Malou
Aujourdhui je vais servir de témoin pour le mariage de Malou, une copine de toujours. Jespère rencontrer quelquun qui puisse me tenir plus compagnie au cours de la noce. Jai du me faire belle avec une robe longue bleu pastel légèrement décolletée, un collier en ivoire qui vient de mon arrière grandmère. Par contre je nai pas jugé bon daller perdre mon temps chez un coiffeur: mes cheveux longs bruns me plaisent trop pour les couper.
Mon cavalier, un copain aussi est charmant: il ne me plait pas. Par contre je ne connais personnes sauf la proche famille de Malou.
Que de bêtises nous avons pu faire avec Malou, avant, bien avant quelle ne se détourne de nos façons de vivre. Cest dommage jaimais bien quand nous étions nues toutes les deux sur un lit que nous nous caressions sans arrêt.
Au début, la première fois cétait quand nous étions encore au lycée. Je ne me souviens plus pour quelle raison jétais chez elle. Ses parents étaient absents et elle ma montré un film porno. Nous étions bien installées devant le téléviseur. Nous regardions laction ou plutôt les actions des « acteurs ». Nous étions un peu niaises: nous savions bien à peu près comment les gens font lamour, mais là, nous étions enfin totalement subjuguées par les façons différentes. Ce qui me frappait c était de voir le sperme partir à grand jet un peu nimporte où, surtout dans les bouches des filles bien fichues. Jétait étonnée de voir la grosseur des bites quelles se faisaient mettre devant ou derrière, sans parler de la bouche.
Il y avait les scènes entre filles. Là; nous étions très attirées à tel point que ma culotte déjà mouillée devenait trempée. Pour Malou cétait pareil.
- Ce doit être agréable de faire ça entre fille ? Demande Malou.
- Je crois, tu les entends gémir ?
- Ca te dirais dessayer ?
- Bien sur, et toi.
La réponse nétait pas orale, elle venait de ses lèvres sur les miennes, comme dans le film.
Les très gros plans que nous venions de voir maidaient beaucoup: je tirais la langue pour arriver sur son bouton. Jétais mal mise: je minstallais à genoux devant les jambes de Malou pour mieux la lécher. Ce doit être linstinct: je léchais entre ses cuisses en venant à nouveau sur son clitoris.
Malou me tenait la tête pendant que ma langue lui donnait son plaisir: je la sentais frémir en se crispant quand elle avait son premier orgasme. Jétais fière de moi.
Malou a voulu aussi me faire du bien: sa langue a suivit le même chemin. Je sursautais quand le bout de sa langue est venu sur moi. Je la sentais lécher sans arrêt. Jai joui aussi, pas comme elle: il fallait que je serre les cuisses.
Cétait notre première fois.
Nous navons pas arrêter là, la semaine suivante elle était chez moi, dans ma chambre. Ma mère était avec des amies en bas. Nous nous sommes embrassées et déshabillées. Couchées nous nous embrassions sur la bouche. Nous pouvions nous caresser mutuellement dabord la poitrine puis sans nous arrêter nos mains sont venues sur les chattes. Quel délice de sentir une main autre que la sienne caresser le clitoris et même mettre des doigts dans des endroits très privés.
Nous prenions des habitudes difficiles à cesser. Plus tard, quand nous étions logées en fac, chez la même propriétaires nous ne nous gênions plus pour nous faire du bien. Cest de cette époque que nous ne mettons plus de sous vêtements. Quand nous étions en amphi, nous nous arrangions pour être au dernier rang, tout en haut, les jupes relevées nos moules à lair avec les mains de lautre dedans.
Un garçon nous a surpris une fois: il voulait nous baiser sinon il dirait que nous étions des gouines. Et alors, cétais vrai. Nous lui avons dit que le soir nous pouvions venir chez lui pour baiser à trois. Nous y avons été. Je crois quil doit se souvenir de la raclée que nous lui avons flanquée.
Nous avions perdu en route notre virginité: elle avec un vague cousin et moi par un voisin. Ce nétait pas mauvais sans plus. Nous avions trois godes: deux pour nous les mettre seule ou dans lautre et le dernier était double. Nous étions couchées, les fesses se touchant presque, soit lune soit lautre nous étions la maitresse de gode: nous nous baisions ensemble. Nous finissions toujours de la même façon, par un 69 magistral. Jaimais bien la sucer et la lécher. Elle me le rendait bien, surtout quand elle mettait sa langue dans le cul.
Un soir elle na pas voulu que nous fassions lamour. Quelque fois lune ou lautre ne le pouvions pas pour des raisons connues des femmes. Cette fois là, elle pouvait baiser. Ce nest que le lendemain quelle me disait la vérité: depuis plusieurs jours elle avait rencontré lamour de sa vie. Comme si moi je ne laimais pas.
Elle ma présenté celui avec qui elle venait de baiser. Il était mignon, grand fort et sympathique. Je ne pouvait lui en vouloir.
Le soir elle est resté pour me baiser. Je sentais que le cur ny était plus. Nous avons cessé de coucher ensemble.
Le temps passant je suis restée seule pendant quelle se préparait à son mariage.
Cest pourquoi je suis devenue témoin et que je chercherai ce soir une fille digne de succéder à Malou. La noce suit son cours. Les choses étaient bien faites: il y avait un orchestre pour lambiance. Des couples dansent pendant que dautre personnes dont moi restons sagement assises. Je remarque depuis un bon moment une fille qui doit avoir à peine 18 ans qui elle non plus de danse pas.
- Excusez moi, je vois que, comme moi, vous rester assise. Vous navez rien ?
- Moi, non, je naime pas danser: cest du temps perdu.
- Et vous êtes ,
- La sur du marié.
- Ca ne vous direz rien de venir faire un tour avec moi?
- Avec plaisir.
Nous voilà sorties pour un instant. Un instant ne veut rien dire, un minute ou deux heures. Pour nous cest deux heures. Assises devant le lieux de la noce nous bavardons surtout de rien. Jaborde le point qui me tient à cur: le sexe. Elle nest pas vierge. A part ça je suis bien avancée. Je me relève un peu pour arranger ma robe qui me gêne un peu. Je la soulève au niveau des fesses. Evidemment ma compagne voit que je suis cul nu.
- Vous êtes comme moi, vous naimez pas les sous vêtements;
- Cest vrai, cest moins gênant pour pratiquer
.
- Oui, pratiquer quoi ?
- Certaines choses.
- Faire lamour par exemple.
- Oui, surtout si cest avec une fille.
- Comme moi ?
- Si vous voulez oui.
- Je veux bien: je mappelle Lucienne.
Nous allons chez moi. Nous ne nous embrassons que la bas. Sa bouche est douce à embrasser. Je trouve la façon simple de la mettre nue. Un corps splendide encore mieux que Malou. Elle se donne à moi. Je la caresse un peu et mon désir monte dun cran à chaque caresse. Quand ma langue entre dans sa chatte je retrouve un peu du gout de Malou dans sa cyprine. Je lèche jusquà son anus, ma langue en fait le tour avant de venir sintroduire dans son cul. Elle se laisse faire en grognant légèrement.
Je me déshabille à mon tour: je lui donne mon corps. Elle sait parfaitement sen servir, surtout quand nous faisons un 69. Je peux lécher son clitoris, ce quelle me rend, la doigter, ce quelle fait avant moi et lui mettre deux doigts dans son petit trou.
Nous jouissons longuement.
Pour préserver les apparences nous rejoignons la noce un moment avant le départ des jeunes mariés.
Nous leur souhaitons tout le bonheur possible. En attendant Nous restons sages avec Lucienne. Par contre cet après midi nous le serons beaucoup moins: elle veux baiser chez moi encore.
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