retrousser jusqu'à la taille et de baisser collant et culotte.
Elle fait ce qui lui demande, baissant le tout jusqu’au contact de la cuisse de son tourmenteur, exposant son intimité au personnage qui siffle d’admiration en voyant que c’est une vraie blonde, un léger duvet couvre son nid d’amour et entre ses lèvres suintent déjà sa liqueur vaginale.
Il sait qu’il va pouvoir en r à sa guise.
Sa main revient au contact de sa convoitise et rapidement ses doigts flattent l’intérieur de sa vulve, l’humidité qui y règne atteste de la sensibilité de ma compagne. Il accentue ses caresses, glissant un doigt dans cette grotte chaude. Le traitement la contraint contre son gré de laisser quelques sons sortir de sa gorge. Il la sait à son désir, se lève et ouvre son pantalon en dégage sa queue à l’étroit dans son boxer, puis prenant la main de ma compagne, il la pose sur son vit et lui intime l’ordre de le masturber. Elle le fait du mieux possible et frotte même le gland le long de sa fente, se contorsionnant un peu elle place le membre durcit à l’entrée de sa grotte, il pousse celui-ci et pénètre la femelle soumise.
Il va et vient dans l’antre chaud et humide, elle participe activement à ce coït imposé, leurs lèvres se touchent et ils échangent un long baiser, les langues se nouent, il relève le pull pour découvrir la poitrine enveloppée dans son soutien de gorge assorti à sa culotte, très vite les bonnets sont baissés et les tétons dressés viennent s’écraser sur la poitrine de son chef.
Pense à ton homme pendant que je te baise lui intime t-il !
Tu es une bonne chienne, bien meilleure qu’en informatique !
Il est sur le point de non-retour et sans demander si il peut, son sexe gonfle dans la matrice de ma compagne, il s’enfonce au plus profond et lâche de longues giclées de sperme dans son utérus. Il reste quelques instants afin de bien vider son jus, faisant quelques mouvements de va et vient, elle n’a pas eu son plaisir mais elle se dit : si ça sauve mon poste !
Se retirant il s’assoit dans son fauteuil, pantalon et boxer toujours baissé, il regarde cette chatte d’où s’écoule l’excédent de sperme et lui interdit de se rajuster, bien au contraire, il lui demande de recueillir cette semence et de le porter à sa bouche. Elle n’est pas fan de cette dégustation mais s’exécute pour ne pas lui déplaire.

Pendant qu’elle consomme ce nectar il lui dit : à partir d’aujourd’hui tu ne porteras que des jupes et des robes, tu troqueras tes collants pour des bas et tu seras à ma merci chaque fois que j’en aurai l’envie.
Quelques minutes plus tard, il la laisse se rajuster, en fait de même et la congédie.
Elle va se restaurer à la cantine, mais le regard de ses collègues en dit long sur ce qu’elles pensent, elles qui lui avaient dit que c’était un pervers, elle vient d’en avoir une première confirmation.
Plus tard dans l’après-midi son téléphone sonne, c’est lui qui l’appelle pour lui demander de se rendre aux toilettes, elle y va, il lui saisit la main et la conduit dans celui des handicapés pas utilisé par le personnel. Plaqué face contre le mur, il la retrousse, baisse collant et culotte, elle entend le zip de sa braguette, il recueille un peu de jus qui s’écoule encore de sa chatte inondée tout à l’heure, enduit son gland et en mets un peu sur sa rondelle plissée, elle a compris son désir et s’y plie à contre cœur !
Avec tes mains écarte tes fesses que je te prenne le cul lui ordonne-t-il,
Elle s’exécute et serre les dents quand son vit se positionne sur sa cible, brutalement il l’investit, elle se sent déchirer et fera semblant d’y prendre du plaisir.
Doucement à son oreille il l’insulte pendant qu’il s’active dans ce fourreau étroit. Quelques va et vient plus tard, comme précédemment dans son ventre il s’épanche au plus profond de son être !
Il se rajuste et quitte les lieux, la laissant cuisses écartées, sous-vêtements à mi-cuisse.
Elle reste un moment dans cette position à récupérer en se traitant de catin et qu’en plus elle n’y a pris aucun plaisir, la douleur anale s’estampe lentement.
C’est dans cette position qu’elle entend une personne rentrer à nouveau dans les toilettes et fermer le verrou. Elle pense que c’est lui, en fait il n’en ai rien, il s’agit de l’homme à tout faire, proche de la retraite avec un physique pas très avantageux.
Il la retourne et lui fait comprendre qu’elle doit se mettre à genoux, son sexe ramolli est sorti de sa salopette et elle sait ce qu’il veut. Avec un certain dégoût elle entre ouvre sa bouche, avec sa langue elle essaie de faire un peu de ménage car l’odeur est repoussante, cela plait à l’employé tout heureux du cadeau que lui fait son chef.
Elle l’embouche et s’applique à ne pas le blesser avec ses dents, il lui déverse des obscénités pendant qu’elle le suce souhaitant qu’il se contente uniquement de cette fellation ! Mais il n’en sera rien, lorsqu’ il l’a retourné, il a vu également cette blondeur et veut en profiter, sa queue est bien raide, il la relève et la courbe au-dessus de la cuvette, les cuisses bien écartées, sa croupe est bien visible, il se saisit de son membre, le frotte sur cette vulve qu’il va remplir d’un sperme peut-être de plusieurs jours où semaines. Il pousse et pénètre cette femelle à sa merci ! Elle n’a pas eu de plaisir, ni ce midi, ni lors de la sodomie, l’envie la tenaille, alors elle se dit qu’elle va prendre son pied avec cet homme repoussant. Elle lui demande de glisser sa main sur le haut de sa chatte et de stimuler son clitoris, il est surpris et en même temps il exécute sa demande. Les deux corps sont à l’unisson, sa jouissance monte dans son ventre, elle se mords les lèvres pour ne pas exulter son plaisir, lui ne peut plus se retenir, il s’enfonce profondément dans ces entrailles chaude et humide et lâche sa purée au fond de son utérus. Il reste comme cela de longues minutes, elle ressent en elle les soubresauts de cette queue qui vient de lui donner du plaisir. Quand il se retire une grande quantité de sperme jaunie vient tapisser le fond de sa culotte. Elle se redresse, se retourne et lui fait face, son collant et sa culotte à ses pieds, c’est lui qui s’en saisit et remonte le tout un peu maladroitement, il veut que cette glue qui tapisse son entre jambe s’étale contre son bas ventre, il accentue même la pression pour s’assurer qu’elle va ressentir cette humidité jusqu'à ce qu’elle rentre chez elle.
Pour elle se fut deux longs mois à satisfaire son chef (qui l’a muté aux archives) et l’homme à tout faire, parfois les deux le même jour surtout au début, ils abusaient du nouveau jouet, elle portait comme il lui avait demandé que des jupes où des robes, ces jambes gainées de bas, attendant le bon vouloir de ces hommes, ce qui leurs permettaient de la prendre rapidement comme bon leurs semblaient. Cela lui coûta quelques culottes que l’homme à tout faire lui subtilisait parfois lors de ces relations l’obligeant à l’attendre à la sortie de travail le soir pour la récupérer et en profitait pour la doigter au moment où elle l’enfilait dans sa voiture. C’est d’ailleurs avec lui qu’elle prenait le plus de plaisir, son âge et le dégoût qu’elle éprouvait pour lui décuplait sa jouissance ! Il lui demanda un soir de venir passer la nuit chez lui, ce qu’elle fit, elle en fut tellement comblée qu’une fois c’est elle qui lui proposa de revenir !

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