Tania
Je sors de chez Tania: jétais chez elle depuis hier soir. Nous avions besoin de parler de nous, surtout de nous, de nos relations physiques qui durent quand même depuis presque deux ans. Il me semblais avant de la voir quelle me boudait un peu à la suite dune coucherie de ma part avec une de nos copines. De temps en temps il nous arrivent de baiser avec une autre pour simplement nous apercevoir que finalement nous sommes bien ensemble.
Dès mon arrivée, Tania ma embrassé sur la bouche: jai mis ma langue contre la sienne. Nous les avons caressées dans nos bouches. Elle ma fait entrer chez elle pour pouvoir me caresser un peu mieux les seins. Je ne me lasse pas de ces caresses, surtout quand cest elle qui me les fait. Elle sait que je ne porte jamais de sous vêtement, cest simple pour elle de me taquiner les tétons. Ma vengeance est rapide: je pose une main sur son bas ventre pour commencer à lexciter. Je fait aller mon majeur entre ses cuisses, sur son jean, jappuie pas mal pour toucher son sexe. Si elle me laisse faire: jai gagné. Cest comme ça donc que nous avons commencé notre dispute.
Nous lavons continuée en nous déshabillant. Comme jétais chez elle, étant linvitée, cest moi qui ai eu droit la première à des caresses très poussées. Elle continue ses baisers sur la bouche, en mettant ses mains sur mes hanches, je la laisse faire, sauf que je tends mon pubis quand elle est venue plus bas, à la recherche de mon bouton. Jécarte un peu les jambes pour quelle me donne le plaisir que jattend. Elle sait bien me masturber, en faisant durer le plaisir: elle cesse tout mouvement souvent: jai beau lui dire:
- Branles moi, narrête pas,
Tania nen fait quà sa tête. Je résultat est que je ne jouis quaprès une bonne douzaine de minutes.
Ensuite elle me fait coucher. Elle vient sur moi carrément, comme si elle avait une bite. Nos bas ventres sont soudés et elle fait les mêmes mouvement quune baise avec un homme.
Ce nest que quand mon doigt entre dans son cul quelle réagit: dabord en lacceptant, ensuite en se tournant de façon que son cul reste sous ma coupe et ensuite en menjambant.
Elle aime, comme moi, les 69. Quand elle pose sa moule sur ma bouche, que la mienne est sur la sienne, nous passons dagréables moment de jouissance. Cette fois elle ne la pas fait dès le premier 69, souvent elle sort les godes qui nous permettent de palier au manque de bites.
Nous connaissons tellement nos désirs que nous savons-nous baiser ainsi sans problème et aussi quoi de plus beau que de voir un gode senfoncer dans le con dune autre.
Nous avons tellement joué ensemble que nous nous sommes endormies affalées lune sur lautre.
Le lendemain quand Tania se réveille elle reprend là où nous nous étions arrêtées. Elle na quun léger mouvement à faire pour reprendre mon clitoris dans sa bouche. Tania ne me réveille pas de suite: je sursaute quand je jouis. Je ne peux lui rendre le baiser sur son bouton: elle se lève pour préparer le petit déjeuner.
Je suis comme elle, affamée. Je vais laider dans la cuisine, seulement nous sommes nues, tentée par la nudité de lautre. Elle ouvre le placard pour sortir les biscotes: elle se trouve presque enfermée par mes caresses sur ses fesses. Très « en colère » elle me rend ce que jai fait sauf quelle passe sa main entre mes fesses à la recherche de mon cul: j attends à ce que son doigt vienne dans mon ventre. Je comprend mon erreur quand elle se baisse pour passer sa langue sur mon anus.
Je règle la chaleur et la puissance du jet de la douche. Je sors les gants de toilette, les onguents, bref ce quil faut. Je lave Tania comme une , en insistant sur les endroit les plus sales: entre les jambes, entre les fesses, le sexe bien sur. Ce nest quun prétexte pour la peloter. Elle me le rend bien. Par contre il ny que moi qui ai le droit de nous rincer: le jet deau passe partout, surtout sur les clitoris. Tania est très amatrice de cette jouissance. Je la fait partit 3 ou 4 fois avant de me branler une fois.
Je lessuie partout, surtout entre les jambes et sur les seins. Elle men fait autant.
Nous retrouvons le lit pour nous aimer encore par un énième 69. Cette fois le gode sert pour nous sodomiser. Que de plaisir à voir le gode manié par une main féminine qui entre et sort dun cul.
Nous finissons la journée toujours nue, malgré la présence dun voisin curieux qui nous épie sans arrêt. Nous le voyons même se masturber: ce con nous excite encore plus quand nous baisons.
Je dois partir: la semaine prochaine elle vient chez moi.
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